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Léon XIV

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Léon XIV
Image illustrative de l’article Léon XIV
Le pape Léon XIV.
Biographie
Nom de naissance Robert Francis Prevost
Naissance (69 ans)
Chicago (États-Unis)
Père Louis Marius Prevost (d)
Mère Mildred Prevost (d)
Ordre religieux Ordre de Saint-Augustin
Profession solennelle
Ordination sacerdotale par Jean Jadot
Pape de l'Église catholique
Élection au pontificat (à 69 ans)
(4 jours)
Intronisation
Précédent François
Cardinal de l'Église catholique
Créé
cardinal
par le pape François
Titre cardinalice Cardinal-diacre de Santa Monica (2023-2025)
Cardinal-évêque d'Albano (2025)
Évêque de l'Église catholique
Ordination épiscopale
par James Patrick Green
Préfet du Dicastère pour les évêques
–
Précédent Marc Ouellet Vacant Suivant
Archevêque ad personam
Président de la Commission pontificale pour l'Amérique latine
–
Précédent Marc Ouellet Vacant Suivant
Administrateur apostolique du diocèse de Callao
–
Évêque de Chiclayo
–
Précédent Jesús Moliné Labarte Edinson Edgardo Farfán Córdova Suivant
Administrateur apostolique du diocèse de Chiclayo
–
Évêque titulaire de Sufar
–
Précédent Ernst Gutting (en) Robert P. Reed (en) Suivant
Prieur général de l'ordre de Saint-Augustin
–
Précédent Miguel Orcasitas Gomez Alejandro Moral Anton (pl) Suivant
Autres fonctions
Fonction religieuse
Prieur provincial
Signature de Léon XIV
Blason
« In illo uno unum »
En lui seul [le Christ], nous sommes un[note 1]
(en) Notice sur catholic-hierarchy.org
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Robert Francis Prevost (/'priːvoʊst/)[1], né le à Chicago (Illinois, États-Unis), est un prélat catholique américano-péruvien, élu pape le sous le nom de Léon XIV (nom latin : Leo XIV ; nom italien : Leone XIV ; nom anglais : Leo XIV ; nom espagnol : León XIV) en référence au pape Léon XIII. En qualité d'évêque de Rome, il est le 267e pape de l'Église catholique ainsi que le chef d'État du Vatican.

Premier souverain pontife venu des États-Unis, il est également le deuxième pape issu de l'ordre de Saint-Augustin, après Eugène IV, au XVe siècle. Missionnaire au Pérou entre 1985 et 1998, il a ensuite exercé des responsabilités à la maison-mère de son ordre à Rome de 2001 à 2013. Il est ensuite nommé évêque du diocèse péruvien de Chiclayo. En outre, il prend en 2015 la nationalité péruvienne, ce qui fait également de lui le premier pape péruvien.

Le , il est choisi pour succéder au cardinal Ouellet à la tête du Dicastère pour les évêques ; il prend ses fonctions le suivant. Le de la même année, il est créé cardinal par le pape François.

Biographie

Origines et enfance

Maison d'enfance du pape Léon XIV à Dolton, dans l'Illinois.

Robert Francis Prevost est né le à Chicago, dans l'Illinois, de Louis Marius Prevost (1920-1997) et de Mildred Agnes Martinez (1912-1990)[2], tous deux également nés à Chicago, où ils se sont mariés le [3],[4].

Son père, directeur d'école et lieutenant de vaisseau de l'US Navy durant la campagne de la Méditerranée lors de la Seconde Guerre mondiale[5],[6], était d'ascendance française et italienne[7].

Sa mère, bibliothécaire engagée dans la vie de leur paroisse[5], était une femme métisse[8] d'ascendance créole louisianaise, haïtienne et espagnole[9], et dont deux des sœurs étaient religieuses[10].

