Feucherolles

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Feucherolles
Feucherolles
L'hôtel de ville.
Blason de Feucherolles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité Communauté de communes Gally Mauldre
Maire
Mandat
Patrick Loisel
2020-2026
Code postal 78810
Code commune 78233
Démographie
Gentilé Feucherollais
Population
municipale
3 020 hab. (2021 en augmentation de 6,38 % par rapport à 2015)
Densité 235 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 25″ nord, 1° 58′ 26″ est
Altitude 150 m
Min. 85 m
Max. 185 m
Superficie 12,85 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Feucherolles
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Verneuil-sur-Seine
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web feucherolles.fr

Feucherolles est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Feucherollais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Feucherolles se trouve dans le nord-est des Yvelines, à 12 kilomètres au sud-ouest de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et à 17 kilomètres au nord-ouest de Versailles, la préfecture du département, et à 10 kilomètres de Poissy. Elle appartient à la région naturelle de la plaine de Versailles.


Position de Feucherolles dans les Yvelines.

Le territoire communal, relativement vaste, 1 285 hectares, s'étend sur environ 5 km du nord au sud et 5 km d'est en ouest. Il comprend trois parties, au nord un plateau à environ 175 mètres d'altitude qui appartient à une ligne de hauteurs orientée est-ouest entre la forêt de Marly et celle des Alluets, au sud, une zone de plaine en pente douce vers le sud, s'étageant entre 140 et 130 mètres d'altitude, qui appartient au versant nord de la vallée du ru de Gally, entre les deux une zone de transition assez pentue, dans laquelle se trouve le site historique du village.

Le territoire communal est principalement rural, à 80 %. L'espace rural, qui couvre environ 100 hectares, se partage sensiblement à égalité entre terres cultivées (grande culture céréalières, vergers) et forêts. Notamment la partie nord-est de la commune se trouve dans l'extrémité ouest de la grande forêt de Marly. Des bois se trouvent aussi à l'ouest du village. À ces espaces s'ajoutent 126 hectares d'espaces verts, dont le golf de Feucherolles, à l'est du village.

L'espace urbanisé représente 130 hectares (données 1999), constitué essentiellement d'habitat individuel[1].

L'habitat est groupé dans le village, qui s'est étalé au nord et au sud de son noyau historique le long de l'ancien tracé de la RD 130. Au nord, les lotissements récents rejoignent le hameau ancien de Sainte-Gemme et l'orée de la forêt de Marly, au sud, ils sont limités par la route RD 307.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Sur le plan hydrographique, la source du ru de Buzot, affluent de la Seine, se situe au nord et s'écoule vers le nord-est en direction de Chambourcy en suivant la lisière de la forêt de Marly. Vers le sud, la limite communale arrive à une centaine de mètres du ru de Gally, dans lequel débouche le fonds des Noisseaux, vallon sans cours d'eau permanent.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

La commune est traversée dans sa partie sud par la route départementale 307, orientée est-ouest, qui mène vers Versailles et les autoroutes A13 et A12 à l'est et vers la vallée de la Mauldre à l'ouest. Elle est également traversée par la route départementale 30, orientée nord-sud, qui conduit vers Poissy et les autoroutes A13 et A14 au nord et vers Plaisir au sud. Cette route a été déviée et contourne le village par l'ouest, avec un croisement dénivelé avec la RD 307. L'autoroute de Normandie traverse la pointe est du territoire communal, dans la forêt.

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

Les gares les plus proches sont :

Bus[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 17S, 27, 41, 170, 171, 172, 511 et 512 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines et par la ligne 4 du réseau de bus Île-de-France Ouest.

Depuis le 2 janvier 2018, le service de transport à la demande TAD Gally-Mauldre est mis en place pour ses habitants, permettant la réservation de bus en direction des gares de l’intercommunalité.

