Guîtres

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Guîtres
Guîtres
En bordure de l'Isle, Guîtres et son abbatiale.
Blason de Guîtres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Libournais
Maire
Mandat
Hervé Alloy
2020-2026
Code postal 33230
Code commune 33198
Démographie
Gentilé Guitrauds
Population
municipale
1 622 hab. (2021 en augmentation de 0,68 % par rapport à 2015)
Densité 323 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 31″ nord, 0° 11′ 07″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 70 m
Superficie 5,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Libourne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Libournais
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Guîtres
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Guîtres
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Guîtres
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Guîtres

Guîtres est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Guitrauds[1].

La ville doit son nom au latin Aquistriae (trois eaux) car elle est traversée par trois cours d'eau, l'Isle et ses deux affluents, le Lary et le Galostre.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Située dans le nord de la Gironde, Guîtres est une des principales villes du Pays Gabay, à la limite de l'influence de la langue d'oc en Grande Gavacherie. Elle domine la vallée de l'Isle et est située à 3 km à l'ouest de Coutras.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bayas, Coutras, Lagorce, Sablons et Saint-Martin-de-Laye.

Communes limitrophes de Guîtres
Bayas Lagorce
Saint-Martin-de-Laye Guîtres Coutras
Sablons
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Lary à Guîtres

Guîtres est situé sur la rive droite de l'Isle, affluent de la Dordogne à sa confluence avec le Lary et le Galostre donc les trois derniers kilomètres séparent Guîtres de Saint-Martin-de-Laye.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 887 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 17 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Guîtres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (58,4 %), zones urbanisées (16,8 %), prairies (11,7 %), eaux continentales[Note 3] (5,9 %), cultures permanentes (5,8 %), forêts (1,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Guîtres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lary. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1993, 1994, 1999, 2000 et 2009[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Guîtres.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 718 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 718 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2012 et 2017, par des mouvements de terrain en 1999 et par des glissements de terrain en 1993 et 1994[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 4] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[21]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Guîtres est une seigneurie indépendante depuis le XIIe siècle.

La bulle de 1171 du Pape Alexandre III, cite les édifices religieux de Chamadelle, Les Peintures, Porchères, Le Fieu, parmi ceux donnés à l'abbaye de Guîtres.

Lors de la guerre de Cent Ans, la contrée fut dévastée au point d’avoir la majorité de ses paroisses dites "désertées ou vacantes" de 1360 à 1410 environ. L'apport d'une population des régions septentrionales voisines, Saintonge, Poitou, Vendée, redynamisa alors le territoire qu'on appela "Pays Gabay".

En 1548, les paysans de Guîtres se sont révoltés contre la gabelle.

La ville a été le siège des huguenots en 1587.

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Guitre.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Guîtres Blason
D’azur au puits de Beliste dit Henry IV, recouvert en dôme d'argent, maçonné de sable et ouvert du champ, posé sur une terrasse cousue de gueules[23].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1835 1840 Jean-Baptiste Denieau    
         
1842 1848 François Mauget    
1848 1852 Jules-Auguste Hovyn de Tranchère    
1853 1860 Pierre Lartigue    
1860 1864 Jehan Madeleine Largeteau    
         
1892 1898 Ernest Malescot    
1898 1904 Pierre Volmy Gesdon    
         
1945 1947 Eugène Barbaron    
         
1967 1989 Blanche Gonon    
1989 1991 Jean Aviotte    
1991 1995 Bernard Ducassou    
1995 2001 Louis Bureau    
mars 2001 2020 Francis Péjean PS Retraité de l'enseignement
2020 En cours Hervé Alloy    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 1 622 habitants[Note 5], en augmentation de 0,68 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0029331 1081 3341 2701 2821 2561 3241 287
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3701 3721 4001 4841 4031 4671 4901 5431 442
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4811 4421 3671 1981 2131 2511 2121 1571 244
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2421 2791 3571 3771 4031 4781 5321 6821 585
2021 - - - - - - - -
1 622--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 1 622 habitants[Note 5], en augmentation de 0,68 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0029331 1081 3341 2701 2821 2561 3241 287
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3701 3721 4001 4841 4031 4671 4901 5431 442
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4811 4421 3671 1981 2131 2511 2121 1571 244
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2421 2791 3571 3771 4031 4781 5321 6821 585
2021 - - - - - - - -
1 622--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 781 hommes pour 804 femmes, soit un taux de 50,73 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,06 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,8 
5,6 
75-89 ans
8,7 
15,3 
60-74 ans
16,9 
20,6 
45-59 ans
21,8 
19,8 
30-44 ans
19,2 
15,7 
15-29 ans
15,1 
22,7 
0-14 ans
16,6 
Pyramide des âges du département de la Gironde en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,9 
6,5 
75-89 ans
8,7 
15,6 
60-74 ans
16,7 
19,9 
45-59 ans
19,4 
19,9 
30-44 ans
19,2 
19,5 
15-29 ans
18,3 
17,9 
0-14 ans
15,8 

