Israélien

de gauche à droite et de haute en bas respectivement.
Ada Yonath, Robert Aumann, Natalie Portman, Amos Oz, Yossi Benayoun, Shahar Pe'er.
Moshe Dayan, David Ben-Gurion, Yitzhak Rabin, Menachem Begin, Golda Meir, Ariel Sharon.
Ilan Ramon, Benyamin Netanyahu, Natan Sharansky, Itzhak Perlman, Yisrael Meir Lau, Ovadia Yosef.
Emile Habibi, Raleb Majadele, Salim Tuama, Aviv Geffen, Dana International, Eyal Golan.
Un Israélien (hébreu : ישראלי, Israeli, plur. Israelim) est un citoyen de l'État d'Israël, indépendamment de son origine ethnique ou de son appartenance religieuse. La langue officielle d'Israël est l'hébreu.
L'État d'Israël compte principalement des Juifs et des Arabes, musulmans et chrétiens, et dans une moindre mesure des Druzes, des Circassiens, qui sont tous des Israéliens.
Origines du terme[modifier | modifier le code]
Le terme d'Israélien ne doit pas être confondu avec ceux d'Enfants d'Israël ou d'Israélite, le mot d'Israël désignant dans ces dernières expressions le nom reçu par le patriarche Jacob après son combat contre l'ange ou le royaume d'Israël des temps bibliques, et par extension le peuple issu de sa descendance.
Lors de la création de l'État d'Israël, en 1948, les journaux commencèrent à parler d'« Israélis » pour designer les habitants de l'État. C'est Moshé Catane qui écrivit au journal Le Monde afin de prouver qu'il s'agissait d'un anglicisme et que le terme juste en français devrait être « Israélien ». Le journal adopta le changement proposé, bientôt suivi par le reste de la presse française et du monde francophone[1],[2].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Moshé Catane, Qui est juif?, Paris, Robert Laffont,
- « La naissance d'un mot », Le Monde, , p. 9 (lire en ligne)
Articles connexes[modifier | modifier le code]