Fréjairolles

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Fréjairolles
Fréjairolles
Mairie de Fréjairolles.
Blason de Fréjairolles
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté d'agglomération de l'Albigeois
Maire
Mandat
Jérôme Casimir
2020-2026
Code postal 81990
Code commune 81097
Démographie
Gentilé Fréjairollais
Population
municipale
1 330 hab. (2021 en augmentation de 1,14 % par rapport à 2015)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 52′ 52″ nord, 2° 13′ 55″ est
Altitude Min. 216 m
Max. 333 m
Superficie 17,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Albi
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Juéry
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fréjairolles
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fréjairolles
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Voir sur la carte topographique du Tarn
Fréjairolles
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Fréjairolles

Fréjairolles est une commune française, située dans le département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l'Albigeois, une région naturelle agricole correspondant aux environs de la ville d’Albi.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Assou, le Ruisseau de Caussels, le Ruisseau de Jauzou, le ruisseau de Tabournie et par divers autres petits cours d'eau.

Fréjairolles est une commune rurale qui compte 1 330 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Albi. Ses habitants sont appelés les Fréjairollais ou Fréjairollaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située dans l'aire urbaine d'Albi, au sud-est d'Albi.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Albi, Bellegarde-Marsal, Cambon, Dénat, Fauch, Labastide-Dénat, Mouzieys-Teulet, Puygouzon (d), Bellegarde et Puygouzon.

Communes limitrophes de Fréjairolles[1]
Albi Cambon Bellegarde-Marsal
Puygouzon Fréjairolles Mouzieys-Teulet
Dénat Fauch

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La desserte de la commune est assurée par le service de transport à la demande du réseau urbain Albibus.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par l'Assou, le ruisseau de Caussels, le ruisseau de Jauzou, Rec d'Engalieyre, le ruisseau de Falcou, le ruisseau de Fonvialane, le ruisseau de Planquetorte et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[3],[Carte 1].

L'Assou, d'une longueur totale de 36,7 km, prend sa source dans la commune du Fraysse et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Dadou à Laboutarie, après avoir traversé 12 communes[4].

Le ruisseau de Caussels, d'une longueur totale de 17,9 km, prend sa source dans la commune de Villefranche-d'Albigeois et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Albi, après avoir traversé 6 communes[5].

Le ruisseau de Jauzou, d'une longueur totale de 10,7 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Caussels à Albi, après avoir traversé 3 communes[6].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Fréjairolles.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 925 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laguiole à 511 km à vol d'oiseau[9], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 441,2 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fréjairolles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[16],[I 1],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49 %), zones agricoles hétérogènes (23,5 %), prairies (19,5 %), forêts (4,5 %), zones urbanisées (3,5 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Fréjairolles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Assou, le ruisseau de Caussels et le ruisseau de Jauzou. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1992[22],[19].

Fréjairolles est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 3],[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fréjairolles.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[24]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 542 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 542 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Fréjairolles est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Fréjairolles vient de l'occitan falguieràs, signifiant lieu couvert de fougères[29].

Selon Yvon Assié dans son Histoire brève de Fréjairolles publié en 1982, le nom de Fréjairolles est composé de la racine d’un mot latin, "frigor", qui signifie "fraîcheur" et du suffixe celtique "-oyallum" signifiant "fontaine" ou encore "clairière". Fréjairolles serait alors le village de la fraîche clairière ou de la fraîche fontaine en référence à un point d'eau sur la commune[30].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Durant le Moyen Âge, sous le règne de Louis IX, Fréjairolles est un village fortifié dépendant de la baronnie de Lombers. C'est alors le baron Bernard Boissezon et sa femme Adélaïde qui gère la commune.

Au XIIIe siècle, un nouveau courant religieux se développe dans la région avec le catharisme. L’Église catholique et le pouvoir royal proclament alors une croisade contre les albigeois. Dans ce contexte, le nom de Fréjairolles apparait, pour la première fois, dans un acte officiel concernant des terres conquises par le pouvoir royal en 1212. Par conséquent, les terres passent sous l'autorité royale et en 1247 Fréjairolles et ses habitants deviennent alors des sujets du Roi de France[31].

