Franconville (Val-d'Oise)

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Franconville
Franconville (Val-d'Oise)
La mairie.
Blason de Franconville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Argenteuil
Intercommunalité CA Val Parisis
Maire
Mandat
Xavier Melki (LR)
2020-2026
Code postal 95130
Code commune 95252
Démographie
Gentilé Franconvillois
Population
municipale
37 520 hab. (2021 en augmentation de 7,45 % par rapport à 2015)
Densité 6 061 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 20″ nord, 2° 13′ 32″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 167 m
Superficie 6,19 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Franconville
(bureau centralisateur)
Législatives 4e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Franconville
Liens
Site web https://www.ville-franconville.fr/

Franconville ou Franconville-la-Garenne, nom d'usage de la municipalité, est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France. Elle est la cinquième ville du département par sa population.

Ses habitants sont appelés les Franconvillois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Franconville se situe à vingt kilomètres au nord-ouest de Paris, dans la vallée de Montmorency.

Ses voies principales sont, d'est en ouest, la rue de l'Orme-Saint-Edme, la rue de la Station, le boulevard Maurice-Berteaux, la rue du Plessis-Bouchard et, du sud au nord, la rue du Général-Leclerc, le boulevard Rhin-et-Danube et la chaussée Jules-César.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Franconville se situe au centre de la vallée de Montmorency. Les zones habitées occupent pour l'essentiel le fond de la vallée, à une soixantaine de mètres d'altitude, et sont dominées par un ensemble de buttes-témoins boisées à l'ouest nommées buttes du Parisis, qui atteignent 167 mètres d'altitude.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'autoroute A15 qui relie Gennevilliers à Cergy, l'autoroute A115 de Franconville à Méry-sur-Oise et Auvers-sur-Oise et la route départementale 14 qui relie Paris à Rouen via Pontoise et le Vexin.

Franconville est desservie par la gare Franconville - Le Plessis-Bouchard située sur son territoire.
La ligne Paris - Pontoise traverse la ville depuis 1846, devenue la ligne H du Transilien Paris-Nord reliant la Gare du Nord à Pontoise. Par ailleurs, Franconville est desservi par la ligne C du RER depuis 1988.

La commune est également desservie par les réseaux des Cars Lacroix (Lignes 30.03, 30.12, 30.14, 30.37, 30.48 et CitéVal Franconville), du réseau de bus Busval d'Oise (Ligne 95.19) de la RATP (Ligne 261) et du Noctilien (Ligne N150).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 650 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontoise à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Franconville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Franconville est composée à la fois de zones d'habitations denses et de zones pavillonnaires.

Commune jusqu'alors rurale dont les champs s'étendaient sur la majeure partie du territoire, une politique d'urbanisation est entreprise à partir de 1962 et se prolongera dans les années 1970, avec la construction de quartiers résidentiels et nouvelles infrastructures (notamment écoles et collège, centres de sports et loisirs).

En 2009, la politique d'urbanisme prend un nouvel essor avec la décision du conseil municipal de construire 1500 logements sur six ans dans le cadre du plan local d'urbanisme.

La place Charles-de-Gaulle dans le centre-ville.

Logement social[modifier | modifier le code]

La part de logement social à Franconville a atteint jusqu'à 35 % au début des années 1980 avant de décroître sous la majorité de Francis Delattre (UDF-DL puis UMP) depuis 1983. 27,5 % de logements sociaux étaient comptabilisés en 2000, 23,9 % en 2005[16] (alors que selon la mairie, la commune compte 3 350 logements sociaux soit 26 % de l'effectif total[17]) et 24,7 % en 2008. La ville remplissait donc les conditions posées par la loi SRU imposant pour les communes franciliennes d'au moins 1500 habitants un minimum de 20 % de logements sociaux, avant que ce taux soit porté à 25 % en 2013[18]

Le parc social de Franconville date pour l'essentiel des années 1960 et 1970] qui ont vu la population communale croître rapidement sous les mandats des prédécesseurs du maire, André Blondé (UDF-PR) de 1959 à 1977 et Annie Brunet (PCF) de 1977 à 1983.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Au fil des siècles, on relève ces différentes formes du nom de Franconville : Francorum Villa (1137), Francurtvilla (vers 1150), Francorvilla (1205), Franconvilla (1352), Franconville-la-Garenne (1382), Francovilla (1525), Franconville-la-Libre (1793)[19]...