À pied[modifier | modifier le code]

Le territoire de Feucherolles est traversé par le GR1 (chemin de grande randonnée), entre Orgeval au nord et Davron au sud-ouest.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 697 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Feucherolles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Feucherolles, une unité urbaine monocommunale[11] de 2 874 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Felcherolis villa en 949[16], Foucherolles vers 1272[17], au XIIIe siècle[18].

Il s'agit du type toponymique gallo-roman FILICAROLA, composé du gallo-roman FILICARIA « fougère » (mot formé sur le latin classique filix, filicis « fougère » cf. italien felche, espagnol helecho, et le suffixe -aria), suivi du suffixe diminutif -OLA[19],[16].

Remarque : la forme la plus commune est Fougerolles, dont le [u] est peut-être caractéristique d'une variante de l'ouest à l'origine.

Histoire[modifier | modifier le code]

Il existe plusieurs traces d'occupations très anciennes : pointes de flèches et monnaie[20]. Puis l'influence gallo-romaine (vastes "villae") et le christianisme (martyre de sainte Gemme) ont laissé leurs marques.

Au Moyen Âge, l'invasion anglaise a provoqué la construction de places fortes ou le renforcement de demeures existantes : château de Sainte-Gemme et château de Retz, aujourd'hui disparus.

Vient ensuite la monarchie absolue, l'impact du château de Versailles et de son Grand Parc. Après la Révolution, en 1818, la commune de Lanluets-Sainte-Gemme est fusionnée avec Feucherolles[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires de Feucherolles
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1929 mai 1953 Robert Euvé   Industriel briquetier
mai 1953 mars 1977 Charles Tonnelline    
mars 1977 mars 2001 Roland Bernuzeau   Directeur des ressources humaines, maire honoraire
mars 2001 mars 2008 Martine Bourgeois DVD[22] Retraité de la fonction publique
mars 2008 En cours Patrick Loisel DVD Professeur du secondaire

Jumelages[modifier | modifier le code]

Feucherolles est jumelée à la ville allemande de Rösrath.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 3 020 habitants[Note 3], en augmentation de 6,38 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
219278254507607617651624657
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
564609625635682711692754771
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
675752721714747790749768844
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2881 0472 0522 1782 6992 8062 9962 8472 862
2021 - - - - - - - -
3 020--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 466 hommes pour 1 485 femmes, soit un taux de 50,32 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,9 
8,2 
75-89 ans
7,5 
16,4 
60-74 ans
17,9 
26,1 
45-59 ans
26,4 
13,6 
30-44 ans
14,4 
16,5 
15-29 ans
15,0 
19,0 
0-14 ans
17,9 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

Proche des grands centres d'affaires de la Défense accessible très rapidement par l'autoroute A14 à Orgeval, de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines par la route départementale 30 et de Paris, Feucherolles est d'abord une ville résidentielle. On y trouve également quelques artisans indépendants et quelques entreprises du secteur tertiaire, dont Mood Media, spécialisée dans la diffusion de programmes musicaux par satellite, pour diverses chaînes de magasins, en cours de délocalisation en 2012[29].

Plus traditionnellement, Feucherolles dispose de terres agricoles importantes, cultivées par des maraîchers et des pépiniéristes.

Enfin, Feucherolles possède un golf 18 trous et 3 centres équestres.

Feucherolles abrite également le siège de la ligue départementale de tennis des Yvelines, affiliée à la FFT.

