Fay (Somme)

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Fay
Fay (Somme)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Bruno Étévé
2020-2026
Code postal 80200
Code commune 80304
Démographie
Population
municipale
96 hab. (2021 en diminution de 9,43 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 11″ nord, 2° 48′ 34″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 82 m
Superficie 3,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Fay
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Fay
Liens
Site web https://mairie-fay.fr

Fay est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Nature du sol et du sous-sol[modifier | modifier le code]

Généralement argilo-siliceux, le sol est plutôt gras et riche, quelque peu caillouteux au nord et calcaire à l'ouest[1].

Relief, paysage, végétation[modifier | modifier le code]

Situé en plein plateau du Haut-Santerre, le territoire communal est encaissé au centre. Le relief de la commune est composé d'une petite vallée sèche en entonnoir.

Le sud et l'ouest du territoire sont dominés par des terrains boisés. L'altitude culmine à 76,15 m.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Aucun cours d'eau ne traverse la commune.

A la fin du XIXe siècle, l'eau des nappes phréatiques se situait à environ quinze mètres de profondeur[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,3 %), forêts (18,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

Le village de Fay présente un habitat groupé.

Totalement détruit pendant la Première Guerre mondiale, le village n'a pas été reconstruit à son emplacement initial mais à quelques centaines de mètres sur le plateau en direction d'Estrées-Deniécourt.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Ce village picard du Santerre est desservi par l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029). Il est situé à proximité du croisement des autoroutes A1 et A29 et de la gare TGV Haute-Picardie.

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 59, Harbonnières - Péronne)[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

L'existence certaine d'un lieu nommé Fay remonte au Moyen Âge. La plus ancienne mention de l'existence de Fay dans un document date de 1157[15].

Le nom Fay viendrait du latin fagum, hêtraie[16]. Il s'agit du type toponymique gallo-roman FAGETU, composé des éléments FAGU (du latin fagus) « hêtre » suivi du suffixe -ETU (-etum) servant à désigner un ensemble d'arbres, arbustes, végétaux appartenant à la même espèce et dont la forme féminine -ETA a donné -aie (cf. hêtraie)[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Durand la Guerre franco-allemande de 1870 le village fut détruit par l'armée prussienne et fut reconstruit[18].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Paysage du champ de bataille en 1915
Aquarelle de Henry Cheffer.

Durant la Première Guerre mondiale, la commune de Fay était située sur la ligne de front de 1914 à 1916.

  • Le , les Allemands arrivèrent à Fay.
  • , échec de l'attaque française sur Fay par le 205e régiment d'infanterie. Le bilan fut désastreux: 115 tués, 140 blessés.
  • , nouvel échec français lors de l'attaque du 99e R.I.
  • D' à , les attaques par fourneaux de mines dévastèrent les alentours de Fay mais elles ne modifièrent pas la ligne de front.
  • Le , premier jour le la bataille de la Somme, les hommes du 265e R. I. s'emparèrent du village en ruines[19],[20].
  • Fin mars 1918, les Allemands réoccupèrent Fay au cours de la bataille du Kaiser.
  • Fin août 1918, le village fut libéré par les troupes australiennes incorporées à la IVe Armée britannique commandée par le général Rawlinson au cours de l'offensive des Cent-Jours[21].

Le village est totalement détruit à la fin de la guerre, et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [22].

Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Situé dans la zone rouge, le village de Fay ne devait pas, au départ, être reconstruit.

Le retour de la population en 1919, amena le conseil municipal à décider la reconstruction du village non pas sur son emplacement originel, à flanc de coteau, mais sur le plateau. La reconstruction ne débuta qu'à partir de 1922-1923[21].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Au début de la Seconde Guerre mondiale, en mai-juin 1940, durant la bataille de France, le 41e régiment d'infanterie du colonel Loichot en position dans le Santerre résista aux attaques de l'ennemi jusqu'au 7 juin. Le village de Fay, coupé du reste du régiment, ne reçut pas l'ordre de repli sur l'Avre et à bout de vivres, de munitions et de médicaments, la 10e compagnie du capitaine Le Moal se rendit aux Allemands et fut faite prisonnière. Le village de Fay était une nouvelle fois détruit[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaulnes[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[24].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[25],[26],[27]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[28], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [29].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[30].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
en cours en 1899[1]   Dhilly    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 10 juillet 2020)
Bruno Étévé UMP Vice-président de la CC Terre de Picardie (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32],[33]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 96 habitants[Note 2], en diminution de 9,43 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
202156221251260249260265253
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
246232213205203186190187171
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
149154157538885807681
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
847564707471103107111
2017 2021 - - - - - - -
10396-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité dominante de la commune est l'agriculture.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Martin
    • L'église renfermait, en 1899, une pierre tombale sculptée d'un chevalier. Les inscriptions étaient peu lisibles[37]. L'édifice, détruit pendant la Première Guerre mondiale[38] fut totalement reconstruit à un autre emplacement dans les années 1920. Deux plaques commémoratives y sont érigées :
  • l'une en hommage au capitaine Paul Fontan, blessé grièvement le à Fay et décédé à Villers-Bretonneux ;
  • l'autre en hommage à Ernest Champien, vicaire de Lisieux, tué le à l'âge de 22 ans.
  • La mairie
Une plaque commémorative dans la mairie en mémoire des six hommes de Fay « morts pour la France ».
  • Ruines de l'ancien village de Fay : vestiges de l'ancienne église et de quelques maisons.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Liste de seigneurs de Fay :