Francorum Villa peut se traduire par domaine des Francs. Quant au mot garenne, il vient du bas latin warenna, désigne une réserve de chasse[20] et fut sans doute ajouté pour distinguer Franconville-la-Garenne d’un autre Franconville-[aux-Bois], ancienne seigneurie "absorbée" au XVIIIe siècle par la paroisse de Saint-Martin-du-Tertre.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'abbé Suger (1081-1151).

Antiquité et Moyen Âge[modifier | modifier le code]

L’histoire ancienne de Franconville est fort mal connue. Dans leurs publications respectives, les historiens locaux divergent sur la date de la première mention du nom de la commune dans les archives. Aujourd’hui, ce sont les thèses du Franconvillois André Vaquier qui font autorité : selon lui, le nom de Franconville apparaît pour la première fois en 1137, année de rédaction du testament de l’abbé Suger de Saint-Denis, seigneur de l’époque.

L’historien Henri Mataigne, dans l’ouvrage qu’il consacre à Franconville[21], évoque une date beaucoup plus ancienne, 860, mais ne donne aucune indication permettant de retrouver le document auquel il se réfère.

Cependant, l’étymologie du nom de la ville (Francorum Villa : domaine des Francs[22]) incline à penser que la ville existe bien avant les écrits de l’abbé Suger. Elle se constitue sans doute le long du « grand chemin de Pontoise » (rue de Paris et rue du Général-Leclerc). Le cœur de la « ville » se situe alors à l'emplacement de l'actuelle église. Plus au nord, séparée du village par des terres en friche, se trouve la chaussée Jules César, ancienne voie romaine de Lutèce à Lillebonne, construite dans les années 11-12 avant Jésus-Christ[23].

Armes de la famille Bateste[Note 3].

Bois, marais et terres incultes, voilà ce qui constitue l’environnement immédiat des premiers habitants de Franconville. Réfugiés sur les flancs de la butte de Cormeilles, à l'abri des inondations, ils vivent, difficilement, du travail de la terre et sans doute trouvent-ils, grâce au « grand chemin », une occasion de commercer.

Aux XIe et XIIe siècles, la terre de Franconville est morcelée entre divers seigneurs : l'abbaye de Saint-Denis, les barons de Montmorency mais aussi de commanderie de Cernay des Templiers. Un des vassaux des barons de Montmorency, Guillaume Bateste, est le premier seigneur résident de Franconville identifié. Au début du XIIIe siècle, celui-ci fait construire un château de dimensions modestes à proximité de l'actuelle rue de Cormeilles. On lui attribue également la construction de la première église de Franconville[24]. Enfin, c'est à cette époque qu'est fondée la maladrerie Saint-Marc, ou malmaison, destinée à accueillir les lépreux.

Au début du XVe siècle, le village peut compter 80 maisons, regroupées près de l’église, pour une population estimée à environ 300 personnes. La grand’ route, en tout cas sur sa partie franconvilloise, est déjà pavée. Mais les troubles de ce temps vont rapidement faire sentir leurs effets. Selon le testament du dernier des Bateste, daté de 1436, toute la région de Pontoise, dont Franconville, est dévastée et brûlée pendant la guerre de Cent Ans[25]. L'église, détruite, sera reconstruite en 1450-1470.

Renaissance et époque moderne[modifier | modifier le code]

Franconville sur la carte de Cassini, vers 1780.
Benjamin Franklin.

À la fin du XVIe siècle, les temps étant encore peu sûrs, une assemblée des habitants de Franconville vote la dépense de 600 écus pour enclore et fortifier le village au moyen de murailles, portes, ponts-levis, éperons et fossés[26].

Mais, peu à peu, la ville commence à se développer. Grâce à la grand’route, de plus en plus fréquentée[Note 4], agriculture et hôtellerie connaissent un véritable essor. Les chevaux des relais de poste font la prospérité des aubergistes et des artisans qui entretiennent voitures et carrosses.

Au fil du XVIIIe siècle, Franconville devient même un lieu de résidence recherché. De belles demeures se construisent, dont le château Cadet-de-Vaux (1758). De riches familles, bourgeoises ou nobles, viennent s’y installer ou séjourner. Quelques résidents ou visiteurs célèbres ont laissé un souvenir de leur passage : le chimiste Antoine-Alexis Cadet de Vaux, l’homme d’ État américain Benjamin Franklin, l’astronome Jean-Dominique Cassini...

