Gélaucourt

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Gélaucourt
Gélaucourt
La mairie.
Blason de Gélaucourt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud Toulois
Maire
Mandat
Michel Capdevielle
2020-2026
Code postal 54115
Code commune 54218
Démographie
Gentilé Gillois, Gilloises [1]
Population
municipale
51 hab. (2021 en diminution de 20,31 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 19″ nord, 5° 59′ 25″ est
Altitude Min. 295 m
Max. 395 m
Superficie 2,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Meine au Saintois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Gélaucourt
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Gélaucourt
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Gélaucourt

Gélaucourt est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Gillois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Gélaucourt est un petit village de la campagne vallonnée du Saintois, à 9 km au sud-ouest de Vézelise et à 8 km à l'ouest de la colline de Sion. Le Rosières, ruisseau venu de Favières et coulant vers le Brénon, traverse la commune[2]. Arrosé par le ruisseau de Velle[3], le territoire communal de 231 hectares comprenait , d'après les données Corine land Cover, en 2011, 69 % de prairies, 2 % de forêt et 13 % de zones agricoles[4]. Il est desservi par la route départementale n° 5 .

Fig. 1 - Gelaucourt (ban communal).

Les documents historiques mettent en avant la réputation des sources de la commune[5].

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Gélaucourt
Laloeuf
Favières Gélaucourt
Battigny

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 913 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 15 km à vol d'oiseau[8], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gélaucourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (69 %), terres arables (14,2 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), forêts (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Lou fié de Velaicort (1267) ; Gillocourt (1295) ; Gelocourt (1398) ; Gilocourt, Giloncourt (1408) ; Gilloncourt (1487) ; Velacourt (1492) ; Gellocourt (1550) sont les graphies recensées par le dictionnaire topographique de la Meurthe[19]. Conformément aux règles d'évolutions de la langue française, la première consonne oscille entre le [v] et le [g].

Le pouillé ecclésiastique de B. Picart cite la forme latinisée Gélacuria, reprise par H. Lepage.

Microtoponymie[modifier | modifier le code]

Les documents historiques citent les écarts suivants :

Fermes ou Cense de Grolot (Groulot), Giroué et une métairie de Vermillère[20] qui se trouve de fait sur le territoire de la commune de Battigny, un moulin et une forge sont évoqués pour lesquels on trouve une mention Moulin René sur les cartes IGN[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Présence gallo-romaine : le répertoire de Beaupré reprend les découvertes d'Étienne Olry :

« Substructions avec monnaies et armes au lieu-dit Les neuves maisons, ancienne voie, appelée Chemin du Paradis (Olry)[22]»

Ainsi que l'écrit l'abbé Grosse dan son ouvrage de 1836[20], l'origine du village est incertaine, mais étroitement liée à ses voisins Battigny et Puxe :

«On ignore à quelle époque Gelaucourt a été bâti ; la moitié de ce village avait pour paroisse l'église de Battigny, et l'autre moitié, l'église de Puxe. La chapelle de Gelaucourt, dédiée à saint Florentin, n'avait point de titre paroissial. Le duc de Lorraine était seigneur de ce village, pour le comté de Vaudémont depuis 1594. »

On lit d'ailleurs dans ces documents que les habitants devaient nombre de services (garde, fauchage, etc.) tant aux château de Vaudémont qu'aux habitants de Battigny, pour lesquels ils ne recevaient parfois qu'une simple miche de pain.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 ? Michel Capdevielle[23],[24]   Ancien cadre
2014 2020 Michel Capdevielle    
2020 En cours Michel Capdevielle[25]    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune est récompensée depuis 2005 par la distinction Grand Prix et quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris[26].

