La Chapelle-Montlinard

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La Chapelle-Montlinard
La Chapelle-Montlinard
Le château Gaillard
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Bourges
Intercommunalité CC Les Bertranges
Maire
Mandat
Bernadette Daroux
2023-2026
Code postal 18140
Code commune 18049
Démographie
Population
municipale
489 hab. (2021 en augmentation de 1,03 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 10′ 21″ nord, 2° 59′ 22″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 188 m
Superficie 17,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nevers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avord
Législatives 3e circonscription du Cher
Localisation
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La Chapelle-Montlinard est une commune française située dans le département du Cher, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Argenvières, Herry, Saint-Martin-des-Champs, La Charité-sur-Loire et Mesves-sur-Loire.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

La commune est limitée à l'est par le fleuve la Loire et est traversée par le Canal latéral à la Loire.

Le ruisseau de Chateauvert y conflue dans la Loire.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 772 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Guérigny à 18 km à vol d'oiseau[3], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 910,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Chapelle-Montlinard est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nevers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,3 %), forêts (27,1 %), prairies (6,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (4,5 %), eaux continentales[Note 3] (4,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,5 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 314, alors qu'il était de 306 en 2015 et de 295 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 73,3 % étaient des résidences principales, 15,6 % des résidences secondaires et 11,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la La Chapelle-Montlinard en 2020 en comparaison avec celle du Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (15,6 %) supérieure à celle du département (7,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,9 % en 2015), contre 67,1 % pour le Cher et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à la La Chapelle-Montlinard en 2020.
Typologie La Chapelle-Montlinard[I 1] Cher[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 73,3 79,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 15,6 7,6 9,7
Logements vacants (en %) 11,1 12,9 8,2

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de La Chapelle-Montlinard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal latéral à la Loire, la Loire et le Châteauvert. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001 et 2003[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Chapelle-Montlinard.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[16]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 306 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 306 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Une partie du territoire de la commune est en outre située en aval d'une digue. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Mont = hauteur, et Linard = Léonard, nom de personne d’origine latine, lion, et germanique, hard = dur, fort. La chapelle située sur la hauteur appartenant à Linard.

Mons Linaredi de Capella, 1106 (Cartulaire du prieuré de La Charité-sur-Loire, p. 112) ; La Chapelle Montlinard, 1147 (Archives Départementales de la Nièvre-H 27, fol. 257 v°) ; Villa Capelle de Molinart, 1256 (Archives Départementales du Cher-11 G, chapitre de Sancergues) ; Mons Leonardi, 1287 (Archives Départementales de la Nièvre-G, terrier de l’évêche de Nevers) ; Capella Montis Leonardi, 1478 (Pouillé de Sens, p. 525) ; La Chapelle Mont Lynard, 1503 (Archives Départementales du Cher-11 G, chapitre de Sancergues) ; Terra de Capella Montis Leonardi, 1508 (Pouillé de Nevers) ; La Chapelle Molinard, 1763 (Archives Départementales du Cher-C, Intendance de Berry) ; La Chapelle Molinard, 1763 (A.D. 18-C, Intendance de Berry) ; La Chapelle Monlinard, (Archives Départementales du Cher-C 1109, Élection de La Charité-sur-Loire) ; La Chapelle Mont Linard, XVIIIe siècle s. (Carte de Cassini).

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Montlinard[20]

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La paroisse saint-Léonard dépendait du prieuré de La Charité-sur-Loire[21]. D'après les bulles de 1107 et 1144, elle était du diocèse de Bourges, mais depuis longtemps elle faisait partie de celui de Nevers. L'élévation qui devint l'origine du nom fut sans doute la pente assez rapide qui domine cette localité.

Il a existé au nord de La Chapelle-Montlinard un autre sanctuaire signalé dès 1107 et 1144 sous le nom de Ecclesia Sancti juxta pontem Ligeris.

Le pont de La Charité-sur-Loire existait dès 1176 et constituait un passage important sur la Loire. Dans le cours de l'histoire, ce passage fut disputé de façon la plus terrible, notamment pendant la guerre de Cent Ans

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Vestiges des piles de l'ancien pont en bois en 2011.

Il est prétendu que le pont était en bois jusqu'en 1520 et qu'il est alors reconstruit en pierre.

Pendant les guerres de religion, le pont sert il servit à Vulfang, duc de Deux-Ponts, pour faire pénétrer en Berry ses reîtres qui y commentent d'affreux ravages.