Pendant la Révolution française, Franconville est brièvement rebaptisée Franconville-la-Libre[27]. La municipalité de Franconville voit le jour le dimanche . Le , les habitants se réunissent pour rédiger leur cahier de doléances. Le premier maire de Franconville, l’aubergiste Gabriel Bertin, est élu le . L’un des premiers actes de la nouvelle municipalité est d’attirer l’attention des autorités sur la grande misère des habitants. En effet, les épisodes de disette, voire de famine, se multiplient à cette époque, entraînant une certaine insécurité en ville[26].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Carte de France, dite d'état-major, vers 1870.
La gare vers 1900.

Le chemin de fer dessert la ville en 1846 avec la mise en service de la gare de Franconville - Le Plessis-Bouchard sur la ligne Paris - Pontoise, entraînant ainsi comme dans toutes les communes de la vallée de Montmorency, de profondes mutations. Un nouveau centre se développe à proximité de la gare, située à un kilomètre au nord du village au milieu des champs.

Des lotissements apparaissent au début du XXe siècle. L'église du XVe siècle, tombant en ruine, est reconstruite en 1903.

Lors du raid de dirigeable militaire contre Paris et sa banlieue le , un Zeppelin est pris à partie par la DCA du fort de Cormeilles[28].

Durant les années 1960 et 1970, le centre-ville est entièrement démoli et reconstruit selon les idées urbanistiques de l'époque : de nombreux immeubles, barres et tours, sont érigés contribuant à un fort accroissement de la population. Ainsi, au fil des années, Franconville est devenue la 5e commune la plus peuplée du Val-d'Oise derrière Argenteuil, Sarcelles, Cergy et Garges-lès-Gonesse.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du [29], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Val-d'Oise

Elle faisait partie de 1801 à 1931 du canton de Montmorency, année où elle intègre le canton de Taverny du département deSeine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Franconville[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais le bureau centralisateur de ce canton qui est modifié, passant de une à deux communes.

Franconville fait partie du ressort de juridiction du tribunal d'instance de Montmorency, de celui du tribunal judiciaire de Pontoise et de celui du tribunal de commerce de Pontoise pour l'ordre judiciaire ainsi que de celui du tribunal administratif de Cergy-Pontoise pour l'ordre administratif. La commune fait en appel partie du ressort de la cour d'appel de Versailles pour l'ordre judiciaire et de la cour administrative d'appel de Versailles pour l'ordre administratif.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune, membre de la communauté d'agglomération Val-et-Forêt depuis 2003, décide de la quitter[31] et rejoint le , la communauté d'agglomération du Parisis[32].

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante en Île-de-France afin d'équilibrer leurs relations avec la métropole du Grand Paris, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment « l'extension du périmètre de la communauté d'agglomération Le Parisis aux communes de Frépillon, Saint-Leu-la-Forêt, Le Plessis-Bouchard, Ermont et Eaubonne[33] ».

C'est ainsi que, après délibérations des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion intervient le , permettant ainsi la création de la communauté d'agglomération Val Parisis dont la commune est désormais membre.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Au second tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste UMP menée par le maire sortant Francis Delattre remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 678 voix (52,71 %, 30 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[34] :

  • Antoine Raisseguier (PS-PCF-EELV, 3 630 voix, 33,70 %, 7 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) ;
  • Jean-Luc Mayenobe (FN, 1 463 voix, 13,58 %, 2 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).

Lors de ce scrutin, 47,79 % des électeurs se sont abstenus.

Au premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise[35], la liste LR du maire sortant Xavier Melki — qui a succédé en 2017 à Francis Delattre — remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 4 056 voix (60,76 %, 32 conseillers municipaux élus dont 10 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[36] :

  • Marc Schweitzer (PCF, 1 221 voix, 18,29 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
  • Françoise Mendy-Lascot (LREM, 738 voix, 11,05 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
  • Sébastien Ustase (RN[37], 660 voix, 9,88 %, 2 conseillers municipaux élus).

Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 68,04 % des électeurs se sont abstenus.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1813 Jean-Baptiste Guichard    
1813 1821 Guillaume Bouju    
1821 1830 Louis-Philippe Leclerc    
1830 1835 Guillaume Bouju    
1835 1835 Louis Faucon    
1835 1836 Antoine Jugier    
1836 1837 Jean Bertin    
1837 1843 Émile de Perthuis    
1843 1873 François Chenel    
1873 1876 Nicolas Védy    
1876 1878 Louis de Ribaucourt    
1878 1884 Louis Baudier    
1884 1904 Toussaint Lucas    
1904 1908 Claude Bonne    
1908 1919 Georges Leredu   Député de Seine-et-Oise (1914 → 1927)
Ministre (1920)
Sénateur de Seine-et-Oise (1927 → 1936)
1919 1925 Octave Bucourt    
1925 1945 Albert Bigeard    
1929 1930 Émile Gentil    
1930 1944 Claude Lagoutte    
1944 1945 Octave Bucourt    
1945 1955 Ferdinand Grosdemange    
1955 1959 Georges Fournier    
1959 1977 André Blondé UDF-PR Conseiller général de Franconville (1967 → 1973)
1977 1983 Annie Brunet PCF Conseiller général de Franconville (1973 → 1979)
1983 décembre 2017[38] Francis Delattre[39],[40],[41],[42],[43] UDF-DL,
UMPLR
Sénateur du Val-d'Oise (2011 → 2017)
Député du Val-d'Oise (4e circ.) (1986 → 2007)
Conseiller général de Franconville (1979 → 1988)
Vice-président de la CA Val-et-Forêt (2004 → 2008)
Démissionnaire
décembre 2017[44],[45] En cours
(au )
Xavier Melki LR Ancien directeur de banque
Vice-président de la Communauté d'agglomération Val Parisis (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[46]

Démocratie participative[modifier | modifier le code]

La ville est divisée[Quand ?] en neuf quartiers, chacun doté de son conseil de quartier disposant de son enveloppe budgétaire[réf. nécessaire]. Les neuf quartiers sont :

  • le quartier de l'Hôtel-de-Ville ;
  • le quartier des Fontaines ;
  • le quartier Jean-Monnet ;
  • le quartier de l'Europe ;
  • le quartier du Vieux marché ;
  • le quartier du Stade ;
  • le quartier des Noyers de Saint-Edme ;
  • le quartier de l'Épine Guyon ;
  • le quartier du Séquoia de la gare

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

Chemin des Crêtes dans le Bois des Rinvals

La commune de Fanconville est située dans un espace très urbanisé, cependant le sud de la commune, la colline d'Argenteuil, a conservé son couvert forestier. Cet espace forestier est isolé du centre de Franconville par l'autoroute A15. Le Bois des Rinvals et le bois de Saint-Marc sont gérés par l'Office national des forêts. Le site constitue un poumon pour la ville de Franconville, absorbant une partie nuisances générées par l'autoroute A15.

Le bois des Éboulures et le bois de Boissy complètent cet ensemble d'espaces verts vitaux pour les habitants de la commune.

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La ville de Franconville a été récompensée[Quand ?] de deux fleurs au concours des villes et villages fleuris[réf. nécessaire].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de la Pologne Mława (Pologne) depuis 2023, 31 047 habitants (2023) ;

Drapeau de l'Allemagne Viernheim (Allemagne) depuis 1966, 32 884 habitants (2005) ;

Drapeau de l'Angleterre Potters Bar (Angleterre) depuis 1973, 21 618 habitants (2001).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[47],[Note 5].

En 2021, la commune comptait 37 520 habitants[Note 6], en augmentation de 7,45 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0821 0161 0051 1241 1931 1521 2481 2221 154
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0921 1471 2071 3001 3521 4311 5251 5181 640
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7792 1882 8693 4984 9346 2786 1516 1307 697
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
11 18516 20524 23132 94833 80233 49732 98833 51236 112
2021 - - - - - - - -
37 520--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le groupe scolaire Ferdinand Buisson.

Franconville relève de l'académie de Versailles. Les écoles de la commune sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation Nationale d'Ermont (1, rue de l'Est 95120 Ermont)[49]. La circonscription fait partie du bassin d'éducation et de formation d'Enghien-les-Bains[50].

La commune compte[Quand ?] douze établissements d'enseignement pré-élémentaire, onze établissements d'enseignement élémentaire et six établissements d'enseignement secondaire (dont quatre collèges et deux lycées).

Enseignement public
Enseignement privé
  • Institution Jeanne d'Arc, 2 bis rue Toussaint Lucas :
    • École maternelle.
    • École élémentaire.
    • Collège d'enseignement secondaire.
    • Lycée professionnel.
    • Lycée général.

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

La ville dispose de l'espace Saint-Exupéry, d'un bibliobus et d'une école municipale de musique, de danse et d'art dramatique.

L'espace Saint-Exupéry.
La Maison Suger.
L'espace accueille chaque année des chanteurs en résidence et organise des rencontres « jeunes talents » afin de venir en aide à la création et à la diffusion.
Le centre Saint-Exupéry héberge également l'académie de danse de Franconville (ADF) dont la création remonte à 1977.

Sports[modifier | modifier le code]

La patinoire.

