Famille Giraud des Écherolles

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Famille Giraud des Écherolles
Image illustrative de l’article Famille Giraud des Écherolles
Armes de la famille.

Période XVe siècle - Aujourd'hui
Pays ou province d’origine Bourbonnais
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Drapeau du bourbonnais Duché de Bourbon
Drapeau de l'Empire français Empire français
Drapeau de l'Autriche Empire d'Autriche
Fiefs tenus Seigneurs des Écherolles, des Bordes, de Mimorin, de Changy, de Vignoles, du Ris et du Rosat.
Titres obtenus Comte
Chevalier
Demeures Château des Écherolles
Château de Castelnoubel
Charges Conseiller du Roi en sa Cour
Député de la délégation du Bourbonnais à la fête de la Fédération
Sous-préfet
Secrétaire de préfecture
Fonctions militaires Maréchal des camps et armées du Roi
Capitaine
Lieutenant-Colonel
Colonel
Récompenses militaires Chevalier de la Légion d'honneur
Chevalier de l'ordre de Saint-Louis
Chevalier de Saint-Ferdinand
Ordre de la Fidélité

La famille Giraud des Écherolles est une des familles subsistantes de la noblesse française, originaire de la province du Bourbonnais, qui a notamment possédé le château des Écherolles, à La Ferté-Hauterive, et en a pris le nom. Elle compte parmi ses membres de nombreux militaires.

Origines[modifier | modifier le code]

Originaire de Montluçon, les Giraud des Écherolles se sont installés à La Ferté-Hauterive, prenant possession du fief des Écherolles dont ils ont pris le nom.

Famille bourgeoise connue depuis le XVe siècle, elle a contracté de nombreuses alliances avec les familles nobles les plus respectées de sa province ; ses membres ont occupé des charges anoblissantes pendant plus de trois générations[1].

En 1700, dans son Armorial général de France, volume IV, Charles d'Hozier (1640-1732) enregistre les armoiries de Simon Giraud des Écherolles, conseiller du roi en la sénéchaussée de Bourbonnais et siège présidial de Moulins.

La famille est anoblie sous le règne de Louis XV par lettres patentes données en décembre 1770 et enregistrées en parlement le 28 novembre 1771, en raison de la brillante carrière militaire[2] d’Étienne François Giraud des Écherolles[3].

Anoblissement[modifier | modifier le code]

Étienne François, maréchal des camps et armées du roi, inspecteur des haras du Bourbonnais[4], fut blessé sept fois grièvement dans sa carrière, notamment à douze ans d'un coup de sabre au visage et fut fait prisonnier. Il reçut de nombreuses récompenses militaires et l'ordre de Saint-Louis.

Au moins deux de ses ascendants étant titulaires de cette récompense[5], il fut anobli.

Armoiries des Giraud des Écherolles dans le Grand Armorial de France, en 1699.

Les lettres ont été enregistrées le 28 novembre 1771[6].

Armoiries[modifier | modifier le code]

Les armoiries de cette famille[7] sont les suivantes : De gueules, au puits d’argent, d’où sortent deux palmes en bande et en barre du même, au chef cousu d’azur à la fleur de lys d’or, chargé d’un bâton péri en bande[8].

Les supports sont deux lions et les armoiries sont timbrées d'une couronne comtale[9].

Ce blason ancien des Giraud des Écherolles était de gueules, au puits d’argent, d’où sortent deux palmes en bande et en barre du même.

L'azur à la fleur de lys d’or, au bâton péri en bande brochant, a été ajouté au milieu du XVIIe siècle, dans le quartier en chef d'un coupé.

Armoiries de la famille Giraud des Écherolles, Armorial du Bourbonnais.

Ces armes ont été enregistrées dans l’Armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696, par Charles d'Hozier (Bourbonnais, vol. 4)[10].

Le chef cousu d'azur, inspiré des armoiries du Bourbonnais est cité par Jean-François Louis d'Hozier[11], Viton de Saint-Allais, de Magny[12], et relayé par Gourdon de Genouillac.

D'autres versions assez proches existent :

  • Le bâton péri est parfois changé en cotice de gueules[13].
  • Le bâton péri est parfois en barre, dans l'armorial de France, ou dans l'armorial du Bourbonnais.
  • Le champ est coupé et les palmes sont de sinople[14], dans l'armorial de France[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Grande famille de militaires, elle a vu de nombreux membres décorés de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis[16].

