Fenugrec

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Trigonella foenum-graecum • Trigonelle, sénégrain

Le fenugrec, ou trigonelle fenugrec (Trigonella foenum-graecum), aussi appelé trigonelle ou sénégrain, appartient à la famille des Fabacées. Il est classé parmi les espèces de plantes herbacées, section des protéagineux. Il est utilisé principalement comme plante médicinale et condimentaire.

Description[modifier | modifier le code]

Le fenugrec est une plante annuelle aux feuilles composées de trois folioles ovales, semblables à celles de la luzerne, qui peut atteindre 60 centimètres de hauteur.

Les fleurs d'un blanc jaunâtre donnent des fruits qui sont des gousses de huit centimètres de long renfermant dix à vingt graines anguleuses de couleur brun clair, à forte odeur caractéristique.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Le nom du genre Trigonella, du grec ancien τρίγωνος, trígônos, « triangulaire », fait référence à la forme anguleuse de sa graine.

L'épithète spécifique foenum-græcum, dérivée du latin fenum (ou foenum) « foin », et græcus, « grec », rappelle son utilisation comme fourrage dans l'Antiquité.

Histoire et répartition[modifier | modifier le code]

Le fenugrec est originaire de l'Afrique du Nord (région méditerranéenne). Les Égyptiens l'ont cultivé depuis 4000 ans[1]. Il s'est répandu très tôt dans les mondes méditerranéen et indien, sous le nom de methi, puis jusqu'en Chine[réf. nécessaire].

Il est cité au Moyen Âge dans le capitulaire De Villis, qui fut à l'honneur jusqu'au XVIIe siècle.

En France, il est répandu sur une ligne allant de la Gironde à la frontière italienne, plus rare et localisé ailleurs.

Odeur et saveur de fenugrec[modifier | modifier le code]

La graine dégage une odeur forte, similaire à du caramel ou du Zan[source insuffisante]. Le terme « odeur de fenugrec » est utilisé en botanique et en mycologie pour qualifier les composantes aromatiques de certains champignons (par exemple les lactaires).

La saveur des graines est amère et rappelle le céleri et la noix.

Utilisation[modifier | modifier le code]

Plante médicinale[modifier | modifier le code]

Graines de fenugrec.

Le fenugrec entrait dans le processus d'embaumement des anciens Égyptiens.

Inscrite au codex pharmaceutique en France depuis le XVIIe siècle, la substance active est isolée dans les graines. On en trouve encore dans les officines traditionnelles sous forme de graines à inclure dans les préparations[réf. nécessaire].

De nombreuses allégations prouvées ou non concernant les bienfaits du fenugrec[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, la plante était censée lutter contre la chute des cheveux et elle entre toujours dans des préparations capillaires en Inde et au Moyen-Orient, en particulier dans le traitement des pédiculoses du cuir chevelu (poux)[2].

On lui a depuis trouvé d'autres propriétés plus avérées : la plus clairement établie est son activité hypoglycémiante (réduction de la glycémie) dans certains diabètes[3],[4],[5], suivie de son activité hypocholestérolémiante (réduction du taux de cholestérol et des triglycérides)[6], ce qui rend cette plante très intéressante dans le traitement des facteurs de risques cardiovasculaires. Selon une revue systématique publié en 2022, la supplémentation de plus de 10 g de fenugrec en poudre par jour, a considérablement amélioré la glycémie à jeun, les triglycérides, les lipoprotéines de haute densité, le tour de taille et la tension artérielle systolique, chez les personnes atteintes de diabète de type 2[7].

Son action galactogène (lactation) est reconnue dans les pays du monde arabe[8],[9]. D'où son nom arabe, حلبه (hèlba), qui provient de حليب (halib) qui signifie « lait ». En Tunisie, un plat traditionnel, كسكسي بالحلبه (cos'ksi bel hèlba) : « couscous au fenugrec », est fortement conseillé aux femmes après l'accouchement et ce, pendant toute la période d'allaitement — deux ans en moyenne —, à une fréquence d'une fois par semaine. En Algérie, il existe un plat similaire préparé par les femmes ménopausées. C'est la mraura faite avec du fenugrec, des herbes aromatiques et du carvi. Au Maroc un plat préparé dans les mêmes buts/occasions qui s'appelle Rfissa contient également du fenugrec

Le fenugrec est hépatoprotecteur, en particulier dans l'intoxication à l'éthanol[10] et dans la stéatose hépatique associée à l'obésité[11].

