Hambourg SV
Nom complet | Hamburger Sport-Verein e.V. |
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Surnoms |
HSV, Rothosen (les pantalons rouges)[1], Der Dino (le dinosaure)[2] |
Noms précédents | Hamburger FC 1887 (1887-1914) |
Fondation | |
Couleurs | Blanc, rouge et bleu |
Stade |
Volksparkstadion (57 274 places) |
Siège |
Sylvesterallee 7 22525 Hambourg |
Championnat actuel | 2. Bundesliga |
Président | Marcell Jansen |
Entraîneur | Steffen Baumgart |
Joueur le plus capé | Manfred Kaltz (730) |
Meilleur buteur | Uwe Seeler (543) |
Site web | www.hsv.de (de) |
National[3] |
Championnat d'Allemagne (6) Coupe d'Allemagne (3) Coupe de la Ligue (2) |
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International[3] |
Ligue des champions (1) Coupe des coupes (1) Coupe Intertoto (2) |
Actualités
Le Hambourg SV (dont le nom officiel en allemand est Hamburger Sport-Verein e.V.) est un club omnisports allemand fondé en 1887 et basé dans la ville de Hambourg. Le club est connu avant tout pour sa section football, qui n'avait jamais été reléguée jusqu'en 2018 de l'élite du championnat d'Allemagne depuis son accession à la fin de la Première Guerre mondiale, ce qui en faisait la seule équipe du pays à évoluer en Bundesliga depuis la création de la compétition en 1963.
Au milieu des années 1970, le HSV entame une période de succès inédite dans l’histoire du club : vainqueur de la Coupe d'Allemagne en 1976, les Hambourgeois soulèvent la Coupe des Coupes l'année suivante. Deux ans plus tard, le club remporte le championnat pour la quatrième fois de son histoire et accède à la finale de la Coupe des clubs champions en 1980. Après un nouveau titre national en 1982, les coéquipiers de Horst Hrubesch et Felix Magath réalisent un doublé historique Bundesliga-Coupe des clubs champions européens lors de l'exercice 1982-83.
Dans les années 2000, le club résidant de l'ancien Volksparkstadion se classe en général dans la première partie du classement, sans toutefois parvenir à se battre pour le titre. En 2011, le club est présidé collégialement par Carl-Edgar Jarchow (intérimaire), Joachim Hilke, Bastian Reinhardt et Oliver Scheel.
À l'issue de la saison du Championnat d'Allemagne de football 2017-2018, le HSV finit 17e et avant-dernier avec 31 points. Il est relégué en 2.Bundesliga pour la toute première fois.
Histoire du club
[modifier | modifier le code]Repères historiques
[modifier | modifier le code]- 1887 : Fondation du club sous le nom de Hamburger FC 1887.
- 1914 : Le club est renommé Hamburger SV 1887.
- 1919 : Fusion avec le FC Falke 1906 Hamburg et renommé en Hamburger SV 1887.
- 1919 : Fusion avec le SC Germania Hamburg et renommé en Hamburger SV (nom actuel).
- 1960 : 1re participation à une Coupe d'Europe (C1, saison 1960-1961).
- 1977 : Vainqueur de la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe
- 1980 : 1re finale de C1 : Hambourg s'incline devant Nottingham Forest (1-0).
- 1983 : 2e finale de C1 : Hambourg bat la Juventus (1-0) grâce à un but de Felix Magath et devient champion d'Europe.
- 2012 : 125e anniversaire du club. À cette occasion, le club dispute un match amical face au FC Barcelone le devant 57 000 spectateurs (victoire 2 à 1 des Barcelonais).
- 2018 : Première relégation en deuxième division de l'histoire du club.
De la fondation du club aux premiers succès (1887-1960)
[modifier | modifier le code]Le club est fondé le à la suite de l'union entre Hohenfelde et Wandsbeck-Marienthal. Il porte alors le nom de SC Germania, élisant domicile à l'Exerzierweide. Les fusions se succèdent par la suite : en 1906, le FC Falke rejoint l'association puis c'est au tour du Hambourg FC d'être absorbé.
