Isabelle de Lusignan (homonymie)

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Isabelle de Lusignan peut désigner plusieurs nobles poitevines ou princesses chypriotes et arméniennes issues de la Maison de Lusignan[1] :

Les seigneurs de Lusignan, comtes de la Marche[modifier | modifier le code]

Le sous-lignage de Valence[modifier | modifier le code]

Le prénom Isabelle est également porté par une membre du sous-lignage[6] de Valence[7].

Les Lusignan de Chypre[modifier | modifier le code]

Les Lusignan de Cilicie arménienne[modifier | modifier le code]

  • Isabelle de Lusignan (v. 1333-v. 1382), fille de Constantin IV d'Arménie. Elle est parfois connue sous le nom de Marie ou de Marguerite.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 636
  2. a et b Nom attesté dans les chartes.
  3. Nom patronymique attesté dans les chartes.
  4. Nom attesté dans une chronique (Gallia Christiana).
  5. Nom attesté dans l'obituaire de Fontevraud.
  6. José Enrique Ruiz Doménec, « Système de parenté et théorie de l’alliance dans la société catalane (environ 1000-environ 1240) », Revue Historique, no 262,‎ , p. 305-326 (lire en ligne [PDF])
    José Enrique Ruiz Doménec propose de substituer à la notion généalogique de branche cadette le concept de « sous-lignage » : issu d'une souche principale qui en encadre les membres, il est toujours prêt à combattre à son service.
  7. Issu de Guillaume Ier de Valence (v. 1227-1296), fils d'Hugues X de Lusignan (v. 1182-1249) et d'Isabelle d'Angoulême (v. 1188/1192-1246).

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècle) : Structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell, Université de Nantes, 4 vol., 2 797 p., décembre 2018. [lire en ligne]

Articles connexes[modifier | modifier le code]