Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans
Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans | |
Idéologie | Salafisme djihadiste |
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Objectifs | Instauration d'un califat régi par la charia |
Statut | Actif |
Fondation | |
Date de formation | |
Origine | Fusion d'Ansar Dine, d'AQMI au Sahel, de la katiba Macina et de la katiba Al-Mourabitoune |
Actions | |
Mode opératoire | Lutte armée, guérilla, attentat-suicide, prise d'otages |
Zone d'opération | Mali, Niger, Burkina Faso |
Période d'activité | - en cours |
Organisation | |
Chefs principaux | • Iyad Ag Ghali • Djamel Okacha (tué en 2019) • Mokhtar Belmokhtar (présumé tué en 2016) • Amadou Koufa • Abou Hassan al-Ansari (tué en 2018) • Sedane Ag Hita • Ba Ag Moussa (tué en 2020) • Jafar Dicko |
Membres | 5 000 à 6 000[1] |
Allégeance | Al-Qaïda Émirat islamique d’Afghanistan[2] |
Groupe relié | Al-Qaïda au Maghreb islamique |
Répression | |
Considéré comme terroriste par | Mali, États-Unis, France, Canada[3] |
Insurrection djihadiste au Burkina Faso Guerre du Sahel |
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Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (en abrégé GSIM ; en arabe : جماعة نصرة الإسلام والمسلمين, Jamāʿat nuṣrat al-islām wal-muslimīn, JNIM) est une organisation militaire et terroriste, d'idéologie salafiste djihadiste, formée le pendant la guerre du Mali. Il naît de la fusion d'Ansar Dine, des forces d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) dans le Sahel, de la katiba Macina et de la katiba Al-Mourabitoune.
Le groupe est responsable de plusieurs attaques et attentats terroristes dont l'attaque la plus meurtrière de l'histoire du Burkina Faso, le 24 août 2024 à Barsalogho, où les djihadistes tuent plusieurs centaines de civils.
Fondation
[modifier | modifier le code]Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans annonce sa formation dans un document vidéo transmis le à l'agence de presse mauritanienne Agence Nouakchott Information (ANI) et diffusé le lendemain[4],[5]. Plusieurs chefs djihadistes apparaissent dans cette vidéo : Iyad Ag Ghali, l'émir d'Ansar Dine ; Djamel Okacha, l'émir d'AQMI au Sahara ; Amadou Koufa, l'émir de la katiba Macina ; Abou Hassan al-Ansari, l'adjoint de Mokhtar Belmokhtar, émir de la katiba Al-Mourabitoune ; et Abou Abderrahman El Senhadji le qadi d'AQMI[6],[7],[8]. Ces derniers annoncent leur rassemblement dans une seule structure et prêtent allégeance à Ayman al-Zawahiri, l'émir d'al-Qaïda ; à Abdelmalek Droukdel, l'émir d'AQMI ; et à Haibatullah Akhundzada, l'émir des talibans[6],[4]. Iyad Ag Ghali est désigné comme le chef de ce mouvement[4].
Ces organisations djihadistes étaient déjà étroitement liées avant leur fusion et s'étaient coordonnées dans diverses opérations[9],[5]. Par cette annonce, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans cherche à s'afficher comme un groupe puissant et à contrer l'influence de l'État islamique[9],[5].
Organisation
[modifier | modifier le code]Commandement
[modifier | modifier le code]À sa fondation, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans est dirigé par Iyad Ag Ghali, tandis que Djamel Okacha est le commandant en second[4],[10]. Okacha est tué le lors du combat d'Elakla[11]. Abou Yehyia al-Djaizari lui succède, mais il est mortellement blessé en à l'attaque de Bamba[12]. Sedane Ag Hita devient alors le nouveau numéro 2 du GSIM[13].
Fin 2020, l'armée française présente Ba Ag Moussa comme le « chef militaire » du GSIM[14]. Ce dernier est tué lors d'une opération dans la région de Ménaka le [14].
Malick Ag Wanasnat, ancien colonel de l'armée malienne et proche lieutenant d'Iyad Ag Ghali, est tué par l'armée française le 14 février 2018, lors du combat d'Inaghalawass[15].
