Fouilloy (Somme)
Fouilloy | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de Somme | ||||
Maire Mandat |
Bernard Brochot 2014-2020 |
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Code postal | 80800 | ||||
Code commune | 80338 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fouilloysiens | ||||
Population municipale |
1 874 hab. (2014) | ||||
Densité | 327 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 54′ 01″ nord, 2° 30′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 28 m Max. 98 m |
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Superficie | 5,73 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Corbie | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairiefouilloy80.fr | ||||
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Fouilloy est une commune française située dans le département de la Somme, en région administrative Hauts-de-France.
Géographie
Localisation
Fouilloy, commune picarde voisine de Corbie (bureau centralisateur du canton de Corbie), est la troisième commune en population du canton. Elle est au croisement de la route (RD 1) de Corbie à Amiens et de la route départementale (RD 23) qui va de Fouilloy à Moreuil en passant par Villers-Bretonneux (deuxième commune du canton en population). La route reliant Fouilloy à Villers-Bretonneux passe devant le mémorial national australien situé au sommet de la croupe dominant Fouilloy.
Géographie physique
Nature du sol et du sous-sol
Le sous-sol de la commune est uniformément crayeux, la craie blanche affleurant en plusieurs endroits. Le sol est constitué de tourbe et d'alluvions modernes dans la vallée de la Somme et de dépôts meubles ou limon dit « terre à brique » sur les versants. On rencontre au sud-est de la commune du bief à silex enrobé d'une argile rouge sableuse[1].
Relief, paysage, végétation
Au nord, la commune est limitée par le canal de la Somme. Le sol se relève ensuite au nord et au sud. Le point culminant de la commune se situe au sud-est sur le chemin d'Ignaucourt d'où l'on domine toute la vallée de la Somme. On peut y apercevoir la flèche de la cathédrale d'Amiens[1].
Hydrographie
La commune est traversée par la Somme et le canal de la Somme. Les eaux de sources imprègnent la couche humifère. La Somme à Fouilloy se divise en plusieurs bras dont la Vieille Somme qui sépare Fouilloy de Corbie au Pont de Rome[1].
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique avec vent d'ouest et sud-ouest dominants[1].
Géographie humaine
Urbanisme et aménagement du territoire
Fouilloy forme avec Corbie un même ensemble urbain, le bâti étant continu. Le tissu urbain s'échelonne de part et d'autre de la route départementale 1 qui relie Amiens à Péronne. Des lotissements ont été construits parallèlement à cette route vers le canal de la Somme au nord, vers Villers-Bretonneux au sud et vers Hamelet à l'est. La commune fait désormais partie de la péri-urbanisation amiénoise.
Entre Fouilloy et Aubigny ont été aménagés des étangs dont les berges sont arborées.
Activité économique et de services
Les activités économiques sont surtout consacrées au transport-logistique, l'imprimerie, l'artisanat, le commerce de détail et la moyenne distribution à la périphérie de la commune en allant vers Amiens. Une maison de retraite et une école maternelle et primaire complètent les services offerts à la population.
Transports et voies de communication
Fouilloy est située sur la route départementale 1 reliant Amiens à Péronne. La route départementale 23 relie Fouilloy à Moreuil, la route départementale 71 relie Fouilloy à Herbécourt, la route départementale 122 relie Fouilloy à Lamotte-Warfusée.
- Transports en commun routiers : la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 37)[2].
Communes limitrophes
Toponymie
On trouve plusieurs formes pour désigner Fouilloy dans les textes anciens : Folloisium en 1288, Folliacum, Follietum, Foiliacum, Folletum, Foeuilloy. Ce nom viendrait du fait que les habitations des temps anciens avaient été bâties au milieu d'une végétation abondante de feuillus[3],[1].
Histoire
Protohistoire
Roger Agache, lors de prospections aériennes, a révélé l'existence au lieu-dit « Le Champ Martin », l'enclos circulaire datant vraisemblablement de l'âge du bronze et aux « Terres rousses », des enclos datant probablement de l'âge du fer[4].
