Henri Ier de Rodez

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Henri Ier de Rodez
Titres de noblesse
Comte de Rodez
-
Prédécesseur
Successeur
Vicomte de Carlat
-
Prédécesseur
Successeur
Biographie
Naissance
Décès
Nom dans la langue maternelle
Enric de RodésVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Famille
Maison de Millau (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Mère
Bertrande d'Amalon (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Hugues III de Rodez
Henri de Rodez (d)
Renaud de Rodez (d)
Gilbert de Rodez (d)
Guillaume de RodezVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Alcayette d'Escorailles (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Hugues IV de Rodez
Guibert de Rodez (d)
Guise de Rodez (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Conflit
Blason

Henri Ier de Rodez, décédé vers 1222 en Terre sainte, est comte de Rodez et vicomte de Carlat de 1208 à sa mort.

Biographie[modifier | modifier le code]

Henri de Rodez est fils de Hugues II, comte de Rodez et vicomte de Carlat, et de Bertrande d'Amalon[1].

Il épouse, en 1212, Algayette de Scorailles, dame de Bénavent, Vic et Marmiesse, fille de Gui, seigneur de Scorailles[2],[1] :

  • Guise/Guida de Rodez (v. 1212-v.1266), probablement laînée, épouse le baron Pons de Montlaur, seigneur de Posquières et de Castries[2],[3]
  • Hugues IV (1212 † 1274), comte de Rodez (1227-1274).
  • Guibert de Rodez, seigneur de Vic, Marmiesse et Scorailles.

En 1219, il part pour la cinquième croisade[2]. Il tombe malade à Acre et rédige en octobre 1221 un codicille à son testament[2].

Il meurt vers 1222[1].

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c (en) Charles Cawley, « Toulouse - norther & eastern », sur Medieval Lands, Foundation for Medieval Genealogy, 2006-2016.
  2. a b c et d C. Fabre, « Guida de Rodez, baronne de Posquières de Castries et de Montlaur, inspiratrice de la poésie provençale (1212-1266) », Annales du Midi, nos 24-94,‎ , p. 153-184 (lire en ligne).
  3. Alfred Jeanroy, La poésie lyrique des troubadours, Slatkine (réimpr. 1998) (1re éd. 1974), 810 p. (ISBN 978-2-05101-678-0, lire en ligne), p. 182-183.