Les forces du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans sont divisées en plusieurs katiba, dont les plus importantes sont :
- La katiba Macina, commandée par Amadou Koufa
- La Katiba Al-Mourabitoune, commandée par Mokhtar Belmokhtar (?), secondé par Abou Hassan al-Ansari (tué le )[7],[16],[17]
- La katiba dite du « Gourma », commandée par Al-Mansour Ag Alkassim (tué le 11 ou )[18],[19],[20]
- La katiba Serma[21].
Au début des années 2020, les principaux chefs du GSIM après Iyad Ag Ghali et Sedane Ag Hita sont les suivants :
- Région de Tombouctou et région de Kidal : Abderrahmane Talha, dit Talha al-Libi ; Abdallaye Ag Albaka, ancien maire de Tessalit ; Abdorrahmane Zaza, dit Abdorrahmane Al-Targui[22].
- Région de Ménaka : Faknan Ag Taki[22].
- Région de Gao : Himmama Ould Lekhweir, dit Hamza al-Tabankorti, ancien membre d'al-Mourabitoune[22].
- Région de Mopti et région de Ségou : Amadou Koufa[22].
- Gourma malien et Burkina Faso : Salem Ould Breihmatt ou Mohamed Salem Ould Mbarek dit Abou Hamza Al-Chinguetti et Jafar Dicko, chef d'Ansarul Islam[22].
Le cadi du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, Ali Maychou, dit « Abou Abderrahmane Es-Sanhadji » ou « Abou Abderrahmane al-Maghrebi », est tué au Mali par les forces françaises dans la nuit du 8 au [23],[24],[25],[26]. Zineidine Ag Biga et Houka Houka Ag Alhousseini, dit Houka Houka, deviennent ensuite les principaux cadis du GSIM[22].
Le , le commandant du GSIM d'Intillit, Iliassou Amadou Moussa, est capturé et exécuté par l'État islamique au Sahel[27].
Le , le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans annonce le ralliement du colonel Houssein Ghoulam, chef d'état-major du Mouvement arabe de l'Azawad (MAA), à sa cause[28],[29].
Effectifs
[modifier | modifier le code]Fin 2017, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans compte un peu plus de 500 hommes selon les services de renseignements français[30]. En , Le Figaro évoque pour sa part 2 000 hommes d'après ses sources, en précisant que ces effectifs seraient en baisse par rapport à l'année précédente[31]. En 2024, un rapport de l'ONU donne une estimation de 5 000 à 6 000 combattants, dont 3 000 pour la katiba Macina[1]
Actions
[modifier | modifier le code]Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans revendique notamment l'attaque de Boulikessi, menée le [32],[33] ; une deuxième attaque contre la même localité le [34] ; la mort d'un soldat français dans la forêt de Fhero, le [35] ; l'attaque de Gourma-Rharous du [36], l'embuscade de Dogofry du [37], l'attentat de Kangaba, le [38], l'attaque de Soumpi du [39], l'attaque de Tombouctou du [40], l'attaque de Ber du [41], l'attaque de Dioura du [42] et l'attaque de Boulikessi du au [43].
L'attaque de Midal, menée le , est la première revendiquée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans au Niger[44].
Au Burkina Faso, le GSIM est suspecté d'être à l'origine de l'attentat de Ouagadougou du [45], tandis qu'il revendique l'attaque de Ouagadougou du [46] et l'embuscade de Loroni du [47].
En Côte d'Ivoire, dans la nuit du 9 au , des djihadistes du GSIM attaquent un poste de l'armée et de la gendarmerie ivoiriennes à Kafolo, près de la frontière avec le Burkina Faso. Il s'agit alors de la première attaque djihadiste en Côte d'Ivoire depuis l'attentat de Grand-Bassam en 2016.
En juillet 2024, un rapport de l'ONU note que les actions du GSIM sont particulièrement violentes au Burkina Faso : « Les cellules présentes opèrent indépendamment du commandement central de JNIM et certaines se livrent à des actes de violence extrême à l’encontre des populations civiles, ce qui contraste avec la politique générale du groupe qui consiste à limiter les exactions contre ces mêmes populations »[1].
