Gérard Courant

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Gérard Courant
Nom de naissance Gérard Pierre Courant
Naissance (72 ans)
Lyon 4e
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Réalisateur, écrivain, producteur de cinéma, acteur

Gérard Courant est un cinéaste, écrivain, acteur, poète et producteur de cinéma indépendant français né le à Lyon (France)[1].

Il est l'un des réalisateurs les plus prolifiques du cinéma. Il a inventé, réalisé et produit le Cinématon, le film le plus long du monde réalisé par une seule personne (il dure 212 heures). En tout, il a tourné plus de 7 000 portraits filmés et un nombre très important d'autres films (plus de 1 500) depuis le début des années 1970. Il a également publié plusieurs ouvrages sur le cinéma.

Biographie[modifier | modifier le code]

Gérard Courant est le fils de l'écrivain et historien René Courant[2].

Après avoir quitté Lyon très jeune, Gérard Courant a habité successivement à Valence, à Saint-Marcellin, puis à Dijon, trois villes auxquelles il a consacré de nombreux films (À travers l'univers, L'Impossible retour, Saint-Marcellin vu par Gérard Courant, Burgundia, Promenade dans les lieux de mon enfance dijonnaise). C'est durant ses études de droit à l'université de Dijon, au milieu des années 1970, qu'il prend la direction du ciné-club universitaire où il programme des dizaines de films d'avant-garde (Jonas Mekas, Andy Warhol, Maya Deren, Stan Brakhage, Jean Genet, Gregory Markopoulos (en), entre autres) et un cinéma indépendant et exigeant (Philippe Garrel, Marguerite Duras, Werner Schroeter, Chantal Akerman, Luc Moullet, etc.). Il s'installe à Paris en 1975 et participe aux travaux du Collectif Jeune Cinéma. De 1975 à 1979, il est étudiant à l'Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis. Il est également critique de cinéma (en particulier dans Cinéma 77-82 et art press) où il prend la défense d'un cinéma libre et indépendant. Grâce à l'aide du cinéaste expérimental Patrice Kirchhofer, il réalise en 1976 son premier court-métrage professionnel, Marilyn, Guy Lux et les nonnes, puis un premier long-métrage expérimental et conceptuel en 1977, Urgent ou à quoi bon exécuter des projets puisque le projet est en lui-même une jouissance suffisante, qui reçoit le prix spécial du jury au Festival des jeunes auteurs de Belfort.

Courant tourne ensuite de nombreux longs-métrages contemplatifs (Aditya), lyriques (Cœur bleu, Je meurs de soif, j'étouffe, je ne puis crier…), musicaux (Vivre est une solution), hypnotiques (La Neige tremblait sur les arbres), répétitifs (She's a very nice lady), minimaux (Amours décolorées) qui mettent souvent en scène des femmes, stars de l'underground. Il a réalisé aussi des longs-métrages faits que d'images fixes (Les Aventures d'Eddie Turley) de refilmages (À propos de la Grèce) ou d'images en négatif (Les Aventures d'Eddie Turley II). Il a tourné L'Ascension de Notre-Dame de la Garde à Marseille en un seul plan-séquence d'une heure et 24 Passions étalé sur 24 ans. Il s'est transformé en coureur cycliste dans Chambéry-Les Arcs, une vélographie de Gérard Courant et dans Lyon, autopsie d'une grande ville, il a fixé sur la pellicule en un film d'une durée de 16 heures les 1 500 rues et les 400 places et squares de Lyon, sa ville natale.

Il pratique aussi l'art cinétique avec sa tétralogie Les Chemins cinétiques : Varuna (2011), Lâzward (2014), Kali (2014) et Sarasvati (2014) qui sont une variation en images cinétiques de sa précédente tétralogie, Le Jardin des abymes : Aditya (1980), Cœur bleu (1980), Vivre est une solution (1980) et She's a very nice lady (1982). En 2017, dans la même veine, il transforme Les Oiseaux, le chef-d'œuvre d'Alfred Hitchcock en images cinétiques (Les Oiseaux cinétiques d'Alfred Hitchcock).

C'est le qu'il entreprend son anthologie cinématographique Cinématon qui consiste à filmer des personnalités artistiques qui sont toutes confrontées aux mêmes règles : elles sont filmés en gros plan, fixe, muet, d'un plan-séquence d'une durée de 3 minutes 20 secondes (la durée d'une bobine en Super 8) dans lequel elles sont libres de faire ce qu'elles veulent devant la caméra. Jean-Luc Godard, Wim Wenders, Félix Guattari, Joseph Losey, Horst Tappert, Nagisa Oshima, Ken Loach, Henri Laborit, Roberto Benigni, Samuel Fuller, Jean-François Lyotard, Philippe Sollers, Sergueï Paradjanov, Ben Vautier ou Max Gallo font partie des 3 170 personnalités qui, jusqu'à maintenant, se sont prêtées à ce jeu cinématographique. L'ensemble dure 211 heures et le film est en cours de tournage perpétuel. Il y a eu plusieurs rétrospectives intégrales, notamment à Paris (Centre Pompidou, Cinémathèque française), Toronto, Montréal, Hambourg, New York. Jean-Paul Aron a dit que les Cinématons sont « une expérience beaucoup plus utile et sincère que tous les films de la Nouvelle Vague »[3] et Fernando Arrabal prophétise que « lorsque le cinéma aura disparu, il restera les Cinématons »[3]. Michel Foucault voit dans cette anthologie un lien qui unit le filmeur et le filmé dans « un pacte de souffrance-plaisir »[3]. Philippe Sollers, quant à lui, affirme :

« Courant est un moraliste[3]. »

La série Cinématon a engendré une quinzaine d'autres séries cinématographiques qui sont aussi des work in progress : Portrait de groupe, Couple, Cinéma, Lire, De ma chambre d'hôtel, etc. Pour l'écrivain Dominique Noguez,

« Gérard Courant filme le monde de façon sérielle[4]. »

Parallèlement à ses différents travaux, Gérard Courant tourne depuis ses débuts, ce qu'il appelle des Carnets filmés qui sont à mi-chemin entre le journal filmé (comme le pratiquent les cinéastes David Perlov, Alain Cavalier, Jonas Mekas, Joseph Morder ou Boris Lehman) et les esquisses ou les études des peintres. Ces Carnets filmés sont des archives cinématographiques qui regroupent toutes sortes d'éléments épars : essais, notes, croquis, esquisses, repérages, chutes, reportages, voire rushes ou films inachevés. En 2023, il existe 467 épisodes et l'ensemble de ce film en cours de tournage dure 541 heures. Comme l'a écrit l'historien Jean Tulard, « c'est une mine inépuisable pour l'historien[5]. »

Entre la fiction et le documentaire, l'essai et le journal, l'expérimental et un cinéma sériel, Gérard Courant a exploré toutes les possibilités offertes par le cinéma. Pour Raphaël Bassan, « Courant est l'un des descendants les plus purs des frères Lumière »[6] et pour Les Cahiers du cinéma, par le nombre important de films qu'il a réalisés, « Gérard Courant est l'INA à lui tout seul[7]. » En effet, en un tiers de siècle, Gérard Courant a tourné 7 300 portraits filmés et plus de 1 500 films dont le plus court dure 1 minute et le plus long (sa série Cinématon) 211 heures. La durée totale de l'ensemble de ses films dépasse les 1000 heures.

D'importances rétrospectives des films de Gérard Courant ont été organisées dans le monde : Berlin (Allemagne), Buenos Aires (Argentine), Dubaï (Émirats arabes unis), Hambourg (Allemagne), La Haye (Pays-Bas), Lausanne (Suisse), Lisbonne (Portugal), Lucques (Italie), Montréal (Canada), New York (États-Unis d'Amérique), Paris (France), Téhéran (Iran), Toronto (Canada), Vienne (Autriche).

Les films du cinéaste (Cinématon et autres séries filmées, courts et longs métrages, Carnets filmés) sont visibles en accès libre et en entier sur les trois chaînes « Gérard Courant 1 », « Gérard Courant 2 » et "Lyon par Gérard Courant" qu'il a créées sur le site de partage vidéo, YouTube. En 2024, 7 000 de ses films y sont en ligne et, toutes chaînes confondues, dépassent les onze millions de vues.

