Eygurande-et-Gardedeuil
Eygurande-et-Gardedeuil | |||||
![]() La mairie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Isle Double Landais | ||||
Maire Mandat |
Guy Piedfert 2020-2026 |
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Code postal | 24700 | ||||
Code commune | 24165 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Eygurandais | ||||
Population municipale |
410 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 04′ 06″ nord, 0° 07′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 28 m Max. 115 m |
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Superficie | 35,62 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Montpon-Ménestérol (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montpon-Ménestérol | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | eygurande-et-gardedeuil.fr | ||||
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Eygurande-et-Gardedeuil (nom officiel), ou Eygurande-et-Gardedeuilh, ou Eygurande-Gardedeuilh (graphies locales) est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie[modifier | modifier le code]
Généralités[modifier | modifier le code]
À l'extrême ouest du département de la Dordogne, en limite de celui de la Gironde, la commune d'Eygurande-et-Gardedeuil s'étend sur 35,62 km2 en forêt de la Double. Traversé par la Petite Duche et brièvement bordé au sud par la Duche, son territoire, parsemé d'étangs, est en grande partie forestier.
L'altitude minimale, 28 mètres, se trouve à l'extrême sud, là où la Duche quitte la commune et sert de limite entre celles de Montpon-Ménestérol et du Pizou. L'altitude maximale avec 115 mètres est localisée au nord-ouest, près du lieu-dit Bois du Juge, en limite de la commune de La Roche-Chalais[1]. Au niveau géologique, le sol se compose principalement de sables, argiles ou graviers éocènes[2].
Le bourg d'Eygurande-et-Gardedeuil, implanté le long de la route départementale (RD) 730 (l'ancienne route nationale 730), se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-nord-ouest de Montpon-Ménestérol et treize kilomètres au sud-est de La Roche-Chalais. Le hameau de Gardedeuil est implanté deux kilomètres plus au nord, à proximité de la RD 40.
Le territoire communal est également desservi par les RD 10, 11 et 41.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Eygurande-et-Gardedeuil est limitrophe de six autres communes, dont Saint-Antoine-sur-l'Isle dans le département de la Gironde. À l'ouest, son territoire est distant d'environ 75 mètres de celui de Saint-Christophe-de-Double, également en Gironde.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Eygurande-et-Gardedeuil est une commune rurale, car elle n'appartient à aucune unité urbaine[Note 1],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpon-Ménestérol, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].
Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]
Outre les bourgs d'Eygurande et de Gardedeuil proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[7] :
- Barrail de Vergnon
- la Basse Mole
- Beleymas
- Bellat
- Bois de Chadenas
- Bois de Génivau
- Bois de l'Homme Mort
- Bois du Juge
- Bois du Petit Bonneau
- Bois Redon
- Bois Saisi
- Bois du Tuile
- Bos Foura
- le Bost
- Bost du Loup
- le Bouquet
- les Bruges
- les Bruyères
- Chabasse
- Chadenas
- le Chaix
- Champ Martin
- Champ du Prunier
- Chantalouette
- Chante-Alouette
- Chante-Loup
- les Charprades
- la Châtaigneraie
- Chauvet
- le Chemin de l'Homme
- le Cheval Martin
- le Claud
- le Claud de Nabinaud
- le Claud Nadaud
- le Coderc
- le Coin du Biarnais
- le Cormier
- la Coste Ferratte
- Coupe de Chante-Loup
- les Coupes de Gardedeuil
- la Croix du Bouquet
- Cure-Bourse
- l'Étang
- Étang de l'Abbé
- Étang de Belliquet
- Étang du Bouquet
- Étang de Canard
- Étang de Chauvet
- Étang de Filet
- Étang de Jarry
- Étang de la Maîtresse
- Étang Neuf
- Étang du Petit Laurent
- Étang de Pouget
- Étangs de Cauvet
- Fagnouse
- Floque
- Fonblanche
- la Font
- Font du Bournat
- Fontaine de Cousse
- les Fontasses
- Forêt de la Mole
- Frappier
- Frégerieu
- la Garenne
- la Gauille
- Génivau
- le Grand Bâtard
- le Grand Bonneau
- le Grand Chemin
- Grand étang du Séguineaud
- le Grand Fonmassonnade
- le Grand Fouillèze
- la Grande Lombrière
- la Grande Pinière
- les Grandes Nauves
- la Grange Neuve
- le Gué de la Mole
- l'Homme Mort
- le Jard
- le Jardin des Pruniers
- Jarry
- Jeango
- les Landes
- les Longères
- le Maine du Blat
- Maison Rouge
- Merle
- la Mole
- la Moute
- la Nauve
- la Nauve Barrade
- Nauve de Chavade
- les Nauves
- les Nauvettes
- la Nouzillère
- le Palem
- les Patrouillas
- le Petit Bâtard
- le Petit Bonneau
- le Petit Désert
- le Petit Fonmassonnade
- le Petit Fouillèze
- le Petit Laurent
- la Petite Croix
- la Petite Lombrière
- les Pièces du Barradis
- Plaisance
- les Plantes
- la Portière
- Prat de la Nauve
- les Prugnélières
- le Prunier
- les Quinconces
- Ravon
- les Renardières
- Saint-Sicaire
- Séguineaud
- sur les Termes
- les Vieilles Vignes
- le Vignaud
- les Vignes de Bodout
- les Vignes de Génivau
- les Vignes du Maître
- le Viradis
- le Vivier.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Les communes d'Eygurande et de Gardedeuil ont fusionné sous le nom d'Eygurande-et-Gardedeuil en 1827[8]. Selon le code officiel géographique, il s'agit de l'appellation officielle mais localement, notamment sur les panneaux routiers, figure la graphie « Eygurande-Gardedeuilh »[9], ainsi que « Eygurande-et-Gardedeuilh » sur le site internet de la mairie[10].