Par ailleurs, la commune de Feucherolles accueille sur son territoire une installation militaire comportant des antennes de communication et des bureaux. Cette base du ministère de la Défense serait utilisée par la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure, les services secrets français)[réf. nécessaire][30]. À quelques kilomètres de Feucherolles, sur la même route, une autre base de l'armée y figure et dépend de la commune des Alluets-le-Roi. Cette seconde base, plus importante et plus vaste, serait également exploitée par la DGSE. Les missions de ces installations militaires seraient d'intercepter les communications téléphoniques, internet, pour lutter notamment contre le terrorisme ou bien encore pour sécuriser des communications officielles[réf. nécessaire].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine architectural[modifier | modifier le code]

L'église Sainte-Geneviève.
  • Église Sainte-Geneviève : L'église Sainte-Geneviève date des XIe et XIIe siècles. Surmontée d'un élégant clocher à huit pans en pierre, elle est de style mêlé roman et gothique. La nef et les collatéraux sont surmontés de chapiteaux « à feuilles d'eau ». L'église de Feucherolles est classée monument historique depuis 1886. Elle est actuellement en travaux d'intérieurs (mars 2012) après avoir eu le ravalement des façades rénové.
  • Le presbytère : Lorsque le 7 messidor an X (25 juin 1802), le préfet enjoint aux maires d'interdire l'exercice de leurs fonctions de ministre catholique aux prêtres qui sont mariés, le maire doit chasser le curé : il a pris femme. Quant au père Boyer, envoyé par l'évêque en remplacement, il refuse de se fixer à Feucherolles car « il n'y a pas de presbytère et de logement convenable à lui proposer ». Le 16 octobre 1810, Louis Million fait donation à la commune d'un terrain de 1 are 96 centiares pour y construire le presbytère.
  • Le clos Saint-Antoine : Proche de l'église, cette maison ancienne a appartenu à l'ordre des Génovéfains aux environs du XVIe siècle. Elle abrite un cloître qui provient de l'ancien marché aux blés de Beauvais. Après avoir servi d'hostellerie réputée, le clos Saint-Antoine est aujourd'hui une propriété privée.
  • Château royal de Sainte-Gemme, aujourd'hui disparu.
  • La briqueterie de Feucherolles : Ancienne briqueterie construite en 1828, transformée en imprimerie / papeterie pour l’École universelle puis en pépinière d'entreprises en 2016.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Feucherolles

Les armes de Feucherolles se blasonnent ainsi :

D'azur à la bande de gueules rebattue d'or et chargée d'une étoile de même, accompagnée en chef d'une fleur de lys et en pointe de deux éperons enlacés, le tout d'or.

Ce blason est une composition faite avec les armes des Briçonnet d'une part, qui furent seigneurs de Feucherolles aux XVIe et XVIIe siècles, et des La Salle d'autre part, qui furent pendant plusieurs générations gouverneurs des châteaux de Saint-Germain, et de Sainte-Gemme, et enfin de la fleur de lys et la forteresse en couronne rappelant le château royal de Sainte-Gemme.

C'est en suivant scrupuleusement les règles strictes de l'héraldique, que Bernard de Masin, Feucherollais aujourd'hui disparu, est parvenu, il y a une trentaine d'années, à faire homologuer ce blason.

Galerie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Any Allard et Henri Euvé, Feucherolles : Sainte Gemme, 2000 ans d'histoire, Feucherolles, Mairie de Feucherolles, , 207 p. (ISBN 2-9506519-0-9) ;
  • Any Allard, Ste Gemme, résidence des Rois de France, Mairie de Feucherolles, 2008.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Feucherolles et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Feucherolles », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. a et b Marianne Mulon, Noms de lieux d'Île-de-France, Paris, Bonneton, , 231 p. (ISBN 2-86253-220-7).
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 283b.
  18. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  20. [1] Ste Gemme : Résidence des rois de France
  21. Archives des Yvelines- sous-série 4E
  22. Annuaire des Mairies des Yvelines (78)
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Feucherolles (78233) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  29. Mood Media - Un contrat à 362 euros en Roumanie ou la porte (27 juin 2012)
  30. « comment-la-france-ecoute-le-monde ».
  31. "la maison de Joe Dassin, à Feucherolles."
  32. 3e ligne de l'article
  33. « Le métier de consultant est l’antidépresseur du footballeur » 3e paragraphe de l'article (consulté le 27 Février 2023)