Son grand-père maternel, Joseph Nerval Martínez (1864-1926)[11],[2], était un fabricant de cigares natif d'Haïti[12] et francophone[13] et sa grand-mère maternelle, Louise Baquiet (ou Baquié)[12], était une créole métisse de La Nouvelle-Orléans[2],[14]. Tous deux étaient issus de familles de gens de couleur[2] — dits mulâtres — avec des ancêtres colons européens et esclaves noirs[10],[2],[15],[12]. Léon XIV est ainsi le premier pape ayant une ascendance africaine subsaharienne et le premier pape avec une ascendance africaine depuis le Ve siècle[7],[8].

Ses grands-parents paternels, Jean Lanti Prevost (1876-1960), dit John Prevost, un Franco-Italien né à Turin et professeur de langues romanes[16],[17], et Suzanne Louise Marie Fontaine (1894-1979), Française née au Havre de parents pâtissiers normands[18],[16], ont vécu principalement dans l'Illinois. Suzanne Fontaine avait émigré de Normandie vers les États-Unis en 1915, à bord du transatlantique La Touraine[19]. Les origines normandes de Léon XIV, par sa grand-mère, s'inscrivent dans une lignée d'émigrants ayant quitté la région pour l'Amérique du XVIIIe siècle jusqu'au début du XXe siècle[20].

Robert Francis Prevost grandit dans le village de Dolton, dans la banlieue sud de Chicago, avec ses deux frères aînés, Louis Martín, vétéran de la marine résidant en Floride et John Joseph, éducateur retraité demeurant à Chicago[10],[7]. Il étudie dans la paroisse Sainte-Marie-de-l'Assomption.

Il termine ses études secondaires au petit séminaire de l'ordre de Saint-Augustin en 1973, puis obtient en 1977 un bachelor en mathématiques à l'université Villanova près de Philadelphie[21]. Il rejoint les Augustins le , prononce ses premiers vœux le [22] et fait profession solennelle le . L'année suivante, il obtient un diplôme en théologie à la Catholic Theological Union (CTU) de Chicago[23].

Prêtre

Robert Francis Prevost est ordonné prêtre dans l'ordre de Saint-Augustin le à Rome. Il y prépare une licence en droit canonique à l'université pontificale Saint-Thomas-d'Aquin qu'il obtient en 1984[24],[21]. Il est alors envoyé en mission avec les Augustins au Pérou et devient chancelier de la prélature territoriale de Chulucanas jusqu'en 1986[22]. En 1987, il soutient une thèse de droit canonique sur le rôle du prieur dans son ordre.

En 1987, il est rappelé aux États-Unis comme promoteur des vocations et directeur des missions pour la province augustine de Chicago. Il retourne en 1988 au Pérou, passant les dix années suivantes à diriger le séminaire des Augustins de Trujillo et à enseigner le droit canonique au séminaire diocésain, où il est également préfet des études. Il est juge au tribunal ecclésiastique régional et membre du Collège des consulteurs de Trujillo. Il exerce un ministère paroissial à la périphérie pauvre de la ville[25].

Responsabilités dans l'Ordre

En 1998, Robert Francis Prevost est élu provincial de la province augustine Notre-Dame-du-Bon-Conseil, qui couvre le Midwest américain, et retourne donc à Chicago pour prendre ce poste le [22].

En 2000, il est accusé d'avoir autorisé James Ray, un prêtre alors accusé d'abus sur mineurs et sous le coup d'une restriction pastorale depuis 1991, à résider au prieuré Saint-Jean-Stone de Chicago, malgré sa proximité avec un lycée catholique sans que les responsables du lycée soient informés. Pendant son séjour, Ray était suivi par un contrôleur. Il est déplacé vers une autre résidence en 2002 lorsque les règles ecclésiastiques se durcissent à l'égard des prêtres accusés d'abus sur mineurs[26],[27]. Selon Pedro Salinas, journaliste spécialiste de l'organisation catholique proche de l'extrême droite péruvienne Sodalicio, qui a été dissoute en 2025 sur ordre du pape François, cette accusation de dissimulation d'un prêtre pédophile portée contre Robert Francis Prevost est fausse et a été faite par Sodalicio en réponse au fait que le prélat voulait dénoncer les dérives de l'organisation[28].