En 1999, il signe pour s'opposer à la guerre en Serbie la pétition « Les Européens veulent la paix »[8], initiée par le collectif Non à la guerre[9].

En 1999, il est membre du jury du Prix Georges Sadoul.

En 2010, la Bibliothèque nationale de France (BnF) a créé un fonds Gérard Courant pour mettre à la disposition des chercheurs une grande partie de ses films. La même année, la cinémathèque régionale de Bourgogne Jean-Douchet, installée à Dijon, a créé un fonds avec la plupart des films du cinéaste qui vécut son enfance et son adolescence dans la capitale de la Bourgogne.

Entre 2011 et 2021, il a réalisé 60 clips vidéo musicaux des plus grands succès de la chanteuse indienne Asha Bhosle dont la moitié a été filmée à Dubaï.

En 2015, les Archives municipales de Lyon ont créé un fonds Gérard Courant avec tous les films que le cinéaste, né à Lyon, a tourné dans la capitale des Gaules (environ 34 heures). Ce fonds comprend notamment son film de 16 h Lyon, autopsie d'une grande ville.

En 2019 et 2020, il réalise une nouvelle tétralogie : Neuf femmes, composée de La Femme qui pleure dans les nuages (2019), À quoi rêvent les montagnes ? (2019), Les Ombres mystérieuses des fantômes disparus (2020) et Ignis (2020). Ces 4 films sont interprétés par 9 femmes originaires des 5 continents.

Filmographie[modifier | modifier le code]

Réalisateur[modifier | modifier le code]

En tant que réalisateur, Gérard Courant a notamment réalisé un journal filmé, dénommé les Carnets filmés qui se compose à ce jour de 467 épisodes ainsi qu'un film, composé de 3170 portraits filmés, dénommé Cinématon.

1960 - 1969[modifier | modifier le code]

1970 - 1979[modifier | modifier le code]

  • 1970 : Critérium du Dauphiné libéré 1970 (1ère étape). 3 minutes 12 secondes.
  • 1970 : Vent-pire. 3 minutes 45 secondes.
  • 1970 : Autour de Vent-pire. 1 minute 17 secondes.
  • 1970 : Corps-Selle. 3 minutes 3 secondes.
  • 1970 : Ave, Patrick Topaloff. 53 secondes.
  • 1970 : (Daniel) Petit LU. 54 secondes.
  • 1970 : Le Fantôme des Arcades. 51 secondes.
  • 1970 : Rêveries d’un escaladeur solitaire. 42 secondes.
  • 1972 : Tour de France 1972 (13e et 14e étape). 4 minutes 4 secondes.
  • 1972 : Artémis. 4 minutes.
  • 1974 : Ombres de silence. 3 minutes 30 secondes.
  • 1975 : Philippe Garrel à Digne (Premier voyage). 1 heure 43 minutes.
  • 1976 : Le Ciné-club universitaire de Dijon. 35 minutes.
  • 1976 : Eugénie de Franval par Louis Skorecki. 59 minutes.
  • 1976 : Marilyn, Guy Lux et les nonnes. 10 minutes.
  • 1977 : MMMMM…. 3 minutes
  • 1977 : Antonin Artaud, correspondance avec Jacques Rivière. 50 minutes.
  • 1977 : Urgent ou à quoi bon exécuter des projets puisque le projet est en lui-même une jouissance suffisante. 1 heure 38 minutes. Prix spécial du jury au Festival de Belfort 1977,
  • 1977 : Sha-Dada. 5 minutes.
  • 1977 : Aurore collective. 1 heure 30 minutes.
  • 1978 : Cinématon (série cinématographique commencée le 7 février 1978). 3170 portraits filmés. 212 heures.
  • 1978 : Restez mince vivez jeune. 7 minutes.
  • 1978 : Rasage. 18 minutes.
  • 1978 : Travellings (série cinématographique en cours commencée en 1978). 180 parties. 4 heures.
  • 1978 : Vivre à Naples et mourir (entretien avec Werner Schroeter). 1 heure 25 minutes.
  • 1978 : L'Âge doré. 3 minutes.
  • 1978 : L'Oeil omnidirectionnel de Michael Snow. 1 heure 22 minutes.
  • 1978 : Le Contrebandier des profondeurs. 40 minutes.
  • 1979 : Le Cinéma selon Luc Moullet. 1 heure 1 minute.
  • 1979 : La Seule façon de rendre la vie excitante est de regarder la mort en face. 3 minutes 30 secondes.
  • 1979 : De ma chambre d'hôtel. (série cinématographique en cours commencée en 1979). 100 parties. 6 heures 30 minutes.
  • 1979 : Thé au bois. 3 minutes 30 secondes.
  • 1979 : Hérésie pour Magritte, 8 épisodes de 3 minutes 30 secondes : I., II., III., IV., V., VI., VII., VIII..
  • 1979 : Ocana, der engel der in der qualt singt. 10 minutes.
  • 1979 : Un sanglant symbole. 20 minutes.
  • 1979 : Philippe Garrel à Digne (Second voyage). 56 minutes.
  • 1979 : Shiva. 5 minutes.
  • 1979 : Je meurs de soif, j'étouffe, je ne puis crier… 1 heure 5 minutes.
  • 1979 : Mes films commencent au moment où les autres se terminent (Conversation avec Teo Hernandez I). 1 heure 23 minutes.
  • 1979 : Jardins clandestins. 1 heure 23 minutes.

1980 - 1989[modifier | modifier le code]

