Musée des Arts décoratifs et du Design

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Musée des Arts décoratifs et du Design
L'hôtel de Lalande.
Informations générales
Type
Musée d'art, musée du design (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Ouverture
1925 : « musée d’Art ancien »
1955: « musée des Arts décoratifs »
Visiteurs par an
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Site web
Localisation
Adresse
33, rue Bouffard
33000 Bordeaux, Gironde
 France
Coordonnées
Carte

Le musée des Arts décoratifs et du Design (en abrégé, le MADD ou le MADD-Bordeaux) est un musée situé dans l'hôtel de Lalande, à Bordeaux, en France. À partir de 2023 le musée est fermé pour travaux et assure une programmation hors les murs jusqu'à la réouverture programmée en 2026.

Les collections du musée, mobilier, meubles portuaires, céramique, verrerie, orfèvrerie, instruments de musique et de mesure, miniatures, arts de la table ou objets de l'intime, constituent un exemple des arts décoratifs français, et en particulier bordelais, des XVIIIe et XIXe siècles. Elles sont aussi un témoignage sur l'histoire de Bordeaux, ville des Lumières et grand port de négoce au XVIIIe siècle.

Depuis 2013, le musée des Arts décoratifs et du Design, soutenue par l’équipe culturelle de la ville de Bordeaux, développe une programmation pour faire dialoguer arts décoratifs et design, et pour nourrir la diffusion culturelle et l'éducation en matière de design, associant économie et culture.

Historique du musée[modifier | modifier le code]

Le musée des Arts décoratifs et du Design de Bordeaux est installé dans l'hôtel de Lalande, hôtel particulier du XVIIIe siècle[1].

Du « musée d’Art ancien » au « musée des Arts décoratifs et du Design »[modifier | modifier le code]

En 1924, le corps de logis principal de l'hôtel de Lalande, propriété de la mairie, est libéré pour la création d'un « musée d’Art ancien »[2]. L'hôtel a alors été remeublé dans le goût de la fin du XVIIIe siècle, proposant ainsi un aperçu vivant de l'art de vivre d'une classe sociale privilégiée, au moment de la Révolution française. Quelques séries d'objets d'art appartenant à la ville y sont installées. Le premier conservateur du musée est l'historien Paul Courteault[3]. Le musée est fermé pendant la Seconde Guerre mondiale, puis réaménagé par le directeur des archives municipales Xavier Védère et ouvert le sous le nom de « musée des Arts décoratifs[2]».

Les services de police, relégués dans l'aile des communs à l'ouverture du musée d’Art ancien, quitteront définitivement l'hôtel de Lalande en 1964.

En 2013, Constance Rubini, alors nommée à la direction du musée, sollicite le Haut Conseil des musées de France pour faire évoluer le nom en « musée des Arts décoratifs et du Design », afin de rendre visible la volonté de l'institution de devenir un important lieu de diffusion de la culture du design en France.

En janvier 2023, le musée ferme temporairement aux publics pour permettre la réalisation d'importants travaux de rénovation[4]. La réouverture est prévue au début de l'année 2026, avec une programmation hors les murs assurée pendant toute la durée de la fermeture[5].

Conservateurs et directeurs[modifier | modifier le code]

Conservateurs/directeurs du musée :

  • Paul Courteault, de 1924 à 1948 ;
  • Xavier Védère de 1955 à 1972 ;
  • Jacqueline Du Pasquier, de 1972 à 1999 ;
  • Bernadette de Boysson, de 2000 à 2012 ;
  • Constance Rubini, depuis 2013[6].

L'hôtel de Lalande[modifier | modifier le code]

Histoire de l'hôtel[modifier | modifier le code]

L'hôtel de Lalande et sa cour en demi-lune.

L'hôtel particulier fut bâti en 1778 par l’architecte Étienne Laclotte pour Pierre de Raymond de Lalande[7] (1727-1787), conseiller au parlement de Bordeaux depuis 1747. Riche représentant de la noblesse de robe de Bordeaux, il possédait également, par son mariage avec Jeanne de Lalande-Gayon, dame d’Urtubie, de nombreux esclaves et de vastes plantations de café et de canne à sucre à Saint-Domingue. Les revenus de ces investissements placent les Lalande parmi les premières fortunes de Bordeaux. En 1787, Pierre de Raymond meurt et son fils Jean de Raymond sera guillotiné le .