Clubs importants[modifier | modifier le code]

  • Entente Franconville Césame Val d'Oise
  • COYOTES : Club de handball à Franconville
  • Parisis Rugby Club PRC (champion IDF réserve en promotion d'honneur en 2014)
  • Le basket club de Franconville Plessis-Bouchard (BCFOB), dont l'équipe féminine évolue en Nationale 1 en 2022[52]
  • Jorkyball parisien.
  • SCAF : Club d'Activités Subaquatiques de Franconville
  • Football Club de Franconville évoluant en Ligue Ile de France[Quand ?]
  • Club de Tennis de Table de Franconville
  • Judo Club de Franconville
  • Le club de gymnastique Albonaise, avec plus de 700 licenciés en 2013
  • L'Echiquier de Franconville (qui évolue en 2e Division Nationale
  • Franconville Hockey-Club

Jumping[modifier | modifier le code]

Créé en 1985, le jumping de Franconville est un rendez-vous majeur du calendrier International ou National du saut d’obstacles. Il se déroule dans le Bois des Eboulures. Ses 55 hectares sont spécialement aménagés, avec village d’exposants, restaurants, points de restauration rapide, buvettes, points d’accueil et une aire de concours de 8 hectares, entourée de loges et de 3000 places en tribunes.

Équipements sportifs[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-des-Noues, avec son clocher haut de 31 m..
L'église protestante évangélique est située au 161 rue du Plessis-Bouchard.

Économie[modifier | modifier le code]

Une partie de la zone commerciale de la Patte d'Oie d'Herblay se situe à l'ouest du territoire de la commune, sur la route départementale 14 et à proximité de la sortie de l'autoroute A15.

Jusque dans les années 1990, cette zone d'activité de Franconville comprenait essentiellement deux centres commerciaux : une grande surface et un centre commercial composé de boutiques de déstockage. Dans les années 2000, cette zone commerciale prend un nouvel essor. Ainsi, le plus grand magasin Ikea de France y a ouvert ses portes en 2005 (titre qu'il perdra en 2011 pour l'Ikéa de Villefranche-sur-Saône)[56]. Puis, ce sont des boutiques vestimentaires, culturelles et sportives, deux restaurants, un pub et deux salles de sports qui se sont implantées dans cette zone appelée le "Parisis Park". À noter que le distributeur E. Leclerc, qui y possède une grande surface, y a lancé son premier magasin d'optique discount en [57], avant d'ouvrir une parapharmacie et un magasin de sport à son enseigne.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Sainte-Madeleine.
Château Cadet-de-Vaux.
Villa Enders.

La commune ne possède aucun monument historique classé ou inscrit sur son territoire[58]. On peut néanmoins signaler :

  • L'église Sainte-Madeleine, édifiée à partir de 1903 par l'architecte Lucien Roy, à l'emplacement de l'ancien sanctuaire du XVe siècle qui tombait en ruine. Le chœur et le transept de style néo-roman furent édifiés les premiers, le clocher dans les années 1950. Plusieurs vitraux dégradés et peu esthétiques furent remplacés en 1963 sous l'impulsion du curé Maurice Nassoy[Note 7], qui munit également le clocher du coq qui lui manquait. Le vitrail que l'on peut voir près de l'entrée de l'église est celui du chœur de l'église précédente sur le même lieu, aujourd'hui 79 rue du Général-Leclerc[59]
  • Le château Cadet-de-Vaux : Caractéristique du XVIIIe siècle, il fut construit par la famille Becquet sur un vaste terrain, racheté aux héritiers de la veuve de Couet de Montbayeux, avocat au Parlement. Il fut ensuite acquis le par le savant et philanthrope Antoine Alexis Cadet de Vaux qui lui laissa son nom. Le domaine changea ensuite de nombreuses fois de propriétaires. Il subsiste la glacière du XVIIIe siècle et une grande partie du parc paysager du XVIIIe siècle. Il est planté de nombreuses essences remarquables : Ginkgo biloba, séquoia, pins de l'Himalaya, cèdres, hêtre pourpre, ainsi qu'une rivière sinueuse qui accueille canards et poules d'eau[59].
  • La maison Suger : Elle fut édifiée vers 1850 par la famille Baudouin. Le pavillon de l'aile nord fut agrandi par un notaire, Blanchet, et son gendre Radius. Après la Seconde Guerre mondiale, la fondation Suger s'y installe et lui donne son nom. Elle laisse la place, à la suite de difficultés financières, à une école privée, de plein air, où fera ses études le très jeune chef d'orchestre Roberto Benzi, qui fermera ses portes en 1970. Rachetée par la municipalité, elle a été rénovée et elle accueille l'école municipale de musique, de danse et d'art dramatique[59].
  • La statue de Rébecca : En fonte peinte, elle orne le massif à droite de l'entrée de l'hôtel de ville depuis 1868 environ. Elle surmontait à l'origine une fontaine en pierre au milieu d'un carrefour circulaire lors de la création du lotissement du Parc[59].
  • Accolée à l’actuelle mairie, l’ancienne villa Enders, du nom de son premier propriétaire, Jules Enders, administrateur délégué du Crédit lyonnais, est construite en 1894 par l’architecte Richard Bouwens van der Boijen ; revendue à la municipalité, elle devient, en 1932, la nouvelle mairie de la ville ; le jardin d'hiver attenant et la marquise au-dessus de l’entrée ont été démolis[60].
  • Le parc Cadet-de-Vaux, rue d'Ermont, est ouvert, chaque jour du 1er octobre au , de h 30 à 18 h et du 1er avril au , de h 30 à 20 h 30.
  • Le bois des Éboulures : Sur 55 hectares, il constitue un exemple réussi d'intégration d'une zone naturelle dans un périmètre urbain.

