Grisy-les-Plâtres

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Grisy-les-Plâtres
Grisy-les-Plâtres
La mairie.
Blason de Grisy-les-Plâtres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC Vexin Centre
Maire
Mandat
Catherine Carpentier
2020-2026
Code postal 95810
Code commune 95287
Démographie
Gentilé Grisyliens
Population
municipale
702 hab. (2021 en augmentation de 5,88 % par rapport à 2015)
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 08′ 00″ nord, 2° 03′ 00″ est
Altitude 158 m
Min. 67 m
Max. 185 m
Superficie 7,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pontoise
Législatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Grisy-les-Plâtres
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Grisy-les-Plâtres
Liens
Site web https://www.grisylesplatres.fr/

Grisy-les-Plâtres Écouter est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Grisyliens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Ce village du Vexin français s'adosse au versant ensoleillé de la colline du Moulin, butte-témoin gypseuse dont le sommet atteint 185 m et le protège des vents froids du nord et de l'est. Il domine de vastes plateaux occupés par l'agriculture céréalière, betteravière et fourragère. Le village n'est traversé par aucun cours d'eau, en revanche, de nombreuses sources sillonnent les coteaux.

Paysage urbain : la Place du Soleil-levant.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Grisy-les-Plâtres[1]
Theuville
Bréançon Grisy-les-Plâtres[1] Épiais-Rhus
Cormeilles-en-Vexin Génicourt

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Grisy-les-Plâtres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Arrêt du train à l'arrêt de Grisy.

Grisy-les-Plâtres, aisément accessible depuis le tracé initial de l'acienne route nationale 15 (actuelle RD 915) est situé à 10 km au nord de Pontoise, 37 km au nord-ouest ed Paris, 33 km au sud de Beauvais et 25 km au sud-est de Gisors.

Le sentier de grande randonnée GR1 traverse la commune de Bréançon à l'ouest à Épiais-Rhus à l'est.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Plaques de cocher, place du Soleil-levant.

Le village tient son nom du nom latin Grisius, ainsi que des importantes carrières de gypse exploitées dès le haut Moyen Âge, qui donnèrent au village le surnom de « Grisaye » (village gris) puis Griscium (1092), Grisacium (1249), Grify, Grisie, Gresy qui devint en 1870 Grisy-les-Plâtres[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

« Griseium » en 1092 et « Grisiacum » en 1249, le village devint « Grisie », « Grési », « Gresy », et « Grisy » il prend son nom de « Grisy-les-Plâtres », en 1870, par délibération municipale[13]

Le 16 août 1346, après avoir réduit en cendre Poissy, la totalité des forces anglaises franchit la Seine, pille et brule Carrières-sous-Poissy, Triel-sur-Seine, Grisy-les-Plâtres et Beaumont-sur-Oise et saccage le Vexin (Cormeilles-en-Vexin, Chars, Neuilly-en-Vexin, Gisors, Gournayetc.) et pénètre dans le Beauvaisis[14].

A la fin du XVIIIe siècle, les carrières de pierre à plâtre créent de nombreux effondrements et suscitent des plaintes, notamment du sieur Paillette, propriétaire d'une ferme aux abords de la butte des Moulins. C'est, de manière tout à fait exceptionnelle et encore non expliquée, l'Inspecteur général des carrières de Paris et du département de la Seine, Charles-Axel Guillaumot, qui s'occupe des premières consolidations au début des années 1780, puis y envoie une délégation d'inspecteurs et quelques ouvriers une dizaine d'années plus tard, pour faire abattre les carrières de Grisy[15].

Durant le siège de Paris de 1870-1871, le village est continuellement occupé par l'armée allemande[13].

La mairie construite en 1876, est réunie avec l'école et le logement de l'instituteur[13].

La commune est desservie de 1891 à 1949 par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique reliant Valmondois à Marines.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[16], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

Après avoir été fugacement chef-lieu de canton, la commune faisait partie depuis 1801 du canton de Marines[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Pontoise

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune, initialement membre de la communauté de communes Val de Viosne, est membre, depuis le , de la communauté de communes Vexin centre.