En 2001, Robert Francis Prevost est élu prieur général des Augustins pour un mandat de six ans, renouvelé en 2007. Son élection en vingt minutes est l'une des plus rapides de l'histoire de l'Ordre[29]. De 2013 à 2014, Prevost est directeur des études du prieuré Saint-Augustin de Chicago, ainsi que premier conseiller et vicaire provincial[25].

Évêque de Chiclayo

Robert Francis Prevost au cours d'un entretien avec La Industria.

Le , le pape François le nomme administrateur apostolique du diocèse de Chiclayo et évêque titulaire de Sufar[25]. Installé le , il reçoit la consécration épiscopale le suivant des mains du nonce apostolique au Pérou, James Patrick Green. Le , il est nommé évêque de Chiclayo[21]. La même année, il acquiert la nationalité péruvienne en vertu du concordat entre le Saint-Siège et le Pérou qui oblige les évêques à être des citoyens péruviens[30]. Le , il est nommé membre de la Congrégation pour le clergé[31].

Il prend pour devise épiscopale In Illo uno unum, expression tirée du commentaire sur le psaume 127 d'Augustin d'Hippone[32] où il est écrit : sed et nos multi in illo uno unum, que l'on traduit par « bien que nous soyons nombreux, nous sommes un dans le Christ »[7]. Son blason intègre également le sceau de l’ordre de Saint-Augustin, dont il fut le supérieur général, ainsi qu’une fleur de lys représentant la Vierge Marie sous le titre d'« Immaculée Conception », patronne du diocèse de Chiclayo[33].

Du au , il est administrateur apostolique du diocèse de Callao (Pérou)[34],[35]. Le , François le nomme membre du Dicastère pour les évêques[36].

Au sein de la Conférence épiscopale du Pérou, Robert Francis Prevost est second vice-président, siégeant au conseil permanent, de 2018 à 2023[37]. En 2019, il est élu président de la commission Éducation et Culture. Le , il est reçu en audience privée par le pape François[38], ce qui alimente les spéculations sur une nouvelle affectation, à Chicago ou à Rome[39].

Dicastère pour les évêques

Le , le pape François le nomme préfet du Dicastère pour les évêques et président de la Commission pontificale pour l'Amérique latine, avec le titre d'archevêque-évêque émérite de Chiclayo. Il remplace à ces fonctions le cardinal Marc Ouellet, atteint par la limite d'âge et visé par des plaintes pour agression sexuelle[40]. Il prend ses fonctions le [41].

Cardinal

Le cardinal Prevost lors du consistoire du .

Le , le pape François annonce son intention de le créer cardinal lors du consistoire du [42]. À cette occasion, il reçoit le titre de cardinal-diacre de Santa Monica[43].

Le , le cardinal Prevost réplique via le réseau social X à une déclaration récente du vice-président des États-Unis, J. D. Vance, catholique, qui prétendait s’appuyer sur un concept chrétien afin de hiérarchiser son amour, en priorisant sa famille et en plaçant le reste du monde en dernier. Dans son message, Robert Francis Prevost affirme ainsi : « J. D. Vance a tort : Jésus ne nous demande pas de hiérarchiser notre amour pour les autres »[44]. Le , le pape François élève Robert Francis Prevost au rang de cardinal-évêque et lui assigne le diocèse suburbicaire d'Albano[45].

Pape de l'Église catholique

Le , Robert Francis Prevost est élu pape par le conclave après seulement quatre tours de vote devenant ainsi le premier pontife américain et péruvien[46],[47],[48]. 267e pape élu, il est considéré comme un outsider par rapport aux papabili plus en vue[49],[50], ainsi qu'un proche du pape François et un candidat de compromis[49],[51]. Ses partisans ont soutenu qu'il représentait une « voie médiane digne »[52]. Après avoir accepté son élection, qui a eu lieu au quatrième tour de scrutin[53], il a embrassé les cardinaux en quittant la chapelle Sixtine[54].