Franconville au cinéma et à la télévision[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Hippolyte Passy.
André Vaquier.
Jean-François Clervoy.

Seigneurs de Franconville[modifier | modifier le code]

Quelques noms, rangés par ordre chronologique : Guillaume Bateste (1200), Pierre Bateste (1315), Nicolas Leclerc (1620), Louis de Giffart (1640), Jacques Boutet (1675), François Boutet (1710), comte de Longaunay (1755)[26]

Politique[modifier | modifier le code]

Culture et divertissement[modifier | modifier le code]

  • Yves Duteil, auteur compositeur interprète ; a vécu à Franconville, rue de la Station.
  • Jean Daudin (début du XIVe siècle-1382), chanoine français, traducteur du poète et humaniste italien Pétrarque, est né à Franconville.
  • Marcel L'Enfant[61](1884-1963), peintre post-impressionniste qui vécut et eut son atelier Chaussée Jules-César pendant 40 ans (1923-1963).
  • André Vaquier (1886-1976), bibliothécaire et historien, vécut de nombreuses années à Franconville. Il publia plusieurs études sur l'histoire de la commune et fut à l'origine de la création d'un musée communal (1975), aujourd'hui disparu.
  • Jean Daurand (1913-1989), comédien, l'inspecteur Dupuy de la série Les Cinq Dernières Minutes, exploita quelque temps un café à l'enseigne toute trouvée : Les Cinq Dernières Minutes, à Franconville, à la fin de sa vie.
  • The Ropestylers, équipe d'artistes spécialistes de double dutch dont l'un des membres vit à Franconville.
  • Victor Montalti (1938-2019), peintre et sculpteur, cofondateur et ancien président de l'association La Palette en Franconville.
  • Hassan Koubba (né en 1973), comédien, le lieutenant Micky Zafraoui de la série de TF1 Diane, femme flic, y fait son footing quotidien, le long du stade municipal, chaussée Jules-César[réf. nécessaire].
  • Lorie (née en 1982), chanteuse et comédienne française, y a passé sa jeunesse.
  • Stéphane Mondino, auteur-compositeur-interprète y vécut de 1984 à 2006
  • Massacra (1987-1997), groupe de Death Metal français précurseur du genre.

Sports[modifier | modifier le code]

Sciences[modifier | modifier le code]