En effet, cette dernière a été constituée le par la fusion de la communauté de communes des Trois Vallées du Vexin (12 communes), de la communauté de communes Val de Viosne (14 communes) et de la communauté de communes du Plateau du Vexin (8 communes), conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale du Val-d'Oise approuvé le [18].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Jean Duprez    
         
2001 mai 2020[19] Christian Soret    
mai 2020[20] En cours Catherine Carpentier    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 702 habitants[Note 3], en augmentation de 5,88 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
465491487485473454463473474
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
452480485486464469463446430
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
420416413375367359364346389
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
389390425442481556587617695
2021 - - - - - - - -
702--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Équipements[modifier | modifier le code]

Un point-relais France services est aménagé depuis 2021 en mairie, et permettent aux habitants, ainsi qu'à ceux des alentours, d’être aidés un jour par semaine dans leurs démarches administratives en ligne, avec l’aide d’une référente de la maison France Services de Vigny[24],[25]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Depuis 2007, la commune accueille Grisy Code[26], exposition d'artistes contemporains dans les lieux publics et privés du village, à travers un circuit déambulatoire. La 13e édition a lieu en 2020 en mode virtuel, en raison des conditions sanitaires liées à la Pandémie de Covid-19 en France et accueille une quinzaine d'artistes dont les œuvres sont visibles dans un espace virtuel dessiné spécialement pour eux, avec des repères spatiaux de la commune tels que la place de l’église[27]
Le Grisy Code a pour but d’encourager, développer et promouvoir la création artistique contemporaine sous toutes ses formes, créer du lien et favoriser les rencontres (artistes, hôtes, visiteurs). Des concerts et spectacles de rue ponctuent l’événement afin d’offrir au plus grand nombre un moment festif et culturel autour de l’art actuel.
  • Marché aux fleurs créé en 1995[19].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Grisy-les-Plâtres compte un monument historique sur son territoire.:

Cette église gothique du XIIIe siècle suit un plan cruciforme et se compose d'une nef de quatre travées accompagnée de deux bas-côtés ; d'un transept ; d'un clocher en bâtière central se dressant au-dessus de la croisée du transept ; et d'un chœur d'une travée au chevet à pans coupés.
Le clocher constitue l'élément le plus remarquable de l'édifice. Son étage, de hauteur considérable, est percé sur chaque face de deux baies gémelées en arc brisé sur toute sa hauteur. Les angles de l'étage sont occupés chacun par une fine colonne au chapiteau sculpté simplement en feuillages. Deux colonnes du même type cantonnent de chaque côté les quatre faces de l'étage, et une colonne divise chaque face en deux parties égales, ce qui donne vingt-huit colonnes au total. Les baies abat-son possèdent chacune une double archivolte avec des colonnes toujours du même modèle, supportant la voussure faite de gros tores, et surmontée d'un cordon en dents de scie. Finalement, une corniche de corbeaux termine l'étage du clocher. L'édifice s'ouvre par un beau portail en arc brisé à la triple archivolte, aux chapiteaux sculptés en feuilles d'acanthe.
Le tympan est percé d'un quadrilobe. Un mascaron marque le point culminant du portail. En haut, une fenêtre à deux lancettes éclaire la nef, et à gauche, la façade du bas-côté nord est percée d'un oculus. Les toitures des bas-côtés, moins raides que le toit de la nef, montent jusqu'en dessous des gouttières de cette dernière. La façade du bas-côté, aux ses contreforts recouverts de chaperons et aux baies plein cintre, témoigne de la reconstruction du XVIe siècle, qui a également apporté la réfection du croisillon sud et des fenêtres du côté nord[29],[30].

On peut également signaler :

  • Colombier de la ferme Ogier-Vanthuyne, ancienne ferme seigneuriale du comte d'Ennery, rue du Général-de-Gaulle : de forme cylindrique, il fut érigé en 1765 en moellons et pierre de taille pour les chaînages verticaux consolidant le mur. Le toit en poivrière est flanqué d'une lucarne avec une fenêtre d'envol.
  • Vierge à l'Enfant de style classique, dans une niche.
  • Ancien prieuré, rue Robert-Machy.
  • Croix Saint-Caprais, rue de l'Isle : ce calvaire a été offert par la commune au XIXe siècle et se compose d'une grande croix en fer montée sur un fût de section carrée reposant sur un socle cubique en pierre. La croix est ajourée et ornée d'un décor géométrique. Elle porte une statuette du Christ en croix, entouré de deux chérubins.
  • Lavoir couvert, en écart, sente du lavoir : le toit en appentis à quatre versants entourant le bassin et sa charpente reposant sur plusieurs piliers en bois ont été entièrement reconstitués. Seuls le bassin et le mur latéral coupe-vent sont d'origine.
  • Croix de chemin, route de Beauvais (RD 22) : petite croix en fer très ouvragée, présentant un décor végétal et une grande couronne d'épines autour du centre du crucifix, où la minuscule statuette du Christ disparaît quasiment dans le décor. Le socle est maçonné dans sa partie inférieure, la partie supérieure ayant été reconstituée en béton.
  • Jardin de Campagne, aménagé sur un demi-hectare dans une ancienne ferme, labellisé « Patrimoine d'intérêt régional » en 2018, et qui, le samedi, présente plus de mille variétés de plantes vivaces[31]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

