La Bougie du sapeur
La Bougie du sapeur | |
![]() Logotype du journal en . | |
Pays | ![]() |
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Langue | Français |
Périodicité | Quasi-quadriennale |
Genre | Humoristique |
Prix au numéro | 2 F () 4,90 € () |
Diffusion | 200 000 () ex. () |
Date de fondation | |
Ville d’édition | Paris |
Directeur de la rédaction | Jean d'Indy () |
Rédacteur en chef | Jean d'Indy |
ISSN | 0761-6147 |
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La Bougie du sapeur ou la Bougie du Sapeur (la typographie du titre varie selon les numéros) est depuis un journal périodique humoristique français qui paraît tous les , soit quasiment[1] tous les quatre ans (les années bissextiles). Sont déjà parus 12 numéros d'une vingtaine de pages[2]. Le dernier date du et le prochain est prévu pour le .
Histoire
[modifier | modifier le code]Son nom a été choisi en hommage au héros de bande dessinée créé par Christophe, le sapeur Camember, personnage né un , dont on souffle donc les bougies d'anniversaire à cette date presque[1] quadriennale. Selon la BBC[3], il s'agit de la seule publication quadriennale au monde[4].
Le journal est tiré à 200 000 exemplaires et est distribué par Presstalis (ex NMPP). Il a été fondé par Jacques Debuisson et Christian Bailly. Son rédacteur en chef est Jean d'Indy, également directeur de la publication. À la fin du journal vendu 4 euros pièce se trouvait un encart à découper pour s'abonner pour tout le XXIe siècle pour 100 euros, jusqu'au numéro de où ces abonnements ont pris fin en raison de difficultés logistiques et de gestion.
Depuis le quatrième numéro, en , « est sans reproche… » est le slogan de La Bougie du sapeur (jeu de mots sur l'expression « sans peur et sans reproche » entre « sapeur » et « sans peur »).
En , en supplément du numéro 7, paraissait le numéro 1 de La Bougie du Sapeur - Dimanche, destiné à ne paraître que les qui sont aussi des dimanches (soit quasiment[1] tous les vingt-huit ans). Le prochain supplément accompagnera donc l'édition du dimanche . De même, en , est paru le premier numéro du supplément La Bougie du sapeur - Madame, qui cède en la place à un autre supplément, La Bougie du Sapeur - Coquine . Le dixième numéro en comprend une rétrospective sur l'histoire du périodique[5].
Pour le numéro 8 de , ainsi que les suivants, les fonds récoltés ont été reversés à une association s'occupant d'adolescents autistes[6].
Liste des numéros parus
[modifier | modifier le code]- no 1 :
- no 2 :
- no 3 :
- no 4 :
- no 5 :
- no 6 :
- no 7 : , avec supplément La Bougie du Sapeur - Dimanche
- no 8 : , avec supplément La Bougie du sapeur - Madame
- no 9 : , avec supplément La Bougie du Sapeur - Coquine
- no 10 : , avec supplément La Bougie du Sapeur - Collector
- no 11 : , avec supplément Le Sapeur écolo
- no 12 : , avec supplément Le Sapeur sportif
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Dans le calendrier grégorien, sont bissextiles les années divisibles par 4 mais pas par 100 et celles divisibles par 400. Le Sapeur devrait donc paraître tous les quatre ans, de à , étant une année non bissextile.
- ↑ « L'intégrale des unes », sur adamantane.net (version du sur Internet Archive).
- ↑ (en) Hugh Schofield, « Leap year : French readers enjoy world's only four-year newspaper », BBC News, .
- ↑ « “La Bougie du sapeur”, seule parution quadriennale du monde qui ne sort que le »
, Courrier international, (consulté le ).
- ↑ « Le , La Bougie du Sapeur reparaît... quatre ans après », Le Journal du dimanche, (version du sur Internet Archive).
- ↑ Amaury Perrachon, « La Bougie du Sapeur, un journal satirique publié tous les quatre ans », Le Figaro, .
Liens externes
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- Page Facebook de La Bougie du Sapeur
- Le journal ne possède pas de site internet, ce qu'il justifie par la logistique compliquée, la solidarité avec le déclin de la presse papier, ainsi que sa légitimité : un site accessible toute l'année remettrait en cause la périodicité particulière du journal. Néanmoins, une page Facebook fonctionne continuellement mais seulement pour donner des informations sur la parution.