Galia (film)

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Galia

Réalisation Georges Lautner
Scénario Vahé Katcha
Acteurs principaux
Sociétés de production Speva films, Ciné Alliance
Pays de production Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Genre Policier
Durée 105 minutes
Sortie 1966

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Galia est un film de production franco-italienne réalisé par Georges Lautner, sorti en 1966

Synopsis[modifier | modifier le code]

À Paris, Galia sauve Nicole, qui veut se jeter dans la Seine car son mari, Greg, la néglige. La vie de Greg tourne autour des plaisirs de la chair, de l'ambition dévorante pour l'argent et du rang social, au travers de Wespyr, un homme riche et licencieux. Galia conseille à Nicole de disparaître pendant quelques jours afin d'inquiéter son mari et accepte de le suivre pour voir ses réactions. Malgré les avertissements de Nicole, Galia consent à passer le week-end avec lui à Venise et tombe amoureuse de Greg. Une tension sans cesse grandissante va naître et s'amplifier entre les deux femmes, jusqu'au dénouement dramatique inévitable...

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Lieux de tournage[modifier | modifier le code]

Autour du film[modifier | modifier le code]

À h 16, un camionneur, joué par Georges Lautner, placé derrière Galia à un feu rouge, l'invective par un « Alors poupée, on dort ? » ; celle-ci lui répond « Ne nous fâchons pas ! », titre du film éponyme dont Mireille Darc est l'héroïne.

Réception critique[modifier | modifier le code]

« Je dois même dire, et je le regrette, que je trouve son film entièrement raté. […] Or Galia n'est qu'un très mauvais film commercial qui exploite avec une complaisance elle aussi fort suspecte les charmes, indiscutables d'ailleurs, de Mireille Darc, aimable comédienne pleine d'abattage mais qui devra approfondir son métier avant de réussir à faire croire que des tempêtes se déroulent sous son joli crâne… »

— Marcel Martin, Les Lettres françaises[1]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Les Lettres françaises no 1117, 3 février 1966, p. 21-22.

Liens externes[modifier | modifier le code]