Gilbert-Simon Giraud des Écherolles[modifier | modifier le code]

Gilbert-Simon Giraud des Écherolles, Seigneur des Écherolles et des Bordes, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, fut capitaine au régiment de Poitou[5].

Étienne-François Giraud des Écherolles[modifier | modifier le code]

Étienne-François Giraud des Écherolles

Carrière sous l'Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Étienne-François Giraud des Écherolles, maréchal de camp et armées du Roi, inspecteur des haras du Bourbonnais, était un militaire français, nommé Cchevalier de l'Ordre de Saint-Louis, et anobli en 1771[5].

Il commença sa carrière dans l'armée, entraîné par son père à l'âge de 9 ans, en compagnie de ses cousins.

À 12 ans, il fut blessé d'un coup de sabre au visage. Blessé 7 fois durant sa carrière, en récompense de son courage, il était nommé chevalier de l'ordre de Saint-Louis[17].

Il participa à la guerre de Sept Ans[18], et fut blessé, puis capturé[19] à la bataille de Rossbach[11], avec le régiment de Poitou (1682).

Il fut commandant du bataillon du régiment de royal[20], et finit sa carrière avec le grade de maréchal de camp.

Un militaire entraîné malgré lui dans la Révolution[modifier | modifier le code]

En 1790, au début de la Révolution française, il fut nommé commandant de la Garde nationale française sous la Révolution (1789-1799) de Moulins[21].

Retraité de l'armée, et âgé de 60 ans, il refusait tout d'abord d'occuper cette fonction, mais finit par accepter sous la pression des citoyens.

Il est également élu député de l'Allier à la Fête de la Fédération du 14 juillet 1790, en compagnie de son fils Joseph-Étienne[22].

Il nourrissait l'espoir d’entraîner Louis XVI dans un coup de force contre l'assemblée constituante, projet qui échoua[23].

Opposé aux exactions, Étienne-François sauva, en 1791, un marchand accusé de spéculation qui allait être lynché par la foule[24]. Conspué par la population, il donna sa démission, puis fut emprisonné.

Le soulèvement et l'exil[modifier | modifier le code]

Réfugié à Lyon, en 1793, on lui propose de commander le soulèvement de Lyon contre la Convention nationale, ce qu'il refuse[25] en raison de son âge et de ses infirmités, n'étant plus capable de monter à cheval. Il accepte cependant le commandement de la porte Saint-Irénée et de la porte Saint-Just[21] sous les ordres de Louis François Perrin de Précy.

Parvenant à s'enfuir quelques semaines après la prise de la ville, il rejoint ses fils au sein de l'Émigration française (1789-1815)[26].

Accusée d'avoir refusé de le livrer, sa sœur Anne-Marie est alors décapitée pendant la Terreur (Révolution française), le 11 février 1794[27].

Joseph-Étienne Giraud des Écherolles[modifier | modifier le code]

Carrière sous l'Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Après une formation militaire dans l'école d'artillerie royale de Metz, devenue aujourd'hui l'École d'application de l'artillerie et du génie, il devient lieutenant-colonel au régiment du Bourbonnais.

La Révolution[modifier | modifier le code]

Joseph-Étienne Giraud des Écherolles est député de l'Allier à la Fête de la Fédération, où il rencontre Louis XVII[28].

Comme son père, il démissionne de la Garde nationale et, sa famille étant considérée comme ennemie de la Révolution, il émigre en compagnie de plusieurs de ses frères[29] en 1791.

Il fait partie de l'armée des Princes, l'armée des émigrés et sert comme chasseur noble à la compagnie du régiment de la Couronne en 1791 ; il réintègre la France pour participer au siège de Lyon, puis rejoint le régiment noble à pied de Condé en 1794[30].

Aux côtés de Napoléon[modifier | modifier le code]

Militaire, il réintègre l'armée en 1796, et participe à toutes les campagnes de Napoléon Ier, qu'il déclare, dans ses mémoires, avoir rencontré plusieurs fois en personne[28].

