Bouvante

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Bouvante
Bouvante
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Royans-Vercors
Maire
Mandat
Jean-Luc Faure
2020-2026
Code postal 26190
Code commune 26059
Démographie
Gentilé Bouvantiens, Bouvantiennes
Population
municipale
209 hab. (2021 en diminution de 17,06 % par rapport à 2015)
Densité 2,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 57′ 55″ nord, 5° 16′ 17″ est
Altitude Min. 311 m
Max. 1 701 m
Superficie 83,88 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vercors-Monts du Matin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bouvante

Bouvante est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Bouvantiens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Bouvante est située dans le Royans. Elle fait partie de la communauté de communes du Royans-Vercors. La commune est située à 40 km à l'est de Romans-sur-Isère et à 8 km au sud de Saint-Jean-en-Royans.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est positionnée au pied du col de la Bataille, un des plus hauts cols routiers du massif préalpin du Vercors.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Les cours d'eau[modifier | modifier le code]

La Lyonne (quelquefois écrit : la Lionne), affluent de la Bourne, traverse le territoire communal.

Le lac de Bouvante[modifier | modifier le code]

Situé sur le cours de la Lyonne, le lac artificiel de Bouvante est le plus grand lac du Massif du Vercors qui en compte très peu, du fait de sa nature calcaire.

  • Il a une surface de 18 hectares et un volume 1,3 million de m3.
  • Le barrage sur la Lyonne a été construit en 1925, afin de produire de l’électricité dans une usine située à six kilomètres en aval, sur le cours du torrent. Une conduite forcée de plus de 5 km de longueur amène l’eau depuis le barrage jusqu’à la centrale. En aval du barrage, le débit du torrent est de 33 l/s[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 187 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Jean-en-Royans à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 136,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Il est possible de rejoindre Saint-Jean, via le Col de la croix lorsque l'on se trouve à Bouvante le Haut.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bouvante est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,9 %), prairies (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune se compose de deux hameaux principaux : Bouvante-le-Haut et Bouvante-le Bas[15].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Liste des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Bouvante, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[16].

  • Chaillard
  • les Rochats
  • les Vignes
  • Pélandré
  • Lente
  • la Courerie
  • la Rouye
  • les Sables
  • Bouvante-le Bas
  • Sainte-Marie (ancienne chartreuse)
  • Douçanet
  • Bessou
  • les Vignons
  • Pôtre
  • les Roux
  • la Pène
  • le Maillet
  • Dragoux
  • le Bruchet
  • Peyroux
  • les Ranches
  • les Ollats
  • les Contents
  • le Toit
  • les Jacines
  • Charet
  • Blache
  • Many
  • Bouvante-le-Haut
  • Logue
  • les Roissards
  • Gampaloux
  • les Granges

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Bouvante est située en zone de sismicité no 4 (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[19] :

  • 1190 : Vallem de Bovanti (cartulaire de Léoncel, 44).
  • 1265 : Bovantio (cartulaire de Léoncel, 218).
  • 1265 : mention de l'église (Saint-Pierre) : Capella de Bovantis (cartulaire de Léoncel, 218).
  • 1446 : mention de l'église (Saint-Pierre) : Ecclesia de Bovantio (pouillé hist.).
  • 1452 : Bouvancium (archives de la Drôme, E 2421).
  • 1466 : Boventium (pap. de Valfanjouse).
  • 1576 : Bouvantis (pouillé de Die).
  • 1629 : mention de l'église (Saint-Pierre) : La cure de Bouvantis (rôle de décimes).
  • 1779 : Bouvente (Aff. du Dauphiné).
  • 1891 : Bouvantes, commune du canton de Saint-Jean-en-Royans.

Non daté[réf. nécessaire] : Bouvante.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune serait issu d'un composé gaulois *Bo-venton, l'abattoir (ou aire de sacrifice) à bœufs, d'après Xavier Delamarre[20]. Delamarre n'en parle pas dans son Dictionnaire de la langue gauloise de 2001.

Histoire[modifier | modifier le code]

Protohistoire : les Celtes[modifier | modifier le code]

Durant la période celte, le territoire de Bouvante se situait en limite du territoire des Allobroges et de celui des Ségovellaunes.

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Le lieu-dit « Quatre Têtes », situé près de Saint-Nazaire-en-Royans (à quelques kilomètres de Bouvante) et qui domine le confluent de la Bourne et de l'Isère, pourrait avoir été un oppidum. Il fait partie des hypothèses sur l'emplacement de la cité non localisée de Ventia[21].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

Le fief est disputé entre les dauphins de Viennois et les comtes de Diois (puis les évêques de Die)[15].

