Épineuil-le-Fleuriel

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Épineuil-le-Fleuriel
Épineuil-le-Fleuriel
L’église Saint-Martial.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes Berry Grand Sud
Maire
Mandat
Mylène Pierrard
2020-2026
Code postal 18360
Code commune 18089
Démographie
Gentilé Épineuillois
Population
municipale
438 hab. (2021 en diminution de 4,58 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 33′ 35″ nord, 2° 35′ 04″ est
Altitude Min. 163 m
Max. 260 m
Superficie 41,60 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châteaumeillant
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Épineuil-le-Fleuriel
Liens
Site web https://www.epineuil.fr/

Épineuil-le-Fleuriel est une commune française, située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Le village doit sa célébrité à l'écrivain français Alain-Fournier lequel y a passé une partie de son enfance ; il le décrit dans son ouvrage Le Grand Meaulnes sous le nom de Sainte-Agathe.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Épineuil-le-Fleuriel se trouve dans le Cher entre Montluçon et Saint-Amand-Montrond. Cette commune est traversée par la Queugne et le Cher. Elle se trouve dans le canton de Châteaumeillant et l'arrondissement de Saint-Amand-Montrond. Le bourg le plus proche est celui de Vallon-en-Sully qui se situe dans le département voisin de l'Allier.

Épineuil-le-Fleuriel se trouve à 27 km de Montluçon, 23 km de Saint-Amand-Montrond, 86 km de la préfecture du Cher c'est-à-dire Bourges et 320 km de la capitale française Paris[1].

Si on considère le territoire métropolitain (avec ses îles), Épineuil-le-Fleuriel se situe pile au centre de la France[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orval à 20 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Épineuil-le-Fleuriel est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,7 %), terres arables (34,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), forêts (4,1 %), zones urbanisées (1,2 %), eaux continentales[Note 2] (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes d'Épineuil-le-Fleuriel sont : Meaulne, Saint-Vitte, Vallon-en-Sully, Saulzais-le-Potier.

Lieux-dits[modifier | modifier le code]

La Mariatte, La Surprise, Le Champ Blanc, Le Font A Grille, Le Moulin de Cornençay, Le Portu, Les Bergerats, Les Gerpins, Les Margueuriaux, Les Raies, La Queugne, La Villatte, Le Champ de Vallon, Le Grand Bœuf, Le Moulin Drot, Le Pré Breux, Les Bernardons, Les Greniers, Les Merrosses, Les Riaudes, La Rue, Le Bourg, Le Champs des Barres, Le Mat, Le Petit Bœuf, Les Auberts, Les Contemines, Les Landats, Les Petits Coins, Les Turlons, La Sence, Le Breu, Le Chetif Bois, Le Moulin, Le Pont Chambrette, Les Bardais, Les Durands, Les Marmounets, Les Pinaudats, Champfort, La Bouchatte, Le Château de Cornençay, La Chaume, Ecluse de Grand Fond, La Croix Lombrée, Grand fond, La Jobinière, Lieu-dit Antoinette, Lieu-dit Fougerolle, Villeneuve, Beaufauche, Estivaux, Neuville, Piaujean, Channay.

Géologie et Relief[modifier | modifier le code]

Épineuil-le-Fleuriel se trouve à une altitude moyenne de 212 m. Le bourg se trouve à une altitude minimum de 163 m et maximum 260 m.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Épineuil-le-Fleuriel est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher, le canal de Berry, la Queugne, le Bœuf et le Chadet. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Épineuil-le-Fleuriel.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[18]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 324 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 324 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1994, 2018 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

La commune est en outre située en aval du barrage de Rochebut, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Épineuil-le-Fleuriel est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom Épineuil-le-Fleuriel signifie épine fleurie[24]. Autrefois, ce village s'appelait Épineuil et la commune limitrophe Saint-Vitte s’appelait Saint-Vitte-le-Fleuriel. En 1840, Épineuil a pris le nom Fleuriel à Saint-Vitte. Épineuil est donc devenu Épineuil-le-Fleuriel et Saint-Vitte-le-Fleuriel, Saint-Vitte.

Histoire[modifier | modifier le code]

Révolution[modifier | modifier le code]

En 1792-1793, Jean-Baptiste Petitjean (v. 1740 - ap. 1793), curé d'alors – acquis aux idées nouvelles et "partageux" comme Babeuf – provoque un soi-disant "soulèvement de la population" d'Épineuil, à propos des abus qu'il constate dans l'application de la Révolution française. La garde nationale de Saint-Amand doit intervenir. Le curé et ses partisans sont arrêtés, jugés et condamnés, mais finalement le curé est libéré par le représentant du pouvoir révolutionnaire dans le Cher, le citoyen Laplanche. En fin de compte, Torné – l'évêque constitutionnel de Bourges – déplace ce curé "agitateur" à Saint-Caprais. « Cet incident fit donner par la suite le nom de "prêtre communiste" à ce curé berrichon philanthrope »[25].