Durant la guerre de cent ans, une partie de la région est pillée par des incursions anglaises mais aussi des soldats errants ou encore par des mercenaires. À cela il faut ajouter la peste noire qui gagne le midi de la France au milieu du XIVe siècle. À ce contexte difficile, il faut également mentionner les problèmes de récoltes qui appauvrissent encore un peu plus la région.

Au XVe siècle, le village fortifié représente environ 10 ares avec notamment un fossé autour du village et une tour de guet pour surveiller la région[30].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Au XVIe siècle, les guerres de Religion entre les catholiques et les protestants touchent la région dont la commune de Fréjairolles. En effet, différents groupes de pillards s’attaquent aux villages de l'Albigeois. Des traités de paix sont signés comme l’édit de Poitiers qui accorde le droit au culte réformé dans la région en 1577. Cependant, il n'est pas appliqué en Languedoc et catholiques et Huguenots se livrent de nombreuses batailles dans la région. Dans ce contexte troublé, Fréjairolles et ses alentours sont pillés.

Durant la deuxième partie du XVIe siècle, Fréjairolles passe sous domination protestante alors que le village est en partie en ruine. Cependant, en 1587 le village est pris par un chef de guerre du nom de Fabri pour en faire un repaire de brigands et lancer des pillages sur les localités des environs. Après le départ de Fabri, les habitants démontent les fortifications de Fréjairolles et empêchent la reconstruction de la tour de guet afin de ne pas attirer la convoitise d'autres chefs brigands.

En 1628, le nom de Fréjairolles est cité car le prince de Condé, dans son expédition contre la place forte protestante locale Réalmont, stationne près de la commune avec 6000 hommes dont 350 cavaliers. Par conséquent, pour répondre aux besoins de ces troupes, des réquisitions de foin, d'avoine pour les chevaux, de nourriture et du vin pour les soldats appauvrissent les Fréjairollais et les Fréjairollaises.

Au début du XVIIe siècle, Fréjairolles est constitué de quelques maisons ainsi que d'un rempart entourant le village. Les restes de la tour de guet abritent le presbytère et le clocher.

Durant la période d'Ancien Régime, en 1671, Fréjairolles est géré et administré par un consulat, c'est-à-dire une organisation municipale dirigée par 3 consuls. Ce consulat est alors la possession du roi de France. Cependant, les terres de la commune sont partagées entre plusieurs seigneuries dont la seigneurie de Rayssac[30].

À la fin du XVIIe et au XVIIIe siècle, le contexte politique de monarchie absolue, de religion catholique comme religion d’État ainsi que celui d'une société très hiérarchisée entre les trois ordres avec ses devoirs et privilèges a une influence importante sur le village de Fréjairolles. En effet, les habitants sont soumis à de nombreuses taxes auprès du clergé, du roi et encore des seigneurs locaux avec notamment le droit d’albergue, le droit de fouage, le droit de censive, le droit de tasque ou encore le droit du four banal[32].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Durant la période révolutionnaire à la fin du XVIIIe siècle, des tensions éclatent entre nobles, membres du clergé et révolutionnaires. En mai 1789 dans le contexte de rédaction des cahiers de doléances, les habitants de Fréjairolles se plaignent de « la levée des soldats provinciaux » (privant ainsi les cultivateurs locaux de main d’œuvre) des impositions trop fortes mais ils demandent également de l'aide face au problème d’infertilité des terres autour du village.

En , les droits et les privilèges seigneuriaux sont abolis et les maires et les consuls remplacent alors les consuls pour l'administration du village. C'est un dénommé Martin (ancien seigneur) qui devient le premier maire de la commune. C'est durant cette période révolutionnaire que les contours de la commune de Fréjairolles se précisent.