  • 1980 : Aditya. 1 heure 5 minutes.
  • 1980 : Mon sang pécheur ruisselle ardent. 10 minutes 36 secondes.
  • 1980 : Cœur bleu. 1 heure 25 minutes.
  • 1980 : Vivre est une solution. 1 heure 17 minutes.
  • 1980 : Un cinéaste qui ne tient pas la caméra est comme un peintre qui ne tient pas le pinceau (Conversation avec Teo Hernandez II). 1 heure 11 minutes.
  • 1980 : Il faut le sauver ! (entretien avec Werner Schroeter). 59 minutes.
  • 1980 : Cocktail Morlock (ou : Encore un pernod, Yves). 25 minutes.
  • 1981 : Le Faux Cinématon de Yann Andréa filmé par une authentique Marguerite Duras. 4 minutes.
  • 1981 : Tu vois mon fils, l’espace ici naît du temps. 16 minutes 3 secondes.
  • 1981 : Discussion Morlock. 25 minutes.
  • 1981 : Michel Foucault Werner Schroeter, la conversation. 1 heure 30 minutes.
  • 1981 : Chemins intermédiaires. 1 heure 28 minutes.
  • 1981 : C'est Salonique. 24 minutes.
  • 1981 : Khrónos 1981. 1 heure 38 minutes.
  • 1981 : Spoonful. 1 heure 22 minutes.
  • 1981 : La Neige tremblait sur les arbres. 1 heure 19 minutes.
  • 1981 : Baignoire. 42 minutes.
  • 1981 : Plus mon Loir gaulois que le Tibre latin. 2 heures 3 minutes.
  • 1982 : Dévotion. 18 minutes.
  • 1982 : Le Blanc cassé. 1 heure 23 minutes.
  • 1982 : She's a very nice lady. 1 heure 30 minutes.
  • 1982 : Je marche à peine et je suis déjà loin. 13 minutes 43 secondes.
  • 1982 : Archive Morlock : 1er mai 1982 (Manifestation C.F.D.T.). 3 minutes 30 secondes.
  • 1982 : Archive Morlock : 1er mai 1982 (Manifestation C.G.T.). 3 minutes 30 secondes.
  • 1982 : Passions (entretien avec Philippe Garrel I). 1 heure 32 minutes.
  • 1982 : Attention poésie (entretien avec Philippe Garrel II). 1 heure 30 minutes.
  • 1982 : L'Art, c'est se perdre dans les châteaux du rêve (entretien avec Philippe Garrel III). 2 heures 8 minutes.
  • 1982 : L'œuvre d'art est utile car elle consolide notre liberté (entretien avec Philippe Garrel IV). 2 heures 31 minutes.
  • 1982 : Jean Seberg, Philippe Garrel et Les Hautes Solitudes. 34 minutes.
  • 1982 : Bulle Ogier sur Radio Ark en Ciel. 1 heure 2 minutes.
  • 1982 : Joseph Morder sur Radio Ark en Ciel. 53 minutes.
  • 1982 : Teo Hernandez sur Radio Ark en Ciel. 59 minutes.
  • 1982 : Montagnes endormies. 1 heure 35 minutes.
  • 1983 : Genova Genova. 24 minutes.
  • 1983 : Il Gergo Inquieto. 1 heure 32 minutes.
  • 1983 : L’Hiver a fui, l’avril est là. 15 minutes 49 secondes.
  • 1983 : Printemps météore. 1 heure 25 minutes.
  • 1983 : Le Naufragé et le prisonnier. 1 heure 20 minutes.
  • 1983 : Le Voyageur sans ombre. 1 heure 13 minutes.
  • 1983 : Études préparatoires pour À propos de la Grèce. 1 heure 28 minutes.
  • 1983 : Esquisses helléniques pour À propos de la Grèce. 1 heure 14 minutes.
  • 1983 : Crépuscules crétois. 44 minutes.
  • 1983 : Arcipelago. 43 minutes.
  • 1983 : Sifnos. 1 heure 5 minutes.
  • 1983 : Santorin. 1 heure 48 minutes.
  • 1983 : L'Arbre de la vie. 1 heure 15 minutes.
  • 1983 : Le Monde impatient. 1 heure.
  • 1984 : Berlin-Ouest - Berlin-Est. 4 minutes.
  • 1984 : Boulevard Saint-Germain. 6 minutes.
  • 1984 : Gare. (série cinématographique en cours commencée en 1984) 41 vues. 1 heure 38 minutes.
  • 1984 : Mourir, mourir, unique grâce ! 15 minutes 6 secondes.
  • 1984 : La Valse de Vienne. 50 minutes.
  • 1984 : Die Reise nach Wien. 1 heure 14 minutes.
  • 1984 : Entre 15 h 15 et 15 h 25. 11 minutes.
  • 1984 : Mort de trois présidents à vie. 3 minutes 30 secondes.
  • 1984 : Les Vivants et les morts. 1 heure 30 minutes.
  • 1984 : La Marche du temps. 1 heure 15 minutes.
  • 1985 : Ne sais-tu pas quel est ce jour sacré ? 1 minutes 56 secondes.
  • 1985 : À propos de la Grèce. 1 heure 30 minutes.
  • 1985 : Portrait d’Alexander Kluge dans son bureau de Munich. 3 minutes 30 secondes.
  • 1985 : Portrait de groupe. (série cinématographique en cours commencée en 1985). 261 portraits filmés. 17 heures.
  • 1985 : Couple. (série cinématographique en cours commencée en 1985). 135 portraits filmés. 8 heures.
  • 1985 : Nuits transparentes. 1 heure 28 minutes.
  • 1986 : Oh ! Peine ! Peine sans égale ! 14 minutes 7 secondes.
  • 1986 : Le Jour où TF1 m’a cinématonné. 4 minutes
  • 1986 : Trio. (série cinématographique en cours commencée en 1986). 19 portraits filmés. 1 heure.
  • 1986 : Lire. (série cinématographique en cours commencée en 1986). 124 portraits filmés. 8 heures. Couronné par l'Académie française.
  • 1986 : Avec Mariola. 32 minutes.
  • 1986 : Un jour l’hiver finira. 1 heure 2 minutes.
  • 1986 : Les Jours et les nuits. 1 heure 15
  • 1987 : Délivre le monde si c’est ton sort. 15 minutes 9 secondes.
  • 1987 : Les Aventures d'Eddie Turley. 1 heure 30 minutes.
  • 1988 : Le Jour où Antenne 2 m’a cinématonné. 4 minutes.
  • 1988 : Montre-moi si vraiment du ciel tu es l’élu. 14 minutes 13 secondes.
  • 1988 : Archive Morlock : 1er mai 1988 (Manifestation C.F.D.T.). 3 min 30 s.
  • 1988 : Archive Morlock : 1er mai 1988 (Manifestation C.G.T.). 3 min 30 s.
  • 1988 : Et si on jouait ?. 37 minutes.
  • 1988 : Nuages de soie. 1 minute.
  • 1988 : Solitude perdue. 2 minutes.
  • 1988 : Sur la route... de Digne à Nice. 3 minutes 45 secondes.
  • 1988 : L'Artifice et le factice. 2 heures.
  • 1989 : Est-ce là l’effet du Saint Jour ? 10 minutes.
  • 1989 : Double jeu. 1 heure 8 minutes.

1990 - 1999[modifier | modifier le code]

  • 1990 : Oh ! Plainte ! Plainte ! Plainte effroyable. 10 minutes.
  • 1990 : Boudou prend son bain. 3 minutes.
  • 1990 : Cinématou (série cinématographique en cours commencée en 1990). 10 portraits filmés. 30 minutes.
  • 1990 : Histoires ordinaires. 1 heure 28 minutes.
  • 1991 : Oh ! Jour des grâces sans pareilles. 13 minutes 22 secondes.
  • 1991 : Mes Lieux d’habitation (série cinématographique en cours commencée en 1991). 17 vues. 1 heure 2 minutes.
  • 1991 : Cinéma (série cinématographique en cours commencée en 1991) 70 vues. 3 heures 45 minutes.
  • 1991 : Cinécabot (série cinématographique en cours commencée en 1991). 5 portraits filmés. 20 minutes.
  • 1991 : Le Nouvel hiver. 1 heure 50 minutes.
  • 1992 : Lui-même ! Le voici ! Voyez ! 5 minutes 41 secondes.
  • 1992 : La Terre des vivants. 1 heure 7 minutes.
  • 1992 : Travelling. 1 heure 3 minutes.
  • 1992 : Régis Audigier, le Christ de Burzet. 1 heure 6 minutes.
  • 1992 : Burzet. 52 minutes.
  • 1992 : Solange et Jean Mounier, Véronique et le centurion de Burzet. 32 minutes.
  • 1992 : Gaston Hilaire, l’ancien centurion de Burzet. 36 minutes.
  • 1992 : Bernard de Chanaleilles, le Simon de Cyrène de Burzet. 36 minutes.
  • 1993 : Vers lui mon cœur souffrant aspire. 5 minutes 30 secondes.
  • 1993 : Petit traité de chevalerie Morlock en vélocipède. 10 minutes.
  • 1993 : Vie. 1 heure 5 minutes.
  • 1994 : Ponts routiers de la Seine à Paris. 22 minutes.
  • 1994 : Prenez mon sang, prenez mon corps, en souvenir de moi ! 7 minutes 10 secondes.
  • 1994 : Inventaire filmé des rues de Saint-Maurice (Val-de-Marne, France). 40 minutes.
  • 1994 : Le Passager solitaire. 1 heure 40 minutes.
  • 1995 : Tu vis maintenant à jamais. 7 minutes 12 secondes.
  • 1995 : Compression, 4 films : de Alphaville de Jean-Luc Godard (4 minutes), À bout de souffle de Jean-Luc Godard (4 minutes), Niagara de Henry Hathaway (4 minutes), The Chimp de Laurel et Hardy (1 minute 26 secondes).
  • 1995 : Le vrai faux Cinématon d'Agnès Soral. 4 minutes.
  • 1995 : De ma voiture. 1 heure 18 minutes.
  • 1995 : Le Passé retrouvé. 1 heure 47 minutes.
  • 1995 : Du Marché de la poésie à Radio Aligre. 51 minutes.
  • 1995 : Itinéraires héréditaires. 1 heure 45 minutes.
  • 1996 : Tes-tu perdu ? Dois-je te conduire ? 5 minutes 21 secondes.
  • 1996 : Chambéry-Les-Arcs, une vélographie de Gérard Courant. 1 heure 14 minutes + bande-annonce (2 minutes 28 secondes).
  • 1996 : Velo Love. 1 heure 32 minutes.
  • 1996 : Coude à coude. 2 heure 3 minutes.
  • 1996 : Olivier Dazat ou l'amour du vélo. 50 minutes.
  • 1996 : Janine Anquetil la dame blonde. 1 heure 18 minutes.
  • 1996 : Une cérémonie secrète. 49 minutes.
  • 1996 : Le Ciel écarlate. 1 heure 43 minutes.
  • 1997 : Tu baignes mes pieds d’eau pure, mais que l’ami me lave le front ! 5 minutes 24 secondes.
  • 1997 : Amours décolorées. 1 heure 20 minutes.
  • 1997 : Voyage au centre du monde. 1 heure 10 minutes.
  • 1997 : Joseph Morder filme le défilé du Premier Mai. 47 minutes.
  • 1997 : Mongibello. 58 minutes.
  • 1998 : Sur sa croix mon sang divin coula. 5 minutes 37 secondes.
  • 1998 : Toronto 1998. 1 heure 2 minutes.
  • 1998 : Le Nouveau désert. 1 heure 25 minutes.
  • 1999 : Oh ! Quel miracle sans pareil ! 4 minutes 8 secondes.
  • 1999 : Le Journal de Joseph M. 59 minutes.
  • 1999 : Le Tournage du Cinématon no 1968 de Joseph Morder. 4 minutes.
  • 1999 : Le Chemin de Resson : Joseph Morder rend visite à Marcel Hanoun. 44 minutes.
  • 1999 : Zanzibar à Saint-Sulpice. 9 minutes.
  • 1999 : Derrière la nuit. 1 heure 22 minutes.
  • 1999 : J. M. (version courte de Le Journal de Joseph M.). 37 minutes.

