Écouflant

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Écouflant
Écouflant
Vue d'Écouflant depuis la rive de la Sarthe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Angers Loire Métropole
Maire
Mandat
Denis Chimier
2020-2026
Code postal 49000
Code commune 49129
Démographie
Gentilé Écouflantais
Population
municipale
4 475 hab. (2021 en augmentation de 12,35 % par rapport à 2015)
Densité 263 hab./km2
Population
agglomération
248 271 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 47° 31′ 48″ nord, 0° 31′ 47″ ouest
Altitude 32 m
Min. 12 m
Max. 50 m
Superficie 17,02 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Angers
(banlieue)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Angers-5
Législatives Première circonscription
Localisation
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Écouflant
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Écouflant
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Écouflant
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Écouflant

Écouflant est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune d'Écouflant est bordée au nord et à l'ouest par la confluence du Loir et de la Sarthe, tout juste au nord d'une autre confluence qui donne naissance à la Maine. C'est cette situation naturelle particulière qui a donné son nom au bourg. Une bonne partie du territoire écouflantais est donc constitué de prairies inondables, notamment au nord ce qui explique que les inondations de 1995 avaient encerclé le bourg. Cette commune est située entre celles de Saint-Sylvain d'Anjou (à l'est), d'Angers (sud), de Cantenay-Épinard (ouest) et de Briollay (nord).

C'est un territoire qui se situe à la limite nord d'Angers, il fait partie de son agglomération. Si la population écouflantaise se chiffre à plus de 3 700 habitants, ceux-ci se répartissent pour moitié chacun sur deux pôles :

  • le bourg périurbain d'Écouflant (au centre-ouest) bordé par la Sarthe, il est essentiellement résidentiel et à l'écart des grands axes routiers (cadre agréable et paisible) ;
  • le quartier pavillonnaire et urbain d'Éventard (au sud-est) qui est une « excroissance » de la ville d'Angers. Éventard possède une zone d'activités en expansion, un hippodrome renommé et va s'étendre ces prochaines années avec la construction du futur quartier de Provins (autour de l'hippodrome).

Ces deux pôles sont séparés l'un de l'autre par deux lignes de rupture (l'autoroute A11 et la ligne chemin de fer Angers-Le Mans) et par un espace rural constitué de cutures horticoles (rosiers), de prairies exploitées par des éleveurs qui représentent les cultures spécialisées de la commune et des alentours.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 643 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Beaucouzé à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Écouflant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[10] et 248 271 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,6 %), zones urbanisées (11,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,4 %), terres arables (4,7 %), cultures permanentes (2,5 %), eaux continentales[Note 3] (1,4 %), forêts (0,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de « Villa conflentis », cité dans un document du Xe siècle (mentionnée vers 996-1010), semble indiquer ensuite un ancien domaine gallo-romain, le XIe siècle paraissant être la période de fondation du bourg, qui s'est successivement appelé Terra ad Conflens, Conflans, Escouflant et enfin Écouflant.

Du latin confluentes, donc confluent, se trouve en effet sur l'ancien confluent de la Sarthe et la Mayenne, aujourd'hui « Vieille Maine ». Le É- initial est un reste de ès (en les), donc littéralement le nom du bourg signifie : « près des eaux qui s'unissent ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Le bourg d'Écouflant[modifier | modifier le code]

Le territoire d'Écouflant était déjà occupé à l'époque préhistorique comme l'atteste la découverte d'outils en silex.

Un établissement agricole gaulois, puis gallo-romain a été identifiée sur le territoire de la commune[16].

Une chapelle, dédiée à sainte Catherine, est fondée en 1218 sur le domaine de Beuzon ; elle sera reconstruite au XVIe siècle.

Aux XIIe et XVIIIe siècles, la proximité d'Angers fait sortir de terre nombre de maisons bourgeoises, pêcheurs et laboureurs vivant alors tant bien que mal.

De fait, il y a 150 ans, Écouflant était un village de pêcheux et de teilleux. Le chanvre est la principale culture, dont on extrait les fibres que l'on vend à l'usine Bessonneau d'Angers.