En 1910, le club s'installe dans son nouveau stade du Sportplatz am Rothenbaum. Neuf ans plus tard, il adopte le nom qui est toujours le sien aujourd'hui, Hambourg Sport-Verein. Pour l'écusson, le HSV utilise les couleurs des associations qui le composent (bleu, noir et blanc). Pour le maillot et le short, on choisit celles de la ville : il revêt donc un maillot blanc et un short rouge.
À partir des années 1920, le club partage ses matchs à domicile entre son stade et le nouvel Altonaer Stadion. Le premier titre de champion ne se fait pas attendre puisque l'équipe est sacrée en 1922-23. Elle récidive cinq saisons après et s'impose comme l'une des meilleures du pays, mais devra patienter plus de trente ans pour renouer avec les lauriers nationaux (1960).
En 1953, le HSV (qui a disputé un match amical l'année précédente contre l'équipe nationale indienne - victoire 5 à 3 - au Billtalstadion devant 15 000 spectateurs) quitte le Sportplatz am Rothenbaum qu'il occupe depuis plus de 40 ans et s'installe dans le Volksparkstadion, tout juste bâti sur le site de l'ancien Altonaer Stadion, démoli en 1951.
L'apogée du HSV (1977-1987)
[modifier | modifier le code]Der Dino fait partie des clubs fondateurs de la Bundesliga en 1963, mais ne joue pas les premiers rôles, se contentant souvent des places d'honneur malgré un bon effectif.
Lauréat de la Coupe d'Allemagne 1976, Hambourg gagne son premier trophée continental la saison suivante, remportant la coupe d'Europe des Vainqueurs de Coupe.
Les succès vont alors s'enchaîner sous l'impulsion de ses deux entraîneurs légendaires, Branko Zebec et Ernst Happel, et en 1979 le club ramène enfin le titre de champion dans le Nord. Dauphin du Bayern Munich les deux années suivantes, le HSV remporte à nouveau le bouclier en 1982 puis en 1983, au terme d'un incroyable duel face à son grand rival du Werder Brême, les équipes étant départagées à la différence de buts. Hambourg possède la plus longue série d'invincibilité en championnat, de à .
(mt : 1 – 0)
le Stade olympique, Athènes
Composition du Hambourg SV[4] :
Uli Stein, Manfred Kaltz, Bernd Wehmeyer, Ditmar Jakobs, Holger Hieronymus, Wolfgang Rolff, Jürgen Milewski, Jürgen Groh, Horst Hrubesch , Felix Magath, Lars Bastrup puis Thomas von Heesen
Entraîneur : Ernst Happel
Le début des années 1980 voit l'apogée du club, emmené par des joueurs prodigieux comme Horst Hrubesch ou Manfred Kaltz, avec en particulier deux championnats d'Allemagne remportés et la participation à trois finales européennes : une en Coupe des Clubs Champions (future Ligue des Champions) perdue face à Nottingham Forest, une autre en Coupe de l'UEFA où l'IFK Göteborg sera un os trop dur à croquer, et enfin la victoire la plus prestigieuse avec la C1 remportée face à la Juventus de Turin en 1983. Le club enrichit encore son palmarès avec une Coupe d'Allemagne quatre ans plus tard.
Le HSV rentre dans le rang (1987-1999)
[modifier | modifier le code]Après cette période fastueuse, le club rentre dans le rang et occupe plutôt des places de milieu de tableau durant une douzaine d'années. S'il parvient à se qualifier trois fois durant cette période en coupe d'Europe, il ne se fait plus remarquer. En raison d'une dette importante, l'existence même du club est menacée et conduit à la vente de joueurs importants comme Thomas Doll, vendu pour la somme alors record de 17 millions de DM à la Lazio Rome. Le HSV connaît une certaine instabilité sur la période avec 7 présidents et 8 entraîneurs différents.
Un nouvel élan avec un nouveau stade (1999-2010)
[modifier | modifier le code]Le HSV va connaître de meilleurs résultats au moment même de la livraison de la Imtech Arena. Le premier match dans le nouveau stade a lieu en et le club finit le championnat à la troisième place, synonyme de qualification pour la Ligue des champions. Les deux années suivantes sont moyennes mais la période sans trophée s’achève en 2003 quand le club remporte la Coupe de la Ligue d'Allemagne. Le HSV se stabilise en première moitié du classement et participe régulièrement aux compétitions européennes : 6 campagnes sur la période dont 4 consécutives de la saison 2005-06 à la saison 2008-09 grâce à des joueurs comme Rafael van der Vaart, Vincent Kompany[5], Nigel de Jong ou Piotr Trochowski. Le club atteint les demi-finales de la Ligue Europa 2009-2010 mais une défaite au match retour face à Fulham le prive de la finale qui était prévue dans son stade.