2000 - 2009[modifier | modifier le code]

  • 2000 : Mon sang fuit sauvage et déborde. 11 minutes 28 secondes.
  • 2000 : Vous avez dit Cinématon ?. 4 minutes.
  • 2000 : L’Homme des roubines. 55 minutes.
  • 2000 : Luc Moullet, encore un effort pour être cinématonné. 4 minutes.
  • 2000 : Antonietta Pizzorno chante Luc Moullet. 48 minutes.
  • 2000 : Marie-Christine Questerbert raconte Luc Moullet. 36 minutes.
  • 2000 : Iliana Lolich fait l’éloge de Luc Moullet. 19 minutes.
  • 2000 : Tout est brisé. 1 heure 20 minutes.
  • 2001 : 2000 Cinématons. 1 heure 33 minutes.
  • 2001 : Florence Loiret Caille, Cinématon n° 2013. 30 minutes.
  • 2001 : Vincent Nordon raconte Straub, Huillet, Pialat et Cinématon. 59 minutes.
  • 2001 : Lucia Sanchez, Cinématon n° 2014. 24 minutes.
  • 2001 : Luc Moullet, enfin cinématonné ? 4 minutes.
  • 2001 : Place Saint-Michel. 51 minutes.
  • 2001 : Oh peine ! Oh jour du deuil profond. 13 minutes 33 secondes.
  • 2001 : Le Pharaon à Lyon. 51 minutes.
  • 2001 : Route d'argent. 1 heure 20 minutes.
  • 2001 : Quand reverrai-je mon petit village ?. 42 minutes.
  • 2001 : Cinématé 4 minutes.
  • 2001 : Encore cinématé ! 4 minutes.
  • 2001 : Cinématé avec, 20 films : Jacques Monory (4 minutes), Jean-Marie Straub (2 minutes 45), Volker Schlöndorff (3 minutes 8), Vincent B (4 minutes), Maruschka Detmers (3 minutes 3), Roberto Benigni (3 minutes 3), Féodor Atkine (1 minute 58), Jean-Luc Godard (2 minutes 20), Serge Merlin (3 minutes 40), Wim Wenders (4 minutes 11), Simon de la Brosse (1 minute 49), Galaxie Barbouth (4 minutes 11), Philippe Sollers (2 minutes 16), Dominique Noguez (3 minutes 56), Juliet Berto (3 minutes 55), Yves Mourousi (2 minutes 28), Fernando Arrabal (2 minutes 18), Robert Kramer (2 minutes 7), Gérard Jugnot (1 minute 54), Noël Godin (1 minutes 47).
  • 2002 : Qui me commande de vivre ? 8 minutes 57 secondes.
  • 2002 : Périssable paradis II (Notes pour un monde nouveau). 1 heure 21 minutes.
  • 2002 : La Cipale d'Arnaud Dazat. 31 minutes.
  • 2002 : Archive Morlock : Élection présidentielle 2002. 3 minutes.
  • 2002 : Périssable paradis. 1 heure 10 minutes.
  • 2002 : Inventaire filmé des rues de la Croix-Rousse à Lyon, version TV. 54 minutes.
  • 2002 : Inventaire filmé des rues de la Croix-Rousse à Lyon, version cinéma. 1 heure 40 minutes.
  • 2002 : Zones césariennes. 56 minutes.
  • 2003 : Seul mon trépas vous importe ? 20 minutes 8 secondes.
  • 2003 : Autour de 24 Passions. 32 minutes.
  • 2003 : Une semaine sainte. 1 heure 1 minute.
  • 2003 : Zythum. 3 minutes.
  • 2003 : 24 Passions. 1 heure 15 minutes.
  • 2003 : Car seuls les nouveaux Dieux ont mordu la pomme de l'amour. 1 heure 1 minute.
  • 2004 : D'où nous viens-tu ? 1 minutes.
  • 2004 : Archive Morlock : 1er mai 2004 (Manifestation C.G.T.). 6 minutes.
  • 2004 : Les Saisons et les jours. 1 heure 8 minutes.
  • 2004 : Marsiho (Journal du FID 2004). 2 heures 4 minutes.
  • 2004 : Lisa et Rose-Anaël. 30 minutes.
  • 2004 : Causerie d'un Martien en exil à Lyon. 52 minutes.
  • 2004 : Un été amoureux. 1 heure 1 minute.
  • 2004 : Délices lointains. 2 heures 5 minutes.
  • 2004 : Exposicion (Journal du Mexique). 2 heures 4 minutes.
  • 2004 : Augusto Luis et Maria Emma. 8 minutes.
  • 2004 : Décrochage radio. 1 heure 8 minutes.
  • 2004 : Le Roi Artur et son Pop-club. 1 heure 2 minutes.
  • 2004 : Le Festival des Cinémas différents offre une carte noire à Dominique Noguez. 49 minutes.
  • 2005 : À travers l'univers. 1 heure 19 minutes.
  • 2005 : Jean-Pierre Gorin, encore un effort pour être cinématonné. 4 minutes.
  • 2005 : Portrait d'Yvette Courant en téléphage. 7 minutes.
  • 2005 : Les Cinématons au cinéma Caméo de Metz. 52 minutes.
  • 2005 : À propos de Guy Gilles et Zanzibar sur Radio Campus. 1 heure 1 minute.
  • 2005 : Yvette Courant. 1 heure 48 minutes.
  • 2005 : Zouzou à Saint-Denis. 44 minutes.
  • 2005 : Événement. 49 minutes.
  • 2005 : Une rencontre avec les élèves de première du lycée Guist'hau de Nantes (Année 2004-2005). 1 heure 13 minutes.
  • 2005 : Une rencontre avec les étudiants de Ciné-Sup 1 du lycée Guist'hau de Nantes (Année 2004-2005). 1 heure 36 minutes.
  • 2005 : Les Chutes de Saint-Marcellin. 1 heure 2 minutes.
  • 2005 : Marselha (Journal du FID 2005). 1 heure 21 minutes.
  • 2005 : Destination Fourvière. 1 heure 28 minutes.
  • 2005 : Lugdunum (Journal du festival Doc en Courts 2005). 1 heure 38 minutes.
  • 2005 : Les Restes d'un monde nouveau. 2 heures 1 minute.
  • 2005 : Passions immortelles. 1 heure 37 minutes.
  • 2005 : Cinématons en campagne. 1 heure 3 minutes.
  • 2005 : Bavardages. 1 heure 8 minutes.
  • 2006 : Rédemption au rédempteur ! 9 minutes.
  • 2006 : Un monde nouveau. 1 heure 5 minutes.
  • 2006 : Made in Paris. 3 minutes 30 secondes.
  • 2006 : Là-bas. 1 heure 10 minutes.
  • 2006 : Un atelier cinéma avec les étudiants de Ciné Sup 1 du lycée Guist'hau de Nantes (année 2005/2006). 1 heure 37 minutes.
  • 2006 : Interviews. 1 heure 15 minutes.
  • 2006 : Super 8 Paradise. 1 heure 07 minutes.
  • 2006 : Un débat À travers l'univers. 1 heure 30 minutes.
  • 2006 : Benjamin Chanut, coureur cycliste indépendant dans les années 1950. 1 heure 4 minutes.
  • 2006 : Maurice Izier, coureur cycliste professionnel dans les années 1960. 1 heure.
  • 2006 : Toussaint en juin. 1 heure 3 minutes.
  • 2006 : Boris Lehman à Valence. 3 minutes.
  • 2006 : Lisa Rovner ce Cinématon qui faillit être le dernier. 5 minutes.
  • 2006 : En effet, cher Pierre Rissient, ceci aurait dû être votre Cinématon. 4 minutes.
  • 2006 : L'ascension de Notre-Dame de la Garde et la descente vers le Vieux-Port de Marseille. 1 heures 2 minutes.
  • 2006 : Teo Hernandez à Paris. 55 minutes.
  • 2006 : Notes Lyonnaises I (2002-2006). 2 heures 12 minutes.
  • 2006 : Crime contre le cinéma. 1 heures 40 minutes.
  • 2007 : Je crois avoir vu clair en toi. 40 minutes.