  • Il participe à la Bataille de l'île de Toraigh, où embarqué sur la frégate La Coquille (bateau), il est fait prisonnier durant 8 mois[31].
  • Il fait partie de l'armée d'Italie en tant que conducteur du train d'artillerie.
  • Il fait ensuite partie de l'Armée des côtes de l'Océan[32].
  • Il est à Bataille d'Ulm, ayant le grade de Sous-Lieutenant du 5e bataillon du train d'artillerie.
  • Proposé pour la 3e fois à la Légion d'honneur à la suite de la bataille d'Iéna[33], il est nommé chevalier de la Légion d'honneur ( sous le numéro d’ordre 18570) pour ses faits d’armes au sein de la cavalerie napoléonienne lors de cette bataille, ayant son cheval tué sous lui et étant blessé par la mitraille, ce qui ne l'empêche pas de faire prisonnier de nombreux Prussiens[28].
  • Il participe ensuite à la Campagne d'Espagne où rencontre sa femme.
  • Il devient Lieutenant au 12e bataillon du train d'artillerie en 1809, étant blessé à la Bataille d'Ocaña[34].
  • Adjudant major puis Capitaine au 7e bataillon bis du train d'artillerie en 1811.
  • Il est ensuite nommé Capitaine aux lanciers du Grand-duché de Berg en 1812.
  • Il devient enfin Capitaine au grand état major de l'armée française en 1814, fait partie de la Grande Armée, puis participe à la Campagne de France (1814), et assiste aux Adieux de Fontainebleau[28].

La Restauration[modifier | modifier le code]

Ayant juré fidélité à Louis XVIII, il refuse la sollicitation de Napoléon Ier, lequel arrive à Villefranche-Sur-Saône le 13 mars 1815, qui le confirme cependant dans ses fonctions de Sous-Prefet.

Il ne participe donc pas aux Cent-Jours[28].

Après l'abdication de Napoléon, il est chargé d'une mission périlleuse par le Roi, il est arrêté par un général autrichien, mais parvient à s'échapper.

En récompense, le 1er janvier 1816, il est décoré de l'ordre de la Fidélité par le prince Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry[35].

Il est également titulaire de l'ordre de Saint-Louis qu'il obtient le 20 août 1823[36].

Le retour à la vie civile[modifier | modifier le code]

À la suite de sa carrière militaire, il est tout d'abord nommé sous-préfet de Villefranche-sur-Saône, le 16 juin 1814[37], puis secrétaire-général de la Préfecture du Lot-et-Garonne[38],[39].

Alexandrine Giraud des Écherolles[modifier | modifier le code]

Alexandrine des Écherolles

Enfance sous la Révolution française[modifier | modifier le code]

Enfant sous la Révolution, ayant un père absent, une tante emprisonnée, des frères émigrés, et une mère défunte, Alexandrine Giraud des Écherolles fut souvent seule pour affronter les épreuves de sa vie.

La gouvernante des princesses de Wurtemberg[modifier | modifier le code]

Le 1er novembre 1826, elle est autorisée par Charles X à rester dame d'honneur[40] de son Altesse Royale Henriette de Wurtemberg[41], devenue Henriette de Nassau-Weilbourg (1780-1857).

Elle exerce alors les fonctions de gouvernante des princesses[42], Dorothée de Wurtemberg, Amélie de Wurtemberg, Élisabeth-Alexandrine de Wurtemberg et Pauline-Thérèse de Wurtemberg, auxquelles elle a dédié son livre[43].

L'écrivain[modifier | modifier le code]

La famille Giraud des Écherolles est également connue pour le livre Quelques années de ma vie, publié en 1843 à Moulins chez Martial Place[44], en deux volumes, et réédité sous le titre Une famille noble sous la Terreur (Paris, Plon, 1907), écrit par Alexandrine Giraud des Écherolles, fille d'Étienne François et de Marie Anne Odile de Tarade. Dans ce livre, l’auteure raconte son enfance sous la Révolution française et les persécutions qui touchèrent sa famille lors de la Terreur.