Antiquité
- Des traces d'une villa gallo-romaine ont été retrouvées sur la commune.
- Des sarcophages, des armes et des médaillons ont été trouvés sur le territoire de la commune, sur le chemin des marais vers Aubigny en 1839[1].
Moyen Âge
- Le village est mentionné dans des manuscrits du VIIe siècle.
- 859 et 881, Fouilloy est ravagé par les Vikings.
- Fouilloy fut, au Moyen Âge, une dépendance de l'abbaye de Corbie, et un faubourg de la ville de Corbie qui avait ses propres fortifications : le Fort blanc vers Aubigny, le Fort Saint-Nicolas vers Hamelet etc.
- 1185, Philippe d'Alsace, comte de Flandre, en lutte contre le roi de France, Philippe-Auguste, mit le siège devant Corbie. Il s'empara des ouvrages avancés de Fouilloy mais fut finalement repoussé.
- Au XIIIe siècle, Fouilloy possédait une maladrerie.
- 1239, La collégiale Saint-Mathieu qui conservait le chef de l'évangéliste avait à sa tête un chapitre dont les chanoines étaient dotés de prébendes égales pour tous. En 1240, l'évêque d'Amiens, Arnoul, défendit aux chanoines de jouer aux dés et aux osselets devant le parvis de la collégiale, d'avoir des concubines, d'aller au cabaret, d'être usurier, de porter des armes et des chapeaux garnis de fleurs[3].
- 1288, Fouilloy était le siège d'une prévôté royale[3]. Le prévôt exerçait des fonctions judiciaires avec une administration (procureur, substitut, greffier, huissier, sergents).
- En 1430, le siège de la prévôté de Fouilloy fut transféré à Corbie.
Époque moderne
- 1636, pendant le siège de Corbie, la collégiale de Fouilloy est incendiée. Les bateliers de Fouilloy : Louis et Charles Bozo de Metz (père et fils), Romain Dethez, Fleury Dupré, originaires de Fouilloy, mènent, avec d'autres compagnons, une série de coups de main contre l'armée espagnole. Le 16 septembre, ils attaquent et détruisent un moulin et en tuent tous les défenseurs. Le 26 septembre, ils guident les troupes du maréchal de La Force lors de l'attaque de la Porte à l'Image, à l'entrée ouest de Corbie. Enfin, ils réussissent à détourner le cours de la Boulangerie (bras de l'Ancre) rendant ainsi inutilisables les moulins qui y sont situés. Louis XIII, dès octobre 1636, les exempte de taille, taillon, service de guet... à perpétuité, eux et leurs descendants[5].
- Sous l'Ancien Régime, Fouilloy est doté d'un grenier à sel. La moitié de la vicomté appartient à l'abbaye de Corbie et l'autre moitié à l'échevinage de Fouilloy.
- En 1695, les biens de la maladrerie de Fouilloy sont réunis par décision royale à l'hôpital de Montdidier.
Époque contemporaine
- 1789, Fouilloy devient une commune indépendante de Corbie.
- En 1815, durant la Campagne de France, Fouilloy subit l'occupation des Russes et des Prussiens.
- 1843, le conseil municipal de Fouilloy décide d'assurer la gratuité de l'enseignement primaire pour tous les enfants de la commune.
- Pendant la guerre franco-allemande de 1870 les troupes du général Faidherbe stationnent à Fouilloy après la Bataille de Villers-Bretonneux avant de marcher sur Pont-Noyelles. Pendant l'Année terrible, six jeunes gens de Fouilloy versent leur sang pour la patrie. L'occupation prussienne, les réquisitions en nature et en argent coûtent 100 000 francs aux habitants et à la commune.
- 1879, le conseil municipal décide la laïcisation de l'école primaire de filles de la commune.
- 1880, le conseil municipal décide la création d'une école maternelle.
- 1891, une société de secours mutuels est créée dans la commune.
- 1914, Fouilloy est occupée par l'armée allemande fin août-début septembre.
