Aller au contenu

Grañén

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Grañén
Blason de Grañén
Héraldique
Drapeau de Grañén
Drapeau
Grañén
Cadran solaire à Grañén, Espagne
Administration
Pays Drapeau de l'Espagne Espagne
Communauté autonome Drapeau de l'Aragon Aragon
Province Drapeau de la province de Huesca Province de Huesca
Comarque Monegros
Code postal 22260
Démographie
Gentilé Grañenense
Population 1 731 hab. ()
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 41° 56′ 53″ nord, 0° 22′ 07″ ouest
Altitude 332 m
Superficie 12 398 ha = 123,98 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Espagne
Voir sur la carte topographique d'Espagne
Grañén
Géolocalisation sur la carte : Espagne
Voir sur la carte administrative d'Espagne
Grañén

Grañén est une commune d’Espagne, dans la province de Huesca, communauté autonome d'Aragon, Comarque des Monegros.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Située sur une petite élévation sur la plaine des Monegros, cette localité partage avec Sariñena la capitalité de la subcomarque du Flumen.

D'origine romaine (son nom rappelle un propriétaire terrien romain que appelé Granius), au début du XIIe siècle, peu après le début de la Reconquista la propriété passe aux mains du roi Sancho Iñíguez (parfois nommé Sancio Eneconnes), son premier Seigneur. On le retrouve dans les documents dans la collection diplomatique de Pierre Ier, étudiés et publiés par le professeur Antonio Ubieto. En 1198, le Roi Pierre II d'Aragon céda à l'évêque Ricardo d'Huesca le droit de patronage sur l'Église de Grañén, et en 1258 Jacques Ier d'Aragon remit à Blasco de Maza les châteaux et les villes de Grañén et Robres. Au XVIe siècle, la ville passe aux mains des puissants Ducs de Villahermosa. En 1785, Robres obtient la catégorie de "Villa" et en 1849 elle devient Municipalité indépendante. Depuis 30 ans, une grande promotion a été faite pour investir dans de nouveaux lieux de loisir tels que des bars et restaurants, comme dans la rue Ramón y Cajal[1].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. (es) « Pepita Laguarda (1919-1936), la más joven miliciana muerta en combate », sur www.elsaltodiario.com (consulté le )
  2. « Pepita Laguarda (1919-1936), the youngest female militian killed in action », sur www.katesharpleylibrary.net

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]