Fin août 2024, le groupe revendique notamment l'attaque de Barsalogho, le massacre le plus meurtrier de l'histoire du Burkina Faso, où environ 300 à 400 civils trouvent la mort[48].
Le 17 septembre, une série d'attaques ont lieu dans plusieurs endroits de Bamako, tuant plus de 77 personnes et en blessant 255 autres. Le groupe revendique la responsabilité[49].
Financements
[modifier | modifier le code]Selon une étude réalisée en 2019 par l'Institut d'études de sécurité (ISS Africa), les groupes djihadistes sahéliens s'autofinancent grâce à des trafics locaux, comme le trafic d'armes, à une forme d'impôt sur le bétail et à l'exploitation artisanale de l'or[50].
Otages
[modifier | modifier le code]Dans la nuit du au , le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans publie une vidéo sur les six otages occidentaux qu'il retient[51],[52],[53] : Stephen Malcolm McGown, de nationalité britannique et sud-africaine, enlevé le à Tombouctou au Mali[54] ; l'Australien Ken Elliott, enlevé le à Djibo, au Burkina Faso[55] ; le Roumain Iulian Gerghut, enlevé le à Tambao, au Burkina Faso[56] ; la Suissesse Béatrice Stockly, enlevée le à Tombouctou[57] ; la Colombienne Gloria Cecilia Narvaez Argoti, enlevée le à Koutiala, dans le sud du Mali[58] ; et la Française Sophie Pétronin, enlevée le à Gao, au Mali[59]. Stephen McGown est libéré le [60].
Béatrice Stockly aurait été tuée par balle en [61], peut-être à la suite d'une bavure commise par un de ses gardes[62]. Son corps est retrouvé et identifié en [63].
L'homme politique malien Soumaïla Cissé, Sophie Pétronin, le prêtre italien Pier Luigi Maccalli (enlevé en 2018) et Nicola Chiacchio (également de nationalité italienne, enlevé en ) sont relâchés par les djihadistes le en échange d'une rançon et de la libération d'environ 160 à 200 prisonniers, mais dont la plupart ne seraient pas des combattants[64],[65],[66].
La religieuse colombienne Gloria Cecilia Narvaez Argoti est quant à elle libérée le [67].
En , le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans diffuse également une vidéo montrant onze militaires maliens faits prisonniers entre et [68],[69],[70]. Cependant, le , le groupe djihadiste affirme que tous ses prisonniers ont été tués dans la nuit du 23 au par un bombardement de l'armée française, lors du combat de Tin Biden[71].
Le 5 mai 2021, le GSIM diffuse une vidéo montrant le journaliste Olivier Dubois, enlevé le 8 avril à Gao[72]. Celui-ci est libéré le 20 mars 2023[73].
Le 9 août 2023, le gouvernement roumain annonce la libération de Iulian Ghergut[74].
Désignation comme organisation terroriste
[modifier | modifier le code]Le , le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans est placé sur la liste des organisations considérées comme terroristes par le département d'État des États-Unis[75].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Célian Macé, «Cette vidéo est censée situer le Sahel sur la carte du jihad global», Libération, .
- Mohamed Fall Oumère, De la naissance d’un nouveau « djihadistan » au Sahel, Le Monde, .
Vidéographie
[modifier | modifier le code]- [vidéo] Les jihadistes du Sahel annoncent leur union dans une nouvelle formation - Sommet du jihadisme Mali, France 24, .