Le pape Léon XIV sur le balcon de la basilique lors de sa présentation à la foule place Saint-Pierre à la suite de son élection.

Le cardinal Dominique Mamberti, protodiacre, a annoncé le Habemus papam depuis la loggia centrale de la basilique Saint-Pierre, proclamant le nom de Prevost et son nom de règne comme Léon XIV en référence au pape Léon XIII et à sa « doctrine sociale »[55],[56]. Léon est apparu avec l'étole rouge pontificale traditionnelle et la mosette, des vêtements que le pape François n'avait pas portés lors de son élection en 2013[57],[58],[59]. Il a ensuite prononcé son premier discours en italien et en espagnol, et a donné la bénédiction Urbi et orbi en latin[60].

Le Vatican a décrit Léon XIV comme le premier pape de l'ordre de Saint-Augustin et le deuxième pape du continent américain après son prédécesseur François ; il est également le premier pape nord-américain[61],[43],[62], le premier né aux États-Unis[63], le premier citoyen à la fois du Pérou et des États-Unis (par double nationalité)[64],[65], le premier issu d'un pays anglophone depuis Adrien IV au XIIe siècle[66]. Hyperpolyglotte, il maîtrise l'anglais (sa langue maternelle), l'italien, le français, l'espagnol, le portugais et le quechua et lit le latin et l’allemand[67],[68].

Le , il célèbre sa première messe dans la chapelle Sixtine avec les cardinaux. Dans sa première homélie, il déplore le recul de la foi au profit « d'autres certitudes comme la technologie, l'argent, le succès, le pouvoir, le plaisir »[69],[70],[71]. Il s'engage également à être le « fidèle administrateur » de l'Église catholique afin qu’elle soit le « phare qui éclaire les nuits du monde »[72]. Le Vatican annonce que la messe d'inauguration du pontificat du nouveau pape aura lieu le [73],[74],[75].

Le , lors d’une rencontre avec le collège des cardinaux, il explique le choix de son nom : « Il y a plusieurs raisons, principalement parce que le pape Léon XIII, avec l’encyclique historique Rerum novarum, a abordé la question sociale dans le contexte de la première grande révolution industrielle » avant d'ajouter : « Aujourd’hui l’Église offre à tous son héritage de doctrine sociale pour répondre à une autre révolution industrielle et aux développements de l’intelligence artificielle, qui posent de nouveaux défis pour la défense de la dignité humaine, de la justice et du travail »[76],[77],[78]. Le , il préside sa première messe pontificale avec une prière à la Vierge Marie, le Regina cæli, depuis la loggia de la basilique Saint-Pierre avant de rencontrer la presse internationale le lendemain[79],[80],[81].

Armoiries

Armes de Robert Francis Prevost, cardinal

Article connexe : Armorial des cardinaux.
Blason Blasonnement :
Taillé en 1, d'azur à la fleur de lis d'argent ; en 2, d'argent, au cœur enflammé de gueules et transpercé d'une flèche du même posée en barre la pointe en bas, le tout posé sur un Évangile.
In illo uno unum « Nous sommes un en lui seul [le Christ][82] ».

Armes de Léon XIV, pape

Article connexe : Armoiries papales.
Blason Blasonnement :
Taillé en 1, d'azur à la fleur de lis d'argent ; en 2, de clair[réf. nécessaire], au cœur enflammé de gueules et transpercé d'une flèche du même posée en barre la pointe en bas, le tout posé sur un Évangile.
In illo uno unum « Nous sommes un en lui seul [le Christ][82] ».