  • 2007 : Deux ou trois choses que je sais de Joseph Morder. 10 minutes.
  • 2007 : Vagues barbares. 51 minutes.
  • 2007 : Jean-François Gallotte fait son cirque sur Zaléa TV. 1 heure 2 minutes.
  • 2007 : Sortie du port de Marseille en direction des îles du Frioul. 2 minutes 40 secondes.
  • 2007 : Voyage dans les îles du Frioul. 42 minutes.
  • 2007 : Alicudi 1 Bella. 1 heure 19 minutes.
  • 2007 : Alicudi 1 Bella II. 1 heure 19 minutes.
  • 2007 : Alicudi 2 Selvaggia. 1 heure 7 minutes.
  • 2007 : Alicudi 2 Selvaggia II. 1 heure 7 minutes.
  • 2007 : Alicudi 3 Lontana. 1 heure 19 minutes.
  • 2007 : Alicudi 3 Lontana II. 1 heure 19 minutes.
  • 2007 : Cendre et lumière. 1 heure 7 minutes.
  • 2007 : Rituels. 1 heure 54 minutes.
  • 2007 : Compression de ses propres films, 9 films : Le Journal de Joseph M (3 minutes), Alicudi 1 Bella (3 minutes), Alicudi 2 Selvaggia (3 minutes), Alicudi 3 Lontana (3 minutes), Dans la gloire intimes des nuages enflammés (3 minutes), Banlieue Est (3 minutes), Banlieue Ouest (1 minute 30 secondes), Massalia (1 minute 30 secondes), Burgundia (3 minutes).
  • 2007 : Alicudi 11 minutes.
  • 2007 : Dans la gloire intime des nuages enflammés. 1 heure 15 minutes.
  • 2007 : Dans la gloire intime des nuages enflammés II. 1 heure 15 minutes.
  • 2007 : Banlieue Est. 1 heure 10 minutes.
  • 2007 : Banlieue Est II. 1 heure 10 minutes.
  • 2007 : Banlieue Ouest. 42 minutes.
  • 2007 : Banlieue Ouest II. 42 minutes.
  • 2007 : Massalia. 27 minutes.
  • 2007 : Massalia II. 27 minutes.
  • 2007 : Burgundia. 1 heure 2 minutes.
  • 2007 : Burgundia II. 1 heure 2 minutes.
  • 2008 : Que restes-tu là ? 34 minutes.
  • 2008 : Les Aventures d'Eddie Turley II (1 heure 30) et Les Aventures d'Eddie Turley III. (1 heure 30).
  • 2008 : Dresde de sang et de feu. 1 heure 2 minutes.
  • 2008 : Dresde de sang et de feu II. 1 heure 2 minutes.
  • 2008 : Compression de ses propres films, 7 films : Dresde de sang et de feu (3 minutes), Louanges téméraires des heures divines (3 minutes), La Ville des fantômes (5 minutes), Les Aventures d'Eddie Turley II (4 minutes), Je meurs de soif, j'étouffe, je ne puis crier… (3 minutes), À travers l'univers (3 minutes), Derrière la nuit (3 minutes).
  • 2008 : Compression, 2 films : 2 ou 3 choses que je sais d'elle de Jean-Luc Godard (4 minutes), Théorème de Pier Paolo Pasolini (3 minutes).
  • 2008 : Louanges téméraires des heures divines. 1 heure 10 minutes.
  • 2008 : Louanges téméraires des heures divines II. 1 heure 10 minutes.
  • 2008 : Fêtes blanches. 1 heure 34 minutes.
  • 2008 : Jean Cocteau, Derek Jarman, Dresde de sang et de feu sur Radio Libertaire. 33 minutes.
  • 2008 : Coffret JM. 11 minutes.
  • 2008 : La Ville des fantômes. 2 heures 2 minutes.
  • 2008 : La Ville des fantômes II. 2 heures 2 minutes.
  • 2008 : Déambulation. 1 heure 26 minutes.
  • 2008 : À bloc. 1 heure 28 minutes.
  • 2008 : Dégueulasse, 4 épisodes : I. (3 minutes), II (3 minutes), III. (3 minutes), et IV (3 minute).
  • 2008 : Garçon. 3 minutes.
  • 2008 : Le Grand événement. 3 minutes.
  • 2008 : La Course des cœurs I. (3 minutes) et II (3 minutes).
  • 2008 : Une vraie fausse blonde. 3 minutes.
  • 2008 : Désolé, 3 épisodes : I. (3 minutes), II. (3 minutes), III (3 minutes).
  • 2008 : L'impossible retour. 15 minutes.
  • 2008 : Saint-Marcellin vu par Gérard Courant. 1 heure 56 minutes.
  • 2008 : Il ne s'est rien passé ou la vie particulière d'Élisa Point. 14 minutes.
  • 2008 : Promenade dans les lieux de mon enfance dijonnaise.. 1 heure 8 minutes.
  • 2008 : Le Tour du Lac Kir. 48 minutes.
  • 2008 : Enregistrement. 1 heure 10 minutes.
  • 2008 : Un soir à Gennevilliers. 19 minutes.
  • 2008 : Illuminations. 1 heure 3 minutes.
  • 2008 : Rétrocompression. 46 minutes.
  • 2009 : D'où vient cette source mystérieuse ? 32 minutes.
  • 2009 : Dégueulasse, 5 épisodes : V (5 minutes), VI (5 minutes), VII (4 minutes), VIII (4 minutes) et IX (4 minutes).
  • 2009 : Flammes marines. 44 minutes.
  • 2009 : Compression de 20 Cinématon pour les 20 ans de Bref 1 les cinéastes. 8 minutes.
  • 2009 : Compression de 20 Cinématon pour les 20 ans de Bref 2 les critiques. 8 minutes.
  • 2009 : Spoonful II. 1 heure 15 minutes.
  • 2009 : Compression, 20 films : Les Hautes solitudes de Philippe Garrel (3 minutes), La Mort de Maria Malibran de Werner Schroeter (5 minutes), Le Lit de la vierge de Philippe Garrel (4 minutes), Le Révélateur de Philippe Garrel (3 minutes), Hurlements en faveur de Sade de Guy Debord (3 minutes), La Gran Via de Rita Jones (3 minutes), In girum imus nocte et consumimur igni (3 minutes), La Société du spectacle de Guy Debord (3 minutes), Les jeux de société d'Éric Rohmer (3 minutes), 44 vues Lumière des Frères Lumière (4 minutes), Le Mépris de Jean-Luc Godard (4 minutes), La Bride sur le cou de Roger Vadim (3 minutes), La vérité d'Henri-Georges Clouzot (5 minutes), Haine, amour et trahison de Mario Bonnard (4 minutes), Rendez-vous à Rio de Ralph Thomas (4 minutes), En cas de malheur de Claude Autant-Lara (5 minutes), La Mariée est trop belle de Pierre Gaspard-Huit (4 minutes), Et Dieu... créa la femme de Roger Vadim (4 minutes), William Wilson de Louis Malle (3 minutes), Viva Maria ! de Louis Malle (5 minutes).
  • 2009 : Compression de ses propres films, 2 films : Spoonful (3 minutes), La Neige tremblait sur les arbres (3 minutes).
  • 2009 : La Neige tremblait sur les arbres II. 1 heure 19 minutes.
  • 2009 : Montre Œil Mon Œil. 3 minutes.
  • 2009 : Tout était clair. 2 heures 8 minutes.
  • 2009 : L'Anniversaire de Bambou. 1 heure 36 minutes.
  • 2009 : Direction Sud-Est. 1 heure 28 minutes.
  • 2009 : Retour à l'Eldorado. 28 minutes.
  • 2009 : Week-end à Cabrières d'Avignon. 1 heure 54 minutes.
  • 2009 : Werner et Nenad. 1 heure 16 minutes.
  • 2009 : Neiges. 1 heure 1 minute.
  • 2009 : Tempête de neige sur Dijon. 1 heure 2 minutes.