Alexandrine des Écherolles fut notamment citée en exemple par Alphonse de Lamartine, dans son Histoire des Girondins : « Au nombre de ces victimes suppliciées dans leur corps et dans leur âme avant l’âge du crime, on remarquait mademoiselle Alexandrine des Écherolles, privée de sa mère par la mort, de son père par la fuite ; elle venait chaque jour à la porte de la prison des Récluses solliciter, par ses larmes, la permission de voir la tante qui lui avait servi de mère, et qu’on avait jeté dans les cachots. Bientôt elle la vit conduire au supplice et la suivit jusqu’au pied de l’échafaud, demandant en vain de lui être réunie dans la mort.
On dut plus tard, à cette enfant quelques-unes des pages les plus dramatiques et les plus touchantes de ce siège. Semblable à cette Jeanne de la Force, historienne des guerres de religion de 1622, et à l’héroïque et naïve madame de La Rochejaquelein, elle écrivit avec le sang de sa famille et avec ses propres larmes le récit des catastrophes auxquelles elle avait assisté. Les femmes sont les véritables historiens des guerres civiles, parce qu’elles n’y ont jamais d’autre causes que celle de leur cœur, et que les souvenirs y conservent toute la chaleur de leur passion. »
[45]

Après sa mort, elle devient une héroïne de la Contre-révolution, son livre étant intégré à la bibliothèque de l'Action française[réf. nécessaire].

En 1935, son histoire sert d'inspiration au scénario du film hollywoodien Le Marquis de Saint-Évremont (titre original : A Tale of Two Cities), basé sur la nouvelle de Charles Dickens, Le Conte de deux cités, réalisé par Jack Conway, produit par la Metro-Goldwyn-Mayer, et sélectionné pour les Oscars[46].

Résidences[modifier | modifier le code]

Château des Écherolles
Château de Castelnoubel

Seigneurs des Écherolles, des Bordes, de Mimorin, de Changy, de Vignoles, du Ris et du Rosat, les Giraud ont vécu dans différents fiefs entre le XVe et le XIXe siècle.

Au XVIIIe siècle, cette famille a résidé au château des Écherolles, à La Ferté-Hauterive, en Bourbonnais. Chassée de sa demeure pendant la Révolution française, elle a ensuite résidé au château de Castelnoubel[47], à Bon-Encontre, près d'Agen[48].

Distinctions[modifier | modifier le code]

Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis : Gilbert-Simon Giraud des Écherolles[5], Étienne-François Giraud des Écherolles[16], Joseph-Étienne Giraud des Écherolles[49].

Chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur : Joseph-Étienne Giraud des Écherolles[50].

Chevalier de l'Ordre de Saint-Ferdinand (Espagne) : Modeste des Écherolles[51].

Ordre de la Fidélité : Joseph-Étienne Giraud des Écherolles[52].

Ordre de Saint-Anne de Bavière : Alexandrine des Écherolles, Hélène des Écherolles[53], Lécordie des Écherolles[54].

Branches subsistantes[modifier | modifier le code]

Armoiries de la famille des Écherolles Krusper

La Révolution française ayant dispersé les membres de la famille Giraud des Écherolles, elle a été divisée en 3 branches :