Les emblèmes pontificaux de Léon XIV reprennent ceux qu'il avait choisis lors de sa consécration comme évêque : le lys blanc, symbole de la pureté mariale, et le livre fermé (la Bible) sur lequel repose le cœur transpercé d'une flèche qui évoque la conversion de saint Augustin dont le cœur a été transpercé par la parole du Christ[note 2] et « l'amour rédempteur du Christ [dont le cœur est] blessé pour le salut du monde »[83]. Le chapeau cardinalice est remplacé par la mitre d'évêque et non la tiare papale[note 3], le blason comprenant désormais les clefs de saint Pierre « en référence au pouvoir de lier et de délier accordé par le Christ à l’apôtre et à ses successeurs »[84].

Le pape garde aussi sa devise d'évêque tirée d'un commentaire de saint Augustin sur le psaume 127.

Distinctions

Décorations vaticanes (2025)

À la suite de son élection, Léon XIV est grand maître des ordres suivants :

Décorations étrangères

Drapeau de l'Ordre souverain de Malte Ordre souverain de Malte

Itinéraire

Né citoyen américain en 1955 mais remarqué pour ses origines européennes et africaines, polyglotte et multi-diplômé, le futur Léon XIV, qui a acquis également la citoyenneté péruvienne, a vécu :

  • jusqu'en 1982 aux États-Unis ;
  • de 1982 à 1984 au Vatican ;
  • de 1984 à 1987 au Pérou ;
  • de 1987 à 1988 aux États-Unis ;
  • de 1988 à 1999 au Pérou ;
  • de 1999 à 2001 aux États-Unis ;
  • de 2001 à 2014 à Rome ;
  • de 2014 à 2023 au Pérou ;
  • depuis 2023 au Vatican.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. ↑ Citation du commentaire d'Augustin d'Hippone sur le Psaume 127.
  2. ↑ Vulnerasti cor meum verbo tuo (Tu as transpercé mon cœur de ta parole).
  3. ↑ tradition instaurée par Benoît XVI et reprise par François

Références

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  76. ↑ « Le pape Léon XIV explique le choix de son nom par son engagement sur la question sociale, et rappelle le « précieux héritage » de François », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  77. ↑ « "Poursuivre dans ce sillage" : le pape Léon XIV explique comment il a choisi son nom de règne », sur BFM TV, (consulté le ).
  78. ↑ Jean-Marie Guénois, « Le Pape explique aux cardinaux pourquoi il a choisi le nom de Léon XIV », sur Le Figaro, (consulté le ).
  79. ↑ Alan Le Bloa, « Célébrations, messages, voyage : l’agenda du nouveau pape Léon XIV sera observé à la loupe », sur Ouest-France, (consulté le ).
  80. ↑ Sixtine Lys, Victor Tribot Laspière et Géraldine Houdayer, « Première messe, installation dans ses logements, anneau du pêcheur : quel est le programme du nouveau pape Léon XIV ? », sur France Bleu, (consulté le ).
  81. ↑ « Pape Léon XIV : quel programme attend le nouveau souverain pontife ces prochains jours ? », sur CNews, (consulté le ).
  82. ↑ a et b Citation d'Augustin d'Hippone, tirée du Discours sur les Psaumes (Enarrationes in Psalmos), Psaume 127 :

    « Ipsi Christiani cum capite suo, quod ascendit in coelum, unus est Christus: non ille unus et nos multi, sed et nos multi in illo uno unum.
    Les chrétiens avec leur chef qui est monté aux cieux, ne forment qu’un seul Christ. Il n’est point seul et nous plusieurs; mais quoique plusieurs, nous sommes un en lui seul. »

    .
  83. ↑ Mathilde de Virene, « Le blason du pape Léon XIV : pureté mariale et Cœur du Christ au centre de son pontificat », sur Tribune Chrétienne, (consulté le ).
  84. ↑ « Lys blanc, fils de Saint-Augustin : l’emblème pontifical de Léon XIV », sur Vatican News, (consulté le ).
  85. ↑ « L’insigne de bailli Grand-croix d’honneur et de dévotion conféré au cardinal Robert Francis Prevost », sur Ordre souverain militaire et hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte, (consulté le ).
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Léon XIV
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Vie
  • Jean-Paul II en 1993
  • Armoiries du pape Léon XIV
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