Sous le Consulat, les héritiers de Jean de Raymond de Lalande louent à la municipalité l'hôtel déserté depuis la Révolution. C'est tout d'abord l'administration centrale de l'octroi qui s'y installe. En 1808, lors du passage à Bordeaux de Napoléon sur la route de l'Espagne, l'Empereur est logé dans l'ancien palais de l'archevêché, tandis que son chef de cabinet et secrétaire d'état, Hugues Bernard Maret, duc de Bassano, est accueilli à l'hôtel de Lalande.

Mise en vente dès 1828, la propriété des héritiers Lalande changera plusieurs fois de mains au cours du XIXe siècle. L'hôtel est tout d'abord acheté par une riche créole de la Martinique, Madame Marthe Gabrielle Budan Asselin, qui possédait également sucrerie, plantation et esclaves à Saint-Domingue. Puis en 1839 par le négociant Jean-Baptiste Duffour Debarbe, qui lèguera ensuite ce bien à son fils, Lodi-Martin Duffour Dubergier, maire de Bordeaux de 1842 à 1848. Curieusement, ces différents propriétaires ne s'installent jamais dans la belle demeure et la louent au gouverneur de la 11e division militaire. À la mort de Duffour Dubergier en 1860, c'est le négociant Antoine Dalléas qui en devient propriétaire, jusqu'à ce que la Ville de Bordeaux acquiert l'hôtel de Lalande en 1878 pour y placer les services de la police et des mœurs[2].

En 1885, à l'arrière de la parcelle, une prison municipale est construite sur l’emplacement du jardin de l’hôtel particulier selon les plans de l'architecte Marius Faget[8]. Ce dépôt de sûreté destiné « aux marins français et étrangers pour faits commis contre la discipline et aux filles qui commettent des infractions aux règlements sur la morale et les bonnes mœurs » est mis en service en .

En 1924, le corps de logis principal de l'hôtel de Lalande est libéré pour la création d'un « musée d’Art ancien »[2]. L'hôtel a alors été remeublé dans le goût de la fin du XVIIIe siècle, proposant ainsi un aperçu vivant de l'art de vivre d'une classe sociale privilégiée, au moment de la Révolution française. Quelques séries d'objets d'art appartenant à la ville y sont installées. Le premier conservateur du musée est l'historien Paul Courteault[3]. Le musée est fermé pendant la Seconde Guerre mondiale, puis réaménagé par le directeur des archives municipales Xavier Védère et ouvert le sous le nom de « musée des Arts décoratifs[2]».

Les services de police, relégués dans l'aile des communs à l'ouverture du musée d’Art ancien, quittent définitivement l'hôtel de Lalande en 1964.

En 2013, Constance Rubini, alors nommée à la direction du musée, sollicite le Haut Conseil des musées de France pour faire évoluer le nom en « musée des Arts décoratifs et du Design », afin de rendre visible la volonté de l'institution de devenir un important lieu de diffusion de la culture du design en France.

Architecture[modifier | modifier le code]

Extérieur[modifier | modifier le code]

La porte cochère en bois avec heurtoir s'ouvre sur une grande cour pavée inscrite dans une demi-lune.

Le corps de logis présente une façade à cinq travées centrales et trois niveaux : le rez-de-chaussée est légèrement surélevé, les combles sont couvertes d'un toit à deux versants et croupes d'ardoises.

Deux extrémités latérales en avant-corps forment les pavillons où sont logés les escaliers. Ils sont décorés de chaînes d'angle à refends, de frontons triangulaires à denticules et de guirlandes de feuilles de chêne retenues par des nœuds de ruban plissé encadrées par deux consoles à imbrications terminées par un effet de passementerie.

Un perron de deux marches donne un effet théâtral de scène[9].

Les boiseries de l'hôtel[modifier | modifier le code]

À l'ouverture du musée d’Art ancien en 1924, le parti-pris muséographique choisi par le conservateur Paul Courteault fut de « restituer les intérieurs de l'époque à l'aide d'une importante collection de meubles et d'objets d'art »[10].

Les panneaux de boiserie de quatre salons d'hôtels particuliers bordelais du XVIIIe siècle qui avaient été démantelés, entassés et acquis par la ville de Bordeaux au début du XXe siècle, furent restaurés et réaménagés par l'architecte en chef Jacques d'Welles au premier étage de l'hôtel de Lalande.