En 1667, le pont se nommait le pont du Roy et le seigneur de Précy était affranchi du péage.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

La chapelle Saint-Sulpice, qui figurait sur la carte de Cassini, est vendue sous la Révolution française, le 18 germinal an VII () ; elle appartenait alors à la fabrique de La Chapelle-Montlinard. Elle figure

En 1789, le pont a été emporté par une crue et on projetait de le rétablir provisoirement en bois. Il est reconstruit en pierre, suivant une ligne brisée, et subsiste encore sur le grand bras de la Loire. Le pont sur le petit bras vers la rive berrichonne, est coupé, dit-on, par les armées impériales réfugiées derrière la Loire en 1815, puis remplacé par un pont suspendu et enfin, sous le second Empire, par un pont en fer, qui laisse inoccupées un certain nombre de piles ; les bases sont encore visibles à fleur d'eau.

Sur le grand pont était établie une chapelle consacrée à saint Nicolas, patron des nautes de la Loire. Ce sanctuaire a disparu, mais une croix sur le même emplacement rappelle son souvenir et porte le même nom. Ce devait être un petit oratoire construit sur un des éperons.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Bourges du département de du Cher.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Sancergues[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Avord

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Cher.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La Chapelle-Montlinard était membre de la communauté de communes du Pays charitois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Les Bertranges, dont est désormais membre la commune. C'est d'ailleurs la seule commune de cette intercommunalité située dans le Cher.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1995[22]   Jean Larive DVD  
         
  novembre 2005 André Simonin   Mort en fonction
2005 mai 2023[23] Jacques Brunet[24]   Agriculteur sur moyenne exploitation
Mort en fonction
septembre 2023[25] En cours
(au 13 janvier 2024[26])
Bernadette Daroux   Clerc de notaire retraitée

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 489 habitants[Note 4], en augmentation de 1,03 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
361316274319361369401428463
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
419492505516538558574604563
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
531569611577568567557531527
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
485477497515506494495495499
2017 2021 - - - - - - -
471489-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Léonard
  • Le nouveau pont de la Charité, portant la RN 151.
  • Château Gaillard
  • Un chêne, classé arbre remarquable de France[30], est visible au lieu-dit Domaine de la Chapelle. Sa circonférence à la base est proche de 10 m[21].
  • Arboretum de 6 ha, un conservatoire de plantes (près de 2000 espèces et cultivars rares) comprenant trois collections nationales de liquidambar, de tilleuls et de ginkgo biloba[21],[31].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre La Chapelle-Montlinard et Guérigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Guerigny » (commune de Guérigny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Guerigny » (commune de Guérigny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de La Chapelle-Montlinard », sur Géorisques (consulté le )
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  20. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. a b et c « Focus sur... La Chapelle-Montlinard », Découvrir > Le territoire > Carte interactive, sur https://www.lesbertranges.fr/index.php (consulté le ).
  22. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5754.
  23. « Jacques Brunet, maire de La Chapelle-Montlinard, est décédé : Jacques Brunet, maire de La Chapelle-Montlinard, s'est éteint dimanche 28 mai, à l'âge de 69 ans. Il était très investi pour sa commune, tout au long de ses mandats », Le Journal du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ) « D’abord conseiller municipal et adjoint, il accomplira plusieurs mandats de maire : d’abord deux mandats et demi après avoir remplacé André Simonin à mi-parcours, au décès de ce dernier ».
  24. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Nouveau mandat pour Jacques Brunet », Le Berry républicain ,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Bernadette Daroux élue maire de La Chapelle-Montlinard : Bernadette Daroux, première adjointe sortante, a été élue maire de La Chapelle-Montlinard, lundi 4 septembre. Une élection organisée après le décès du maire, Jacques Brunet, survenu en mai 2023 », Le Berry républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Bernadette Daroux, jusqu’alors première adjointe, a été élue maire, lundi 4 septembre, avec six voix contre cinq à Marc Bruneau [...] Bernadette Daroux a été élue conseillère municipale pour la première fois en 2008 dans l’équipe présidée par Jacques Brunet. Elle deviendra sa première adjointe lors du mandat de 2014 à 2020 puis continuera jusqu’au 4 septembre 2023 ».
  26. « Le silo bientôt en chantier à La Chapelle-Montlinard », Le Berry républicain,‎ (Le silo bientôt en chantier à La Chapelle-Montlinard, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Ils viennent soigner un chêne vieux d'environ 600 ans », Le Journal du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Le mérite Arboretums à Claudie Adeline », Le Journal du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elle et son mari Gérard, décédé voici quelques années, créent en 1972 une pépinière de collection où ils produisent nombre d’essences végétales ».