La première mention écrite connue d'Eygurande date du XIe siècle, dans le cartulaire de l'abbaye de Baigne, pour son église sous la forme Eccl. Sancti Stephani de Ayguiranda[11]. Le nom du lieu évolue ensuite en Ayguranda en 1315, Eyguranda en 1365, Eyguiranda en 1382, Guyranda au XVIe siècle, puis Eyguerande[11].
Le nom d'Eygurande vient du toponyme gaulois equoranda[12] dont la dérivation la plus fréquente en français est Ingrandes[13]. Equoranda signifiait fondamentalement limite, frontière[13] et correspondait souvent à la frontière entre deux peuples gaulois[Note 3].
Le nom de Gardedeuil, lié à son prieuré apparaît dès 1099 dans le cartulaire de l'abbaye de Baigne sous la forme Sanctus Leonardus de Gardadel[14]. Au XVIe siècle, il est nommé sous l'appellation « Prieuré de Gardadels »[14].
L'étymologie de Gardedeuilh dérive probablement de l'occitan garda signifiant « tour de garde » suivi de del(s), forme ancienne correspondant à « dieu »[13].
En occitan, la commune porte le nom d'Eiguranda e Gardadelh[15].
Histoire[modifier | modifier le code]
Dès le XIe siècle, le territoire communal dispose de deux établissements religieux, l'église d'Eygurande dédiée à saint Étienne, et le prieuré de Gardedeuil dédié à saint Léonard[13].
En 1827, les communes d'Eygurande et de Gardedeuil fusionnent sous le nom d'Eygurande-et-Gardedeuil[16].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Dès 1790, les communes d'Eygurande[16] et de Gardedeuil[8] sont rattachées au canton de Monpont qui dépend du district de Mussidan jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton, orthographié « Monpon » puis ultérieurement « Monpont », dépend de l'arrondissement de Ribérac. En 1827, les deux communes fusionnent sous le nom d'Eygurande-et-Gardedeuil. Le canton change encore de nom en 1925 et devient celui de Montpon-sur-l'Isle. L'année suivante, l'arrondissement de Ribérac est supprimé et le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux. Suite à fusion de communes, le canton devient en 1964 celui de Montpon-Ménestérol[16]. Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, il est conservé et s'agrandit pour les élections départementales de mars 2015[17].
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Fin 1995, Eygurande-et-Gardedeuil intègre dès sa création la communauté de communes Isle et Double. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes Isle Double Landais.
Administration municipale[modifier | modifier le code]
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[18],[19].
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Juridictions[modifier | modifier le code]
Dans le domaine judiciaire, Eygurande-et-Gardedeuil relève[23] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Les habitants d'Eygurande-et-Gardedeuil se nomment les Eygurandais[24].
Démographie de Gardedeuil[modifier | modifier le code]
Jusqu'en 1827, les communes d'Eygurande et de Gardedeuil étaient indépendantes.
Démographie d'Eygurande, puis d'Eygurande-et-Gardedeuil[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2018, la commune comptait 410 habitants[Note 6], en augmentation de 3,02 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
Au premier semestre 2016, la commune d'Eygurande-et-Gardedeuil est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec celle de Saint-Barthélemy-de-Bellegarde au niveau des classes de primaire[28].