Le salon Vert et le salon des Singeries proviennent de l'hôtel de Gascq, édifié en 1736 par le président au Parlement Antoine de Gascq, rue du Serpolet dans le quartier Saint-Pierre. Il « a donné un très beau salon Régence vert et or et un petit cabinet avec dessus-de-porte décorés de peintures représentant des jeux de singes »[11]. La couleur verte d'origine a été retrouvée sous plusieurs repeints et badigeons. Les artistes anonymes qui ont réalisé meubles et boiseries ont réussi à reproduire dans le bois « la fluidité du mouvement des courbes et contre-courbes architecturales »[12] caractéristiques du style rocaille[13].

Les boiseries du salon Jaune (ou chambre Jonquille) proviennent de l'hôtel particulier du négociant et raffineur de sucre Louis-Hyacinthe Dudevant. Situé 57 rue des Menuts, ce dernier a été transformé en école. De facture néoclassique et finement sculptées, les boiseries présentent des allégories du Commerce, des Sciences, des Arts et de l'Amour. Elles furent exécutées entre 1779 et 1780, sur les plans de Dudevant, par le menuisier Paul Lionais et le sculpteur Delabraise[14].

Le salon Bordelais, le plus noble et le vaste de l'étage, est entouré de boiseries provenant de l'hôtel du cordier et armateur Jean Ravezies (1745-1823). Dans un style Louis XVI tardif, des motifs d'athéniennes et de cassolettes fumantes alternent avec de frêles guirlandes de fleurs au naturel. Elles ont été achetées par la ville de Bordeaux en 1925[15].

L'objectif est de proposer au public une véritable mise en situation en donnant « au visiteur une idée satisfaisante d'un intérieur bordelais à l'époque Louis XVI, qui a marqué l'apogée de l'art décoratif du XVIIIe siècle »[16].

L'ancienne prison de la rue Boulan[modifier | modifier le code]

En 1878, la municipalité de Bordeaux achète l'hôtel de Lalande, également appelé hôtel Dalleas. Le but est de transformer le corps de logis en caserne municipale, pour y installer le service de sureté et des mœurs ; et de construire, sur l'emplacement du jardin, « un dépôt de sûreté destiné aux marins français et étrangers pour faits commis contre la discipline et aux filles qui commettent des infractions aux règlements sur la morale et les bonnes mœurs »[8].

La prison, construite selon les plans de l'architecte de la ville Marius Faget (1833-1916) est mise en service en , et restera en activité jusqu'en 1964. En 1984, l'ancienne prison est réaménagée pour accueillir une salle d'animation, un service technique, et les réserves du musée avec notamment l'ajout de toitures métalliques sur les cinq anciennes cours. En 2016, l'espace de la prison est vidé de ses réserves afin d'étendre la surface du musée ouverte au public. En 2018 et après avoir été inscrit une première fois en 2016, l'hôtel de Lalande et l'ancienne prison municipale sont tous deux classés monuments historiques[17].

Collections[modifier | modifier le code]

Legs et dons[modifier | modifier le code]

  • 1895 : legs Bonie
  • 1945 : legs Georges Périé
  • 1966 : collection Jeanvrot : objets relatifs à la dynastie des Bourbon au XIXe siècle, duchesse de Berry, duc de Bordeaux, etc., et souvenirs de la famille de colons en Guadeloupe, réuni par Raymond Jeanvrot[18]
  • 1970 : don de Marcel Doumézy (faïence fine à Bordeaux au XIXe siècle)[19]
  • 1936 : legs Cruse-Guestier (Georges Guestier et sa femme Marguerite née Cruse)[20]
  • 1969 : legs d'André Lataillade
  • 1978 : dation de céramique bordelaise du XVIIIe siècle[21]
  • 1985 : legs de Pierre de Giovetti
  • 2020 : legs Robert Coustet[22]

Les céramiques maghrébines des legs Bonie (1895) et Périé (1945)[modifier | modifier le code]

Georges Périé (Bordeaux, 1867-1945), avocat à la cour d’appel, élu adjoint au maire de Bordeaux de 1896 à 1900 et conseiller général de 1899 à 1919 fut un grand amateur d’art. Dans son catalogue se trouve une petite section intitulée « Arabie », regroupant des faïences marocaines. Quant au fonds Bonie, il a été constitué par un collectionneur bordelais pendant ses années à la poursuite d'Abdelkader avec les armées de Bugeaud jusqu'aux frontières du Maroc et de la Kabylie : faïences de Fès, nommées dans son inventaire manuscrit « poteries en terre émaillée de couleurs du Maroc », poteries algériennes citées à plusieurs reprises : « double-gargoulette, lampes, vases destinés à renfermer l’eau... en terre peinte fabriqués par des Kabyles » etc.