  • En 1215, Raols de Fay devait rendre hommage à Jean Ier de Nesle.
  • En 1278, Jean de Fay participa au tournoi du Hem[39].
  • En 1327, le seigneur du lieu se nommait Pierre de Fay, il était grand panetier de France.
  • Enguerrand de Fay fut chambellan du roi Charles VI (1380-1422).
  • En 1402, Jean de Fay, frère d'Enguerrand épousa Jeanne d'Athies, seule héritière de la Maison d'Athies (nièce de Gérard d'Athies, archevêque de Besançon, et fille de Mathieu, sgr d'Athies) . Ils furent inhumés dans l'église de Fay.
  • En 1415, Thibaut de Fay, chevalier, mourut à la bataille d'Azincourt.
  • En 1437 Gilles de Fay, qui s'était distingué au siège du Crotoy, fut armé chevalier.
  • En 1440, Jean de Fay, chevalier de Rhodes, était au service du roi de France.
  • En 1528, Charles d'Athies de Fay, chevalier.
  • En 1558, Antoine de Fay épousa Jeanne de Mailly.
  • Au XVIIe siècle, Le comte de La Marck était seigneur de Fay.
  • Au XVIIIe siècle, on trouve encore François de Fay, chevalier de Saint-Louis, lieutenant du roi, commandant à Amiens.
  • En 1734, Angélique de Fay, fille de François de Fay, épousa Michel de Broye, chevalier et seigneur de Bernes.

En 1789, sur la liste de la noblesse du gouvernement de Péronne, on trouve encore un membre de la famille de Fay[40].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle, Paul Decagny, Chaulnes et ses environs, Paris, Res Universis, coll. « Monographies des villes et villages de France », , 213 p. (ISBN 978-2-87760-916-6, OCLC 32157411)
  • Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, la Vague verte, coll. « Souvenance », , 187 p. (ISBN 978-2-913924-99-4)
  • Francine François-Dejuine, 1935-1955, mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, Éd. la Vague verte, coll. « Souvenance », , 340 p. (ISBN 978-2-35637-035-8).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Cartes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Notice géographique et historique sur la commune de Fay, rédigée par M. Lecaillet, instituteur, 1899, Amiens, Archives départementales de la Somme
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Fay et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  15. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle, Chaulnes et ses environs, Paris, Rassorts Lorisse, 1992 (ISBN 2-877-60916-2).
  16. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Paul Decagny, Chaulnes et ses environs, Paris, Res Universis, coll. « Monographies des villes et villages de France », , 213 p. (ISBN 978-2-87760-916-6, OCLC 32157411) p. 117.
  17. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux en France, éd. Errance, 2008, 2e éd. p 215.
  18. a et b Francine Dejuine 2011.
  19. Jacques Meyer, « La bataille de la Somme : Estrées - Deniécourt - juillet 1916 », Les grandes batailles de la Grande Guerre, sur chtimiste.com (consulté le ).
  20. « Photo du 6 août 1916 : Près de Fay, au lieu-dit le Bois des Fermes, abris et boyaux remis en état », notice no APR0001227, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  21. a et b Francine François-Dejuine 2007.
  22. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16878.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  25. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  26. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  27. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  28. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  29. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  30. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  31. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  32. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  33. « Fay 80200 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « dalle funéraire », notice no PM80000601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. « Photo du 6 août 1916 : Les restes de l'église, au premier plan canon de 90 mm en batterie », notice no APR0001210, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  39. Jeanroy, Alfred, « Sarrasin, Le Roman du Hem, édité par Albert Henry (Travaux de la Faculté de Philosophie et Lettres de l'Université de Bruxelles, tome IX) ;1939 », Romania, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 66, no 261,‎ , p. 103–109 (lire en ligne, consulté le ).
  40. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle, Chaulnes et ses environs, Paris, Rassorts Lorisse, 1992 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2).