2010 - 2019[modifier | modifier le code]

2020 - 2029[modifier | modifier le code]

  • 2020 : À quoi rêvent les montagnes ? 1 heure 5 minutes.
  • 2020 : Compression, 26 films : Joan the Woman de Cecil B. DeMille (6 minutes 6 secondes), Foolish Wives de Erich Von Stroheim (6 minutes 16 secondes), Der Golem : Wer in der in die Welt kam de Paul Wegener et Carol Boese (4 minutes), Le Voyage dans la lune de Georges Méliès (1’ 05’’), The Rounders de Charlie Chaplin (1 minute 4 secondes), Le Voyage vers Jupiter de Segundo de Chomón (55 secondes), Les Aventures du Prince Ahmed de Lotte Reineger (3 minutes 9 secondes), Le Songe d’un garçon de café d’Émile Cohl (45 secondes), L’Automne du cœur de Léonce Perret (1 minute 1 secondes), Fièvre de Louis Delluc (1 minute 47 secondes), Le Mystère des roches de Kador de Léonce Perret (2 minutes 17 secondes), Close-up de Abbas Kiarostami (4 minutes 31 secondes), Souvenirs de la maison jaune de Joao César Monteiro (5 minutes 18 secondes), Das Cabinet des Dr. Caligari de Robert Wiene (3 minutes 33), A Dog's Life de Charlie Chaplin (1 minute 51 secondes), The Adventures de Charlie Chaplin (1 minute 35 secondes), Vive la vie de garçon de Max Linder (57 secondes), Max fait de la photo de Max Linder (1 minute 5 secondes), Barbe-Bleue de Georges Méliès (37 secondes), Drat That Boy de Robert W. Paul (37 secondes), Espagne d’Alice Guy (57 secondes), Faust et Méphistophélès d’Alice Guy (37 secondes), L’Émeute d’Alice Guy (43 secondes), La Glu d’Alice Guy (42 secondes), Ambiancé – The short Trailer d’Anders Weberg (18 minutes 14 secondes), La Vénus de l’or de Jean Delannoy (3 minutes).
  • 2020 : Compression de ses propres films, 10 films : La Traversée de Lyon (3 minutes), Les Deux Lyon (3 minutes), Seulement Lyon (3 minutes), Le Cœur de Lyon (3 minutes), C’est Lyon (3 minutes), Ici Lyon (3 minutes), Une heure à Lyon (3 minutes), La Ballade de Lyon (3 minutes), Le Rendez-vous de Lyon (3 minutes), La Marche de Lyon (4 minutes).
  • 2020 : Boris Lehman à Toulouse. 14 minutes.
  • 2020 : La Vengeance du Temps. 1 heure 15 minutes.
  • 2020 : Les Ombres mystérieuses des fantômes disparus. 1 heure 5 minutes.
  • 2020 : Ignis. 1 heure 5 minutes.
  • 2020 : Priay en juin. 1 heure 14 minutes.
  • 2020 : Ici, Paris. 31 minutes.
  • 2020 : Paris-sous-Bois. 36 minutes.
  • 2020 : C’est Paris. 39 minutes.
  • 2020 : Les Cinématons et autres portraits filmés chez Anne Teyssèdre. 31 minutes.
  • 2020 : Le Soleil de Paris. 31 minutes.
  • 2020 : Priay du bas en haut. 33 minutes.
  • 2020 : La Marche de Lyon. 1 heure 29 minutes.
  • 2020 : Priay en août. 30 minutes.
  • 2020 : Dérapages. 3 minutes 10 secondes.
  • 2020 : L’Esclave du Temps. 1 heure 14 minutes.
  • 2020 : Vacances dijonnaises. 52 minutes.
  • 2020 : La Valse de Dijon. 1 heure 21 minutes.
  • 2020 : MCMLXIX – MMXX Les Carnets filmés d'une vie. 30 minutes.
  • 2021 : Compression, 3 films : Compression Aquila nera de Riccardo Freda (4 minutes), Compression Empire (after Andy Warhol) de Eric Doeringer (20 minutes), Compression Sleep d'Andy Warhol (13 minutes 24 secondes)
  • 2021 : À cheval sur le 21. 1 heure 13 minutes.
  • 2021 : Du côté de la Côte d'Or. 1 heure 35 minutes.
  • 2021 : Nuit sans réveil. 1 heure 23 minutes.
  • 2021 : Zindagi Ittefaq Hai kaléidoscopique. 4 minutes 45 secondes.
  • 2021 : Ho O, Suno To Jani, Ho O Meri Kahani kaléidoscopique. 4 minutes 17 secondes.
  • 2021 : Uljhan Suljhe Na Rasta Sujhe Na kaléidoscopique. 4 minutes 56 secondes.
  • 2021 : Bhali Bhali Si Ek Surat kaléidoscopique. 4 minutes 39 secondes.
  • 2021 : Ang Lag Jaa Balma kaléidoscopique. 5 minutes 27 secondes.
  • 2021 : Chehre Pe Kushi Chhaa Jaati Hai kaléidoscopique. 4 minutes 06 secondes.
  • 2021 : Aage Bhi Jaane Na Tu kaléidoscopique. 6 minutes 08 secondes.
  • 2021 : Kaise Murli Bajaye Ghanshyam kaléidoscopique. 5 minutes 46 secondes.
  • 2021 : Tu Tu Hai Wahi, Dil Ne Jise Apna Kaha kaléidoscopique. 7 minutes 12 secondes.
  • 2021 : Jeene Do Aur Jeeo kaléidoscopique. 3 minutes 51 secondes.
  • 2021 : Log Aurat Ko kaléidoscopique. 5 minutes 38 secondes.
  • 2021 : Ghunghroo Toot Gaye kaléidoscopique. 7 minutes 18 secondes.
  • 2021 : Pyar Hai Pyar kaléidoscopique. 5 minutes 37 secondes.
  • 2021 : Itni Jaldi Na Karo kaléidoscopique. 4 minutes 48 secondes.
  • 2021 : Jaane Jaan Dhoondta Phir Raha kaléidoscopique. 6 minutes 28 secondes.
  • 2021 : Les Rêves cinétiques d'un montreur d'ombres. 2 heures 08 minutes.
  • 2021 : Jusqu'au bout de Dijon. 37 minutes.
  • 2021 : La dolce città. 39 minutes.
  • 2021 : Je suis essentiel. 45 minutes.
  • 2021 : Le Château des Allymes. 39 minutes.
  • 2021 : À la lyonnaise. 1 heure 25 minutes.
  • 2021 : Ergasterium Atomicum. 28 minutes.
  • 2021 : Castellum Mediaevale. 10 minutes.
  • 2021 : Lacus. 31 minutes.
  • 2021 : Flumen. 4 minutes 30 secondes.
  • 2021 : Pons. 31 minutes.
  • 2021 : Imagine in oglinda. 4 minutes 37 secondes.
  • 2021 : Ventus. 31 minutes.
  • 2021 : Pluvia. 31 minutes.
  • 2021 : Villagium. 1 heure 24 minutes.
  • 2021 : Marcignacum. 31 minutes.
  • 2021 : In Memoriam Jean-Claude Romer. 1 heure 8 minutes.
  • 2021 : Solitudes en ruine. 32 minutes.
  • 2021 : Complot de complaisance. 1 heure 18 minutes.
  • 2021 : La Remise du grand Prix Morlock 2021 à Philippe Truffault. 10 minutes.
  • 2021 : Les Malheurs d'Émile Cohl. 11 minutes.
  • 2021 : Soleil mouillé. 28 minutes.
  • 2021 : La Marche de Dijon. 1 heure 26 minutes.
  • 2021 : Unique. 1 heure 43 minutes.
  • 2022 : Les Malheurs de Sergueï Paradjanov. 3 minutes.
  • 2022 : Les Malheurs de Luis Buñuel. 7 minutes.
  • 2022 : Le Chemin de Burzet. 2 minutes 14 secondes.
  • 2022 : Les Malheurs de Georges Méliès. 3 minutes.
  • 2022 : Faites-moi plutôt ici mourir. 1 heure 08 minutes.
  • 2022 : Le Défilé du 1er mai 2022 à Paris. 37 minutes.
  • 2022 : Compression, 9 films, Compression Le Triporteur de Jack Pinoteau (4 minutes), Compression La Fin des Pyrénées de Jean-Pierre Lajournade (3 minutes), Compression Les Parapluies de Cherbourg de Jacques Demy (4 minutes), Compression Les Demoiselles de Rochefort de Jacques Demy (5 minutes), Compression Un chien andalou de Luis Buñuel (1 minute), Compression Il bandito de Alberto Lattuada (4 minutes), Compression Anna de Alberto Lattuada (4 minutes), Compression Cristaux de Teo Hernandez (3 minutes), The Incredible Shrinking Man de Jack Arnold (4 minutes).
  • 2022 : Garance fait son show. 50 minutes.
  • 2022 : Soirée estivale en Bugey. 12 minutes.
  • 2022 : Lyon 2022. 1 heure 18 minutes.
  • 2022 : Le Départ de la 2ème étape Saint-Vulbas - Lagnieu du Tour de l'Ain 2022. 1 heure.
  • 2022 : À dire vrai. 27 minutes.
  • 2022 : De Philippe Dumas à Boris Moissard. 28 minutes.
  • 2022 : Le Paradis normand de Philippe Dumas. 1 heure 5 minutes.
  • 2022 : Les Choses vues de Philippe Dumas. 57 minutes.
  • 2022 : Le Repaire normand de Boris Moissard. 31 minutes.
  • 2022 : Philippe Dumas persiste et signe. 22 minutes.
  • 2022 : Boris Moissard se met à table. 1 heure 13 minutes.
  • 2022 : FIFIGROT et pataphysique. 1 heure 17 minutes.
  • 2022 : De Groland au FIFIGROT. 1 heure 26 minutes.
  • 2022 : Entr'acte, le retour... 100 ans après. 1 heure 10 minutes.
  • 2022 : Entr'acte, le retour... 100 ans après (version phanérothyme). 1 heure 10 minutes.
  • 2022 : La Cérémonie de remise des prix du FIFIGROT 2022. 47 minutes.
  • 2022 : Compression À la lyonnaise. 4 minutes.
  • 2022 : Compression Lyon 2022. 3 minutes 35 secondes.
  • 2022 : Les Funérailles d'Yvette Courant. 36 minutes.
  • 2022 : Le Cyclo-cross international de Dijon. 56 minutes.
  • 2022 : Collégiales bourguignonnes. 55 minutes.
  • 2022 : Dijon, toujours. 1 heure 22 minutes.
  • 2023 : Les Malheurs de Marc Allégret. 5 minutes.
  • 2023 : Les Malheurs de Yvan Noé. 5 minutes.
  • 2023 : Dis-nous ce que tu sais. 58 minutes.
  • 2023 : Lyon en 96 minutes. 1 heure 36 minutes.
  • 2023 : Idanus. 1 heure 17 minutes.
  • 2023 : Des eaux petites et grandes. 1 heure 37 minutes.
  • 2023 : Les Malheurs de Paul Cadéac. 1 minute 32 secondes.
  • 2023 : Compression, 290 films.

