Fèves (Moselle)

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Fèves
Fèves (Moselle)
Ancien prieuré.
Blason de Fèves
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes Rives de Moselle
Maire
Mandat
Armand Patrignani
2020-2026
Code postal 57280
Code commune 57211
Démographie
Gentilé Févots[1]
Population
municipale
1 203 hab. (2021 en augmentation de 16,8 % par rapport à 2015)
Densité 251 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 46″ nord, 6° 07′ 14″ est
Altitude Min. 167 m
Max. 373 m
Superficie 4,8 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Metz
(banlieue)
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rombas
Législatives Première circonscription
Localisation
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Fèves
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Fèves
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Fèves
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Fèves
Liens
Site web villagedefeves.fr

Fèves est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est à 5,3 km de Maizières-lès-Metz et 11,7 de Metz[2].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone 1 de sismicité très faible[3].


Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 806 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Billeron et le ruisseau de Feves[Carte 1].

Le Billeron, d'une longueur totale de 15,5 km, prend sa source dans la commune de Saint-Privat-la-Montagne et se jette dans la Moselle à Hauconcourt, après avoir traversé six communes[11].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Fèves.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau le Billeron, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • Autoroute A4 : Échangeurs Marange-Silvange, Sémécourt, Argancy.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Gare de Maizières-lès-Metz.
Carte de la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fèves est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Metz, une agglomération intra-départementale regroupant 42 communes[15] et 285 918 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47 %), terres arables (19,8 %), cultures permanentes (16,2 %), zones urbanisées (9,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,8 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village est attesté successivement sous les formes[21]: Fabros (1138), Favia (1232), Feivres (1236), Fèvre (1327), Feyvre (1366), Febve (1486), Fève (1490), Febvi (1544), Febve-sous-Nouroy (1689), Febvé (1749), Febvre (1779).

Histoire[modifier | modifier le code]

Dépendait de l'ancienne province du Barrois, dans la prévôté puis le bailliage de Briey.

L'abbaye de Saint-Pierremont y établit un prieuré en 1129, avec chapelle et maison forte.

En 1127, à la suite d'une donation par Frustrade, veuve du chevalier Hatton à l'abbaye de Saint-Pierremont, cette dernière vint s'y établir. La donation fut attaquée par Dodon de Norroy, qui prétendait avoir des droits sur la seigneurie mais qui fut obligé de reconnaître la validité de l'acte de 1127. Ce fut à l'origine du ban de Saint-Pierremont que de nouvelles dotations en 1130, 1244 et 1253 agrandirent considérablement.

Devint lorraine en 1539[précision nécessaire].

Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Fèves est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. La commune, rebaptisée Fewen, dépend de l'arrondissement de Metz-Campagne. Pendant la première annexion, les ouvrages d’Horimont I, II, III, rebaptisés "Canrobert" après 1919, sont construits dans le bois de Fèves. L'"Infanterie-Werk Fèves", rebaptisé Ouvrage d'infanterie de Fèves après 1919, est aussi édifié entre 1914 et 1916. Cette ligne défensive faisait partie de la seconde ceinture fortifié des forts de Metz. Jusqu'en 1918, la principale ressource des habitants de Fèves était la vigne, celle-ci couvrait le tiers de la surface cultivable. Vers 1910-1918, le phylloxéra ravagea les vignes. C'est la plantation de fraisiers qui remplaça les vignes. Beaucoup de villageois abandonnèrent la profession de vigneron pour chercher un emploi dans la sidérurgie et dans les mines de fer.

Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Févots, comme tous les Mosellans, se battent loyalement pour l’Empire allemand. En dépit de leur attachement à l’Empire, les habitants de la commune accueillent avec joie la fin des hostilités. Le village n'eut pas à souffrir de dégâts à cette époque.

La Seconde Guerre mondiale et le drame de la seconde Annexion marqueront longtemps les esprits. Le 20 novembre 1940, un certain nombre de villageois sont expulsés vers la Zone libre, notamment à Lavaur, à Mazamet et à Aubiet, contraints d'abandonner leurs biens à l'ennemi nazi. Située dans la zone des combats pendant bataille de Metz, entre septembre et novembre 1944[22], Fèves fut sinistrée à 60% par les bombardements américains[22]. La commune ne fut libérée que le 21 novembre 1944[23].