C'est aussi un agent anabolisant (anti-fatigue) après un exercice intense[12], et il semblerait qu'il freine la fonte musculaire chez les personnes âgées[13].

Le fenugrec pourrait avoir un effet préventif sur l'apparition de certains types de cancers[14], en particulier du colon[15],[16], du sein[17], et de la vésicule biliaire[18]. On a ainsi envisagé d'utiliser ses propriétés anti-oxydantes en tant qu'anticancéreux[19] ou dans la prévention des effets délétères des mécanismes d'ischémie-reperfusion au niveau cardio-vasculaire[20].

Une action anti-parasitaire du fenugrec a aussi été rapportée[21], ainsi qu'un effet antifongique d'un peptide isolé du fenugrec[22].

Il est utilisé dans l'ayurveda (la médecine traditionnelle indienne), ainsi qu'au Maghreb pour traiter la constipation[23],[24]. Il est conseillé d'avaler des graines de fenugrec avec de l'eau (comme des comprimés) ; on peut aussi boire l'eau dans laquelle des graines de fenugrec ont macéré[25].

En Égypte, une des approches traditionnelles chez les femmes pour gagner du poids et pour le mal de ventre est d'utiliser l'infusion de fenugrec [26].

Le fenugrec possèderait des vertus hormonales anti-androgéniques[27].

Précautions[modifier | modifier le code]

On doit toutefois noter une interaction potentielle entre le fenugrec et un certain nombre de médicaments[28] dont les anticoagulants oraux[29]. Il est donc recommandé, si l'on suit un traitement par anti-vitamine K, ou par warfarine, de suivre ses données biologiques (INR) de manière rapprochée lors de l'initiation d'un régime contenant du fenugrec.

D'autre part, dans des pays où la malnutrition est endémique, le fenugrec agit aussi en tant qu'inhibiteur de l'absorption du fer, pouvant entraîner des anémies alors que l'apport en fer est adéquat[30]. De plus, c'est une plante apéritive (elle donne faim).

L'ingestion de fenugrec peut donner une odeur particulière aux urines et à la sueur, rappelant celle de la maladie du sirop d'érable[31].

Des cas d'allergie[32] et d'asthme occupationnel induits par le fenugrec ont été rapportés[33]. Enfin, certaines préparations exotiques de fenugrec peuvent contenir des contaminants comme l'aflatoxine à des doses faibles[34]. Le fenugrec étant dans la même sous-famille que la plante Arachis, les personnes allergiques aux arachides sont plus à risques pour ce qui est des cas d'allergies alimentaires au fenugrec[35],[36].

Une mise à jour très complète de l'utilisation du fenugrec en thérapeutique a été publiée en 2003[37].

Le fenugrec faisant l'objet de campagnes commerciales agressives sur internet pour des utilisations thérapeutiques, nutritionnelles (lactation), esthétiques (croissance des seins), on peut rappeler que ses effets sont liés en partie à la présence de phytoestrogènes, comme chez d'autres fabacées (mélilot, luzerne, soja), et que les effets de ceux-ci sont controversés, positifs ou négatifs, en particulier pour ce qui concerne les cancers, surtout en cas de consommation importante[17]. Voir aussi le cancer du sein et les choix alimentaires.

Plante condimentaire[modifier | modifier le code]

Graines de fenugrec.

Le fenugrec est une épice très riche qui contient du phosphore, du fer, du soufre, de l'acide nicotinique, des alcaloïdes, saponines (à l'origine de ses propriétés stimulantes de l'appétit), flavonoïdes, glucides, vitamines A, B1, C, magnésium, calcium, lécithine, protéines (30 %), des saponines stéroïdes (diosgénine et yamogénine, qui contribuent à la synthèse du cholestérol et des hormones sexuelles).

La graine et la feuille sont des ingrédients de la cuisine indienne où on l'appelle méthi. La graine doit être grillée ou ramollie dans l'eau avant son utilisation en poudre dans le masala. C'est un des ingrédients du curry. Les feuilles s'emploient comme des pousses d'épinard. En Afrique et au Moyen-Orient, le fenugrec entre dans la fabrication de mélange d'épices aromatiques, sous différents noms vernaculaires, comme le ras-el-hanout maghrébin.