André François.
  • Charles Gir (1883-1941), sculpteur, y possédait un atelier. Il est enterré au cimetière communal avec sa femme, l'actrice Jeanne Fusier-Gir (1885-1973) et leur fils le réalisateur François Gir (1920-2003), beau-frère de Louis de Funès[32].
  • André François (1915-2005), affichiste, y possédait sa résidence et son atelier. Il est enterré au cimetière de Grisy.
  • Jacques Santi (1939-1988), acteur, rendu célèbre par son rôle de Michel Tanguy dans le feuilleton de télévision Les Chevaliers du Ciel, y est inhumé.
  • Laurence Vincendon (1951-2003), actrice, y est décédée.
  • Le , Éric Peugeot, quatre ans et demi, fils de Roland et Colette Peugeot, est enlevé dans le parc à enfants du golf de Saint-Cloud. Une demande de rançon ponctuée de menaces de mort est retrouvée près du toboggan où jouait le petit garçon. L'opinion publique est en émoi. Les parents cèdent au chantage en remettant au ravisseur la somme de 50 millions de francs. La somme est remise en billets à Paris, passage Doisy. Le petit Éric retrouve la liberté 48 heures seulement après son enlèvement. Il faudra onze mois d'enquête pour que les preneurs d'otage, Pierre-Marie Larcher et Robert Rolland, soient arrêtés et traduits en justice. L'enfant avait été séquestré dans un pavillon de Grisy-les-Plâtres[33].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Grisy-les-Plâtres Blason
Parti, au 1 d’argent à trois bandes de gueules, au 2 d’azur au lion d’or surmonté de deux cierges au naturel passés en sautoir[34].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Grisy-les-Plâtres au cinéma et à la télévision[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 2, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Grisy-les-Plâtres », p. 652–656lieu=Paris
  • Jacques Dupâquier, Petite histoire de Grisy, Association pour la protection du site de Grisy-les-Plâtres, , s.p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Grisy-les-Plâtres », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Communes limitrophes de Grisy-les-Plâtres » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Grisy-les-Plâtres et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. a b et c Monographies d'instituteurs de Grisy-les-Plâtres (1899)
  14. Clifford J. Rogers : The Wars of Edward III: Sources and Interpretations.
  15. Archives Nationales, F13 742
  16. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Schéma départemental de coopération intercommunale du Val-d'Oise » [PDF], Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ), p. 14-15.
  19. a et b Maxime Laffiac, « Val-d'Oise. Christian Soret, maire de Grisy-les-Plâtres, ne briguera pas de nouveau mandat : L'élu de Grisy-les-Plâtres (Val-d'Oise) l'a annoncé lors de la cérémonie des vœux, dimanche 5 janvier 2020 », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il a débuté en tant que premier adjoint, de 1995 à 2001, avant de devenir maire, et ce jusqu’en 2020. Né à Grisy-les-Plâtres, écolier et enfant de chœur du village, il a passé sa vie professionnelle à Grisy-les-Plâtres et est très attaché à son village. ».
  20. Site officiel de la Mairie de Grisy-les-Plâtres
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Maxime Laffiac, « Val-d'OIse. Un point-relais France services s'ouvre à Grisy-les-Plâtres : Ce nouveau dispositif est accessible au public dès ce mardi 27 avril 2021. Il est installé au sein de la mairie de Grisy-les-Plâtres (Val-d'Oise) », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Marie Persidat, « Vexin : les services publics viennent à vous dans les villages : C’est une expérimentation unique en France. A Grisy-les-Plâtres et Cormeilles-en-Vexin, des conseillers assurent des permanences une fois par semaine pour accompagner les habitants dans leurs démarches administratives. Un coup de pouce bien pratique », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Site de Grisy Code.
  27. Maxime Laffiac, « Val-d'Oise. Grisy Code : une nouvelle édition en mode virtuel : En raison de la crise sanitaire, les organisateurs du Grisy Code ont élaboré un circuit d'art accessible à travers une exposition virtuelle. Elle prendra fin le 18 octobre », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Notice no PA00080078, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Grisy-les-Plâtres, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 160-162.
  30. Séverine Charon, Hénin, Maria Pia Hutin-Houillon, Philippe Oyer et Bruno Sternberger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 652-656 (ISBN 2-84234-056-6).
  31. Valentine Rousseau, « Patrimoine dans le Vexin : à la découverte d’un jardin remarquable à Grisy-les-Plâtres : Dans le petit village de Grisy-les-Plâtres, dans le Vexin (Val-d’Oise), se niche un jardin remarquable classé « patrimoine d’intérêt régional ». Plus de mille variétés de plantes vivaces foisonnent dans ce Jardin de campagne », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ // (lire en ligne, consulté le ).
  32. Cimetières de France et d'ailleurs
  33. « Le rapt d'Eric Peugeot », sur www.alsapresse.com, (consulté le ).
  34. « grisylesplatres.fr/article/un-… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).