Fichier:"Baron Renfrew" 1825.jpg

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

"Baron_Renfrew"_1825.jpg(760 × 576 pixels, taille du fichier : 132 kio, type MIME : image/jpeg)

Ce fichier et sa description proviennent de Wikimedia Commons.

Description

Description
English: The Baron of Renfrew, a large disposable timber ship which travelled from North America to the United Kingdom.
1 print / estampe : crayon lithograph with watercolour
Français : Le Baron of Renfrew
Des monstres des mers ... québécois
« Au XIXe siècle, les plus grands voiliers à ne jamais avoir été construits l’ont été dans la vallée du Saint-Laurent, à Québec, plus précisément à l’île d’Orléans. À cette époque, le port de Québec deviendra l’un des plus importants du monde en raison de son commerce du bois avec l’Angleterre. Bien que bénéficiant de tarifs préférentiels, les marchands de bois canadiens devaient néanmoins payer des droits de douane en abordant la Grande Bretagne. C’est l’appât d’un gain plus important qui pousse Charles Wood, un constructeur de navire installé à la pointe ouest de l’île d’Orléans (Sainte-Pétronille) à imaginer un stratagème pour éviter de payer les tarifs requis. En 1824, il construit le Columbus, un quatre mâts jaugeant 3690 tonneaux. Le navire moyen alors construit à Québec faisait 200 tonneaux. Construit en bois équarri, il devait être démonté une fois arrivé, évitant ainsi les droits d’entrée, le bateau proprement dit n’étant pas taxés. Une fois le navire déchargé, on décide de tenter un nouveau voyage, mais le Columbus était conçu pour n’effectuer qu’une seule traversée. C’est pourquoi il coula en arrivant au Nouveau Brunswick l’année suivante. L’équipage est sauvé in extremis. Wood ne s’avoue pas vaincu. En 1825, toujours à son chantier de l’île, il récidive en construisant le Baron of Renfrew. Cette fois-ci, il jauge 5294 tonneaux. Un mastodonte. Un fois de plus, c’est l’échec. Il fait naufrage face à Gravelines, sur les côtes françaises. C’est la fin de l’aventure québécoise de constructeur de navires et de marchand de bois de Charles Wood (patronyme prédestiné). Néanmoins, il est passé dans les annales de l’histoire de la construction navale à Québec et au monde. » – Société historique de Québec
Date
Source

The Peter Winkworth Collection of Canadiana

Cette image est disponible par l'entremise de Bibliothèque et Archives Canada sous le numéro de référence de la reproduction R9266-3280 et sous le numéro MIKAN 3020486

Ce bandeau n’indique rien sur le statut de l’œuvre au regard du droit d'auteur. Un bandeau de droit d’auteur est requis. Voir Commons:À propos des licences pour plus d’informations.

Bibliothèque et Archives Canada ne permet pas la distribution libre de ces documents encore assujettis aux droits d'auteurs. Voir Images provenant de Bibliothèque et Archives Canada.

English  français  македонски  日本語  +/−

Auteur M. Young

Conditions d’utilisation

Public domain

Cette œuvre est également dans le domaine public dans tous les pays pour lesquels le droit d’auteur a une durée de vie de 100 ans ou moins après la mort de l’auteur.


Cette œuvre est dans le domaine public aux États-Unis car elle a été publiée avant le 1er janvier 1929.

Légendes

Ajoutez en une ligne la description de ce que représente ce fichier

Éléments décrits dans ce fichier

dépeint

image/jpeg

80cb01975a27494242ef4a5e083e6dfed66fe38c

135 300 octet

576 pixel

760 pixel

Historique du fichier

Cliquer sur une date et heure pour voir le fichier tel qu'il était à ce moment-là.

Date et heureVignetteDimensionsUtilisateurCommentaire
actuel13 août 2007 à 00:38Vignette pour la version du 13 août 2007 à 00:38760 × 576 (132 kio)Garoby{{Information |Description= 1 print / estampe : crayon lithograph with watercolour |Source= The Peter Winkworth Collection of Canadiana |Date= |Author= M. Young |Permission=National Archives of Canada. |other_versions= }}

Les 2 pages suivantes utilisent ce fichier :

Usage global du fichier

Les autres wikis suivants utilisent ce fichier :

Métadonnées