  • La branche dite "de la Réunion", issue du comte Paul Giraud des Écherolles[55], le chef de famille, lequel s'est installé à la Réunion. Cette branche a disparu à la fin du XIXe siècle, sa seule petite-fille ayant adopté le nom de son mari.
  • La branche agenaise, issue du chevalier Aymar des Écherolles, laquelle a obtenu le titre de comte à la disparition de la branche précédente[56].
  • La branche hongroise, issue de Charles des Écherolles, qui épousa Madame Krusper, descendante d'une vieille famille de la noblesse hongroise. Il obtint de faire accoler le nom de sa femme au sien, prenant pour nom des Écherolles Kruspér[57]. Aujourd'hui, la famille hongroise des Écherolles Kruspér réside en Hongrie ; les châteaux familiaux sont en Roumanie[58] (l'Autriche-Hongrie a été amputée d'une partie de son territoire lors du Traité de Versailles). Ils ont tout perdu sous l'ère communiste.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume par M. de Saint Allais... Tome premier [-dix huitième], chez l'auteur, rue de la Villiere, (lire en ligne)
  2. Collectif, Justice et politique : la Terreur dans la Révolution française, Presses de l’Université Toulouse 1 Capitole, (ISBN 978-2-37928-094-8, lire en ligne)
  3. Dictionnaire des anoblissements, 1869, p. 177.
  4. Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, vol. 6, p. 213.
  5. a b c et d M. de Saint-Allais (Nicolas Viton), M. de La Chabeaussière (Ange Etienne Xavier), Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles et Lespines (abbé de), Nobiliaire universel de France, ou, Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Au bureau du Nobiliaire universel de France, Réimprimé à la Librairie Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne)
  6. Dictionnaire des anoblissements, contenant l'indication des anoblissements, maintenues de noblesse, concessions, collations de titres, etc : accordés par les rois de France, avec les dates d'enregistrement, 1270-1790, libr. Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne)
  7. Nicolas Jules Henri GOURDON DE GENOUILLAC, Recueil d'Armoiries des maisons nobles de France, (lire en ligne)
  8. Nicolas Viton de Saint Allais, Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France,, (lire en ligne), p.300.
  9. Recueil de l'Académie des jeux floraux, Académie des jeux floraux,., (lire en ligne)
  10. VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, par Charles d'Hozier. (1697-1709). IV Bourbonnais., (lire en ligne)
  11. a et b Jean François L. d' Hozier, L'impôt du sang; ou, La noblesse de France sur les champs de bataille, publ. par L. Paris. 3 tom. [in 6 pt.]., (lire en ligne)
  12. Louis de Magny, La science du blason accompagnée d'un armorial général des familles nobles de l'Europe, A. Aubry, (lire en ligne)
  13. Louis Audiat, La terreur en Bourbonnais : les victimes, J.-B. Dumoulin, (lire en ligne)
  14. D. L. C. D. B, Dictionnaire généalogique, héraldique, chronologique et historique, contenant L'origine & létat actuel des premieres Maisons de France, des Maisons souveraines & principales de l'Europe..., Chez Duchesne, Libraire, (lire en ligne)
  15. Charles-René d' (1640-1732) Auteur du texte Hozier, VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, parCharles D'HOZIER. (1697-1709). IV Bourbonnais., 1701-1800 (lire en ligne)
  16. a et b Alexandrine des Echerolles, Quelques années de ma vie, Martial Place, (lire en ligne)
  17. Louis Audiat, La terreur en Bourbonnais, J. B. Dumoulin, (lire en ligne)
  18. Louis Susane, Histoire de l'ancienne infanterie française, J. Corréard, (lire en ligne)
  19. Histoire de l'ancienne infanterie francaise: 4, J. Correard, (lire en ligne)
  20. de Montandre-Lonchamps, de Montandre et René Louis de Roussel, État militaire de France, pour l'année 1758-93 ..., Guillyn, (lire en ligne)
  21. a et b Alexandrine des Auteur du texte Écherolles, Une famille noble sous la Terreur / Alexandrine des Écherolles ; [préface de René de Lespinasse], (lire en ligne)
  22. « Le Mois littéraire et pittoresque », sur Gallica, (consulté le )
  23. Les nobles de l'état-major fédéraliste lyonnais en 1793 (lire en ligne), P64
  24. Serge Bianchi, La Garde nationale entre Nation et peuple en armes : Mythes et réalités, 1789-1871, Presses universitaires de Rennes, , 566 p. (ISBN 978-2-7535-3179-6, lire en ligne)
  25. « La France illustrée : journal littéraire, scientifique et religieux / directeur L. Roussel », sur Gallica, (consulté le )