La peur de la relégation (2010-2017)
[modifier | modifier le code]Le club connait les saisons suivantes des départs de joueurs importants comme Jérôme Boateng, Piotr Trochowski, Joris Mathijsen ou Ruud van Nistelrooy qui ne sont pas remplacés par des éléments de niveau équivalent. Hambourg connaît à nouveau une phase d'instabilité tant au niveau de la direction que sur le banc avec de nombreux entraîneurs. À trois reprises la présence du HSV en Bundesliga se décide en toute fin de championnat avec une 15e place en 2011-12 (alors plus mauvais classement de l'histoire du club en championnat), une 16e en 2013-14 avec un maintien assuré à la suite des matchs de barrage face à Greuther Fürth, 3e de Bundesliga 2 (0-0 à Hambourg et 1-1 à Fürth), puis encore une 16e en 2014-15 avec un maintien assuré aux matches de barrage face au Karlsruher SC, 3e Bundesliga 2 (1-1 à Hambourg et victoire 2-1 après prolongation à Karlsruhe).
Lors de la saison 2015-2016 ils arrivent à se hisser difficilement à la dixième place. Avec 41 points ils devancent les barragistes (Eintracht Francfort) de 5 points seulement.
Pour la saison 2016-2017 Hambourg commence par un match nul (1-1) à domicile contre le FC Inglostadt 04. Le club enchaîne alors neuf défaites jusqu'à la onzième journée face à TSG Hoffenheim ou les joueurs arrachent un difficile 2:2. Le Nordderby se finira également par un 2-2, malgré l'ouverture du score par Hambourg à la 3e minute. Le Werder reviendra à la marque pour qu'Hambourg reprenne la tête en fin de première mi-temps. Les rivaux arriveront à décrocher un nul en milieu de seconde période. La 13e journée va enfin régaler ses fans en gagnant le match contre SV Damstadt 0-2. Cette victoire sera confirmée lors de la 14e journée par un 1-0 décroché à domicile contre le FC Ausbourg.
La relégation
[modifier | modifier le code]Saison 2017-2018
[modifier | modifier le code]La saison 2017-2018 commence bien pour le Hambourg SV. Le club s'impose contre ses deux premiers adversaires (FC Augsbourg et 1. FC Cologne). Hambourg continue alors sur une suite de 4 défaites puis un nul face au rival du Werder Brême, sur le plus petit des scores. Lors de la 8e journée le club est déjà en 15e position, a une place des barragistes. Il faut attendre la 11e journée pour voir le club s'imposer 3-1 face au VfB Stuttgart et ensuite une victoire face au TSG Hoffenheim deux journées plus tard. Le club ne gagnera plus de matchs jusqu'à la pause hivernale et ce malgré quelques matchs nuls glanés.
Lors de la 17e journée, le HSV est 17e de Bundesliga et donc premier relégable. Il ne quittera plus cette position de relégable jusqu'à la fin de la saison (exception faite des journées 27 et 28 où il occupe la 18e et dernière place). Finalement, lors des 17 derniers matchs, le club concède neuf défaites, fait quatre nuls, et ne gagne que quatre matchs, effectuant le second pire deuxième tour de la saison avec deux points de plus que le VfL Wolfsbourg. Cependant, le club est relégué sur une victoire 2-1 face au Borussia Mönchengladbach. Le Hambourg SV finit 17e, avec 31 points (15 au premier tour, 16 au deuxième tour), à deux longueurs du barragiste et avec près de 10 points d'avance sur la lanterne rouge 1. FC Cologne.
Conséquences
[modifier | modifier le code]Les conséquences ne se font pas attendre. Quelques minutes avant la fin de la dernière rencontre contre le Borussia Mönchengladbach des fans en colère lancent des fumigènes depuis la tribune nord, provoquant l'intervention des forces de l’ordre sur la pelouse et le retour des joueurs au vestiaires pour une vingtaine de minutes[6]. La tribune nord sera huée par le reste du public pour cette action.
