Aller au contenu

Françoise Charlotte d'Aubigné

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Françoise Charlotte d'Aubigné
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
Lieu inconnuVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 55 ans)
Lieu inconnuVoir et modifier les données sur Wikidata
Famille
Père
Charles d'Aubigné (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Geneviève Philippe Piètre (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Adrien Maurice de Noailles (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Françoise Adélaïde de Noailles (d)
Amable Gabrielle de Noailles
Louis de Noailles
Philippe de Noailles
Marie Anne Francoise de Noailles (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Blason

Françoise Amable Charlotte d'Aubigné (1684-1739) est la fille de Charles d'Aubigné et la nièce de madame de Maintenon, favorite du roi Louis XIV.

En 1698, elle épouse Adrien Maurice de Noailles et devient légataire de la fortune de sa tante et du château de Maintenon.

En 1711, Françoise d'Aubigné, duchesse de Noailles, achète à Pierre Bertin, seigneur d'Armenonville, conseiller, secrétaire du Roi, grand financier et amateur d'art [1], l'hôtel de Pussort, proche du couvent des Feuillants, rue Saint-Honoré, dont les jardins s'étendent jusqu'à la cour du Manège et laissent à l'hôtel la vue sur le jardin des Tuileries.

L'hôtel est alors largement embelli, orné de peintures des plus grands artistes du temps. Les plafonds sont l’œuvre de Brunetti, le retable de la chapelle celle de Philippe de Champaigne. Les jardins sont entièrement redessinés par Charpentier et ornés de sculptures de Falconet [2].

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Archives Nationales, Q1 1099-3 f°35 v°, Atlas de la censive du Roi (ca 1700), Pl. 4.
  2. Berty, Adolphe et Legrand, H., Topographie historique du Vieux Paris, Région du Louvre et des Tuileries, Paris, Imprimerie Nationale, 1866, t. 1 , p. 298 (Lire sur Gallica).

Liens externes

[modifier | modifier le code]