Acteur[modifier | modifier le code]

Rôles dans ses propres films[modifier | modifier le code]

  • 1977 : Urgent ou à quoi bon exécuter des projets puisque le projet est en lui-même une jouissance suffisante
  • 1977 : Cinématon no 0
  • 1977 : Aurore collective
  • 1978 : Le Contrebandier des profondeurs
  • 1979 : Hérésie pour Magritte IV
  • 1979 : Un sanglant symbole
  • 1979 : Jardins clandestins
  • 1981 : C'est Salonique
  • 1981 : La Neige tremblait sur les arbres
  • 1981 : Sponfull
  • 1982 : Montagnes endormies
  • 1983 : Printemps météore
  • 1983 : Le Monde impatient
  • 1983 : Genova Genova
  • 1984 : La Marche du temps
  • 1985 : Nuits transparentes
  • 1985 : À propos de la Grèce
  • 1985 : Portrait de groupe
  • 1986 : Les Jours et les nuits
  • 1987 : Le Passeur immobile
  • 1987 : Les Aventures d'Eddie Turley
  • 1987 : Cinématon no 1000
  • 1988 : Cinématon no 1001
  • 1988 : L'Artifice et le factice
  • 1991 : Le Nouvel hiver
  • 1992 : La Terre des vivants
  • 1993 : Petit traité de chevalerie Morlock en vélocipède Prix d'interprétation Morlock au festival du cinéma indépendant de Châteauroux 1993.
  • 1993 : Vie
  • 1994 : le Passager solitaire
  • 1995 : Itinéraires héréditaires
  • 1995 : Le Passé retrouvé
  • 1995 : Le Ciel écarlate
  • 1996 : Olivier Dazat ou l'amour du vélo
  • 1996 : Janine Anquetil la dame blonde
  • 1996 : Chambéry-Les Arcs, une vélographie de Gérard Courant
  • 1997 : Amours décolorées
  • 1998 : Le Nouveau désert
  • 1999 : Le Journal de Joseph M.
  • 1999 : Derrière la nuit
  • 2000 : Tout est brisé
  • 2000 : Cinématon no 2000
  • 2001 : 2000 Cinématons
  • 2001 : Florence Loiret Caille, Cinématon no 2013
  • 2001 : Lucia Sanchez, Cinématon no 2014
  • 2002 : Périssable paradis
  • 2002 : Périssable paradis II (Notes pour un monde nouveau)
  • 2002 : Zones césariennes
  • 2003 : Car seuls les nouveaux dieux ont mordu la pomme de l'amour
  • 2003 : 24 Passions
  • 2004 : Délices lointains
  • 2004 : Causerie d'un Martien en exil à Lyon
  • 2007 : Jean-François Gallotte fait son cirque sur Zaléa TV
  • 2007 : Alicudi 1 Bella
  • 2007 : Alicudi 3 Lontana
  • 2007 : Rituels
  • 2008 : Alicudi
  • 2008 : Un soir à Gennevilliers

Rôles sous la direction d'autres réalisateurs[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

Participation à des ouvrages collectifs[modifier | modifier le code]