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Le 4 mai 1940, le train de nuit express Aurillac-Paris, passant sur la ligne entre Montluçon et Vierzon, qui traverse l'est de la commune le long du canal de Berry, dérailla à 1h20 du matin à cause d'un effondrement du remblai à son passage, dû aux fortes crues du Cher. L'accident provoqua la mort de 33 personnes.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[24][modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1791 Bord De Grand Fond    
1791 1793 Jamet Gilbert    
1793 1795 Débize Gilbert    
1795 1797 Feaux François    
1797 1799 Débize Marc    
1799 1803 Lelonte Jean-Baptiste    
1803 1814 Délize Marc    
1814 1816 Bardonnet Cornancais    
1816 1830 Dantigny Pierre-Charles    
1830 1839 Bidault Didier    
1839 1848 De Baudonnet Arthur   Conseiller général
1848 1848 Simmonet Gilbert    
1848 1849 Chambon Jules-Mathias    
1849 1851 Simmonet Jean-Baptiste    
1851 1853 Dantigny Pierre-Charles    
1853 1869 Dantigny Pierre-Jules    
1869 mai 1871 Bidault Frédéric    
mai 1871 juin 1876 Girard de Villesaison Louis    
juin 1876 mai 1884 Bidault Frédéric    
mai 1884 mai 1892 Lalliot Jean-Baptiste    
mai 1892 mai 1896 Olivier Jean-Baptiste    
mai 1896 octobre 1902 Rabot Gaston    
octobre 1902 novembre 1905 De Fadate Emile    
novembre 1905 mai 1929 Dumas Gilbert Alexandre    
mai 1929 octobre 1942 Boujardon Vincent    
octobre 1942 1944 Pérony Jean    
1944 novembre 1944 Vincent Boujardon    
novembre 1944 mai 1945 Vénuat Auguste    
mai 1945 octobre 1947 Lucien Billon    
octobre 1947 mars 1951 Bénézit Jules    
mars 1951 mai 1953 Léon Auclair    
mai 1953 mars 1983 Émile Fayat    
mars 1983 mars 1995 Robert Judet    
mars 1995 mars 2008 Jean Regrain    
mars 2008 juillet 2020 Philippe Amizet[26]   Retraité des artisans, commerçants et chefs d'entreprise
juillet 2020 En cours Mylène Pierrard[26],[27]   Agricultrice sur moyenne exploitation

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Épineuil-le-Fleuriel compte 11 conseillers car c'est une commune de moins de 500 habitants. Le nombre d'habitants en 2015 était de 473.

Population et société[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Il y avait deux écoles sur la commune. L'école actuelle, construite en 1870, était celle des filles et la Maison-école du Grand Meaulnes était l'école des garçons. À partir de 1946, les écoles sont devenues mixtes[24]. Pour l'école des filles, il y avait des institutrices et pour celle des garçons, des instituteurs.

Sport[modifier | modifier le code]

La commune d'Épineuil-le-Fleuriel possède un club d'équitation, un terrain de basket et un terrain de football. Dans la commune voisine de Meaulne, il y a deux terrains de tennis, un terrain de football, un club de danse, un club de football et un complexe sportif. La commune de Vallon-en-Sully possède un club de taekwondo, un club de football, un club de danse, un club de tennis, des terrains de football, de tennis et de cross.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 438 habitants[Note 4], en diminution de 4,58 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8129069429801 0741 0991 0011 0611 094
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0671 0581 2861 3601 3101 4091 3761 4321 259
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2871 3041 2501 066958935878819819
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
729681578551478414448456458
2018 2021 - - - - - - -
436438-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Alexandre Dumas (1852-1941), maire de Montluçon (1888-1892), député de l'Allier (1889-1893) ; il a été maire d'Épineuil et il y est mort.
  • Alain-Fournier (1886-1914), écrivain français, auteur du Grand Meaulnes en 1913, a vécu une partie de son enfance (de 1891 à 1898) à Épineuil où ses parents étaient instituteurs. La commune est appelée Sainte-Agathe dans le roman.
  • Bernard Stiegler (1952-2020), philosophe, réside dans la commune où il emménage en 2012 dans un ancien moulin, propriété de la famille de sa femme Caroline[36]. Il organise dans la ville l'académie d'été d'Ars Industrialis, association qu'il a créée en 2005[37]. Il est mort dans sa maison en mettant fin à ses jours le [38].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Itinéraire avec Mappy. Calculez vos itinéraires routiers. », sur Mappy (consulté le ).
  2. Selon calcul SIG de centroïde sur le polygone France en projection RGF_1993_Lambert_93.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Épineuil-le-Fleuriel et Orval », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Orval » (commune d'Orval) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Orval » (commune d'Orval) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Épineuil-le-Fleuriel », sur Géorisques (consulté le )
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  20. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. Article R214-112 du code de l’environnement
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  23. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  24. a b et c Thierry MAUGUIN, Épineuil-le-Fleuriel Des origines au milieu du vingtième siècle, Ecole du Grand Meaulnes, 53 p..
  25. « Le curé Petitjean, un soulèvement communiste à Épineuil en 1792 » par P. Lassœur, op. cit.
  26. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Notice no PA00096795, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Le Château de Cornançay. », notice no PA00096794, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « L'église Saint-Martin d'Épineuil-le-Fleuriel », notice no PA00096796, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Motte castrale d'Épineuil-le-Fleuriel. », notice no PA00096797, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. La Croix
  37. « Académie d'été 2013 », sur arsindustrialis.org via Wikiwix (consulté le ).
  38. « Bernard Stiegler, le grand philosophe français d'Epineuil-le-Fleuriel, est décédé », Le Berry républicain.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Edmond Campagnac, « Un prêtre communiste : le curé Petitjean à Épineuil », in La Révolution française, 23e année, no 5, 1903.
  • Pierre Lassœur, « Le curé Petitjean : un soulèvement communiste à Épineuil en 1792 », in Mémoires de la Société historique, littéraire et scientifique du Cher, 4e série, vol. 31, 1918-1919, p. 241-269.

Liens externes[modifier | modifier le code]