Le XIXe siècle voit de nombreux changements : construction de la mairie-école (1847-1849), de l'hospice (1873), de l'église (1877 à 1883) ; création de la gare, de la Poste ; aménagement de routes, levées et ponts ; établissement d'un port au bas du bourg en 1852.

Pendant la 1re moitié du XXe siècle, l'économie de la commune repose toujours sur l'agriculture, l'industrie étant pratiquement réduite à l'extraction de graves et à l'usine d'assainissement.

La création du quartier d'Éventard en 1970 provoque un véritable bouleversement humain et sociologique, la petite commune rurale d'Écouflant voyant sa population plus que tripler en deux ans (981 habitants en 1969 et 3 100 en 1971).

Le quartier d'Éventard[modifier | modifier le code]

La réalisation, dans les années 1970, de la ZAC (Zone d'Aménagement Concerté) d'Eventard sur le reste des terrains initialement prévus pour l'industrialisation, bouleverse les données humaines et sociales de la commune.

Situé pour partie sur Angers, mais pour les 2/3 sur Ecouflant, le quartier d'Eventard crée aussi une situation atypique d'une commune ayant deux pôles d'habitat distincts et distants de 5 km.

C'est alors un quartier sans écoles, sans services, sans équipements ni transports en commun. Mais l'émergence d'une vie associative très forte, avec un travail militant considérable, permet à ce quartier de s'organiser et de se transformer avec l'ouverture du groupe scolaire George-Sand en 1977 puis l'implantation de commerces et d'équipements, dont le centre socioculturel Simone-Signoret en 1982 et la salle des sports en 1991.

Son évolution s'est poursuivie ces dernières années :

  • En 2000, la place d'Éventard a été remodelée et une fontaine en schiste créée avec, en son centre, un cheval en inox sculpté par Gérard Garnier (Gari), artiste Écouflantais.
  • En 2001-2003, le quartier a été entièrement requalifié en concertation avec les habitants à l'occasion de l'enfouissement des réseaux (traitement des espaces verts, des voies piétonnes et routières).
  • Enfin, une nouvelle voie composée du boulevard de l'Epervière et de la route de la Confluence relie depuis 2001 le Bourg à Éventard en passant par la zone industrielle de Beuzon (extension du parc d'activités communautaire d'Angers-Écouflant). Cet axe permet aujourd'hui d'accéder directement aux voies structurantes de l'agglomération.

À noter que depuis 2003, la « Fête d'Éventard » a lieu chaque année le 1er week-end de septembre autour d'amicales rencontres sportives, suivies d'un pique-nique convivial et d'une soirée dansante à la Grange (voir rubrique Culture, sport, loisirs).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
av. 1946 apr. 1958 M. Cottenceau    
1965 mars 1977 Jean Lemercier RPR Industriel
mars 1977 mars 2001 Claude Desblancs PS Maître de conférence à l'IUT d'Angers
Conseiller général d'Angers-Nord-Est (1988 → 2015)
Conseiller régional des Pays de la Loire
mars 2001 mars 2014 Dominique Delaunay DVG Horticulteur
mars 2014 En cours
(au 29 mai 2020)
Denis Chimier[17],[18] DVG Cadre ERDF
Groupe Président Effectif Statut
DVG Dominique Delaunay 22 majorité
PS Catherine Carré 4 opposition

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est intégrée à la communauté urbaine Angers Loire Métropole[19], elle-même membre du syndicat mixte Pays Loire-Angers[20].

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2014, Écouflant fait partie du canton d'Angers-Nord-Est et de l'arrondissement d'Angers[21]. Ce canton compte alors quatre communes et une fraction d'Angers. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton d'Angers-5, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[22].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 4 475 habitants[Note 4], en augmentation de 12,35 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0204208169459479399621 0001 024
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0409911 0279411 025941948943936
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
926902862837850901846841906
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8148883 2093 2333 3613 7033 7383 7553 798
2018 2021 - - - - - - -
4 2494 475-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,1 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 065 hommes pour 2 184 femmes, soit un taux de 51,4 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
1,1 
9,2 
75-89 ans
10,2 
18,5 
60-74 ans
20,2 
21,2 
45-59 ans
20,5 
15,7 
30-44 ans
15,8 
16,3 
15-29 ans
15,2 
18,3 
0-14 ans
17,1 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Vie locale[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Photographie d'un train en gare d'Écouflant.
TER en gare d'Écouflant.