  26. États détaillés des liquidations faites pendant l'année 1828, par la Commission d'Indemnité, en exécution de la loi du 27 avril 1825, au profit des anciens propriétaires ou ayant-droit des anciens propriétaires de biens-fonds confisqués ou aliénés révolutionnairement : 4e. compte publié, Impr. Royale, (lire en ligne)
  27. M. de Saint-Allais (Nicolas Viton), Ange Jacques Marie Poisson de La Chabeaussière, Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles et Lespines (abbé de), Nobiliaire universel de France : ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Au bureau du Nobiliaire universel de France, Réimprimé à la Librairie Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne)
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  29. Guillemot, Les nobles de l'état major de Précy au siège de Lyon, des loups déguisés en agneaux ?, , 178 p. (lire en ligne).
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  33. Article de J.-R. Marboutin cité en bibliographie, p. 145-163.
  34. Aristide (1843-1912) Auteur du texte Martinien, Tableaux, par corps et par batailles, des officiers tués et blessés pendant les guerres de l'Empire (1805-1815) / par A. Martinien,..., (lire en ligne)
  35. lettres et arts (Agen) Auteur du texte Académie des sciences et lettres et arts (Agen) Auteur du texte Académie des sciences, « Revue de l'Agenais et des anciennes provinces du Sud-Ouest : historique, littéraire, scientifique & artistique / publiée à Agen sous la direction de M. Fernand Lamy,... », sur Gallica, (consulté le ).
  36. « Ordre de Saint-Louis », sur www.saint-louis.info (consulté le )
  37. Jean Tulard et Marie-José Tulard, Napoléon et 40 millions de sujets : La centralisation et le premier empire, Tallandier, , 428 p. (ISBN 979-10-210-0148-0, lire en ligne)
  38. Bulletin des lois de la République française, la République, (lire en ligne)
  39. Almanach royal, Testu et cie, (lire en ligne)
  40. [1]
  41. Il s'agit d'Henriette de Nassau-Weilbourg, épouse de Louis-Frédéric de Wurtemberg.
  42. Alexandrine des Auteur du texte Écherolles, Une famille noble sous la Terreur / Alexandrine des Écherolles ; [préface de René de Lespinasse], (lire en ligne)
  43. « MDZ-Reader | Tome | Quelques années de ma vie / Echerolles, Alexandrine des | Quelques années de ma vie / Echerolles, Alexandrine des », sur reader.digitale-sammlungen.de (consulté le )
  44. Édition originale en ligne.
  45. Alphonse de Lamartine, Histoire des Girondins, tome 7, 1847 (en ligne).
  46. A Tale of Two Cities (1935) - IMDb (lire en ligne)
  47. Etat pre'sent de la noblesse francaise contentant le dictionnaire de la noblesse contemporaine avec les armoiries de'crites, les noms, [...!, Librairie Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne)
  48. Voir l'article de J.-R. Marboutin.
  49. « Recherchez.... », sur www.saint-louis.info (consulté le )
  50. Académie des sciences, lettres et arts (Agen). Auteur du texte et Académie des sciences, lettres et arts (Agen). Auteur du texte, « Revue de l'Agenais et des anciennes provinces du Sud-Ouest : historique, littéraire, scientifique & artistique / publiée à Agen sous la direction de M. Fernand Lamy,... », sur Gallica, (consulté le )
  51. Victor Doublet, Vie de Don Carlos V de Bourbon, roi d'Espagne, Collection XIX, (ISBN 978-2-346-10481-9, lire en ligne)
  52. lettres et arts (Agen) Auteur du texte Académie des sciences et lettres et arts (Agen) Auteur du texte Académie des sciences, « Revue de l'Agenais et des anciennes provinces du Sud-Ouest : historique, littéraire, scientifique & artistique / publiée à Agen sous la direction de M. Fernand Lamy,... », sur Gallica, (consulté le )
  53. Académie des Jeux Floraux (Toulouse), Recueil de l'Académie des Jeux Floraux : 1857/58, Palais, (lire en ligne)
  54. Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Bureau de la publication, (lire en ligne)
  55. Annuaire de l'Ile de la Réunion, Gabriel et Gaston Lahuppe, imprimeurs du gouvernement, (lire en ligne)
  56. « Le Petit Marseillais 16 décembre 1896 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  57. (hu) KOVÁCS ESZTER JÚLIA, A PODMANICZKY CSALÁD ÉS LESZÁRMAZOTTAINAK BEMUTATÁSA, A CSALÁDI IDENTITÁS VIZSGÁLATÁNAK TÜKRÉBEN, debrecen, 2005 (lire en ligne)
  58. « Des Écherolles Kruspér Kastély », sur Des Echerolles Kruspér Kastély (consulté le )

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, vol. 6, p. 212-214 (en ligne).
  • J.-R. Marboutin, « Le château de Castelnoubel (commune de Bon-Encontre) », Revue de l'Agenais, 39, 1912 ; sur la famille Giraud des Écherolles, voir p. 145-163 et 197 et suiv. (en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]