Humphrey Kayange

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Humphrey Kayange

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Fiche d'identité
Nom complet Humphrey Emonyi Kayange
Naissance (41 ans)
Nairobi (Kenya)
Taille 1,96 m (6 5)
Poste Rugby à sept : Pilier
Rugby à XV : Centre
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
Mwamba RFC (en)
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
2003-2016
20??-2014
Kenya à sept
Kenya
331 (799)[1]
4+ (15+)[2]

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Dernière mise à jour le 8 novembre 2021.

Humphrey Kayange, né le à Nairobi (Kenya) est un joueur international kényan de rugby à XV et à sept et un chimiste organique.

Kayange est particulièrement connu dans la communauté du rugby à sept, car il a réalisé quelques-unes des meilleures performances de l'équipe du Kenya de rugby à sept et a été capitaine de l'équipe.

En 2021, il devient membre du Temple de la renommée World Rugby et du Comité international olympique.

Biographie[modifier | modifier le code]

Carrière de rugbyman[modifier | modifier le code]

Humphrey Kayange naît le à Nairobi, au Kenya[3].

Il joue pour l'équipe militaire Ulinzi RFC dans le championnat kényan (en). L'équipe est ensuite dissoute et il rejoint le Mwamba RFC (en)[4],[5].

Il fait partie de l'équipe kényane lors de la Coupe du monde de rugby à sept 2009[6], atteignant les demi-finales. Il est nommé pour le titre de Meilleur joueur du monde de rugby à sept IRB en 2009[7].

Humphrey Kayange participe aux World Rugby Sevens Series de 2005 à 2016 et est vainqueur du Tournoi de Singapour de rugby à sept 2016[8].

Kayange joue également pour l'équipe du Kenya de rugby à XV, participant aux qualifications de la zone Afrique pour la Coupe du monde de rugby à XV 2011[9]. Il est le frère aîné du meilleur marqueur d'essais des IRB Sevens World Series, Collins Injera, qui joue également pour le Mwamba RFC. Leur frère cadet Michael Agevi a également joué au rugby pour les Sevens dans le passé[10].

En , Humphrey Kayange annonce sa retraite à l'âge de 34 ans de l'équipe kényane de rugby après les Jeux olympiques d'été de 2016, où le Kenya termine avant-dernier[11].

Après-carrière[modifier | modifier le code]

En 2012, Humphrey Kayange déménage à Bristol, au Royaume-Uni, pour entreprendre des recherches sur la biosynthèse de la ténelline avec le professeur Christine L. Willis à l'Université de Bristol[12], où il obtient un Master of Science en 2014[8]. En 2016, il obtient un diplôme de Bachelor of Science à l'université d'agriculture et de technologie Jomo Kenyatta[8].

Il est cofondateur de la Good Kenyan Foundation[8].

En 2020, il obtient un Master en organisation et gestion du sport au MEMOS[8].

Il est membre du Comité international olympique (CIO) depuis 2021[8].

Honneurs[modifier | modifier le code]

En 2010, Kayange est décoré de l'Ordre présidentiel des Golden Warriors (OGW) aux côtés de son frère Collins Injera, pour leurs performances lors des séries mondiales IRB 2008/2009[13].

Humphrey Kayange est intronisé au Temple de la renommée World Rugby en 2021[14].

Notes et références[modifier | modifier le code]

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de la page de Wikipédia en anglais intitulée « Humphrey Kayange » (voir la liste des auteurs).

  1. « Humphrey Kayange », sur www.world.rugby (consulté le )
  2. « Humphrey Kayange », sur en.espn.co.uk (consulté le )
  3. (en) « Fiche de Humphrey Kayange », sur sports-reference.com (consulté le ).
  4. (en) « Top of the top »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Daily Nation, Buzz Magazine, (consulté le ).
  5. (en) « Mwamba's pride »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Rugbyrugby.com, (consulté le ).
  6. (en) « Kenya squad », sur RWC Sevens 2009 (consulté le ).
  7. (en) « IRB names Sevens Player of the Year shortlist », sur irb.com, (consulté le ).
  8. a b c d e et f (en) « Fiche de Humphrey Kayange », sur Comité international olympique (consulté le ).
  9. (en) « Kenya beat Cameroon in RWC qualifier », sur Heavensgame.com (consulté le ).
  10. (en) « Fresh faces for Kenya Sevens », sur International Rugby Board, (consulté le ).
  11. (en) Raymond Otieno, « Adema axed from 7s side », (consulté le ).
  12. (en) « Group members », sur Willis Research Group (consulté le ).
  13. (en) « Sevens stars decorated by state », sur Daily Nation, (consulté le ).
  14. « Six légendes intronisées au World Rugby Hall of Fame », sur World Rugby, (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]