Les céramiques, provenant de ces deux legs, comprennent des pièces de deux types datant du XIXe siècle : faïences stannifères attribuées au centre de Fès et poteries berbères de Kabylie[23].

Le legs Bonie[modifier | modifier le code]

Copie du testament du 8 janvier 1885.
Copie du testament Bonie du .

Édouard Bonie, né à Marseille le et mort à Bordeaux le , est un avocat français, collectionneur. Il reçoit un héritage important à la mort de son père en 1874 puis de sa mère en 1876 qui lui permettent d'assouvir sa passion et d'aménager une maison-musée au 39, rue d'Albret, dont il fit don à la ville de Bordeaux par testament, legs accepté le .

Dans son testament rédigé le , Édouard Bonie lègue à la ville sa maison et sa collection, à condition de ne pas les dissocier. Il propose son ouverture, payante, au public en limitant le nombre de visiteurs à six par jour. Il interdit l'installation du chauffage et toute reproduction de son œuvre et il demande l'affichage de son nom à l'angle des rues d'Albret et Dufau[24].

La ville accepte le legs le et en prend possession le . Après un afflux de visiteurs et de curieux les premières années, la maison-musée est finalement abandonnée, les collections dispersées et la maison détruite en par des travaux d'urbanisation... dans la rue des Frères-Bonie.

Sa collection est répartie entre trois musées, celui des Arts décoratifs et du Design, celui d'Aquitaine et celui des Beaux-Arts. Quelques éléments sont également conservés dans les salons de la mairie de la ville, au musée Jean-Moulin, aux archives municipales et au château du duc d'Épernon à Cadillac[25].

La collection Jeanvrot[modifier | modifier le code]

Le bordelais Raymond Jeanvrot (1884-1966) était un collectionneur passionné, avec une prédilection pour les derniers rois de France, les duchesses de Berry et d'Angoulême, le duc de Bordeaux, et leurs familles[18]. Il conservait aussi les souvenirs de sa famille maternelle, les Roubeau, installés comme colons et planteurs en Guadeloupe au XVIIIe et XIXe siècles[26].

Composée de 18 000 œuvres (peintures, estampes et objets divers), la collection Jeanvrot entre finalement au musée des Arts décoratifs en deux temps : après une première partie vendue sous la forme d’une rente viagère à la Ville de Bordeaux en 1958, l’ensemble intègre définitivement le musée grâce au legs de 1966. Il faut toutefois attendre 1984, et le réaménagement du musée, pour que la collection Jeanvrot, jusque-là conservée en réserve, soit présentée au public[27].

Principales expositions temporaires[modifier | modifier le code]

Depuis 2017, les principales expositions temporaires ont lieu dans l'ancienne prison, à l'arrière de l'hôtel de Lalande :

  • du au  : Oh Couleurs ! Le design au prisme de la couleur[28] ;
  • du au  : Construction - Martin Szekely[29] ;
  • du au  : Memphis - Plastic Field[30] ;
  • du au  : Playground - Le design des sneakers[31] ;
  • du au  : Paysans designers, l'agriculture en mouvement[32].