  • 1978 : Dix ans après Mai 68... Aspects du cinéma de contestation, sous la direction de Guy Hennebelle et Robert Prot, CinémAction no 1.
  • 1979 : Modi del cinema sperimentale europeo, sous la direction de Ester de Miro, Il Gergo inquieto.
  • 1980 : La linea in movimento, sous la direction de Rinaldo Bianda, galerie Flaviana.
  • 1985 : Youssef Chahine, l’alexandrin, sous la direction de Christian Bosséno, CinémAction no 33.
  • 1985 : Paris vu par le cinéma d’avant-garde 1923-1983, sous la direction de Prosper Hillairet, Christian Lebrat et Patrice Rollet, Paris expérimental.
  • 1988 : Jacques Tourneur, sous la direction de Valeria Ciompi, Miguel Marias et Toni Partearroyo, Festival International de Cine de San Sebastián et Filmoteca española.
  • 1989 : Le cinéma selon Godard, sous la direction de René Prédal, CinémAction no 52.
  • 1990 : Une encyclopédie des cinémas de Belgique, sous la direction de Guy Jungblut, Patrick Leboutte et Dominique Païni, Yellow Now et Musée d’Art Moderne de Paris.
  • 1991 : Un petit vélo dans la tête, sous la direction de Geneviève Picot et Gérard Picot, Jean-Pierre de Monza.
  • 1997 : Éloge des Serbes, sous la direction d'Alain Paucard, L'Âge d'Homme.
  • 2001 : Jeune, dure et pure ! Une histoire du cinéma d’avant-garde et expérimental en France, sous la direction de Nicole Brenez et Christian Lebrat, Cinémathèque Française et Mazzotta.
  • 2004 : Une encyclopédie du court métrage français, sous la direction de Jacques Kermabon et Jacky Évrard, Yellow Now.
  • 2005 : Les Ronchons flingueurs, sous la direction d'Alain Paucard, L'Âge d'Homme.
  • 2011 : Ocaña 1973-1983: acciones, actuaciones, activismo, sous la direction de Pedro G. Romero, La Virreina Centre de la Imatge (Barcelone) et Centro Cultural Montehermoso Kulturunea (Vitoria-Gasteiz).
  • 2012 : Cinémas en campagne, sous la direction de Jacques Gerstenkorn et Martin Goutte, Fage.
  • 2013 : Philippe Garrel, sous la direction de Dominik Bak, Ciné-festivals et Le Magic Cinéma.
  • 2018 : Werner Schroeter, sous la direction de Roy Grundmann, FilmmuseumSynemaPublikationen.
  • 2020 : Post-Cinema de Dominique Chateau et José Moure, Amsterdam University Press.
  • 2021 : Souvenirs de cinéma, sous la direction de Jean-Luc Chemorin, Marcynéma.
  • 2023 : Claude Duneton façon puzzle, sous la direction de Catherine Merle, Gisèle Joly et Pierre Chalmin, Unicité.
  • 2023 : L'histoire d'une histoire du cinéma, sous la direction de Enrico Camporesi et Jonathan Pouthier, Paris expérimental.

Autres participations à des ouvrages[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

  • 1977 : Prix spécial du jury, Festival des jeunes auteurs, Belfort, pour Urgent ou à quoi bon exécuter des projets puisque le projet est en lui-même une jouissance suffisante
  • 1978 : Prix Morlock, Festival Cinémarge, La Rochelle, pour Rasage et Cinématon
  • 1978 : Prix Morlock, Festival de Namur, pour L'Âge doré
  • 1980 : Prix, Festival Cinéma en marge, Paris, pour Aditya
  • 1981 : Prix spécial, Festival du super 8, Thessalonique, pour Cœur bleu
  • 1984 : Bourse d'études, décerné par l'Institut Goethe, Berlin-Ouest
  • 1985 : Bourse Artiste invité international, décerné par le conseil des arts du Canada, Montréal
  • 1991 : Homenaje a Gérard Courant por la riqueza de sus investigaciones en busca de une nueva cinematografica, 1re semaine du cinéma expérimental, Madrid
  • 1993 : Prix d'interprétation Morlock, 7e Festival du cinéma indépendant, Châteauroux, pour Petit traité de chevalerie Morlock en vélocipède
  • 1993 : Prix Alfred-Verdaguer[11], décerné par l'Institut de France (Académie française), pour Lire et Cinématon
  • 1994 : prix Villa Médicis hors les murs, Moscou
  • 1996 : prix spécial pour l'ensemble de son œuvre, 10e Festival du cinéma indépendant, Châteauroux
  • 2005 : prix spécial du jury pour l'ensemble de son œuvre, 1er festival de Bagdad
  • 2011 : prix spécial, 4e Gulf Film Festival, Dubaï.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Archives municipales de Lyon, 4e arrondissement, tables décennales des naissances 1943-1952, cote 2E2796
  2. Remarque : il n'a aucun lien de parenté avec le directeur de la photographie allemand Curt Courant.
  3. a b c et d Cinématon, éditions Henri Veyrier.
  4. Dictionnaire du cinéma, Larousse.
  5. Guide des films, éditions Robert Laffont.
  6. Encyclopædia Universalis.
  7. Cahiers du cinéma, no 573.
  8. « Liste des personnalités signataires de l'Appel », sur nonguerre.chez.com.
  9. Renaud Dély, « L'extrême droite ratisse large contre les frappes de l'Otan. Le «Collectif non à la guerre» a tenu une réunion proserbe hier soir », sur liberation.fr, .
  10. a et b Film inachevé.
  11. Voir sur institut-de-france.fr.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • 2011 : Est-ce du cinéma ? de Salah Sermini, éditions Gulf Film Festival, Dubaï (Émirats arabes unis)
  • 2019 : L'œuvre filmée de Gérard Courant d'Estelle Pajot, éditions Association des écrivains et critiques de cinéma égyptiens et Alexandria Film Festival for Mediterranean Countries (traduction en arabe : Salah Sermini), Le Caire (Égypte)

Films sur l'œuvre cinématographique de Gérard Courant[modifier | modifier le code]

  • 1985 : Gérard Courant filme Cinématon de Teo Hernandez.
  • 1985 : Wie Lange hält die Maske? de Florian Hopf.
  • 1985 : Gérard Courant à La Motte-Piquet de Nicolas Plateau.
  • 1985 : Supereight de Jo Comino.
  • 1986 : Cinématé de Dominique Laudijois.
  • 1986 : L'École des beaux-arts de Bourges filme Gérard Courant de Gilles Martinez.
  • 1986 : Nous aussi, Gérard Courant, nous avons fait un Cinématon de Pierre de Castillon et Sylvie Reymond-Lépine.
  • 1988 : Deux ex cinémachina filme Gérard Courant de Deux ex cinemachina.
  • 1988 : Courant Ultra-Violet de Jean-Marc Raynal.
  • 1997 : Cinématon de Gérard Martin.
  • 1997 : Le Tournage du Cinématon no 1885 de Chris Leblanc de Denys Desjardins.
  • 2002 : Cinématon de Jean-Claude Mocik.
  • 2004 : Le Calvaire du borgne de Marie Collin.
  • 2005 : Tentative de se décrire de Boris Lehman.
  • 2005 : Gérard Courant tourne le Cinématon de Salim Kechiouche de Rémi Lange.
  • 2006 : La Petite fabrique des Cinématons d'Anne-Laure Brénéol.
  • 2006 : Super 8 Paradise de Jérôme Oliveira.
  • 2008 : Gérard Courant ou l'art du Cinématon de Pierrick Moulins.
  • 2009 : Impressions de Johanna Vaude.
  • 2009 : Les Entretiens de CinéDV d'Aurelio Savini.
  • 2011 : Portrait de Gérard Courant de Jean-Noël Mirande
  • 2012 : Gérard Courant de Arnau Vilaro et Ramiro Ledo.
  • 2014 : Metacinématon - Gérard Courant de Roberta Gialotti.
  • 2015 : Pour liquider l'histoire d'Ève de Tanguy Marzin.
  • 2018 : Salvalmas (clip musical du groupe Labison) de Luisa Salazar.
  • 2019 : Vous connaissez le Cinématon d'Alfred Hitchcock ? de Philippe Truffault
  • 2019 : C'est quoi le Cinématon ? de Nasreddine Djemaa
  • 2019 : Gérard Courant, cinéaste descendant des frères Lumière de Nasreddine Djemaa
  • 2020 : Le Coup de cœur de Miss Ming : Gérard Courant de Candy Ming
  • 2021 : Journal filmé #210 de Arnaud de la Cotte

Liens externes[modifier | modifier le code]