Le match peut se terminer malgré tout, et le Dino est relégué après près de 55 ans de présence dans la meilleure division de football en Allemagne.
En répondant à la relégation, le club change drastiquement son effectif pendant le mercato d'été 2018. Ainsi, dix-huit joueurs, dont quelques cadres comme Nicolai Müller, Dennis Diekmeier ou encore Filip Kostic quittent le club en été. A contrario, la nouvelle équipe de D2 s'appuie principalement sur le centre de formation avec quatorze joueurs venant de l'équipe seconde. Dans cette optique, le club rompt avec l'une de ses traditions de recrutement de gros noms mais se base plus sur des projets de jeux. Avec cette équipe rajeunie, le Hambourg SV a l'équipe la plus jeune de 2.Bundesliga.
Le soutien populaire s’accroît également avec 7 500 abonnements supplémentaires vendus et l'ouverture de la saison dans un Volksparkstadion (57 000 places) à guichets fermés.
Parcours en 2.Bundesliga
[modifier | modifier le code]Saison 2018-2019
[modifier | modifier le code]Pour sa première saison en deuxième division le club connaît de nombreux changements. Avec une moyenne d'âge de 22,7 ans, le HSV aligne la plus jeune équipe professionnelle depuis la création des Bundesliga. Le , le match d'ouverture de la saison se solde par une défaite 0-3 à domicile contre Holstein Kiel. Malgré ce faux départ Hambourg enchaîne avec quatre victoires et se retrouve en tête du classement. Mais lors de la 6e journée le HSV est de nouveau défait dans son stade (0-5) par Ratisbonne, la plus grosse défaite à domicile depuis la création du club. Il s'ensuit quelques mauvais résultats dont un match nul 0-0 dans le derby contre le FC Sankt Pauli. Hambourg se retrouve après dix journées à la cinquième place, l'entraîneur Christian Titz est licencié et remplacé par Hannes Wolf. Hambourg termine la première partie de la saison en enchaînant les victoires et termine l'année comme champion d'automne. Lors de la deuxième moitié de saison le HSV ne connaîtra que deux satisfactions, la victoire 4-0 dans le derby de Hambourg et une demi finale de Coupe d'Allemagne, en championnat à quatre journées de la fin le HSV se retrouve à la 4e place et échouera dans sa mission remontée directe en Bundesliga.
Saison 2019-2020
[modifier | modifier le code]Comme la saison précédente le club passe la majorité de la saison sur une place de promotion, mais échoue à deux journées de la fin et termine de nouveau à la 4e place.
Saison 2020-2021
[modifier | modifier le code]Jamais deux sans trois et comme lors les deux précédentes saisons le club est également bien placé pour la montée et du fait qu'il ait profité de nombreux matchs en retard de ses concurrents, il sera rapidement hors course à l'issue de l'avant dernière journée et devra disputer une quatrième saison dans l'antichambre de l'élite en finissant une nouvelle fois quatrième.
Saison 2021-2022
[modifier | modifier le code]Contrairement aux trois précédentes saisons, Hambourg ne joue pas les premiers rôles et se classe finalement troisième après une phase retour réussie. Il perd en barrages face au Hertha Berlin avec une victoire 1-0 à l'extérieur à l'aller mais une défaite 2-0 à domicile au retour. Le club doit ainsi rester une cinquième saison en 2. Bundesliga[7].
Saison 2022-2023
[modifier | modifier le code]La saison est globalement réussie, et le club termine à la troisième place avec 66 points et la meilleure attaque du championnat[8], à un point seulement du champion, le 1. FC Heidenheim 1846. Malheureusement, lors des barrages d'accessions contre le VfB Stuttgart, l'équipe perd les deux matchs (0-3 ; 1-3)[9] et le club doit rester une sixième saison en 2. Bundesliga.
Saison 2023-2024
[modifier | modifier le code]Après avoir fait partie des favoris, il ne finit que quatrième et entamera une septième saison de suite en 2. Bundesliga.
Palmarès
[modifier | modifier le code]Compétitions nationales | Compétitions internationales |
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Structures du club
[modifier | modifier le code]Infrastructures
[modifier | modifier le code]Stade
[modifier | modifier le code]Entre 1910 et 1963, le club évolue pour ses matchs à domicile au Sportplatz am Rothenbaum, de 27 000 places.