En cuisine marocaine, la graine est également utilisée telle quelle dans la terda, ou « tagine de récupération ». C'est une cuisson longue d'oignons, d'ail, de paprika, de gingembre, de safran, servant de base à un bouillon dans lequel vont cuire ensuite des lentilles et des fèves sèches et enfin des tomates fraîches… Cela aboutit à une sorte de « sauce » épaisse qui sera versée sur du pain complet (ou de campagne) rassis (d'où la notion de récupération) coupé en petits morceaux, le tout étant présenté dans un grand tagine familial. Lié à la région de Marrakech, c'est un plat qui se prépare les jours où le travail domine à la maison (grand ménage, distillation de la fleur d'oranger…) car il demande peu de surveillance au cours de la cuisson et pratiquement pas de préparation en amont[38].

Plants de fenugrec au stade premières feuilles trifoliées.

Des extraits de fenugrec sont présents dans le Viandox[39].

On en extrait aussi une huile essentielle[40].

Engrais vert et fourrage[modifier | modifier le code]

Le fenugrec est utilisé en viticulture et agriculture comme engrais vert ou couvert végétal. Cette plante annuelle peut donc être semée de mars à septembre et couvrir une parcelle pendant trois mois. Elle est détruite par le gel à -5°[41].

En Inde, il est utilisé comme fourrage[42].

Plante tinctoriale[modifier | modifier le code]

Le fenugrec est également une plante tinctoriale qui permet de teindre les textiles en un très beau rouge incarnat.[réf. nécessaire]« Le fenugrec produit dans le Languedoc est précieux pour aviver les couleurs »[43].

Production[modifier | modifier le code]

L'Inde et plus particulièrement l'état du Rajasthan domine la production et la consommation mondiales de fenugrec essentiellement sous forme de graines et d'huile (oléorésine). Depuis les années 1960 des exportations significatives sont opérées vers les pays occidentaux et le Japon[44] (production of fenugreek in India (en)).

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Pierre Lieutaghi, Jardin des savoirs, jardin d'histoire : suivi d'un Glossaire des plantes médiévales, Les Alpes de lumière, , 148 p. (ISBN 2-906162-18-3, OCLC 463771408). — Compte-rendu : Paul Berthet, Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, 64ᵉ année, n°5, mai 1995. p. 233-234 lire en ligne.
  2. (en) Z.M. El-Basheir et al., « A preliminary pilot survey on head lice, pediculosis in Sharkia Governorate and treatment of lice with natural plant extracts », Journal of the Egyptian Society of Parasitology, vol. 32, no 3,‎ , p. 725-736.
  3. M. Modak et al., «Indian herbs and herbal drugs used for the treatment of diabetes», J Clin Biochem Nutr., 2007, mai, vol. 40, no 3, p. 163-173.
  4. P. P. Dixit et al., «Formulated antidiabetic preparation has a strong antioxidant activity», Eur J Pharmacol, 2008, février, vol. 26, no 581, 1-2, p. 216-225.
  5. Hippocratus - Diabète
  6. Y. Sauvaire et al., «Implication of steroid saponins and sapogenins in the hypocholesterolemic effect of fenugreek», Lipids, 1991, mars, vol. 26, no 3, p. 191-197.
  7. (en) Laleh Fakhr, Fatemeh Chehregosha, Meysam Zarezadeh et Maryam Chaboksafar, « Effects of fenugreek supplementation on the components of metabolic syndrome: A systematic review and dose-response meta-analysis of randomized clinical trials », Pharmacological Research, vol. 187,‎ , p. 106594 (DOI 10.1016/j.phrs.2022.106594, lire en ligne, consulté le )
  8. M . P. Gabay, «Galactogogues: medications that induce lactation», J Hum Lact., 2002, août, vol. 18, no 3, p. 274-279.
  9. D. Tiran, «The use of fenugreek for breast feeding women», Complement Ther Nurs Midwifery, 2003, août, vol. 9, no 3, p. 155-156.
  10. S. Kaviarasan et al., «Fenugreek (Trigonella foenum graecum) seed polyphenols protect liver from alcohol toxicity: a role on hepatic detoxification system and apoptosis», Pharmazie, 2007, avril, vol. 62, no 4, p. 299-304.
  11. J. Raju, «Alleviation of hepatic steatosis accompanied by modulation of plasma and liver TNF-alpha levels by Trigonella foenum graecum (fenugreek) seeds in Zucker obese (fa/fa) rats», Int J Obes, Londres, 2006, août, vol. 30, no 8, p. 1298-1307.
  12. B. C. Ruby et al., «The addition of fenugreek extract (Trigonella foenum-graecum) to glucose feeding increases muscle glycogen resynthesis after exercise», Amino Acids, 2005, février, vol. 28, no 1, p. 71-76.
  13. Passeport Santé : fenugrec.
  14. B. B. Aggarwal et al., «Molecular targets of dietary agents for prevention and therapy of cancer», Biochem Pharmacol., 2006, mai, vol. 14, no 71, 10, p. 1397-1421.
  15. (en)J. Raju et al. «Diosgenin, a steroid saponin of Trigonella foenum graecum (Fenugreek), inhibits azoxymethane-induced aberrant crypt foci formation in F344 rats and induces apoptosis in HT-29 human colon cancer cells», Cancer Epidemiol Biomarkers Prev, 2004, août, vol. 13, no 8, p. 1392-1398.
  16. T. Devasena et al., «Fenugreek seeds modulate 1,2-dimethylhydrazine-induced hepatic oxidative stress during colon carcinogenesis», Ital J Biochem, 2007, mars, vol. 56, no 1, p. 28-34.
  17. a et b A. Amin, «Chemopreventive activities of Trigonella foenum graecum (Fenugreek) against breast cancer», Cell Biol Int., 2005, août, vol. 29, no 8, p. 687-694.
  18. A. Rai, «Correlates between vegetable consumption and gallbladder cancer», Eur J Cancer Prev., 2006, avril, vol. 15, no 2, p. 134-137.
  19. P. Sur et al., «Trigonella foenum graecum (fenugreek) seed extract as an antineoplastic agent», Phytother Res., 2001, mai, vol. 15, no 3, p. 257-259.
  20. N. Dilsiz, «Protective effects of various antioxidants during ischemia-reperfusion in the rat retina», Graefes Arch Clin Exp Ophthalmol., 2006, mai, vol. 244, no 5, p. 627-633.
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  22. S. Olli et al., «Cloning, characterization and antifungal activity of defensin Tfgd1 from Trigonella foenum-graecum L», J Biochem Mol Biol., 2006, mai, vol. 31, no 39, 3, p. 278-283.
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  24. (en) « Fenugreek », sur wnyurology.com, (consulté le )
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  27. Goetz P. (2007). LA PHYTOTHERAPIE : SANTE PAR PLANTE (French Edition ), Selection Reader's Digest , Cachan, p.99
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  36. H.-A. Oueslati et K. Ghédira, « Notes ethnobotanique et phytopharmacologique sur Trigonella foenum-graecum », Phytothérapie, Éditions Lavoisier, vol. 13,‎ , p. 237-238, article no 4 (ISSN 1624-8597, e-ISSN 1765-2847, DOI 10.1007/s10298-015-0934-2, lire en ligne, consulté le ) :