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « L'hôtel de Lalande », sur madd-bordeaux.fr, (consulté le )
  2. a b c d et e Mairie de Bordeaux, « L'histoire du musée des Arts décoratifs », sur bordeaux.fr (consulté le ).
  3. a et b Robert Coustet, « Musée des Arts décoratifs » [archive du ], sur musees-aquitaine.com (association Le Festin) (consulté le ).
  4. « Bordeaux : le Musée des arts décoratifs et du design se métamorphose », sur Le Figaro, (consulté le )
  5. « Métamorphose du musée des Arts décoratifs et du Design, Bordeaux » Accès libre [PDF] (dossier de presse), (consulté le )
  6. Christophe Loubes, « Nouvelles synergies », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  7. « Généalogie de Pierre de Raymond de Lalande », sur geneanet.org (consulté le )
  8. a et b « L'hôtel de police et la prison », sur madd-bordeaux.fr, (consulté le ) , dont lien de téléchargement d'un livret illustré de vingt-six pages : « Prison municipale de la rue Boulan » [PDF], sur madd-bordeaux.fr (consulté le ), p. 1-26.
  9. « L'architecture de l'hôtel de Lalande », sur bordeaux.fr (consulté le ).
  10. Caroline François et Aloys Klaeylé et Béatrice de Andia (dir.), Les Musées parisiens : histoire, architecture et décor, Action artistique de la ville de Paris, (ISBN 2-913246-49-4, BNF 39162423).
  11. Paul Courteault, Le musée d’Art ancien de la ville de Bordeaux, La Renaissance, juillet 1931, p. 205.
  12. Bernadette de Boysson, Musée des Arts décoratifs de Bordeaux : hôtel de Lalande, Somogy (Paris) et musée des Arts décoratifs de Bordeaux, (ISBN 2-85056-912-7, BNF 40084933).
  13. « Boiseries du salon de l'hôtel de Gascq », sur madd-Bordeaux,
  14. Louis Desgraves, Évocation du vieux Bordeaux, Paris, Les Éditions de minuit, nc, 446 p.
  15. Musée des Arts décoratifs et du Design de Bordeaux, « L'hôtel de Lalande : livret de visite » [PDF],
  16. Au musée d’Art ancien, La France, 31 décembre 1936.
  17. Notice no PA33000203, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  18. a et b Jacqueline Du Pasquier, Raymond Jeanvrot, une passion royaliste, Bordeaux, musée des Arts décoratifs, , 223 p. (ISBN 978-2-7572-0092-6)
  19. « La faïence à Bordeaux au XIXe siècle », sur madd-Bordeaux,
  20. Bibliothèques municipales de Grenoble, « Exposition. Bordeaux, musée des Arts décoratifs », sur catalogue.bm-grenoble.fr, .
  21. « Musée des Arts décoratifs et du Design », sur pop.culture.gouv.fr
  22. « Extrait du registre des déclarations du conseil municipal de Bordeaux : Séance du jeudi 23 juillet 2020 D - 2020 / 176 » Accès libre [PDF], (consulté le )
  23. Catherine Le Taillandier de Gabory 2002, p. 45.
  24. Hiénart, Patrimoines, p. 106.
  25. Magali Simon 1995, vol. I, p. 69.
  26. Yves Boyer-Vidal, « La famille Roubeau de Guadeloupe dans les archives de Bordeaux », sur ghcaraibe.org, G.H.C. Bulletin 108, , p. 2334
  27. « Les collections Jeanvrot », sur madd-Bordeaux,
  28. « Oh couleurs ! », sur madd-bordeaux.fr,
  29. « Construction - Martin Szekely », sur madd-bordeaux.fr,
  30. « Memphis - Plastic Field », sur madd-bordeaux.fr,
  31. « Playground - Le design des sneakers », sur madd-bordeaux.fr,
  32. « Paysans designers, l'agriculture en mouvement », sur madd-bordeaux.fr,

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Denis Picard, Musées : L'ère du renouveau, revue Connaissance des arts, numéro spécial Bordeaux, 1989, pages 34-35.
  • Anne Liénard, Une histoire du musée Bonie. Conception, destruction, restitution ? in patrimoines, revue de l'Institut national du patrimoine, 2014, no 10, pages 102-109.
  • Florence Barutel, Au fil de l'histoire des musées de Bordeaux. Des premiers antiques au musée d'Aquitaine. Éditions Entre-deux-Mers, 2015, pages 245-253.
  • Paul Courteault, Le musée Bonie, Bordeaux 1930
  • Gaston Chevrou et Paul Courteault, À la Mémoire du Saintongeais Élie Vinet, principal du collège de Guyenne, 1509-1587 : fête du quatre-centième anniversaire de la naissance d'Élie Vinet, célébrée à Barbezieux, le 16 mai 1909 : compte-rendu, mémoires et documents concernant Vinet et Barbezieux, vol. LXXVII, Barbezieux, , 247 p. (lire en ligne), chapitre V (pages 90-122).
  • E. Féret, Statistiques de la Gironde, 1878.
  • Jean-Yves Boscher (et al), Histoire et ethnographie régionale : l'Aquitaine de 1715 à nos jours, Bordeaux 1986.
  • Magali Simon (sous la direction de Robert Coustet), Le musée Bonie, une collection bordelaise au XIXe siècle : mémoire d'histoire de l'art, Université Michel de Montaigne-Bordeaux III UFR Lettres et Arts, , en trois tomes. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Catherine Le Taillandier de Gabory, « La collection de céramiques maghrébines du musée des Arts décoratifs de Bordeaux », Sèvres, no 11,‎ , p. 43-51 (lire en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]