Au XIXe siècle, Fréjairolles reste relativement exclus des transformations liées à la révolution industrielle. Durant ce siècle, l’Église catholique regagne de l'influence dans la gérance de la commune. En effet, l'abbé Mauriès, responsable de la paroisse de 1820 à 1867, se lance dans une campagne de construction dans le village. En 1824, il construit un presbytère sur l'emplacement de la mairie actuelle puis fait, en 1837, reconstruire l'église qui avait été laissée à l'abandon. L'église, qui est encore debout aujourd'hui, a été agrandie, améliorée tout au long du siècle par des dons importants avec notamment la construction de chapelles supplémentaires en 1870 et 1886[30].

Dans le contexte des lois Jules Ferry à la fin du XIXe siècle, le conseil municipal décide de construire une nouvelle école afin de remplacer la vieille école qui était adossée près de l'église. On retrouve alors des traces et des plans de cette nouvelle école respectivement en 1884 et 1887 : il s'agit de deux écoles de filles et de garçons, avec des logements pour les instituteurs, encadrant la nouvelle mairie. Cette fin du XIXe siècle est marquée par une augmentation significative de la population avec 816 habitants en 1881[32].

Au début du XXe siècle, le village est composé de deux parties : une partie plus ancienne autour de l'église et une autre partie le long de la route d'Albi. Cette physionomie reste telle quelle jusqu'en 1968 où un incendie ravage des habitations et les étables et écuries des habitants de la partie ancienne du village.

La Première Guerre mondiale, pour laquelle de nombreux jeunes hommes sont réquisitionnés, cause la perte de 27 Fréjairollais sur le front.

Durant la Deuxième Guerre mondiale, des réfugiés sont cachés dans le village et le secrétaire de mairie ainsi que l'instituteur du village Labit produisent de faux certificats afin de protéger une famille juive de réfugiés.

Dans les années 1950, le village est assez dynamique avec notamment la présence de commerces comme son boulanger, ses deux épiceries, ses deux forgerons, son menuisier, son charron, son laitier, son café, ses 2 écoles, sa mairie et enfin son église. Cette dernière a par ailleurs été repeinte en 1930 par un peintre régional René Gaillard Lala.

La deuxième partie du XXe siècle est marquée par la mécanisation de l’agriculture et l'arrivée de l'eau courant sur la commune grâce au barrage de Razisse. Le village connait alors une grande mutation avec la démocratisation de l'accès aux automobiles, la création de nouveaux lotissements et l'arrivée de nouveaux habitants dans le village[32].

Dans les années 1980 et 1990, le village s'urbanise et en 2003 Fréjairolles rejoint la communauté d'agglomération de l'Albigeois[33].

En 2012 est inaugurée une zone commerciale avec de nouveaux commerces de proximité tels qu'une station de lavage, un salon d'esthétique un bar brasserie et une boucherie charcuterie[34].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2014 Christian Chamayou DVG  
mars 2014 mai 2020 Marie-Claire Malroux DVG Vice-présidente du conseil départemental
mai 2020 En cours Jérôme Casimir[35]    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37]. En 2021, la commune comptait 1 330 habitants[Note 4], en augmentation de 1,14 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
480424630542642708737756750
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
754753808805792816806792760
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
731720690638667618580587577
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5515636378338409771 1141 1901 311
2014 2019 2021 - - - - - -
1 3151 3281 330------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Équipements[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Associations[modifier | modifier le code]

Festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 540 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 1 358 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 690 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 4,3 % 5,4 % 5,5 %
Département[I 7] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 842 personnes, parmi lesquelles on compte 81,3 % d'actifs (75,8 % ayant un emploi et 5,5 % de chômeurs) et 18,7 % d'inactifs[Note 6],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Albi, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 139 emplois en 2018, contre 175 en 2013 et 149 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 641, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,9 %[I 10].