    « " [...] le fenugrec, bien qu'il soit bien toléré par la plupart des sujets, des précautions d'utilisation sont recommandées chez les sujets souffrant d'allergies alimentaires (aux arachides et aux pois chiches). En effet, des réactions d'hypersensibilité ont été rapportées [...]". »

  37. (en) Ethan Basch, Catherine Ulbricht, Grace Kuo, Philippe Szapary et Michael Smith, « Therapeutic Applications of Fenugreek », Alternative Medicine Review, vol. 8, no 1,‎ , p. 20-27 (lire en ligne [PDF]).
  38. Extrait de La Cuisine marocaine de mère en fille, de Touria Agourram, chez Albin Michel.
  39. http://www.unileverfoodsolutions.fr/ext/download/mis/fr/3_03445_000102_4_fr.pdf
  40. (en) Mehrnaz Riasat, Ali Ashraf Jafari, Atefeh Bahmanzadegan et Ahmad Hatami, « The constituents of essential oil in leaves of Karaj accession of Trigonella foenum graecum », Natural Product Research, vol. 31, no 14,‎ , p. 1709–1712 (ISSN 1478-6419 et 1478-6427, DOI 10.1080/14786419.2017.1286484, lire en ligne, consulté le )
  41. « Les fiches couverts : fenugrec », sur Arvalis- infos (consulté en )
  42. (en) Nybe, E. V. et Peter, K. V., Spices, New India Pub. Agency, , 330 p. (ISBN 978-81-89422-44-8 et 81-89422-44-8, OCLC 86083693, lire en ligne), p. 206
  43. Claude Viel, « Colorants naturels et teintures du XVIIe siècle à la naissance des colorants de synthèse », Revue d'histoire de la pharmacie, 93e année, N. 347,‎ , p. 328 (lire en ligne)
  44. Petropoulos, Georgios A., Fenugreek : the genus Trigonella, Taylor and Francis, (ISBN 0-203-21747-0, 9780203217474 et 1280069090, OCLC 57577663, lire en ligne)

Liens externes[modifier | modifier le code]

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