- Durant la Première Guerre mondiale, de 1915 au printemps 1918, Fouilloy devient un village de l'arrière qui sert de base à l'armée britannique principalement. Des hôpitaux militaires sont installés dans la commune notamment dans l'actuelle maison de retraite. Georges Duhamel y est affecté.
- 1916, des coolies chinois de l'armée britannique sont employés à Fouilloy à la manutention de marchandises et d'armes.
- le 25 avril 1918, lors de la bataille du Kaiser déclenchée par l'Empire allemand, les collines autour du village sont le lieu d'importants combats de l'offensive allemande sur la Somme. Des milliers de soldats australiens et néozélandais de l'ANZAC, qui étaient venus renforcer les effectifs de la British Army, y meurent en repoussant l'offensive de l'armée allemande sur Amiens.
- Le village subit d'importantes destructions pendant les deux guerres mondiales.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[10],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 1 874 habitants, en augmentation de 0,86 % par rapport à 2009 (Somme : 0,32 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Canal de la Somme.
- Église Saint-Mathieu détruite en 1636, reconstruite au XVIIIe siècle[13],[14], elle fut de nouveau détruite en 1940. L'église actuelle est une construction des années 1950. La façade est décorée de statues de Louis Chavignier. Dans la nef se trouve la dalle funéraire de Guilain Piteux, curé de la paroisse décédé en 1782[15], et deux crédences du XVIIIe siècle[16].
- Cimetière communal :
- Monument aux morts de la guerre de 1870. Ce monument qui à la forme d'une colonne tronquée posée sur un socle parallélépipédique porte cette dédicace :
« A la mémoire de jeunes gens de cette commune morts en servant la patrie pendant les guerres de 1870-1871. »
- Carré militaire français de la Première Guerre mondiale.
- Carré militaire britannique de la Première Guerre mondiale.
- À l'entrée du cimetière, sur le mur extérieur, stèle à la 4e D.I.C. mai-juin 1940.
- Monument à Jules Lardière, préfet de la Défense nationale, à côté de l'église.
- Mairie, bâtiment en brique, de la fin du XIXe siècle, aux allures de château.
- Monument aux morts de la Grande Guerre, à côté de l'église[17].
- Mémorial national australien de Villers-Bretonneux et le cimetière militaire.
- La Véloroute de la Mémoire passe par Fouilloy.
- Usine de Teinturerie de Fouilloy : moulin au milieu du XIXe siècle, transformé en usine de teinturerie. La chaufferie et les ateliers sont à l'état de vestiges. Il reste une chaudière à vapeur « Louis Fontaine » (1932) et une chaudière à vapeur « Veillet Lescure » (fin XIXe siècle), encore visibles[18].
Personnalités liées à la commune
- Anschaire de Brême (saint Anschaire) (801-865), serait né à Fouilloy, moine de l'abbaye de Corbie, il fut envoyé à l'abbaye de Corvey en Westphalie. De là, il partit évangéliser le Danemark et la Suède. Il devint évêque de Brême et archevêque de Hambourg.
- Hugues de Fouilloy (début XIIe siècle-1173/1174), originaire de Fouilloy, prieur de Saint-Laurent-au-Bois à Heilly, auteur théologique, très célèbre en son temps.
- Evrard de Fouilloy (vers 1145-1222), évêque d'Amiens, décida la construction de la cathédrale d'Amiens actuelle.
- Jules Lardière, né à Falaise le 19 février 1829, mort à Corbie, le 18 novembre 1876. Issu d'une famille d'industriels du textile, il devint industriel lui-même après avoir obtenu son baccalauréat au lycée Henri-IV à Paris. De conviction républicaine radicale et libre penseur, il devint l'ami de Ledru-Rollin et partisan de Gambetta. Il s'exila à Genève après le coup d'État du 2 décembre 1851.