La seigneurie[19] :

  • Fief des dauphins.
  • 1151 : donné à la chartreuse du Val-Sainte-Marie.

Il y avait, en 1789, dans cette commune, 185 chefs de famille[19].

Avant 1790, Bouvante était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et du bailliage de Saint-Marcellin, formant une paroisse du diocèse de Die. Son église, sous le vocable de Saint-Pierre, et les dîmes appartenaient aux chartreux du Val-Sainte-Marie (voir le Couvent), depuis la donation qui leur en fut faite en 1189 par les comtes de Valentinois, qui les avaient acquises de l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon[19].

La chartreuse du Val-Sainte-Marie[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[22] :

  • 1145 : maison de chartreux, fondée par les dauphins qui la dotèrent aussitôt de la seigneurie temporelle de Bouvante, et à qui les comtes de Valentinois acquirent, en 1186, les dîmes de la paroisse de ce nom.
  • 1179 : Prioratus Vallis Beate Marie (cartulaire de Die, 30).
  • 1190 : Vallis Sancte Marie de Valle Bovanti (cartulaire de Léoncel, 44).
  • 1196 : Domus Vallis Sancte Marie (cartulaire de Léoncel, 62).
  • 1504 : Prioratus Sancte Marie de Vallis et la Chartreuze de Bouvente (terrier du Val-Sainte-Marie).
  • 1516 : Cartusia Vallis Sancte Marie (pouillé de Die).
  • 1576 : La Chartrousse Laval Sainte-Marye (rôle de décimes).
  • 1788 : La Chartreuse du Val-Sainte-Marie (Alman. du Dauphiné).
  • 1891 : Le Couvent, ruine de la commune de Bouvante.

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

Comprise en 1790 dans le canton de Rochefort-Samson, cette commune, qui forme actuellement deux paroisses dites du Haut-Bouvantes et du Bas-Bouvantes, fait partie du canton de Saint-Jean-en-Royans depuis la réorganisation de l'an VIII[19].

1791 : Les chartreux du Val-Sainte-Marie sont expulsés de Bouvante. Le couvent détenait des boiseries exceptionnelles. Elles seront rachetées à l'État par la commune de Saint-Jean-en-Royans qui les installera dans son église[réf. nécessaire].

Le , lors d'un pique-nique en famille, un policier découvre au bord du lac une pierre de 8,3 kg. Cette météorite, une des cinq météorites françaises provenant de l'astéroïde Vesta, sera identifiée par le géologue François Kraut.

  • Un fragment de cette météorite fut visible lors l'exposition « Météorites, entre ciel et terre » organisé dans la grande galerie de l'évolution du Musée d'histoire naturelle de Paris du au [23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Scrutins locaux[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1951 Henri Labrosse    
mars 1951 1983 Claude Labrosse    
mars 1983 1989 Henri Allier    
mars 1989 En cours Jean-Luc Faure[24] DVG Retraité de l'enseignement

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 209 habitants[Note 2], en diminution de 17,06 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8018491 0291 014955922908848852
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
838826835771744690709653628
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
561523463401434377354315287
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
285250222219220223237239244
2018 2021 - - - - - - -
214209-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

la commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : premier dimanche d'août (Bouvante-le-Haut) et quatrième dimanche d'août (Bouvante-le-Bas)[15].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

En 1992 : bois, pâturages (bovins)[15].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Station de ski de Font d'Urle[15]. : elle possède seize pistes. Le point bas se situe à Lente (1 070 m) et le point culminant à La Pelouse du Lièvre Blanc (1 450 m).
  • Station climatique d'été (Lente)[15].

Patrimoine et culture locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Fontaine de Bouvante-le-Haut.
  • L'église Saint-Pierre de Bouvante-le-Haut du XIe siècle de Bouvante-le-Haut[15].
  • L'église Saint-Sébastien de Bouvante-le-Bas du XIXe siècle[15].
  • La fontaine publique de Bouvante-le-Haut
  • Les ruines de la chartreuse du Val-Sainte-Marie sont situées à proximité du hameau des Vignes. Les boiseries exceptionnelles du couvent, confisquées par la Révolution en 1791, sont aujourd'hui visibles dans l'église de Saint-Jean-en-Royans.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