Tissu économique[modifier | modifier le code]

Sur 275 établissements présents sur la commune à fin 2010, 6 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 16 % du secteur de la construction, 57 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[29].

La zone industrielle d'Écouflant[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Nature[modifier | modifier le code]

La commune d'Écouflant est située dans les Basses vallées angevines (BVA) et possède de fait une faune riche et diversifiée. Même la zone industrielle, largement arborée, est habitée d'un nombre non négligeable d'espèce[30].

Mammifères[modifier | modifier le code]

Les mammifères sont bien présents sur la commune. À ce jour 27 espèces ont été recensées dont une partie par l'analyse des pelotes de réjection des rapaces nocturnes (campagnols, lérots…). Le ragondin, espèce invasive, est très présent et facile à observer au contraire du castor, espèce protégée, présent sur la commune mais très discret. Les mustélidés difficiles à observer sont peu représentés bien qu'ils soient certainement présents. Le hérisson est l'espèce la plus représentée parmi les animaux écrasés par les véhicules. Enfin six espèces de chauve-souris ont été détectées par l'enregistrement de leurs ultra-sons[30].

Oiseaux[modifier | modifier le code]

La commune d'Écouflant est un site de nidification, d'hivernage et de passage pour de nombreux oiseaux. Ainsi 190 espèces et sous-espèces y ont été répertoriées. Les ardéidés sont particulièrement présents puisque 8 espèces de "hérons" ont été observées : fréquemment comme le héron cendré, l'aigrette garzette, la grande aigrette, le héron garde-bœufs, plus rarement le héron pourpré et le bihoreau gris, et une fois pour le butor étoilé et le crabier chevelu. Les prairies inondables sont un site de nidification important pour des espèces rares au niveau national comme le râle des genêts, le tarier des prés et la caille des blés. Elles abritent également entre autres espèces le bruant des roseaux, le bruant proyer, le bruant jaune, la bergeronnette printanière, la phragmite des joncs, la rousserolle effarvatte et sont des zones de passages pour les anatidés et d'autres migrateurs l'hiver. Les zones bocagères et les bois abritent de nombreuses autres espèces dont quatre de picidés : pic vert, pic épeiche, pic épeichette, pic noir[30].

Libellules[modifier | modifier le code]

Sur la commune d'Ecouflant 45 espèces de libellules (odonates) ont été répertoriées, les plus rares étant le leste dryade et l'oxycordulie à corps fin[30].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876), 491 p. (BNF 34649310, lire en ligne), p. 100-101
  • Association Pages d'Histoire, Ecouflant, la vie dans les années 1930, 1997
  • Municipalité & Pages d'Histoire, Ecouflant, à travers le XXe siècle, 2000
  • Association Pages d'Histoire, Eventard, des Gaulois à nos jours, 2002
  • Association Pages d'Histoire, Ecouflant, à travers les conflits, 2004
  • Association Pages d'Histoire, Objets d'antan, objets d'Ecouflant, 2008
  • Association Pages d'Histoire, Ecouflant, Figures, rues et lieux-dits, 2011, 189 pages

Villes Jumelées[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Écouflant et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Angers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Une ferme et un ouvrage hydraulique d’époque gallo-romaine à Écouflant, inrap.fr, 15 octobre 2019.
  17. Ouest-France, « Travail, rigueur, transparence » pour le nouveau maire, article du 31 mars 2014.
  18. « Écouflant. Le maire Denis Chimier réélu pour un second mandat », sur Ouest-France, (consulté le ).
  19. Insee, Composition de l'EPCI d'Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 15 novembre 2012.
  20. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no 879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
  21. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Écouflant, consultée le 15 mars 2015.
  22. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écouflant (49129) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  29. Insee, Statistiques locales du territoire de Écouflant (49), consultées le 31 mars 2013.
  30. a b c et d LPO Anjou, « Les espèces de votre commune », sur faune-anjou.org (consulté le ).