Rentré en France, il acheta, en 1862, une fabrique de bonneterie à Fouilloy. En 1869, il fonda avec René Goblet et Frédéric Petit, le quotidien, Le Progrès de la Somme. Nommé, par le Gouvernement de la Défense nationale, préfet de la Somme, du 5 au 23 septembre 1870, puis du 24 octobre 1870 au 6 février 1871, il dut se replier sur Abbeville puis Rue pendant l'occupation prussienne. Maire de Fouilloy et conseiller général du canton de Corbie de 1871 à 1873, il démissionna pour protester contre les mesures d'ordre moral prises par le gouvernement. Il redevint maire de Fouilloy en 1876[19]. - Georges Duhamel, médecin militaire en 1916 et écrivain fut en cantonnement à Fouilloy. Il l'a évoqué dans des lettres écrites à son épouse.
- Diasso Kal Boutie (1919-1940) : soldat au 16e régiment de tirailleurs sénégalais, tué à l'ennemi le 28 mai 1940 à Fouilloy. Inhumé dans le caveau n° 1 du Mémorial de la France combattante[20].
Héraldique
Les armes de la commune reprennent, légèrement modifiées, celles de la prévôté de Fouilloy figurant sur un sceau de 1350[21]. Ce sceau provenant de l'abbaye de Corbie, est conservé aux Archives départementales de la Somme[22]. Blasonnement :
Ornements extérieurs :
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Pour approfondir
Bibliographie
- Père Daire, Histoire civile, ecclésiastique et littéraire du doyenné de Fouilloy : repris, corrigé et annoté par Alcius Ledieu, Le Livre d'histoire, (réimpr. 1993), 233 p. (présentation en ligne)
- Madeleine Marieux et Roger Caron, Trois cent cinquantième anniversaire du siège de Corbie, Corbie, 1986, Les Amis du Vieux Corbie.
- Pillon Daniel et Roussel Catherine, Mémoire de pierre, mémoire des hommes du canton de Corbie, Association « Villers-Bretonneux Mémoire », Villers-Bretonneux, 2010 (ISBN 2 - 9 525 411 - 6 - 7).
- Michelle Sellier, Fouilloy, regard sur le passé, préface de René Debrie; Corbie, Les Amis du Vieux Corbie, 1985
- Albert Wamain, Héros oubliés, épisodes et notes biographiques relatives au siège de Corbie, 1636, Corbie, 1994, Les Amis du Vieux Corbie.
- Les Amis du Vieux Corbie, Saint-Anschaire, Corbie, 1994.
Articles connexes
- Liste des communes de la Somme
- Monument aux morts de la guerre de 1870 en France
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme
Liens externes
- Institut géographique national, « Fouilloy » (consulté le )
- Page spécifique du site de la communauté de communes
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Notice géographique et historique sur la commune de Fouilloy, rédigée par Monsieur Caron, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme.
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Père Jean-François Daire, Histoire civile, ecclésiastique et littéraire du doyenne de Fouilloy, op. cit. en bibliographie
- Roger Agache, La Somme pré-romaine et romaine, Amiens, Mémoires de la Société des antiquaires de Picardie, tome 24, 1978
- Albert Wamain, Héros oubliés, Corbie, Les Amis du Vieux Corbie.
- « Liste des maires de 1793 à ce jour », Fouilloy, Histoire des villages, Généalogie et histoire locale, Histoire Locale dans la Somme, Picardie, Bretagne et Limousin, (consulté le ).
- [xls] « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le )
- « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- Clochers.org
- 40000clochers.com
- « Dalle funéraire de Guilain Piteux », notice no PM80001462, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Deux crédences dans l'église de Fouilloy », notice no PM80000657, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Le Monument aux morts de Fouilloy », notice no IA80000068, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Usine de Teinturerie de Fouilloy », notice no IA00076471, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Vincent Wright et al. (préf. Jean-Pierre Machelon), Les préfets de Gambetta, Paris, Presses de l’Université Paris-Sorbonne, , 482 p. (ISBN 978-2-84050-504-4, présentation en ligne)
- « Suresnes (92) : Mémorial de la France combattante du Mont Valerien », sur http://www.landrucimetieres.fr (consulté le ).
- Demay,Sceaux de la Picardie n° 833
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=2352
- Jacques Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, préface de Pierre-Marcel Wiltzer, Préfet de la région Picardie, Préfet de la Somme, Abbeville, 1972, Imprimerie F. Paillart.