Saint-Barthélemy-de-Bellegarde accueille les enfants en école maternelle et en CE1 ; Eygurande-et-Gardedeuil s'occupe du CE2 et du cours moyen (CM1 et CM2).
Économie[modifier | modifier le code]
Emploi[modifier | modifier le code]
En 2015[29], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 182 personnes, soit 45,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-huit) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-trois) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,4 %.
Établissements[modifier | modifier le code]
Au , la commune compte cinquante-six établissements[30], dont trente au niveau des commerces, transports ou services, onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans la construction, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[31].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Château de la Molle, du XVIIe siècle[32].
- Église Saint-Étienne[33] (ou de l'Invention-de-Saint-Étienne[34]) d'Eygurande.
- Chapelle Notre-Dame-des-Victoires de Gardedeuil[35].
Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]
De nombreuses vallées de la Double sont identifiées dans le réseau Natura 2000 comme sites importants pour la conservation d'espèces animales européennes menacées, dont la cistude d'Europe (Emys orbicularis), l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), la loutre (Lutra lutra), le vison (Mustela lutreola), le chabot commun (Cottus gobio) et la lamproie de Planer (Lampetra planeri)[36]. Parmi ces vallées figurent, à l'intérieur du territoire communal, celles de la Duche, de la Petite Duche et des affluents de cette dernière[37].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Héraldique[modifier | modifier le code]
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Blason | Écartelé : aux 1er et 4e de gueules au chevron d'argent chargé en chef d'une croisette du champ et accompagné de trois quintefeuilles d'or, aux 2e et 3e d'or à trois trèfles de sinople[38].
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Détails | Écartèle les armes de Pierre Villegente, curé d'Eygurande en 1696 et celles d'Henry de Fronsac, seigneur de Gardedeuil en 1696. Création de Jean-René Bousquet adoptée le . |
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Gardedeuil
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des communes de la Dordogne
- Anciennes communes de la Dordogne
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel de la commune
- Eygurande-et-Gardedeuil sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Ici, cette frontière représente celle entre les Petrocorii et les Santones (ou les Bituriges Vivisci ?)
- Démissionnaire en 1842, son remplaçant, Guilhomme Robert, nommé le 12 mars 1842, refuse la fonction ; Arnaud Peyruchaud reprend alors sa fonction de maire le 27 avril 1842.
- Démissionnaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- « Bne 115 » sur Géoportail (consulté le 3 août 2016)..
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
- « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 1er décembre 2020)
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 1er décembre 2020)
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 1er décembre 2020)
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 1er décembre 2020)
- « Eygurande-et-Gardedeuil » sur Géoportail (consulté le 12 août 2016).
- Notice communale de Gardedeuil sur le site Ldh/EHESS/Cassini, consulté le 3 août 2016.
- Code officiel géographique d'Eygurande-et-Gardedeuil, Insee, consulté le 1er août 2016.
- Site de la mairie, consulté le 4 août 2016.
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Eygurande », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 4 août 2016.
- Cf. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, PUF, 1969, coll. Que sais-je ?, p. 40.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 148-149
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Gardedeuil-et-Eygurande », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 4 août 2016.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 25 février 2014.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le 11 juin 2015).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.
- Sources : Eygurande-Gardedeuilh honore ses maires (document de la mairie) + Registres de délibérations communales (périodes 1838-1850 et 1864-1983). Consultés le 9 août 2016.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 16.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 18 août 2014.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le 17 janvier 2021).
- Annuaire des maires de la Dordogne 2009, Mediapress, Périgueux, 2009, (ISSN 1770-3387), p. 127.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- École primaire d'Eygurande-et-Gardedeuil sur le site de l'Académie de Bordeaux, consulté le 10 août 2016.
- Dossier complet - Commune d'Eygurande-et-Gardedeuil (24165) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 10 octobre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le 10 octobre 2018).
- Dossier complet - Commune d'Eygurande-et-Gardedeuil (24165) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 10 octobre 2018.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 180.
- Paroisse "Notre-Dame de l'Assomption en Montponnais", Diocèse de Périgueux et Sarlat, consulté le 4 août 2016.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 260-261.
- Paroisse "Notre-Dame de l'Assomption en Montponnais" - Eygurande et Gardedeuil (pour lire le commentaire, cliquer sur la deuxième photo), Diocèse de Périgueux et Sarlat, consulté le 4 août 2016.
- [PDF] FR7200671 - Vallées de la Double sur le site de l'INPN, consulté le 3 août 2016.
- Carte des vallées de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 3 août 2016. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
- « 24165 Eygurande-et-Gardedeuil (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le 20 août 2020)