Le Volksparkstadion est depuis 1963 le stade où évolue le Hambourg SV. Le Volksparkstadion est la propriété du club. Le stade connaît plusieurs liftings, à l'occasion de la Coupe du monde 1974 notamment, et en 2000 également. Le Volksparkstadion devient ainsi le sixième stade d'Allemagne en termes de places disponibles, derrière la Veltins-Arena, avec une capacité de 57 274 spectateurs. Il fait également partie des stades allemands évalués par l'UEFA au rang de stades de catégorie 4 (qui a remplacé en 2006 la catégorie « cinq étoiles »).
Utilisant le naming depuis 2001, le stade est renommé HSH Nordbank Arena en 2007, puis Imtech Arena en 2009.
Aspects juridiques et économiques
[modifier | modifier le code]Finances
[modifier | modifier le code]Le cabinet Deloitte place, dans le Deloitte Football Money League 2010, le Hambourg SV comme le onzième club de football du monde en termes de revenus, avec un gain de 146,7 millions d'euros lors de la saison 2008-2009[10], soit quatre places de mieux par rapport à la saison précédente et à la saison 2006-2007[11].
Personnalités du club
[modifier | modifier le code]Effectif professionnel actuel
[modifier | modifier le code]Le premier tableau liste l'effectif professionnel du Hambourg SV pour la saison 2024-2025. Le second recense les prêts effectués par le club lors de cette même saison.
Joueurs | Encadrement technique | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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En grisé, les sélections de joueurs internationaux chez les jeunes mais n'ayant jamais été appelés aux échelons supérieurs une fois l'âge-limite dépassé ou les joueurs ayant pris leur retraite internationale.
Joueurs prêtés | |||||||
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N° | P. | Nat. | Nom | Date de naissance | Sélection | Club en prêt | Contrat |
13 | D | Guilherme Ramos | 05/08/1994 (30 ans) | – | Santa Clara | 2023-2026 | |
- | A | András Németh | 09/11/2002 (21 ans) | Hongrie | Preußen Münster | 2023-2026 | |
- | A | Tom Sanne | 13/04/2004 (20 ans) | Allemagne -19 ans | Hanovre 96 rés. | 2023-2026 |
Joueurs emblématiques
[modifier | modifier le code]- Jörg Albertz
- Dennis Aogo
- Markus Babbel
- Franz Beckenbauer
- Dietmar Beiersdorfer
- Oliver Bierhoff
- Jérôme Boateng
- Jonathan Tah
- Hans-Jörg Butt
- Thomas Doll
- Robert Glatzel
- Jürgen Groh
- Heinz Gründel
- Jimmy Hartwig
- Holger Hieronymus
- Bernd Hollerbach
- Horst Hrubesch
- Ditmar Jakobs
- Marcell Jansen
- Manfred Kaltz
- Rudi Kargus
- Jürgen Kurbjuhn
- Fritz Laband
- Bruno Labbadia
- Felix Magath
- Caspar Memering
- Jürgen Milewski
- Rudolf Noack
- Peter Nogly
- Josef Posipal
- Willi Reimann
- Bastian Reinhardt
- Wolfgang Rolff
- Frank Rost
- Willi Schulz
- Uwe Seeler[14]
- Ulrich Stein
- Piotr Trochowski
- Thomas von Heesen
- Bernd Wehmeyer
- Heiko Westermann
- Rodolfo Cardoso
- Bernardo Romeo
- Vincent Kompany
- Daniel Van Buyten
- Sergej Barbarez
- Hasan Salihamidžić
- Zé Roberto
- Petar Houbtchev
- Yordan Letchkov
- Eric-Maxim Choupo-Moting
- Guy Demel
- Milan Badelj
- Niko Kovač
- Ivica Olić
- Mladen Petrić
- David Jarolím
- Tomáš Ujfaluši
- Lars Bastrup
- Thomas Gravesen
- Stig Tøfting
- Kevin Keegan
- Anthony Yeboah
- Mehdi Mahdavikia
- Naohiro Takahara
- Son Heung-min
- Collin Benjamin
- Khalid Boulahrouz
- Nigel de Jong
- Joris Mathijsen
- Ruud van Nistelrooy
- Rafael van der Vaart
- Paolo Guerrero
- Jan Furtok
- Filip Kostić
- Valon Behrami
- Stéphane Henchoz
- Raphaël Wicky
- Martin Dahlin
- Sergueï Kiriakov
- Tomás Rincón
Entraîneurs
[modifier | modifier le code]Mise à jour le [15].
