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Grézillac

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Grézillac
Grézillac
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes Castillon-Pujols
Maire
Mandat
Claude Nompeix
2020-2026
Code postal 33420
Code commune 33194
Démographie
Gentilé Grézillacais
Population
municipale
684 hab. (2021 en évolution de −1,44 % par rapport à 2015)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 06″ nord, 0° 12′ 56″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 83 m
Superficie 7,79 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Branne
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Dordogne
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Grézillac
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Grézillac
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Grézillac

Grézillac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Commune située dans l'Entre-deux-mers sur la route départementale 936 entre Castillon-la-Bataille et Bordeaux. Elle forme avec Lugaignac et Branne l'unité urbaine de Branne[1].

Rattaché à la commune, le village du Pey-du-Prat.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Moulon au nord-nord-ouest, Saint-Sulpice-de-Faleyrens à l'extrême nord-nord-est, sur la rive droite de la Dordogne, Branne au nord-est, Lugaignac à l'est, Guillac au sud-est, Daignac dans un grand sud-sud-ouest et Tizac-de-Curton à l'ouest.

Communes limitrophes de Grézillac[2]
Moulon                               Saint-Sulpice-de-Faleyrens

Branne
Tizac-de-Curton Grézillac[2] Lugaignac
Daignac Guillac

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 844 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

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Natura 2000

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La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Grézillac[10],[11]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[12].

Grézillac fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[13],[14], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[15].

Au , Grézillac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Branne[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[18]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (66 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), forêts (10,4 %), prairies (4,5 %), zones urbanisées (1,4 %), eaux continentales[Note 4] (0,8 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Grézillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1991, 1999, 2009, 2011 et 2013[24],[22].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[25]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Grézillac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 337 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 337 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 5] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[29]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].

Le nom de la commune proviendrait du patronyme gallo-romain Gracilius[31].

Le nom gascon de la commune est Gresilhac.

À la Révolution, la paroisse Notre-Dame de Grézillac forme la commune de Grézillac[32].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1963 2008 André Lurton    
mars 2008 2014 Claude Barreau    
mars 2014 En cours Claude Nompeix   Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Les habitants sont appelés les Grézillacais[33].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35]. En 2021, la commune comptait 684 habitants[Note 6], en évolution de −1,44 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
850713807756756778824796792
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
784868886875772772770778796
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
815802786702764773778679670
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
730786661683613610668685697
2018 2021 - - - - - - -
696684-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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  • L'église Notre-Dame est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1965[38]. Le clocher roman du XIIe siècle était autrefois fortifié. À l'intérieur, une coupole allongée sur pendentifs, est entourée d'un rang de billettes. Le porche sud, la nef à pans et le bas-côté nord ont des voûtes sur croisées d'ogives et datent du XVe siècle[39].
  • Le reposoir est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1925[40]. Il date du XVIIe siècle. On y voit quatre colonnes cannelées à mi-hauteur et surmontées de chapiteaux corinthiens supportant un baldaquin de pierre dont le bandeau est sculpté de volutes et de rosaces. Postérieurement, le reposoir a été surmonté d'une croix de fer forgé et d'une statue de la vierge datant du XIXe siècle[41].
  • Un site gallo-romain a été découvert en 1976 sur la place de l'église[42].
  • Plusieurs châteaux ont été construits sur la commune, tels que celui de Mouchac, celui de Reynier, le château Mylord et le château Bonnet.

Galerie de photos

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Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune, dont, en particulier :

Personnalités liées à la commune

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  • Jean de Solminiac, capitaine de cavalerie, propriétaire du château de Mouchac à l'époque de la Révolution. Il fit patriotiquement don de son argenterie à la Nation, pesant ensemble onze marcs ou deux-mille-huit-cent-seize grammes (archives de Grézillac, procès-verbal du ).
  • Grégory Vacher, ex co-animateur de « Bruno dans la radio » sur Fun Radio (de 6 h à 9 h) ; pour son mariage, le , l'équipe de la matinale a fait une émission spéciale en direct de la salle des fêtes de la ville.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Branne, il y a une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[28].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Insee, Unité urbaine 2020 de Branne
  2. Grézillac sur Géoportail, consulté le 23 août 2015.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Grézillac et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  11. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  12. Espèces, INPN, consulté le .
  13. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  14. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  15. Espèces, INPN, consulté le .
  16. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Branne », sur insee.fr (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Grézillac ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Grézillac », sur Géorisques (consulté le ).
  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  26. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Grézillac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. Article R214-112 du code de l’environnement
  29. « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  31. Grézillac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 23 août 2015.
  32. Historique des communes, p. 24, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 23 août 2015.
  33. Nom des habitants de la commune sur le site Habitants.fr, consulté le 23 août 2015.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Notice MH de l'église Notre-Dame », notice no PA00083566, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. http://visites.aquitaine.fr/eglise-notre-dame-4242 Église Notre-Dame] sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 23 août 2015.
  40. « Notice MH du reposoir », notice no PA00083567, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Reposoir de Grézillac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 23 août 2015.
  42. Site gallo-romain à Grézillac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 23 août 2015.