Monde des affaires[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Franconville (Val-d'Oise) Blason
Tiercé en bande, au premier d’azur semé de lys d’or, au deuxième d’argent à la francisque de sable posée dans le sens de la bande, au troisième de gueules à trois arbres d’or mouvant de la pointe.
Détails
L’azur semé de lys d’or indique l’appartenance à l’Île-de-France. La francisque est l’arme des francs qui ont donné leur nom à la ville. Les arbres d’argent évoquent la garenne, lieu boisé ou sablonneux où vivaient les lapins à l’état sauvage.
Le 15 octobre 1964, les armoiries définitivement adoptées sont celles retenues par la direction des Archives de France pour figurer sur les documents officiels de la ville[65].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Franconville », p. 279–291
  • Henri Mataigne, Franconville-la-Garenne depuis le IXe siècle, Paris, Le livre d'Histoire, coll. « Monographie des villes et villages de France », (1re éd. 1927), 412 p. (ISBN 2-84373-734-6).
  • Daniel Bœuf et Maurice Menassade, L'art ancien et moderne dans le canton de Taverny, Imprimerie Paris à Pontoise, 1945, 170 p.
  • André Vaquier, Franconville en cartes postales anciennes, Bibliothèque européenne Zaltbommel (Pays-Bas), Diffusion SFL (Paris), 1975, 80 p.
  • André Vaquier, Si Franconville m'était conté, Bulletin de la Société historique de Pontoise, no 23, 1977.
  • Association « En passant par Franconville », En passant par Franconville-la-Garenne, 1986, 511 p., (ISBN 2950157505).
  • Jean-Pierre Debard, Mémoire en images : Franconville, Éditions Alan Sutton, 2007 (ISBN 978-2-84910-666-2).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Selon l'abbé Lebeuf, les armes des Bateste étaient semblables à celles des Harcourt : « De gueules à deux fasces d'or ».
  4. Celle-ci deviendra par la suite la route royale de Paris à Rouen puis la route nationale 14
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Le curé Maurice Nassoy est également initiateur de la construction de la deuxième église de Franconville, Notre-Dame des Noues.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Communes limitrophes de Franconville (Val-d'Oise) » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Franconville et Pontoise », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Mémoire de Caroline Levron, étudiante en master 1 de sociologie à l'université de Paris X-Nanterre sous la direction de Philippe Batifoulier.
  17. Page du service logement sur le site internet de la mairie
  18. Daniel Chollet, « Logements sociaux : 26 maires du Val-d'Oise demandent la révision de la loi Sru : Selon eux, cette loi, qui impose 25 % de logements sociaux en 2025 est « inapplicable », sauf à ne faire que des quartiers « ghettos » avec 100% de logements sociaux », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. Mémoire en images : Franconville, Jean-Pierre Debard, Éditions Alan Sutton, 2007
  20. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Albert Dauzat et Charles Rostaing, Librairie Guénégaud, 1963
  21. Franconville-la-Garenne depuis le IXe siècle, Monographie des villes et villages de France, réédition de 2005
  22. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, A. Dauzat et Ch. Rostaing, 1963
  23. En passant par Franconville-la-Garenne, 1986
  24. Abbé Lebeuf
  25. En passant par Franconville-la-Garenne, 1986.
  26. a b et c Franconville-la-Garenne depuis le IXe siècle - Henri Mataigne - Imprimerie L. Paris - Pontoise - 1927
  27. http://assphilateliquelilloise.wifeo.com/documents/Correspondance-entre-les-dnominations-des-villes-sous-l.pdf Correspondance entre les dénominations des villes sous l'Ancien Régime et les appellations modifiées à la Révolution
  28. Le Petit Parisien du 22 mars 1915 : Quelques blessés, des maisons endommagées page 2
  29. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  30. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Alexandre Porcu, « Franconville: Val et Forêt s’invite au coeur de la campagne municipale : Dès son intégration dans la communauté d’agglomération, en décembre 2003, Franconville, à travers son maire Francis Delattre, avait émis des réserves… Le projet de la gare d’Ermont-Eaubonne aura mis fin à cette relation tumultueuse. Le résultat des municipales de mars prochain, où UMP et PS sont opposés sur le projet, sera déterminant », VO News95,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Sébastien Thomas, « Val et Forêt réclame 1,8 M€ à Franconville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  33. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur marneetgondoire.fr (consulté le ).
  34. Résultats officiels pour la commune Franconville
  35. Christophe Lefèvre, « Municipales à Franconville : le maire sortant part favori face à trois autres candidats : Candidat pour la première fois en tête de liste, le maire sortant doit faire face à la concurrence de trois autres listes. Il part néanmoins favori, adoubé par l’ancien maire, qui a dirigé la ville pendant… trente-cinq ans ! », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Têtes de liste : Xavier Melki (LR), Marc Schweitzer (PCF), Françoise Mendy-Lascot (LREM), Sébastien Ustase (RN) ».