C'est dans la commune de Bouvante que Pierre Pellegrini situe l'action de son roman La Branche cassée (dans le hameau de Lente)[réf. nécessaire].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Multiples sites et panoramas : lac de Bouvante, gorges de la Lyonne, cirque du Val-Sainte-Marie, col de la Bataille, forêt de Lente, grottes, cascades[15].
  • Parc naturel régional du Vercors[15].
  • La forêt domaniale de Lente : ancienne propriété de la chartreuse du val Sainte-Marie, cette forêt, reconnue pour la diversité de ses milieux naturels, a été intégrée au domaine de l'État à la Révolution. Cette hêtraie et sapinière d’altitude produit du bois essentiellement exploité par les filières locales[29]. la forêt de Lente fait partie de l'immense forêt du Vercors partagée entre les départements de la Drôme et de l'Isère.

Spéléologie[modifier | modifier le code]

Grotte du Brudour.

De nombreux réseaux existent sous la forêt de Lente. Les principaux sont :

  • le scialet de l'Appel-grotte du Brudour[30] de 5 900 mètres de développement ;
  • le réseau Christian Gathier[Note 3],[31] de 327 m de dénivelé pour 11 700 m de longueur ;
  • le scialet Robin[Note 4],[32] d'une dénivellation de 231 m ;
  • plus au sud-est, le réseau des Chuats comporte quatre entrées, le scialet Abel, le scialet des Fleurs Blanches, le scialet des Deux Gardes et le scialet II des Chuats[Note 5] . Il est le deuxième plus grand réseau de la Drôme avec plus de 39 000 m de galeries explorées pour une profondeur de 304 m[33],[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Bouvante possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Vidéos[modifier | modifier le code]

  • [vidéo] We are Cavers-Scialet Robin, Adrien Ragot (mise en ligne & montage) Images: Ales Hrabec, Alexandre Lopez, Adrien Ragiot () beontherope.com. Consulté le . “min 33 s”.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Le scialet du Toboggan a pour coordonnées 44° 55′ 30″ N, 5° 19′ 22″ E.
  4. Le scialet Robin a pour coordonnées 44° 57′ 46″ N, 5° 20′ 58″ E.
  5. Le scialet II des Chuats a pour coordonnées 44° 53′ 25″ N, 5° 20′ 12″ E.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, nom des habitants des communes des habitants de la Drôme, consulté le 16 juillet 2019
  2. Site du PNR du Vercors, page sur le lac de Bouvante, consulté le 07 octobre 2018
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Bouvante et Saint-Jean-en-Royans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Jean-en-Royans », sur la commune de Saint-Jean-en-Royans - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Jean-en-Royans », sur la commune de Saint-Jean-en-Royans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c d e f g h i et j Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Bouvante.
  16. Site géoportail, page des cartes IGN
  17. Site officiel "plan séisme", carte des zones de sismicité
  18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  19. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 48.
  20. Xavier Delamarre, Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne, Éditions Errance, Arles 2012, 384 pages, (ISBN 978-2-87772-483-8), p. 85.
  21. Site de la commune de Saint-Nazaire-en-Royans, page sur l'Antiquité
  22. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 116.
  23. Site du Musée d'Histoire naturelle, page sur la météorite de Bouvante, consulté le 17 mars 2019
  24. Bouvante sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 8 mars 2015).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Site de L'ONF, page sur la forêt domaniale de Lente, consulté le 17 mars 2019
  30. « Font d'Urle et la grotte du Brudour », sur eau.amisdesparcs.fr (consulté le ).
  31. Pierre Garcin, « Un quart de siècle pour la traversée », Spéléo Magazine, Corenc, Spéléo magazine, no 50,‎ , p. 17-21 (ISSN 1629-1573).
  32. Thomas Dobelmann, Étude de cavité : le scialet Robin - réseau des Chats Perchés. Font d'Urle, commune de Bouvante (26190) : CREPS Vallon Pont-d'Arc, B.E.E.S., 1er degré Spéléologie, syndicat-speleo-canyon.org, , 110 p. (lire en ligne).
  33. Pierre-Yves Belette, Étude de cavité - Scialet II des Chuats : B.E.E.S. 1er degré spéléologie, syndicat-speleo-canyon.org, (lire en ligne [PDF]).
  34. Florent Merlet, Mémoire de cavité : Scialet II des Chuats - réseau des Chats Perchés. Font d'Urle, commune de Bouvante (26190) : CREPS Vallon Pont-d'Arc, B.E.E.S., 1er degré Spéléologie, syndicat-speleo-canyon.org, , 77 p. (lire en ligne).