La Balme
La Balme | |||||
![]() L'église. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Savoie | ||||
Arrondissement | Chambéry | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Yenne | ||||
Maire Mandat |
Martine Gojon 2020-2026 |
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Code postal | 73170 | ||||
Code commune | 73028 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Balmerans | ||||
Population municipale |
328 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 42′ 25″ nord, 5° 43′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 210 m Max. 689 m |
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Superficie | 9,4 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Bugey savoyard | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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La Balme est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie[modifier | modifier le code]
Toponymie[modifier | modifier le code]
La plus ancienne mention de la paroisse remonte à 739, sous la forme la Balem[1]. Les formes suivantes sont Balma (1215), Baume (1347), voire également la Balme sous Pierre-Châtel dans le cadastre Sarde (1761)[1].
Issu d'un mot pré-roman, voire pré-indo-européen, balma « caverne, abri sous roche », lui-même apparenté à la base pré-indo-européenne *Bal « hauteur, rocher »[2].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit La Borma, selon la graphie de Conflans[3].
Histoire[modifier | modifier le code]
Lors du traité de Lyon le qui voit le transfert du Bugey, du pays de Gex, de la Bresse et du Valromey de la Savoie à la France, La Balme est accordée à la France comme tête de pont sur la rive gauche du Rhône[4].
Le traité de Turin du , dit traité des limites, voit la frontière reportée sur le fleuve[5].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Politique environnementale[modifier | modifier le code]
Finances locales[modifier | modifier le code]
Jumelages[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Les habitants de la commune sont appelés les Balmerans[1].
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[7].
En 2018, la commune comptait 328 habitants[Note 1], en augmentation de 20,15 % par rapport à 2013 (Savoie : +2,39 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
Santé[modifier | modifier le code]
Sports[modifier | modifier le code]
Médias[modifier | modifier le code]
Cultes[modifier | modifier le code]
Économie[modifier | modifier le code]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Le château de Cordon (XIVe siècle), rebâti, il fut le centre d'une seigneurie.
- Le pont de La Balme sur le Rhône.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey (vol. 1), Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1), p. 381-384. ([PDF] lire en ligne)
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 381.
- Henry Suter, « Balme », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en octobre 2014).
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 21Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
- « Recueil des traites de paix…, Amsterdam-La Haye, 1700, tome III, pp. 1–4.. »
- « Traité entre le Roi et le roi de Sardaigne, conclu à Turin le 24 mars 1760 (p.4) », sur Gallica.bnf.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.