Sur ces 641 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 70 travaillent dans la commune, soit 11 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 95,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 1,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

78 établissements[Note 7] sont implantés à Fréjairolles au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 78 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
14 17,9 % (13 %)
Construction 17 21,8 % (12,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
13 16,7 % (26,7 %)
Information et communication 1 1,3 % (2,1 %)
Activités financières et d'assurance 4 5,1 % (3,3 %)
Activités immobilières 5 6,4 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
9 11,5 % (13,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
8 10,3 % (15,5 %)
Autres activités de services 7 9 % (9 %)

Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,8 % du nombre total d'établissements de la commune (17 sur les 78 entreprises implantées à Fréjairolles), contre 12,5 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[40] :

  • HMCL, activités des sociétés holding (93 k€) ;
  • Sacyloyo Participations, activités des sociétés holding (0 k€).

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 56 32 25 20
SAU[Note 10] (ha) 1 480 1 387 1 279 1 312

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 56 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 32 en 2000 puis à 25 en 2010[43] et enfin à 20 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 64 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[44],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1480 ha en 1988 à 1312 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 26 à 66 ha[43].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Sainte-Cécile de Fréjairolles.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre Mondy (acteur). Un patronyme porté par plus de 300 foyers français, très majoritairement originaires du Tarn, où la famille paternelle de l’acteur plonge ses racines aux environs d’Albi.

Son père, directeur d’un école privée, était natif de Mouzieys-Teulet (Tarn) et issu de vieilles lignées locales (Raffel, Vincens, Rabaudy, Mauran, Sirven… de Lombers, Orban, Albi) ; celle des Cuq étant quant à elle originaire de Fréjairolles (Tarn), où les ancêtres étaient cultivateurs et cardeurs de laine et où l’on peut remonter à Barthélemy Cuq, six fois arrière-grand-père de Pierre, né vers 1630 et époux de Magdeleine Pascal. Un patronyme classique en Languedoc, issu d’un toponyme désignant un sommet, une colline (comme la célèbre commune de Montcuq, dans le Lot) et dénommant deux communes du Tarn (Cuq-lès-Vielmur et Cuq-Toulza). Mais un patronyme lourd à porter, surtout pour qui veut avoir une vie publique, ce qui avait poussé l’acteur à prendre rapidement un pseudonyme, avec Mondy, nom de jeune fille de sa grand-mère maternelle, la Corrézienne Antoinette Léonie Delteral, née Mondy, fille d’un cordonnier de Voutezac et mariée avec un boulanger de Varetz. Une lignée connue à Voutezac depuis le XVIIIe siècle, alliée aux Delteral, Ravel, Bosredon, Fraysseix, Jay…

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Fréjairolles » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Albi » (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Fréjairolles » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Fréjairolles » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Fréjairolles » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Fréjairolles » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Fréjairolles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  4. Sandre, « l'Assou »
  5. Sandre, « le ruisseau de Caussels »
  6. Sandre, « le ruisseau de Jauzou »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Fréjairolles et Laguiole », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Fréjairolles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Fréjairolles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Fréjairolles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Fréjairolles », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  23. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Fréjairolles », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  29. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie occitane, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-215-5)..
  30. a b c et d Yvon Assié, Histoire brève de Fréjairolles : Dans la baronnie de Lombers, 1212-1900, Albi, Atelier graphique Saint Jean, , 65 p..
  31. Camille Rabaud, Histoire du protestantisme dans l’Albigeois et le Lauragais, Paris, Sandoz et Fischbacher, , 648 p. (ISBN 978-5519128032, lire en ligne).
  32. a b et c « Histoire de Fréjairolles », sur Mairie de Fréjairolles (consulté le ).
  33. « Création de la communauté d'agglomération de l'Albigeois (81). », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  34. « Fréjairolles. La zone commerciale inaugurée », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  35. Le Tarn libre, 12 juin 2020, p. 22.
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. « Entreprises à Fréjairolles », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  41. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  42. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  43. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Fréjairolles - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  44. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).