  36. « Val-d'Oise (95) - Franconville », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  37. A. B., « Municipales dans le Val-d’Oise : le Rassemblement national loin du compte : Avec seulement trois listes candidates contre sept en 2014, le parti de Marine Le Pen peine à s’ancrer sur le territoire », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. C.L., « Françis [sic] Delattre se confie sur ses 34 années passées à la tête de Franconville : Une page de l’histoire de Franconville va se tourner ce jeudi soir. Le maire (LR) Francis Delattre laissera son écharpe tricolore à son adjoint, Xavier Melki », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il a été conseiller général, député, sénateur… Francis Delattre (LR) prendra ce jeudi sa retraite politique, en laissant son écharpe de maire de Franconville, qu’il porte depuis 1983, à son adjoint, Xavier Melki ».
  39. Christine Fauvet-Mycia., « Avec Léotard, pour le cœur, avec Barre, pour la victoire », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  40. « Elections sénatoriales : les biographies des élus », Le Monde,‎ (lire en ligne) « Francis Delattre, 65 ans, a obtenu de l'UMP le droit de conduire une deuxième liste aux sénatoriales. Le parti présidentiel ne lui a visiblement pas tenu rigueur d'avoir perturbé la campagne des régionales de Valérie Pécresse. Le maire de Franconville avait qualifié la tête de liste PS, Ali Soumaré, de "délinquant multirécidiviste". Une sortie qui lui avait barré la route des cantonales alors qu'il rêvait de reprendre le département à la gauche ».
  41. Réélu en 1993 : « Francis Delattre (UDF-PR) est réélu maire de Franconville (Val-d'Oise). », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  42. Béatrice Jérôme, « Francis Delattre, un maire UMP aux méthodes "peu stylées" », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  43. Marie Persidat, « Francis Delattre prêt pour un sixième mandat à Franconville : Le sénateur-maire UMP de Franconville a mis fin hier aux interrogations sur son avenir à la tête de la ville. Élu pour la première fois en 1983, il briguera bien un nouveau mandat en mars », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  44. « Xavier Melki, nouveau maire de Franconville », Franconville / le journal, no 241,‎ , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le ) « C’est au courant de l’année 2008 que Xavier Melki est élu chargé du Commerce, du développement économique et des marchés de détail. Après cette première délégation, il devient, en 2008 également, maire adjoint chargé de la Jeunesse, de la politique de la Ville puis de la Voirie et des Conseils de quartier avant son élection à la tête de la municipalité ».
  45. C.L., « Franconville : Xavier Melki dans « la proximité et la bienveillance » : Élu à la tête de Franconville le 21 décembre dernier, Xavier Melki a succédé à Francis Delattre. Le nouveau maire fait le point sur ses projets. », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. « Xavier Melki, Maire sortant réélu pour six ans : Le premier tour des élections municipales s’est déroulé le 15 mars dernier. Les votes enregistrés ont permis d’élire la liste « J’aime Franconville » portée par le maire sortant Xavier Melki et son équipe dès le premier tour. L’installation du conseil municipal a eu lieu le 26 mai », Actualité, sur ville-franconville.fr (consulté le ).
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  49. Site municipal d'Ermont - Les instances éducatives
  50. Inspection académique du Val-d'Oise
  51. Site web de la médiathèque municipale
  52. Joseph Canu, « Val-d'Oise. Basket : les filles de Franconville en Nationale 1 : Montée en puissance pour les basketteuses de Franconville Plessis-Bouchard (Val-d'Oise) qui évolueront en Nationale 1 la saison prochaine. C'est officiel », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  53. Site de la paroisse de Franconville
  54. « Val-d’Oise : les églises du siècle dernier accusent déjà le poids des ans : De nombreux édifices religieux construits dans les années 1950-1960 souffrent, notamment au niveau des toitures. À Franconville, la mairie a dû prendre un arrêté de fermeture pour Notre-Dame-des-Noues sur demande du diocèse de Pontoise », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  55. Site de l'Église adventiste du septième jour
  56. Journal 20 minutes, édition du 23 février 2005
  57. Journal 20 minutes, édition du 16 décembre 2005
  58. IAURIF - Sites et monuments historiques protégés
  59. a b c et d Henri Bertin et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Franconville », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 279-291 (ISBN 2-84234-056-6).
  60. Jean-Luc Bauduin, Éclectisme et rationalisme en architecture sous le Second Empire et la Troisième République : l’œuvre français de William et Richard Bouwens van der Boijen, Thèse de doctorat de 3e cycle, 1984.
  61. Site internet consacré à Marcel l'Enfant
  62. Joseph Canu, « Val-d'Oise. Persan : Mouhamadou Fall sacré champion de France du 100 m : À Albi, Mouhamadou Fall est devenu le premier athlète masculin du Val-d'Oise sacré champion de France Élites sur l'épreuve reine du 100 m. L'œuvre d'un battant. », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. « Brennus new »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur aeppf.fr (consulté le ).
  64. « Eugène Schueller »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur aeppf.fr (consulté le ).
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