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « S/2024/556 », sur undocs.org (consulté le )
- « Analysis: Al Qaeda groups reorganize in West Africa »
- Zone Politique- ICI.Radio-Canada.ca, « 13 groupes s'ajoutent à la liste canadienne des entités terroristes », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
- Jules Crétois, « Fusion de groupes jihadistes au Sahel, sous la bannière d’Al-Qaïda », Jeune Afrique,
- Madjid Zerrouky, « Les groupes djihadistes s’unissent au Sahel », Le Monde,
- « Les groupes terroristes du Nord Mali se réunifient avec Iyad Ag Ghaly comme Leader », malijet.com,
- Mohamed Fall Oumère, « De la naissance d’un nouveau « djihadistan » au Sahel », Le Monde,
- Benjamin Roger, « Mali : Nord cherche État désespérément », Jeune Afrique,
- Tanguy Berthemet, « Trois groupes djihadistes sahéliens s'unissent », Le Figaro,
- Benjamin Roger, « Mali : Amadou Koufa, le visage peul d’Al-Qaïda », Jeune Afrique,
- Pierre Alonso et Célian Macé, « Au Mali, l'armée française tue un «historique» d'Al-Qaeda », Libération,
- « Mali : la mort du chef jihadiste Abou Yehya Aljazairi confirmée », Nord Sud Journal,
- David Baché, Marie-Pierre Olphand et Pierre Firtion, « Assassinat de G. Dupont et C. Verlon: Seidane Ag Hitta, l’ascension du présumé commanditaire », RFI,
- Nathalie Guibert, « La France annonce la mort d’un haut responsable djihadiste lié à Al-Qaida au Mali », Le Monde,
- « Mali : un proche d’Iyad Ag Ghali tué dans un raid de Barkhane à la frontière algérienne », Jeune Afrique, (consulté le )
- « Un groupe djihadiste revendique la double-attaque de Ouagadougou », Le Figaro,
- « Ouagadougou: qui est Hassan al-Ansari, tué dans un raid français en février? », RFI,
- « BARKHANE : la force Barkhane met hors de combat un groupe terroriste au Mali. », Ministère des Armées,
- VOA avec AFP, « 7 djihadistes tués au Mali dans un raid français de Barkhane »,
- « Le chef de la faction Al-Mansour Ag Alkassim visé dans un raid de Barkhane », RFI,
- « Mali: qui est la katiba Serma, cible d'une opération antiterroriste? », RFI,
- Les lieutenants du chef jihadiste malien Iyad Ag Ghali, « l’ennemi public numéro un », Jeune Afrique, 31 juillet 2023.
- Franceinfo avec AFP, « Paris annonce la mort d'Ali Maychou, important chef jihadiste au Sahel », France Télévisions,
- Manon Aublanc, « Mali : Qui est Ali Maychou, le chef djihadiste tué par les forces françaises ? », 20 Minutes,
- « France: la ministre des Armées annonce la mort d'un chef jihadiste au Mali », RFI,
- « Mali: qui était Ali Maychou, jihadiste tué par les forces françaises au Sahel? », RFI,
- « Mali : les jihadistes frappent aux portes de Kati, cœur du pouvoir malien », France 24, (consulté le )
- (ar) « جماعة نصرة الإسلام والمسلمين في تمبكتو تعلن انضمام القائد العسكري حسين غلام إليهم » [« Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans de Tombouctou annonce l'arrivée du commandant militaire Houssein Ghoulam »], sur African Percentions -, (consulté le )
- David Baché, « Mali: un chef militaire des rebelles du CSP rallie les jihadistes du Jnim », RFI, (consulté le )
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- Adam Arroudj, « Sahel: la reddition d'un chef d'Aqmi affaiblit les djihadistes », Le Figaro,
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- « Les jihadistes du GSI déstabilisent le centre du Mali », RFI,
- AFP, « Mali: un groupe jihadiste revendique l'attaque fatale à un soldat français », L'Express,
- « Mali: le camp militaire de Gourma Rharous attaqué par des terroristes », RFI,
- « Le groupe de Iyad revendique l’embuscade contre l’armée malienne près de Nampala causant la mort de 9 militaires », Kibaru,