En 1945, après la Libération, les exilés retrouvèrent un village dévasté par les combats. L'église était quasiment détruite. Une première extension de la commune a eu lieu dans les années 1960 par la construction d'une cité « Concador » au lieu-dit le Paqueu, cinquante maisons y furent construites. Vers 1980, le développement de l'habitat pavillonnaire s'est poursuivi au lieu-dit le Prayon avec la construction de cent vingt pavillons. Puis fin des années 1990, la construction de cinquante trois pavillons locatifs dans les rues de l'abbaye Saint-Pierremont et du Bois des Moines.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1935 mars 1940 Jules Clément Girard   [24]
avril 1945 octobre 1945 Jules Clément Girard    
1945 1952 Auguste Berne    
1952 1953 Emile Pierson    
1953 1987 Robert Girard    
1987 1995 Patrick Hug    
mars 1995 mars 2001 Fabienne Biton    
mars 2001 mai 2020 René Girard    
mai 2020 En cours Armand Patrignani PCF  

Budget et fiscalité 2022[modifier | modifier le code]

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 022 000 , soit 858  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 887 000 , soit 745  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 373 000 , soit 313  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 753 000 , soit 632  par habitant ;
  • endettement : 174 000 , soit 146  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 7,66 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 23,86 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 29,20 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 26 350 [26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 1 203 habitants[Note 4], en augmentation de 16,8 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
427403409731398386311292277
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
299301322272272300312269265
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
282328321260273554614654582
1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021 -
7428609349299151 0301 2041 203-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[31] :

  • La commune accueille les élèves de section maternelle ainsi que les élèves de primaires.
  • Collèges à Marange-Silvange, Woippy, Maizières-lès-Metz, Talange.
  • Lycées à Talange, Rombas, Metz, Talange.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[32] :

  • Médecins à Semécourt, Marange-Silvange, Pierrevillers, Maizières-lès-Metz.
  • Pharmacies à Semécourt, Marange-Silvange, Norroy-le-Veneur, Maizières-lès-Metz.
  • Hôpitaux à Marange-Silvange, Maizières-lès-Metz, Joeuf, Moyeuvre-Grande, Metz.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Ouvrage d'infanterie de Fèves (Infanterie-Werk Fèves). Il faisait partie de la seconde ceinture fortifiée des forts de Metz[34].
  • Monument aux morts[35] : Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 - 1939-1945.
  • Porche Renaissance de l’ancien prieuré, 1551[36]. Oriel découvrant le panorama de la vallée de la Moselle ; caves voûtées avec foudre de 1781.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Notre-Dame[37], 1523 : nef unique de trois travées, abside polygonale, chapiteaux sculptés de feuillages XVIe, fonts baptismaux 1754, vitraux XVIe de Thomas, Annonciation, saint Vincent. L'église actuelle est un ancien prieuré avec chapelle et maison forte, de l'abbaye norbertine de Saint-Pierremont à Avril (Meurthe-et-Moselle). Elle est classée au titre des monuments historiques par arrêté du [38].
  • Chapelle Damien, rue Haute[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Fèves » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fèves », sur genealogie-metz-moselle.fr via Wikiwix (consulté le ).
  2. Itinéraires
  3. Informations sur les risques naturels et technologiques
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Fèves et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. Sandre, « le ruisseau le Billeron »
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Metz », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
  22. a et b René Caboz, La Bataille de Metz. 25 août - 15 septembre 1944, Sarreguemines, 1984. (pp 131,189).
  23. La Moselle libérée, Les années liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994.
  24. Les maires
  25. Les comptes de la commune
  26. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Établissements d'enseignements
  32. Professionnels et établissements de santé
  33. Communauté de Paroisses Sainte-Sérène du Billeron
  34. Ouvrage de Fèves
  35. Monument aux morts
  36. Ancien prieuré à Fèves
  37. L'église de la Nativité de Notre Dame
  38. « Église de la Nativité-de-Notre-Dame », notice no PA00106765, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Chapelle Damien