En 2007, Gélaucourt représentait la France au concours de l'Entente florale européenne, catégorie Villages. La commune a reçu une médaille d'argent[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 51 habitants[Note 4], en diminution de 20,31 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
10010690111144148135145137
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
110106106959193839386
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
787659564543426148
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
412932324557585864
2020 2021 - - - - - - -
5351-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Henri Lepage donne quelques indications à caractère économique dans son ouvrage de 1843[32] que l'abbé Grosse avait complété dans le sien :

«.Surf.territ.: 225 hect.; 162 en terres lab., 45 en prés, 5 en vignes. Un moulin …. le reste en pâtis, jardins (Grosse)..»

indiquant tous deux le caractère agricole voire modestement viticole de l'activité.

Secteur primaire ou agriculture[modifier | modifier le code]

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[33]), la commune de Gélaucourt était majoritairement orientée[Note 5] sur l'élevage d'herbivores[Note 6] (auparavant sur l'élevage de Bovins) sur une surface agricole utilisée[Note 7] d'environ 7 hectares (en deçà de la surface cultivable communale) très variable depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail n'est que de 4. Il n'y avait plus que 2 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 1 unité de travail[Note 8].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Habitat des XVIIe et XVIIIe siècle.
  • Commune sans église.( H. Lepage explique qu'il y avait une chapelle dédiée à saint Florentin, bâtie pour la commodité du peuple, qui, au refus du curé de Puxe ou de celui de Battigny pouvait y faire dire la messe par un autre prêtre[32].)
  • La chapelle Saint-Florentin a été détruite en 1899, une croix marque son emplacement ; son clocher a été dressé sur le toit de la mairie.
  • La mairie abrite une sculpture en bois représentant saint Florentin et une Vierge à l'Enfant de la même main, datées de 1650 environ, classées monuments historiques.
  • Calvaire Saint-Florentin du XVIIe siècle.
  • Jardin d'eau de l'Aubepré (label "Jardin remarquable")

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gélaucourt Blason
D'azur au dextrochère de carnation, vêtu de gueules, mouvant du flanc senestre, la main traversée par le dessus d'une flèche d'or la pointe en bas, le tout soutenu d'une biche gisante contournée d'argent.
Détails
Gélaucourt ou Gillocourt signifie la ferme de Gilles; le blason illustre donc la légende de Saint Gilles. Saint Gilles vivait en ermite dans une forêt et se nourrissait du lait d'une biche qui se laissait traire par le saint. Un jour Charles Martel vint à chasser dans la forêt et les chiens suivirent la piste de la biche qui accourut se réfugier près du saint. Un veneur tira, sa flèche atteignit la main de Saint Gilles.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Le Calvaire Saint-Florentin de Gélaucourt[35].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Bovins , ovins et caprins.
  7. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  8. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Non recensé par le SANDRE
  3. « Ruisseau de velle [A5400760] - Cours d'eau », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  4. « Fiche ma Commune », sur SIGES (BRGM) (consulté le ).
  5. Charles SADOUL, « Le pays Lorrain », Le pays Lorrain,‎ , p. 131 (lire en ligne) :

    « Les esprits se montaient autour de phénomènes supranaturels, comme les reliques de saint Amon à Saulxerottes ou comme les sources de Gélaucourt. »

    .
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Gélaucourt et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
  20. a et b E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 1278248951 et 9781278248950, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 54.
  21. 48.458136 , 5.981077
  22. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaine et mérovingienne, A. Crépin-Leblond, (OCLC 26749408, lire en ligne), p. 66.
  23. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  25. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur Est Républicain (consulté le ).
  26. Source : Villes et Villages Fleuris
  27. Entente florale
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. a et b Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Première partie : statistique historique et administrative , Nancy, Imprimerie PEIFFER, 1843, P 66 - https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96225005
  33. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  34. Courbe, Charles., Promenades historiques à travers les rues de Nancy au XVIIIe siècle, à l'époque révolutionnaire et de nos jours. Recherches sur les hommes et les choses de ces temps : par Ch. Courbe. (Préface de Louis Lallement.)., L'auteur, (OCLC 457253678, lire en ligne), p. 177-178.
  35. administrateur in 54- Meurthe-et-Moselle et Histoire Locale, « Le Calvaire Saint-Florentin de Gélaucourt (Meurthe-et-Moselle) », sur Histoire de France - Communiqués, (consulté le ).