- « Mali: l'alliance jihadiste du Sahel liée à el-Qaëda revendique l'attaque près de Bamako », AFP,
- « Le groupe lié à Al-Qaïda « JNIM » publie une production vidéo de haute qualité », Kibaru,
- « Mali: le GSIM revendique l'attaque contre le camp de la Minusma et de Barkhane », RFI,
- « Mali : un groupe djihadiste revendique l'attaque contre les casques bleus à Tombouctou », Xinhua,
- « Mali: le groupe jihadiste GSIM revendique l’attaque contre l’armée », RFI,
- « Mali: le groupe jihadiste GSIM revendique les attaques de Boulkessi et Mondoro », RFI,
- « Niger: la coalition terroriste d’Iyad Ag Ghali revendique l’attaque de Midal », RFI,
- Morgane Le Cam, « Pourquoi l’attentat de Ouagadougou n’a-t-il pas été revendiqué ? », Le Monde,
- AFP, « Ouagadougou : le groupe djihadiste GSIM revendique les attaques », Le Point, (lire en ligne)
- (en) « JNIM claims ambush in Burkina Faso », The Long War Journal,
- Morgane Le Cam, Le Burkina Faso a subi l’attaque terroriste la plus meurtrière de son histoire, lemonde.fr, 28 août 2024
- « Mali: plus de 70 morts dans les attaques djihadistes à Bamako », sur Le Figaro, (consulté le )
- Christophe Boisbouvier, « Sahel : «Aujourd'hui, les jihadistes se financent localement» », RFI,
- Le Monde avec AFP et Reuters, « Une vidéo met en scène six otages au Sahel, dont la Française Sophie Pétronin »,
- « Otages au Sahel: une coalition terroriste publie une vidéo à l’heure du G5 Sahel », RFI,
- Célian Macé, « Vidéo d'otages d'Al-Qaeda : défi ou appel du pied ? », Libération,
- « Encore trois otages étrangers détenus au Mali », RFI,
- France 24 avec AFP, « Les deux Australiens enlevés au Burkina Faso sont "entre les mains d'Aqmi" »,
- « Le groupe jihadiste Al-Mourabitoune affirme détenir un Roumain enlevé au Burkina en avril », AFP,
- France 24 avec AFP, « Une ressortissante suisse enlevée à Tombouctou »,
- « Une religieuse catholique colombienne enlevée dans le sud du Mali », RFI,
- « Au Mali, incertitude sur le sort de l’humanitaire Sophie Pétronin », Le Monde,
- AFP, « Libération du Sud-Africain enlevé au Mali par Al-Qaïda en 2011 », Le Point,
- Franceinfo avec AFP, « Mali : l'otage suisse "tuée par des terroristes" était une missionnaire enlevée quatre ans plus tôt », France Télévisions,
- Ian Hamel, « L'otage suisse exécutée au Mali aurait été victime d'une bavure », Le Point,
- « Le corps de l’ex-otage suisse Béatrice Stöckli, tuée au Mali, a été identifié », sur letemps.ch,
- Le Monde avec AFP, « L’ex-otage française Sophie Pétronin est arrivée en France après sa libération au Mali »,
- « En libérant Sophie Pétronin, "la junte malienne va pouvoir négocier diplomatiquement" avec la France » [vidéo], France 24,
- Simon Petite, « Le prix de la libération des otages au Mali », Le Temps,
- France 24 avec AFP, « Mali : une religieuse colombienne libérée après plus de quatre ans de captivité »,
- Benjamin Roger, « Mali : onze militaires retenus en otage apparaissent dans une vidéo », Jeune Afrique,
- « Mali: des nouvelles de 11 otages maliens diffusées dans une vidéo », RFI,
- « Mali: la principale coalition terroriste multiplie les opérations de propagande », RFI,
- « Mali: une opération de Barkhane a-t-elle coûté la vie à des soldats maliens? », RFI,
- Nicolas Barotte, « Un journaliste français enlevé au Mali par un groupe terroriste affilié à al-Qaida au Maghreb islamique », Le Figaro,
- Olivier Dubois, dernier otage français dans le monde, a été libéré, France 24, 20 mars 2023.
- Burkina Faso : Iulian Ghergut, otage roumain détenu au Sahel depuis 2015, a été libéré, Le Monde avec AFP, 9 août 2023.
- VOA avec AFP, « La principale alliance jihadiste du Sahel sur la liste noire américaine »,