Entraîneur | Début | Fin | Matchs | Gagnés | Nuls | Perdus | Gagnés % |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Martin Wilke | 42 | 17 | 14 | 11 | 40.4 | ||
Georg Gawliczek | 64 | 25 | 12 | 27 | 39.0 | ||
Josef Schneider | 46 | 16 | 13 | 17 | 34.7 | ||
Kurt Koch | 78 | 33 | 21 | 24 | 42.3 | ||
Georg Knöpfle | 38 | 12 | 12 | 14 | 31.5 | ||
Klaus-Dieter Ochs | 125 | 48 | 29 | 48 | 38.4 | ||
Kuno Klötzer | 162 | 79 | 34 | 49 | 48.7 | ||
Rudi Gutendorf | 18 | 11 | 1 | 6 | 61.1 | ||
Özcan Arkoç | 24 | 8 | 6 | 10 | 33.3 | ||
Branko Zebec | 107 | 67 | 19 | 21 | 62.6 | ||
Aleksandar Ristić | 19 | 9 | 5 | 5 | 47.3 | ||
Ernst Happel | 241 | 132 | 57 | 52 | 54.7 | ||
Josip Skoblar | 22 | 9 | 4 | 9 | 40.9 | ||
Willi Reimann | 85 | 40 | 18 | 27 | 47.0 | ||
Gerd-Volker Schock | 87 | 34 | 24 | 29 | 39.0 | ||
Egon Coordes | 20 | 3 | 9 | 8 | 15.0 | ||
Benno Möhlmann | 109 | 34 | 34 | 41 | 31.1 | ||
Felix Magath | 69 | 28 | 19 | 22 | 40.5 | ||
Ralf Schehr (intérim) | 2 | 1 | 1 | 0 | 50.0 | ||
Frank Pagelsdorf | 173 | 63 | 55 | 55 | 36.4 | ||
Holger Hieronymus (intérim) | 2 | 0 | 1 | 1 | 0.0 | ||
Kurt Jara | 79 | 32 | 21 | 26 | 40.5 | ||
Klaus Toppmöller | 40 | 16 | 6 | 18 | 40.0 | ||
Thomas Doll | 110 | 52 | 24 | 34 | 47.2 | ||
Huub Stevens | 67 | 35 | 19 | 13 | 52.2 | ||
Martin Jol | 53 | 32 | 7 | 14 | 60.3 | ||
Bruno Labbadia (1) | 51 | 22 | 16 | 13 | 43.1 | ||
Ricardo Moniz (intérim) | 3 | 1 | 1 | 1 | 33.3 | ||
Armin Veh | 27 | 12 | 4 | 11 | 44.4 | ||
Michael Oenning | 15 | 2 | 6 | 7 | 13.3 | ||
Rodolfo Esteban Cardoso (intérim 1) | 2 | 1 | 0 | 1 | 50.0 | ||
Frank Arnesen (intérim) | 1 | 1 | 0 | 0 | 100.0 | ||
Thorsten Fink | 70 | 23 | 18 | 29 | 32.9 | ||
Rodolfo Esteban Cardoso (intérim 2) Otto Addo (intérim) |
2 | 1 | 0 | 1 | 50.0 | ||
Bert van Marwijk | 17 | 4 | 3 | 10 | 23.5 | ||
Mirko Slomka | 19 | 4 | 5 | 10 | 21.1 | ||
Josef Zinnbauer | 24 | 6 | 6 | 12 | 25.0 | ||
Peter Knäbel (intérim) | 2 | 0 | 0 | 2 | 0.0 | ||
Bruno Labbadia[16] (2) | 8 | 4 | 2 | 2 | 50.0 | ||
Markus Gisdol | 48 | 14 | 10 | 24 | 29.2 | ||
Bernd Hollerbach | 7 | 0 | 3 | 4 | 0 | ||
Christian Titz | 18 | 9 | 4 | 5 | 50.0 | ||
Hannes Wolf | 28 | 14 | 5 | 9 | 50.0 | ||
Dieter Hecking | 36 | 15 | 12 | 9 | 41.67 | ||
Daniel Thioune | 32 | 14 | 10 | 8 | 43.75 | ||
Horst Hrubesch (intérim) | 3 | 2 | 0 | 1 | 66.67 | ||
Tim Walter | 41 | 21 | 12 | 8 | 51.22 |
Adversaires européens
[modifier | modifier le code]Les équipes en italique n'ont été rencontrées que dans le cadre de la Coupe Intertoto.