Gare et musée ferroviaire[modifier | modifier le code]

L'ancienne gare de Guîtres, construite en 1874 par la Compagnie des Charentes, puis reprise par les chemins de fer de l'État et la SNCF, est maintenant la propriété de la commune qui en a confié la gestion à L'Association des Amis du Chemin de Fer de la Vallée de l'Isle. Elle est utilisée par le train touristique de Guîtres à Marcenais exploité sur une ancienne voie. Le fonctionnement est assuré par des bénévoles. Les locomotives fonctionnent soit à la vapeur, soit au diesel.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'abbatiale Notre-Dame[32],[33] : ancienne église d'une abbaye de moines bénédictins détruite en 1774 et dont il ne reste plus que l'abbatiale, classée au titre des monuments historiques depuis 1901[34]. Le chœur, le transept et la partie orientale de la nef, de style roman, datent du XIIe siècle[35]. Le portail ouest et la partie occidentale de la nef sont des XIIIe et XIVe siècles alors que le clocher actuel remonte à 1850[35]. En 1973, l’abbé Paul Haverlan rassemble un groupe de réflexion afin d'équiper l'abbatiale d'un grand orgue. La société nantaise Beuchet-Debierre, pour laquelle travaille Martin Haverlan (frère de l'abbé), est choisie pour réaliser les travaux. Ceux-ci auront lieu de 1975 à 1978 pour la première tranche (inauguration le par l'organiste Philippe Lefebvre) et en 1986 pour la deuxième tranche (inaugurée par l'organiste Jean Guillou).
  • Le puits Henri IV, datant des XVIe et XVIIe siècles, est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1956[36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Antoine Jay (1770-1854), homme de lettres, journaliste, historien et homme politique, est né à Guîtres
  • Nicolas Claude Fabri de Peiresc (1580-1637), savant, littérateur et jurisconsulte, fut abbé commendataire de Guîtres[37].
  • Roger Thabault (1895-1979), pédagogue français, instituteur, inspecteur primaire, inspecteur d'académie à Bordeaux, directeur général de l'Enseignement au Maroc de 1945 à 1955, inspecteur général. Résidence d'été à Guîtres.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de l'Allemagne Schladen (Allemagne) depuis 1994[38].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • André Godin, Histoire de la ville et du canton de Guîtres ; revue et complétée par J. Hovyn de Tranchère. - [Reproduction en fac-similé] - Paris : le Livre d'histoire, impr. 2006 (02-Autremencourt : Impr. Lorisse). - 1 vol. (247 p.) : couv. ill. en coul. ; 20 cm. - (Monographies des villes et villages de France, ISSN 0993-7129; 2485).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[20].
  5. a et b Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Nom des habitants de Guîtres sur habitants.fr, consulté le 19 janvier 2013.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Guîtres et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Guîtres », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Guîtres », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Article R214-112 du code de l’environnement
  21. « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  23. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
  24. a et b L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Guîtres (33198) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Gironde (33) », (consulté le ).
  32. L'abbatiale de Guîtres sur le site Les amis de l'abbatiale de Guîtres
  33. Abbatiale Notre Dame de Guîtres sur le site Patrimoine au Pays de Guîtres
  34. « Église Notre-Dame », notice no PA00083568, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 juin 2012.
  35. a et b Panneau d'information du P.S.O. du Libournais, apposé contre le mur nord de la nef
  36. « Puits Henri IV », notice no PA00083569, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 juin 2012.
  37. Monument à la mémoire de Peiresc à Belgentier
  38. « Jumelage(s) de Guîtres », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le ).