- Bayer Leverkusen
- Werder Brême
- Arsenal FC
- Aston Villa
- Fulham FC
- Liverpool FC
- Manchester City
- Nottingham Forest
- Rapid Vienne
- RSC Anderlecht (2x)
- Club Bruges
- Standard de Liège
- CSKA Sofia (2x)
- Litex Lovetch
- Dinamo Zagreb
- Sigma Olomouc (2x)
- Slavia Prague (2x)
- Brøndby IF
- FC Copenhague
- OB Odense
- Randers FC
- Aberdeen
- Celtic (2x)
- St Johnstone
- Deportivo La Corogne
- FC Barcelone
- CA Osasuna
- Valence CF
- Villarreal CF
- Girondins de Bordeaux
- SC Bastia
- EA Guingamp
- Olympique lyonnais (2x)
- AS Monaco (2x)
- Montpellier HSC
- Stade rennais
- AS Saint-Étienne
- Panathinaïkos
- Honvéd Budapest
- Leiftur
- Hapoël Tel-Aviv
- AS Rome
- Inter Milan
- Juventus FC (4x)
- AC Milan
- FBK Kaunas
- Dacia Chișinău
- Pobeda Prilep
- Ajax Amsterdam
- NEC Nimègue
- PSV Eindhoven
- Sparta Rotterdam
- SK Brann
- Viking Stavanger
- Górnik Zabrze
- FC Porto
- União Leiria
- Dinamo Bucarest
- Rapid Bucarest
- Unirea Urziceni
- CSKA Moscou
- Spartak Moscou
- FC Bâle (2x)
- FC Thoune (2x)
- FC Zurich
- MŠK Žilina
- IFK Göteborg
- Galatasaray
- Samsunspor
- Trabzonspor
- FK Dnipro
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « #246 – Hambourg SV : Rothosen », sur footnickname.wordpress.com (consulté le ).
- « #124 – Hambourg SV : der Dino », sur footnickname.wordpress.com (consulté le ).
- Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
- « Hambourg SV - Juventus Turin, Coupe des clubs champions, Finale, Mercredi 25 Mai 1983 », sur lequipe.fr.
- Kompany du devoir, 15 novembre 2011, par Swann Borsellino
- « Bundesliga: Hambourg quitte l'élite après 54 ans », RTS, (lire en ligne, consulté le )
- Le Hertha Berlin bat Hambourg et reste en Bundesliga, dw.com, 25 mai 2022, par Ali Farhat
- (de) « Relegation: Hamburger SV will sich endlich belohnen », sur bundesliga.de - die offizielle Webseite der Bundesliga (consulté le ).
- « https://www.beinsports.com/france/bundesliga/video/barrages-bundesliga-stuttgart-bat-encore-hamb/2107327 », sur beIN SPORTS France, (consulté le ).
- (en) « Real Madrid becomes the first sports team in the world to generate €400m in revenues as it tops Deloitte Football Money League », sur deloitte.com, (consulté le ).
- (en) « Real Madrid remains top of the Football Money League as Sterling’s slide puts brakes on English clubs », sur deloitte.com, (consulté le ).
- Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
- Seule la sélection la plus importante est indiquée.
- Ali Farhat, Charles Alf Lafon, Sophie Serbini et Côme Tessier, « Ils ont marqué le foot allemand, de 10 à 6 », sur SoFoot.com, (consulté le ).
- (de) « Hamburger SV - Trainerhistorie », Kicker.de, 28 septembre 2013..
- « Hambourg : Labbadia nommé au poste d'entraîneur pour les six dernières journées - Foot - ALL - Hambourg », sur lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le ).
Liens externes
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- (de + en) Site officiel
- Ressources relatives au sport :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :