Discussion utilisateur:Euphonie/05

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Je suis faillible et j'en ai conscience.
Richard Strauss

Philosophie[modifier le code]

Il est deux citations qui me tiennent à cœur et dont l’application souveraine me semble potentiellement en mesure de circonscrire – voire d’éviter – bien des conflits :

« Je donne mon avis non comme bon, mais comme mien. »

— Michel de Montaigne

« J’ai toujours été fasciné par les détenteurs de vérité qui, débarrassés du doute, peuvent se permettre de se jeter tête baissée dans tous les combats que leur dicte la tranquille assurance de leur certitude aveugle. »

— Pierre Desproges, 13 décembre 1982,
Réquisitoire contre Siné, dans le cadre du Tribunal des flagrants délires.

Ce qui conduit implicitement aux deux apophtegmes suivants, de Friedrich Nietzsche :

« Les certitudes sont des prisons. »

— Friedrich Nietzsche

« Les convictions inébranlables sont des ennemies de la vérité, plus dangereuses que le mensonge. »

— Friedrich Nietzsche

On pourrait presque regretter, parfois, que certaines caractéristiques primordiales puissent sporadiquement ainsi manquer à l’appel, dans certains types de communication interactive :

— Les égards envers autrui, l’écoute attentive, l’empathie, l’affabilité, la compassion et, surtout (non des moindres) :

— La capacité de se remettre en question.

Comme le disait Michel de Montaigne :

« C’est une sotte présomption que d’aller dédaignant et condamnant pour faux ce qui ne nous semble pas vraisemblable. »

— Michel de Montaigne

Un autre écrit — signé : Louis Evely (en) — incite également à la réflexion :

« La vérité et l’erreur, le bien et le mal, la foi et le doute, l’ivraie et le bon grain sont inextricablement enchevêtrés dans notre univers. Nous ne pouvons les discerner à coup sûr, ni à bref délai. La grande erreur de l’idéologie et de la crédulité est le manichéisme : déclarer avec autorité, avec infaillibilité où est Dieu et où il n’est pas, où sont les justes et où sont les pêcheurs, où est le dogme et où est l’hérésie. »

— Louis Evely (en)

Ce qui n’est pas sans évoquer une fameuse citation apocryphe[note 1] bien connue :

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dîtes, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de vous exprimer[note 1]. »

Encore faudrait-il que les DEUX camps observent ce précepte à la lettre !

C’est à cette seule condition que l’ébauche d’un dialogue – viable – s’avère envisageable.

Au demeurant, il suffirait d’une once de bonne volonté ubiquitaire... et le tour serait joué.

Après tout, Albert Camus n’a-t-il pas écrit :

« Je ne connais qu’un devoir, c’est d’aimer. »

— Albert Camus

Amour « Ahiṃsāïquement » vôtre ! Amour

euphonie
8 avril 2011, à 12:24 (CET)
Mise à jour : 11 avril 2011, à 08:37 (CET)

Notes :

  1. a et b I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it : citation apocryphe[1] figurant dans les commentaire de l’auteure britannique Evelyn Hall (en) (cf. son ouvrage The Friends of Voltaire[2]).

Références :

  1. (en) Paul F. Boller Jr. et John George, They never said it : a book of fake quotes, misquotes, & misleading attributions, Oxford University Press, New-York, 1989, p. 125.
  2. Publié sous le pseudonyme de Stephen G. Tallentyre. Plus de détails dans l’article de wikipédia consacré à la tolérance !

Pour une nouvelle année heureuse et bénie[modifier le code]

Cher Monsieur,

Je ne voudrais pas terminer cette année sans vous féliciter chaleureusement pour la qualité de votre travail. Les articles auxquels vous collaborez et auxquels vous apportez votre touche de maître de conférence et historien universitaire spécialisé dans l’histoire du sport catholique s’enrichissent considérablement, tout en revêtant chaque jour plus fière allure. Je suis particulièrement honoré d’avoir pu œuvrer à vos côtés, afin de vous aider dans vos premiers pas et vous guider dans les dédales parfois alambiqués d’une réglementation subtile au sein de laquelle il n’est pas forcément toujours facile de se repérer. La liste actuelle des 42 articles régulièrement co-visités par votre plume se bonifie de jour en jour, grâce à l’apport conjoint des nombreux wikipédiens et wikipédiennes qui nous font l’honneur d’y apporter leurs touches expertes additionnelles et complémentaires, dans un climat cordial de belle et noble émulation synergique. Bravo ! Vous maîtrisez de mieux en mieux les complexités de la syntaxe typographique et autres particularités alambiquées, ce qui fait que votre assimilation et compréhension des us et coutumes me paraît de plus en plus exemplaire. Bravo encore ! L’un de mes estimés professeurs nous enseignait en substance que « plus vous faites du bon travail et plus ce travail suscite l’approbation et les encouragements de l’ensemble de vos pairs, plus il y a de chance qu’il se trouve au moins une personne pour arguer du contraire et tenter à tout prix d’acquérir les autres à sa cause : c’est une loi mathématique … ». Il poursuivait alors sur la même lancée, en pourvoyant le conseil suivant : « Considérez ce qui précède comme une forme de compliment et de reconnaissance indirecte de votre réussite ; continuez votre route sans changer de cap et sans vous laisser détourner de vos objectifs, tout en restant favorablement ouvert à tout conseil éclairé et bienveillant ! ». L’œuvre à laquelle vous participez avec l’ensemble de votre groupe procède d’un émouvant travail de mémoire et d’hommage aux anciens. Pour que l’on ne les oublie pas. Je vous sais gré du temps considérable que vous consacrez à enrichir l’encyclopédie pour y mettre à disposition le synopsis contextuel et historique issu des archives de votre fédération ; c’est une démarche qui procède d’une forme de sacerdoce, de legs et d’altruisme souverains. Comme l’écrivit Saint-Jean :

« Il n’est de plus bel et grand amour que de vouer sa vie envers celles et ceux que l’on aime. »

— Jean, 15:13

Je vous souhaite une nouvelle année heureuse, prospère et bénie. Puisse-t-elle vous apporter force et courage dans l’adversité, santé rayonnante, lumière de l’âme, du cœur et de l’esprit ! Puisse-t-elle baigner dans le bonheur et inonder dans l’écrin de son amour bienfaisant l’ensemble de votre famille, de vos proches et de celles et ceux qui sont chers à votre cœur !

Bien cordialement à vous !

euphonie
1 janvier 2012 à 05:30 (CET)[répondre]
1re mise à jour : 1 janvier 2012 à 06:31 (CET)
2e mise à jour : 4 janvier 2012 à 02:25 (CET)

Parrainage[modifier le code]

Vos voeux sur ma PdD m’ont profondément touché ainsi que l’indulgence bienveillante dont vous faites preuve à l’égard du travail de notre groupe. Si celui-ci finit par atteindre un certain niveau de maturité, il le doit largement à votre parrainage éclairé et à celui de Matpib, bien conforme aux consignes données au printemps dernier par nos autorités. Celles-ci, se penchant sur la raréfaction des articles d’intérêt encyclopédique, rappelaient l’adage « ne mordez pas les nouveaux » et en appelaient au parrainage comme bon outil de gestion des ressources humaines de Wikipédia. Votre travail et votre implication dans ce projet sont une magistrale illustration de leur clairvoyance. Et j’en profite pour remercier le CAr d’avoir eu l’excellente initiative de l’instituer dans le cas présent.

Puisqu’il est d'usage de formuler des vœux à cette époque de l'année, outre ceux pour vous-même et ceux qui vous sont chers, je souhaite vivement que notre collaboration — ainsi que celle de Matpib — se prolonge bien au-delà de la période prévue par les délibérations et que Wikipédia — en qui, grâce à vous et au dernier CAr, j’ai repris espoir — continue son chemin vers l’idéal encyclopédique où le respect des formes, certes bien indispensable, ne serve jamais à occulter l’intérêt du fond. L’instauration d’un parrainage à la fois ferme et compréhensif de personnes ayant des affinités avec les sujets traités en est une bonne garantie. Merci encore. --Claude PIARD (d) 1 janvier 2012 à 08:49 (CET)[répondre]

A un contributeur hors du commun[modifier le code]

Cher Euphonie. Je te remercie pour ce long message, qui atteindra quoi que je fasse le double du mien Émoticône sourire. Je te souhaite également le même bonheur, et apprécie finalement fortement le surnom que tu m’as donné ; je suis en somme une vestale wikipédienne ! De mon côté, je louerai ton sens de la conciliation, même si cela n’aboutit pas nécessairement : mais l’intention est là, et est grande ! Bonne année à toi. Amicalement, Celette (d) 1 janvier 2012 à 15:44 (CET)[répondre]

Feliz Año Nuevo[modifier le code]

La douceur et la chaleur de ton incroyable maîtrise de la langue française sont une véritable fête en ce 1er janvier. Chaque fois que passe ton nom sur une PdD ou un historique, je me rappelle de nos discussions et collaborations. Bonne année à toi Euphonie, qu’elle nous donne la chance de retravailler ensemble. – Amicalement – Rachimbourg (✎ Doléances) 1 janvier 2012 à 20:24 (CET)[répondre]

Comment, je ne t’aurais pas souhaité une bonne année ? À quoi bon, en effet, c’est toi qui crées le bonheur. J’ai croisé ton (ex?) filleul CP, qui m’a l’air d’un intéressement constructif, et l’on verra bien où l’on ira ? Au moins en 2013, j’espère. Cordialement, Asram (d) 4 janvier 2012 à 02:30 (CET)[répondre]

Euphonie, d’où viens-tu ?[modifier le code]

Cette question me turlupine à nouveau, car cette petite boîte utilisateur est criante de vérité. Au point que, parfois, je me dis que tu devrais oser faire une sorte d’atelier d’euphonie pour enrichir le vocabulaire de nous autres, pauvres mortels fourmis-gnomes. Soyons aussi bons dans le maniement de la langue que toi. Que les choses iraient mieux ! J’imagine certains encore plus béats que moi devant tes messages, où qu’ils soient, quoi qu’ils disent, parfois je m’extasie même sur des petits riens. Sur ta façon de mettre des couleurs à des artifices techniques très ternes ou sur ton obstination acharnée à écrire un commentaire bien tiré par les cheveux pour ajouter un point-virgule ! J’adore. Tout simplement. Par là même, tu portes très bien ton nom. C’est vivifiant de te lire et je ne sais comment répondre à tes vœux si atypiques qu’ils m’ont totalement désarmés. Je reste donc bouche bée à contempler le blanc restant sous cette page. Un grand merci pour ton soutien apporté à M. Piard et dans sa défense pour ta patience avec l’« autorité hiérarchique » que je n’aurais jamais su fournir aussi calmement que toi. Je te souhaite de tout cœur de passer une année… hmmm… disons… euphonique, bien à toi quoi ! — A2 (d) 6 janvier 2012 à 05:34 (CET)[répondre]

BA 2012[modifier le code]

Merci, merci beaucoup de ta jolie prose sur ma pdd, je te souhaite plein de belles lumières colorées en cette nouvelle année. Je rejoins A2 ci-dessus, hé hé hé hé, ne change surtout pas et ne brûle pas tes ailes en ce bas monde s’il te plaît ! Butterfly austral 7 janvier 2012 à 20:58 (CET)[répondre]

The Paradoxical Commandments[modifier le code]

Puisse l’extrait du poème ci-dessous — rédigé originellement en langue anglaise par Kent M. Keith, en 1968, sous le titre : The Paradoxical Commandments — apporter un peu de réconfort à celles et ceux qui sont dans la peine !

L’honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable ?
Soyez honnête et franc, anyway !
Si vous faites le bien, il se pourrait que l’on vous prête un jour d’éventuels motifs égoïstes ou calculateurs...
Continuez à faire le bien, anyway !
Ce que vous avez mis des années à construire peut être potentiellement détruit du jour au lendemain ?
Continuez à construire, anyway !
Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même, vous risquez parfois d’y laisser des plumes...
Continuez à donner le meilleur de vous-même, anyway !
Le bien que vous faites aujourd’hui risque vraisemblablement d’être oublié demain ?
Continuez à faire le bien, anyway !
—— Kent M. Keith, 1968 : — The Paradoxical Commandments

Bien cordialement à toutes et tous !

euphonie
14 janvier 2012 à 03:01 (CET)[répondre]
1re mise à jour : 14 janvier 2012 à 03:07 (CET)
2e mise à jour : 23 janvier 2012 à 14:44 (CET)
3e mise à jour : 15 mars 2012 à 01:45 (CET)

Remerciements[modifier le code]

Cher Euphonie, je suis très sincèrement touchée par cette attention, et je me suis prise à relire plusieurs fois ton « ode », tout à la fois gênée et touchée. Sans doute cela en fera rire certains ou grincer des dents, mais je te transmets des remerciements amicaux bien réels. Il est évident que ces temps-ci, et depuis que je m’investis plus à Wikipédia en général, j’attire les critiques comme un cadavre ramène les vautours. Mais je sais aussi que le temps me donne souvent raison, et que mes détracteurs, de guerre lasse, cessent leurs coups. WP m’aura appris à devenir (presque) imperméable aux critiques. Je me permets enfin cette citation d’Hector Berlioz, qui rebondit à ton premier vers (citation que tu m’avais laissé en PdD au mois d'avril 2011, mais que je croyais être de la plume de Georges Bernanos) : « Il faut collectionner les pierres qu'on vous jette. C'est le début d'un piédestal. » Fort amicalement, Celette (d) 17 janvier 2012 à 17:47 (CET)[répondre]

Tout ce que tu dis est fort vrai. Mais tu sais comme moi que l’image intransigeante de statue de pierre froide que j’affiche est en réalité contrebalancée par des prises de positions passionnées et non dénuées d’affectivité. La neutralité n’implique pas nécessairement l’imperméabilité, certaines critiques pouvant être constructives. Et je me suis, je pense, assagie depuis mes premiers coups d’éclat. Néanmoins, j’ai noté que beaucoup de critiques ne méritent pas que l’on y prête attention, car elles ne se font que sur le coup de la colère, la jalousie, la haine et la rancœur. Je reste humaine et essaie en définitive d’afficher la même sérénité qui est présente sur ta PU, que ce poème et tes suggestions de lecture ou de visionnage Émoticône sourire. Amicalement et bonne journée à toi, Celette (d) 18 janvier 2012 à 10:22 (CET)[répondre]
J’ai été fort surprise mais ta citation me convient parfaitement (de là à dire que Camus pressentait que je viendrais au monde, il y a un pas que je ne franchirai pas Émoticône). J’espère en tout cas rester sur une ligne claire et cohérente : je peux toujours me tromper et revenir sur des positions passées, mais il est bien vrai que je ne suis pas de celles qui changent de chemises ou compromettent leur intégrité pour de sombres histoires. Si mes messages te font rire, je suis heureuse d’avoir au moins un public Émoticône sourire. Amicalement et très bonne journée à toi, Celette (d) 19 janvier 2012 à 11:53 (CET)[répondre]

Association française pour un sport sans violence et pour le fair-play[modifier le code]

Merci pour le renommage (et le maintien de la redirection), et tes judicieux conseils concernant les sources. Je n’aurais pu être plus précis. Bonne journée, cordialement, Asram (d) 7 janvier 2012 à 04:39 (CET)[répondre]

Mais de rien, cher ami !
À mon tour de te remercier d’avoir pris l’heureuse initiative de relire cet article, de l’avoir examiné en détail, à dessein de lui octroyer l’aval conclusif d’une republication ! Notre filleul en sera assurément ravi.
Bien cordialement à toi !
euphonie
7 janvier 2012 à 04:52 (CET)
Merci et ne vous inquiétez pas de mon silence : panne totale de téléphone et pas de dépannage avant lundi/mardi. Je profite d’un passage au bureau du club pour me connecter --Claude PIARD (d) 7 janvier 2012 à 18:26 (CET)[répondre]

Biographies[modifier le code]

Charles Zelty[modifier le code]

Bonjour, et merci pour ton coup de pouce sur cet article, notamment pour la signalisation de la vidéo (le modèle {{Ina}} est peut-être dépassé, les liens ne sont plus fournis selon la présentation proposée dans la documentation). J'espère que la communauté s'intéressera à cet article, et que la discussion ne sera pas tranchée par seulement cinq expressions. Cordialement, Asram (d) 2 février 2012 à 01:48 (CET)[répondre]

Salut, Asram !
Merci pour ton sympathique message ! J’ai également apprécié ton commentaire de diff humoristique Émoticône sourire.
Il est vrai que, au moment où la demande de suppression a été posée, cet article n’en était alors qu’à l’état d’ébauche embryonnaire, en sus d’être fondamentalement dénué de sources adjacentes et/ou autres inclusions de vérifiabilité complémentaires ; cette occurrence, effectivement, ne pouvait donc que pleinement justifier la procédure en cours, du moins, au regard des critères particulièrement stricts qui tendent à prévaloir sur cette encyclopédie, dont les conditions d’admissibilité — qui président à l’acceptation ou non d’un article — sont circonscrites et définies par des modalités circonstanciées relativement restrictives. Heureusement, depuis, tu es passé par là et tu as considérablement enrichi et complété le contenu textuel global, tout en y insérant justement et à bon escient plusieurs des nombreux éléments qui manquaient cruellement antérieurement. Ainsi, grâce aux nouveaux apports souverains insufflés par l’entremise de tes soins diligents, la donne est désormais en mesure d’être potentiellement revue et corrigée à la hausse, dans le sens que ladite admissibilité factuelle précitée en est désormais moins inéluctablement compromise ex cathedra qu’auparavant. Par ailleurs, sachant que toute biographie liée à un destin hors du commun tend à retenir mon attention privilégiée, il était donc de mon devoir de m’associer à ta démarche, ce que j’ai d’ailleurs fait avec un plaisir non dissimulé, d’autant que tu fais partie des personnes avec qui œuvrer en synergie s’avère particulièrement motivant. Reste à savoir maintenant si nos contributions additionnelles seront suffisantes pour l’octroi d’un ticket d’entrée conclusif et si les nouvelles sources ajoutées suffiront à avaliser le bonus final.
Let’s cross fingers!
Alea jacta est.
Bien cordialement à toi !
euphonie
2 février 2012 à 12:43 (CET)
Comme tu dis, attendons avec la conscience du travail fait. Bravo pour la qualité de la mise en page que tu as effectuée, qui oserait supprimer maintenant ? Émoticône Le lien que tu as fourni permettra de compléter la biographie. Bonne journée à toi, cordialement, Asram (d) 3 février 2012 à 01:38 (CET)[répondre]
Bonjour Euphonie (d · c · b), et merci pour le renouvellement de ton soutien à l'article, qui a été de poids sans doute. J'hésitais à poser la question sur le Bistro, à propos des critères suffisants non nécessaires, idée qui a ses limites mais qui semble souvent ignorée. Cordialement, Asram (d) 15 février 2012 à 23:25 (CET)[répondre]
Salut, Asram !
Merci pour ton message !
J’ai été agréablement surpris que la conservation de l’article soit finalement prônée, sachant que ce n’était pas forcément gagné d’avance. Les arguments que tu as toi-même soulevés quant aux subtilités adjacentes susceptibles de s’insérer dans le biotope électif ont également retenu toute mon attention : je te sais gré d’en avoir exposé la teneur avec une telle maestria. Compliments !
Au plaisir de nos futures collaborations !
Bien à toi !
euphonie
15 février 2012 à 23:47 (CET)
Je me permets de revenir glisser un mot. Je dois beaucoup à … j'allais écrire ta manière de faire, mais c'est sans doute davantage ta manière d'être. Elle m'inspire désormais fréquemment. Cordialement, Asram (d) 16 février 2012 à 01:21 (CET)[répondre]
Bien cher Asram !
Tes paroles me touchent et me vont droit au cœur. Tu fais partie des contributeurs que j’apprécie particulièrement et avec lesquels je boirais volontiers le thé (formule exprimant la sympathie amicale d’un être envers un autre).
Bien cordialement à toi !
euphonie
20 février 2012 à 13:13 (CET)

Christophe Béchu[modifier le code]

Bonsoir,

Vous-est-il possible de m’aider pour m’indiquer la marche à suivre à ce stade?

Y a-t-il un genre de comité d’arbitrage? Chaque partie doit doit-elle solliciter d’autres contributeurs ? Doit-on réciproquement exposer à nouveau nos arguments qui ne convainquent pas l’autre partie?

Merci !

Cordialement !

--Frenchjuan (d) 10 novembre 2011 à 23:55 (CET)[répondre]

Bonjour, Frenchjuan !
Merci pour votre message !
Dans ce type d’occurrence, le mieux, d’ordinaire, est d’initier un débat en PdD de l’article concerné, dans l’espoir d’aboutir à un consensus susceptible de rapprocher toutes les parties en cours.
Si ledit débat esquissé se solde par un échec, voire si les antagonismes persistent ad libitum, l’article est alors potentiellement susceptible d’être momentanément « protégé » ou « semi-protégé » ; cette opération est alors effectuée par un administrateur tiers.
Le comité d’arbitrage, d’ordinaire, n’a pas pour vocation initiale de traiter de désaccords spécifiquement éditoriaux, quand bien même ce sont souvent des problématiques de cet ordre qui s’avèrent — au moins symboliquement — à l’origine foncière du recours final consistant à solliciter son aide.
Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter bonne chance dans votre démarche, en espérant qu’elle portera des fruits salutaires.
Cordialement et bien à vous !
euphonie
11 novembre 2011, 01:32 (CEST)
Vous pouvez également tenter de recueillir l’avis de tierces personnes, via : → Wikipédia:Appel à commentaires/Article.
Pour ce faire, il vous suffit d’entrer le nom de l’article, via la case dédiée, sise en bas de page, puis de suivre précisément le mode d’emploi.
Bonne chance et bon courage dans votre quête !
Bien cordialement !
euphonie
11 novembre 2011, 03:20 (CEST)
Merci pour les conseils et les marques d’encouragement
Cordialement--Frenchjuan (d) 11 novembre 2011 à 22:29 (CET)[répondre]

Valérie Lecasble[modifier le code]

Au secours Euphonie ;), dans le wiki Valérie Lecasble, le même administrateur s’acharne sur un revert qui n’a rien de neutre dans sa démarche et surtout pas encyclopédique car il ne repose que sur son point de vue subjectif. La référence que j’utilise est factuelle, précise et neutre, car elle provient d’un article biographique publié dans un périodique professionnel sérieux et reconnu (Satellimag / Satellifax). Merci de me venir en aide (protéger la page ?). Bien cordialement. Martino75 (d) 23 décembre 2011 à 16:02 (CET)[répondre]

Bonjour, Martino75 !
Merci pour votre message et pour la confiance que vous m’accordez !
Lors de révocations plurielles et opposant systématiquement le même segment textuel, l’une des rares offres de médiation qui puisse échoir à un contributeur extérieur — pour autant qu’il ne soit pas engagé personnellement dans la rédaction de l’article concerné et encore moins dans le contenu dudit segment textuel éditorial susceptible d’être l’objet d’un désaccord — consiste, entre autres possibles options, à apposer un bandeau {{R3R}}, afin d’inviter les parties en bisbille à bien vouloir tenter l’élaboration d’un consensus viable, par le biais d’une nouvelle formulation qui puisse s’avérer non seulement « multicompatible », mais aussi, dans la mesure du possible, qui puisse idéalement réussir le challenge à faire se conjoindre leurs idéations et/ou conceptions rédactionnelles respectives.
En revanche, il n’est pas dans mes attributions de décider si oui ou non une page peut ou doit être oui ou non protégée, rôle qui échoit aux seuls administrateurs élus et qui, si mes informations sont conformes, sont normalement préalablement sollicités par un patrouilleur tiers qui requérrait leur éventuelle intervention en ce sens, dans le cas où certaines règles fondamentales ou éthiques seraient potentiellement bafouées.
Dans l’espoir de l’esquisse d’une future solution conviviale, je vous souhaite de passer des fêtes de Noël heureuses et paisibles auprès de vos proches, dans lumière de l’amour serein et de la joie au cœur.
Bien à vous et cordialement !
euphonie
23 décembre 2011 à 18:40 (CET)
Bonsoir Euphonie. Merci infiniment pour cet éclairage et ces pertinentes explications et conseils ! On reconnaît une certaine sagesse dans cette approche. Bonnes fêtes de Noël et paix à tous ceux qui vous sont proches, par la géographie ou le coeur ! Martino75 (d) 23 décembre 2011 à 19:48 (CET)[répondre]

┌─────────────────────────────────────────────────┘
Bonjour Euphonie et tous mes vœux !

J’observe que mon contradicteur tente de forcer la suppression qu’il souhaite en dépit des nombreuses propositions et concessions dans la formulation que j’ai faites en PdD. Cela me désole, car je respecte scrupuleusement la procédure et les usages de Wikipedia, mais mon contradicteur ne fait aucune proposition, ni conciliation et maintient sa « censure » pure et simple de toute la contribution pourtant référencée. Comment sortir à ce stade sans déclencher un nouveau conflit ? Merci de cette aide ;) Martino75 (d) 8 janvier 2012 à 18:05 (CET)[répondre]

  • J’ai oublié de préciser qu’il n’a pas respecté la règle du bandeau {{R3R}}, car il a modifié le wiki à deux reprise depuis l’apposition; est-ce autorisé pour un administrateur et interdit pour un simple contributeur comme moi ? Martino75 (d) 8 janvier 2012 à 19:20 (CET)[répondre]
Bonjour, Martino75 !
Merci pour votre message et vos vœux ! Je vous adresse également les miens chaleureux en retour.
L’apposition du bandeau {{R3R}} n’empêche pas forcément de travailler sur l’article qui en serait l’objet, ni même d’y effectuer divers ajouts ou modifications ; en effet, les seules réserves électivement désignées ne s’appliquent qu’à l’unique segment textuel susceptible d’être l’objet d’un éventuel désaccord. Partant de ce qui précède, chacun est libre de continuer à contribuer à l’article autant que bon lui semble, pour autant que ledit segment textuel, momentanément discordant, ne soit pas « réinjecté » sous une forme ou une autre par l’une ou l’autre des parties prenantes… du moins, pas avant que les violons n’aient idéalement réussi à vibrer au même diapason, par le biais d’une formulation consensuelle, élaborée en synergie, via la PdD de l’article concerné. Apparemment et, sauf erreur de ma part, tout semble en règle, les modalités d’application du bandeau paraissant conformes, aucune infraction ne s’étant produite, les contributions intervenues depuis lors ayant participé à l’enrichissement ou à la complétion de l’article dans des domaines autres que celui spécifiquement afférent à votre actuel litige éditorial.
Bon courage pour la suite et puisse cette année vous apporter bien des joies et des satisfactions !
Bien cordialement !
euphonie
8 janvier 2012 à 21:32 (CET)
1re mise à jour : 9 janvier 2012 à 10:16 (CET)
2e mise à jour : 9 janvier 2012 à 12:48 (CET)
Merci pour ces précisions ! J’apprends tous les jours un peu plus ! ;) Bonne journée Martino75 (d) 9 janvier 2012 à 12:33 (CET)[répondre]
Bonjour Euphonie, je viens de me rendre compte que (toujours) le même admin vient de supprimer le bandeau R3R que vous aviez apposé sur ce wiki [[1]]. Je croyais qu'il nous était interdit de le supprimer tant qu'un consensus n'était pas obtenu dans la formulation. Je trouve que ces pratiques unilatérales sont détestables, d'autant plus que j'ai proposé plusieurs formulations dans le sens du compromis et que strictement rien n'a été concédé de sa part. Je souhaiterais demander la protection de cette page. Comment procéder ? Merci de m'aider à résoudre (encore !) ce pénible problème. Bonne fin de dimanche (et de lundi !). Martino75 (d) 13 février 2012 à 13:28 (CET)[répondre]
Bonjour, Martino75 !
Merci pour votre message !
Navré d’y répondre si tard, en raison d’une indisponibilité temporaire !
Effectivement, le bandeau a bien été ôté. Toutefois, en même temps, il semblerait qu’aucune interaction contradictoire ne soit intervenue sur le point litigieux de l’article, dans le sens que le segment concerné est toujours bel et bien présent — en l’état, tel quel et inaltéré — sur la page ; qui plus est (et, sauf erreur de ma part), sa consignation actuelle paraît même aller dans le sens de votre préférence élective.
Par ailleurs, une discussion interactive a exposé vos différentes positions contradictoires en PdD ; cela étant, d’après ce qu’il me semble observer, les arguments les plus récents ont été exprimés en date des 16 et 24 janvier 2012 ; sauf omission involontaire de ma part, lesdits arguments sont, depuis lors, restés sans réponse.
Or, le but avéré d’un bandeau R3R consiste précisément à encourager le dialogue entre les diverses parties investies, afin d’élaborer une formulation consensuelle commune, susceptible d’emporter un assentiment ubiquitaire, voire davantage.
En d’autres termes, s’il semble de facto y avoir « stagnation », le passage lui-même n’a pas été modifié (du moins, pas encore) dans un sens ou dans l’autre.
La « protection » d’un article ne peut intervenir que si prévaut une réelle guerre d’édition, avec reverts intempestifs récurrents incessants de part et d’autre et/ou lorsque le bandeau R3R s’avère potentiellement impuissant à juguler les affects. Cependant, en l’état, une discussion a bel et bien été ébauchée, certes, sur fond de désaccord, mais il ne semble pas y avoir de « forcing ». Il y a juste une sorte de « statu quo ».
Peut-être que l’une des options pourrait éventuellement consister à solliciter et recueillir l’avis de tierces personnes, via la fonction dite : → appel à commentaires.
Pour ce faire, il vous suffit d’entrer le nom de l’article, via la case dédiée, sise en bas de page, puis de suivre précisément le mode d’emploi.
Je laisse à d’autres intervenants dévoués le soin de bien vouloir compléter le présent message, le cas échéant.
Bon courage à vous pour la suite !
Bien cordialement !
euphonie
13 février 2012 à 14:48 (CET)
Merci infiniment Euphonie pour ces informations, observations et conseils. Reste à espérer qu'il ne transformera pas la formulation actuelle de cette partie du Wiki. Très bonne journée. Martino75 (d) 14 février 2012 à 12:01 (CET)[répondre]
Bonjour Euphonie. Hélas, comme je le redoutais, en dépit d'absence de consensus et de "statu quo", le même contradicteur s'est cru obligé de reverter la version actuelle et imposer sa version précédente, en maintenant au passage, sa suppression de ma source en référence précisant le point litigieux. Quelle escroquerie ! Que faire ? Merci encore de l'aide. Bonne soirée. Martino75 (d) 15 février 2012 à 16:37 (CET
Bonjour, Martino75 !
Merci pour votre message !
Effectivement ! Il y a bien eu rétablissement d’une version antérieure. Cette action fait vraisemblablement suite à votre absence de réponse prolongée aux arguments développés en PdD, silence qui a pu être potentiellement interprété comme une forme d’approbation tacite, en adéquation à un dicton bien connu qui décrète que « Qui ne dit mot consent ! ». Toutefois, votre désaccord, quant à l’intromission concernée, tendrait davantage à mettre en exergue un autre proverbe satellitaire : « L’exception confirme la règle ». Cette dichotomie résurgente risque dès lors de faire une fois de plus basculer l’équation dans de nouveaux sempiternels reverts interactifs incessants, quitte à conduire à l’apposition récurrente d’un autre bandeau R3R (ce qui serait regrettable) ou à une éventuelle « protection » de l’article (tout aussi regrettable), voire à un blocage de chaque intervenant en désaccord (encore plus regrettable), au cas où le conflit éditorial s’enliserait ad libitum.
Il vous reste l’éventuelle alternative de recourir à l’une des options précitées, consistant à solliciter et recueillir l’avis de tierces personnes, via la fonction dite : → appel à commentaires. Pour ce faire, il vous suffit d’entrer le nom de l’article, via la case dédiée, sise en bas de page, puis de suivre précisément le mode d’emploi. Il faut toutefois savoir que rien ne permet de pronostiquer par anticipation l’issue d’une telle consultation publique, les résultats pouvant s’avérer relativement aléatoires, voire imprévisibles, quoique passionnants, puisque ouvrant les perspectives électivement concernées à d’autres horizons complémentaires, parfois insoupçonnés, qui éclairent la question sous un jour enrichissant. Ce qui signifie que votre position peut être soit corroborée (partiellement ou complètement) … comme il se pourrait — aussi — qu’elle soit en partie ou exhaustivement infirmée. Nul ne le sait d’avance ! Le mérite néanmoins de ce type d’approche étant que la décision qui en émergerait en deviendrait alors collégiale (ou, du moins, elle le devrait), car issue de plusieurs visions synergiques. Le jeu peut donc en valoir la chandelle. Cela étant, quel que soit le résultat qui pourrait en découler, il importerait alors que chaque partie confortée ou non dans son approche se conforme au verdict conclusif... ce qui ne relève pas forcément toujours d’une mince affaire.
Comme précisé dans ma précédente intervention, je laisse à d’autres contributrices/teurs dévoués/es le soin de bien vouloir compléter le présent message, le cas échéant.
Bonne chance et bien cordialement !
euphonie
15 février 2012 à 18:16 (CET)
Bonjour Euphonie. Merci encore de vos explications et tentatives de pacification. Il conviendrait de souligner que ce n'est pas sur l'aspect éditorial que se pose le problème avec mon contradicteur mais bien parce qu'il a eu des menaces et désormais des accusations publiques tentant de m'accuser de porter préjudice à une personnalité publique sans parler des propos agressifs. C'est sur ce point que j'ai alerté car je suis inquiet que ses menaces recommencent. Quelqu'un peut-il le ramener au calme ? Bonne journée. Martino75 (d) 17 février 2012 à 11:46 (CET)[répondre]
Re-bonjour. Afin de faire un pas vers la conciliation, je propose de retirer la formule "sur le terrain", bien que ces termes soient directement issus de la source en référence. Merci de bien vouloir retirer la vilaine et inappropriée mention "non neutre" dans l'article, dont l'apposition par mon contradicteur vise justement à créer polémique, d'autant plus que je m'interdis de modifier cette partie de l'article. Encore désolé de tout cet embarras... :( Martino75 (d) 17 février 2012 à 11:55 (CET)[répondre]
Bonjour, Martino75 !
Merci pour votre message, ainsi que pour la confiance que vous m’accordez, qui me touche et me va droit au cœur !
J’ai bien compris que le problème fondamental ne relève pas forcément et/ou spécifiquement uniquement d’un aspect éditorial, mais davantage de la manière conjointe de réussir à en gérer le désaccord et les difficultés de communication conviviale qui en résultent. J’ai également pris connaissance de vos différentes correspondances à cet égard.
Pour ce qui relève de l’inclusion litigieuse, je n’ai pas vraiment pouvoir d’intervenir directement sur elle, car les argumentations — tant d’un côté que de l’autre — sont tellement richement nourries que moi-même j’y perds quelque peu mon latin. De plus, vous-même et votre partenaire rédactionnel connaissez bien mieux que moi le sujet, vu que, d’après ce que j’ai pu comprendre, vous œuvrez conjointement dans le domaine des médias.
Partant de ce qui précède, la seule chose que je puisse faire, c’est de me limiter à réajuster éventuellement quelques fautes de frappe (s’il devait y en avoir), voire apposer un bandeau invitant les deux parties à communiquer — si possible, amicalement — entre elles, afin d’échafauder une formulation commune qui ne provoque plus aucun heurt. C’est dans ce sens que j’ai posé hier la question en RA, afin de savoir si, éventuellement, l’apposition d’un bandeau de {{désaccord de neutralité}} pourrait éventuellement se justifier ou pas ; un administrateur a eu l’obligeance de confirmer ce qu’il me semblait pressentir, à savoir, que le désaccord en cours n’est pas suffisamment « majeur » (d’un point de vue strictement éditorial) pour nécessiter l’apposition de la balise précitée. Partant de ce qui précède, je n’ai pas pouvoir de retirer le tag de neutralité récemment apposé, car je perdrais alors toute légitimité en qualité de « médiateur », dans le sens que je prendrais alors parti pour l’un au détriment de l’autre, ce qui serait non seulement contraire à mes desseins, mais de plus, je n’aurais même pas compétence pour le faire, attendu que, en l’état, je serais bien incapable de dire qui aurait raison ou tort (au point de vue strictement éditorial s’entend). Je ne puis donc qu’espérer, conjointement aux espérances formulées par l’administrateur qui m’a fait l’honneur de donner suite à ma requête, que la situation se décante et se stabilise, afin que l’article puisse redémarrer sur de nouvelles bases fraternelles, imprégnées d’une valeur à laquelle je suis très attaché : le wikilove.
Arnaud Desjardins a un jour déclaré, lors d’une conférence, une phrase marquante, dont l’imprégnation reste à jamais inscrite dans ma mémoire, tant elle me paraît véhiculer une vérité souveraine :
— « Chaque fois que l’on s’écarte de l’amour, on gît dans l’erreur ».
Au début, j’avais trouvé cette affirmation un chouya « baba-cool », irréaliste, voire un rien « cui-cui les oiseaux chantent ». Pourtant, force m’a été donnée de constater que chaque fois où je n’ai pas observé ce précepte à la lettre, je me suis lamentablement planté.
C’est pour cela que je souhaite de tout cœur que la relation entre vos deux hémisphères puisse s’harmoniser, et ce, d’autant plus quand je repense aux poignantes paroles de cet ami d’enfance qui, peu avant de rendre son dernier soupir, m’avait confié, avec sa verve coutumière (paradoxalement, les souffrances éprouvantes qu’il endurait ne lui avaient rien fait perdre de sa gouaille et de son humour truculent), cette remarque — certes, un peu « crue » — que je cite en l’état et telle quelle :
— « Quand je pense à la chance qu’on a d’être encore vivant et en bonne santé sur cette p..... de terre, comment est-ce qu’on peut être assez c.. pour gâcher le peu de temps qui nous reste à vivre à s’entredéchirer ? » (sic).
Sachant le contexte douloureux dans lesquelles elles avaient été prononcées, les paroles de feu cet ami m’ont d’autant plus interpelé, en sus de me rappeler la teneur intrinsèque afférente à l’apophtegme précité d’Arnaud Desjardins.
Mon espoir est donc le suivant et rejoint en tout point celui des aimables administrateurs qui ont eu la bienveillance de nous assister (et je les remercie du temps qu’ils ont bien voulu consacrer à essayer de débroussailler cet écheveau structurel) :
— Puisse chacun essayer d’y mettre du sien, afin de permettre une réconciliation harmonieuse, fluide et réparatrice, dans les meilleurs délais et sous les plus valeureux auspices !
Je vous octroie ma bénédiction en ce sens, même si je n’ai pas vraiment légitimité « spirituelle » pour le faire, mais m’inspirant en substance de ce que m’a un jour solennellement déclaré un ecclésiastique de renom :
— « Toute bénédiction est bonne à prendre, d’où qu’elle vienne, à partir du moment où elle est dispensée avec le cœur, avec affabilité et sincérité ».
C’est pourquoi je vous offre la mienne, avec mes vœux de courage et de bonheur.
En pensées avec vous !
Bien cordialement !
euphonie
17 février 2012 à 14:30 (CET)
1re mise à jour : 17 février 2012 à 21:34 (CET)
2e mise à jour : 18 février 2012 à 01:46 (CET)
Les choses ont l’air d’avancer favorablement en PdD de l’article, grâce à la nouvelle formulation proposée par un administrateur tiers bienveillant. Peut-être qu’ainsi l’équation pourra se résoudre harmonieusement, grâce à cette heureuse évolution, d’autant que je lis que cette judicieuse proposition alternative semble avoir emporté votre total assentiment et que vous y souscrivez in extenso, ce qui est réjouissant.
Bon courage pour la suite et bien à vous !
Cordialement !
euphonie
17 février 2012 à 20:50 (CET)
Bon dimanche, Euphonie. Encore tous mes remerciements pour tous ces conseils et considérations éclairées que je partage entièrement. Ce conflit n'a que trop duré et c'est pourquoi, je me suis rangé totalement à la formulation proposée par Azurfrog[[2]]. Pour moi, dès lors, le différend était clos. Mais hélas, mon contradicteur - qui est toutefois forcé de reconnaître que la proposition d'Azurfrog est neutre et valable - tente à nouveau de rouvrir le conflit, sans rien apporter de neuf, que son point de vue personnel ressassé depuis le début. En dépit de tous mes efforts pour sortir de ce pénible (et long) conflit, nous voici revenus dans la situation antérieure. C'est très décevant. J'espère que ce comportement irrationnel ne durera pas. Soyons positifs et pleins d'espoir ;) Radieux week-end quand même, Euphonie. Martino75 (d) 18 février 2012 à 12:09 (CET)[répondre]
Bonjour, Martino75 !
Merci pour votre message et vos vœux bienvenus !
J’ai vu, effectivement, qu’une nouvelle formulation — initialement prometteuse et proposée par un administrateur tiers attentionné — a remporté, certes, votre adhésion inconditionnelle, mais pas celle de l’unanimité des intervenants. Le débat, donc, se poursuit.
Comme suggéré dans un précédent message, il vous resterait l’éventuelle alternative de recourir à l’une des options précitées, consistant à solliciter et recueillir l’avis de tierces personnes, via la fonction dite : → appel à commentaires. Pour ce faire, il vous suffit d’entrer le nom de l’article, via la case dédiée, sise en bas de page, puis de suivre précisément le mode d’emploi.
Il faut toutefois savoir que rien ne permet de pronostiquer par anticipation l’issue d’une telle consultation publique, les résultats pouvant s’avérer relativement aléatoires, voire imprévisibles, quoique passionnants, puisque ouvrant les perspectives électivement concernées à d’autres horizons complémentaires, parfois insoupçonnés, qui éclairent la question sous un jour enrichissant. Ce qui signifie que votre position peut être soit corroborée (partiellement ou complètement) … comme il se pourrait — aussi — qu’elle soit infirmée de façon parcellaire à exhaustive. Nul ne le sait d’avance ! Le mérite néanmoins de ce type d’approche étant que la décision qui en émergerait en deviendrait alors collégiale (ou, du moins, elle le devrait), car issue de plusieurs visions synergiques. Le jeu peut donc en valoir la chandelle. Cela étant, quel que soit le résultat qui pourrait découler de cette dite consultation publique, il importerait alors que chaque partie confortée ou non dans son approche se conforme au verdict conclusif... ce qui ne relève pas forcément toujours d’une mince affaire.
Comme précisé dans ma précédente intervention, je laisse à d’autres contributrices/teurs dévoués/es le soin de bien vouloir compléter le présent message et, le cas échéant, d’ébaucher d’autres alternatives transitoires qui permettraient de solutionner cette équation dans les règles de l’art et sous les meilleurs auspices qui puissent être.
Je souscris in extenso au vœu formulé dans votre message (je cite) :
« Soyons positifs et pleins d'espoir ! »
Radieuse semaine à vous aussi !
Bonne chance et bon courage !
euphonie
20 février 2012 à 13:22 (CET)
Bonjour, Martino75 !
J’ai lu avec intérêt le fait que vous avez esquissé une nouvelle proposition, suivant ainsi les conseils prodigués par plusieurs contributeurs et administrateurs qui, d’après ce qu’il me semble avoir cru comprendre, incitent à opérer une sorte de « milkshake multivitaminé » issu des diverses formulations antérieures, afin de tenter d’aboutir à une rédaction contextuelle synergique dont le contenu puisse potentiellement réunir les diverses perceptions conglomérées en un horizon convergent. Il ne manquerait donc plus que l’approbation peaufinée par les ultimes corrections et/ou retouches complémentaires des autres parties en cours pour essayer de finaliser le processus, afin d’aboutir à la concoction d’une sorte de panacée rédactionnelle, faisant ainsi se conjoindre l’intégralité des compétences et bonnes volontés réunies en une création commune, rejoignant ainsi le précepte de feu l’un de mes bien-aimés professeurs, lequel ponctuait régulièrement son magistère par cet axiome : « Seul on est rien, ensemble on peut tout ! ». À croire qu’il était déjà wikipédien avant l’heure. J’aurais aimé qu’il puisse vivre assez longtemps pour connaître cette encyclopédie dont les nobles buts et objectifs l’auraient assurément enthousiasmé.
Bien cordialement à vous !
euphonie
23 février 2012 à 02:00 (CET)
1re mise à jour : 23 février 2012 à 02:05 (CET)
2e mise à jour : 23 février 2012 à 02:42 (CET)
Merci encore Euphonie. Espérons qu'Azurfrog et Padawane valideront ou amélioreront donc ma 8e proposition. Et que nous passions enfin à autre chose. ;) Bonne fin de jeudi. Martino75 (d) 23 février 2012 à 13:45 (CET)[répondre]
Bonjour Euphonie. Hélas, comme je le redoutais, mon contradicteur "systématique" se refuse obstinément à concéder quoi que ce soit, en maintenant sa position obtuse[[3]], basée sur un point de vue tout personnel et non étayé, qualifiant d'anecdote, un élément essentiel de la biographie que le sujet elle-même a souhaité relater et souligner, ce que j'ai mis en évidence à chaque fois pour démontrer la subjectivité et la faiblesse de l'argument contradictoire. De plus, ce qui me parait relever d'un certain "acharnement" concerne les modifications voire suppressions toutes autant non fondées, relatives à plusieurs wikis que je rédige ou je crée et que ce même "contradicteur" s'empresse de venir modifier à son gré et selon son point de vue tout personnel[[4]][[5]][[6]][[7]][[8]]. Ces exemples démontrent ce que je dénonce depuis de longs mois, une volonté de scruter systématiquement mes contributions, au lieu de s'intéresser aux millions d'autres sujets et contributeurs de WP. Que faire ? Si je relance mes alertes auprès des admin', on va m'accuser de mettre à nouveau le feu. N'est-il pas possible qu'un administrateur le ramène "à la raison" et à plus de distance par rapport à moi ? Je ne demande rien de plus. Certains le lui ont déjà conseillé mais il n'en tient pas compte... Je suis assez perplexe. Dois-je trouver un parrain administrateur ? En tout cas, il ne parviendra jamais à me dégouter de WP. Coûte que coûte, je continuerai à contribuer aux wiki et à l'enrichissement de cette formidable encyclopédie vivante. ;) Bonne fin de vendredi. Martino75 (d) 24 février 2012 à 18:00 (CET).[répondre]
Bonjour Euphonie, je complète mon message en relevant une contradiction flagrante : l'objet du conflit provient de l'apposition d'un bandeau non neutre par mon contradicteur, lequel vient de reconnaître en qualifiant ma 8e proposition : « Cette formule a le mérite d'être neutre, c'est une évidence »[[9]] mais aussitôt en refusant de l'accepter sous prétexte qu'elle serait anecdotique, en maintenant donc toujours le même très faible argument subjectif pour poursuivre la polémique. Que faire ? Bonne fin de journée. Martino75 (d) 27 février 2012 à 16:33 (CET)[répondre]

┌─────────────────────────────────────────────────┘

Bonjour, Martino75 !

Merci pour votre message et la confiance renouvelée que vous me vouez !

Pour répondre à votre question, il n’existe, à ma connaissance, aucune entité wikipédienne qui s’occupe de traiter de litiges spécifiquement éditoriaux. Les seules interventions palliatives ne pourraient concerner que des abus manifestes graves et/ou sciemment délétères : insertions publiques de calomnies, injures arbitraires, vandalisme en cascade, prosélytisme invétéré, infraction/s au copyright, injections d’information délibérément erronées, mensongères, non-autorisées ou pénalement répréhensibles, etc. ; bref, ce que l’on appellerait de « gros morceaux ». Dans ce cas-là pourrait éventuellement surgir la nécessité d'un « masqueur de modifications » ou, en anglais « oversight » avec, parfois, blocage du/de la contributeur/trice ayant fait preuve d’un relatif « excès de zèle » (pour employer un euphémisme).

En revanche, pour ce qui relèverait de litiges éditoriaux argumentés, que l’on soit d’accord ou non avec l’une ou l’autre des positions déployées, hormis le fait de solliciter accessoirement des avis tiers, il ne semble pas exister de réels recours, ce qui pourrait donc potentiellement permettre à un débat de durer des jours, des mois, voire (pourquoi pas) des années, sauf si une intervention tutélaire haut placée devait un jour décider de modifier la donne.

Un aspect réjouissant étant que le problème de « neutralité » paraît enfin résolu dans la formulation de l’article auquel vous contribuez : tout le monde est finalement tombé d’accord, au moins sur ce point-là. Ce qui pourrait alors potentiellement permettre de subroger le segment textuel électivement concerné par la nouvelle mouture que vous proposez, allégeant ainsi l’actuel insert de sa balise {{non neutre}}. Ne resterait alors qu’à trouver une solution pérenne pour éradiquer durablement le bandeau {{R3R}} qui ne justifierait son éventuelle présence résiduelle qu’en raison du désaccord persistant quant à l’opportunité d’inclure ou non l’information concernée, puisqu’il ne semble pas y avoir encore de gentlemen’s agreement à cet égard.

Il y a quelques mois, un autre article avait déjà donné lieu à un débat relativement « animé » pour des raisons peu ou prou similaires quant à savoir si une mention spécifique devait oui ou non être incluse dans un article biographique : → [10] et [11].

Espérons toutefois que la PdD actuelle évoluera en faveur d’une direction consensuelle exemplaire, dans l’esprit du refrain « au-delà de nos différences[1] » propre aux paroles d’une chanson interprétée par Johnny Hallyday[1] :

« … Au-delà de nos différences,
Des coups de gueule, des coups de sang,
A force d'échanger nos silences,
Maintenant qu'on est face à face,
On se ressemble sang pour sang… »

— Eric Chemouny, ... au-delà de nos différences ...[1]

Bien cordialement à vous et bon courage pour la suite !

euphonie
29 février 2012 à 20:53 (CET)[répondre]

  1. a b et c [vidéo] Johnny Hallyday, paroles : Eric Chemouny — musique : David Hallyday, « Au-delà de nos différences », (consulté le )
Bonjour, Martino75 !
Comment se déroule votre partenariat rédactionnel ?
Avez-vous pu finalement parvenir à un accord qui satisfasse pleinement toutes les parties ?
Le cas échéant, peut-on élaguer le bandeau d’entête ?
Au cas où il subsisterait encore quelques interrogations non résolues, je me permets, à toutes fins utiles, de vous indiquer l’existence d’une nouvelle page d’appel à commentaire — concernant, certes, un tout autre sujet que les articles auxquels vous co-participez — dans laquelle j’essaie de prodiguer quelques conseils et recommandations. Puissent-ils s'avérer profitables à tous en favorisant, conformément à mon pieux souhait, l’éclosion d’une conjonction harmonieuse entre les diverses acceptions en cours !
Je vous invite cordialement à consulter la teneur de ce message : → ici.
Bien à vous et bonne chance !
euphonie
14 mars 2012 à 07:08 (CET)
Bonsoir Euphonie ! Après le "gel" concernant le wiki V. Lecasble, mon contradicteur a relancé un conflit éditorial pour le wiki que j'ai créé sur Albert Ripamonti. Il tente d'exploiter exactement les mêmes méthodes pour pourrir ce wiki en revertant, apposant des "ref" inappropriés, remet en question des sources et références sans étayer ni démontrer autre chose que son point de vue personnel. Il a sollicité le concours d'Euterpia que j'ai aussitôt et volontiers accepté. Mais lorsque j'ai intégré ses propositions, il les a dénoncées ! La mauvaise foi qu'il déploie est manifeste, sans évoquer les multiples contradictions. Ce comportement qui frise la provocation est également "limite" car il emploie des termes que j'estime vexatoires et péjoratifs (insister 5 fois que les données biographiques sourcées sont un "inventaire à la Prévert" sachant que cette formule est totalement non fondée pour les contributions que j'ai apportées). Ce conflit éditorial prend certaines proportions désagréables. Comment en sortir à ce stade ? Bonne soirée. Martino75 (d) 16 mars 2012 à 18:57 (CET)[répondre]
Bonjour Martino75,
Merci pour votre message !
Il me semble comprendre que la situation ne s’est pas encore décantée, voire que l’aboutissement à un accord viable qui soit en mesure de conjuguer les antagonismes ne s’avère pas aussi aisé d’accès que l’on pourrait l’espérer. C’est pourquoi je vous invite à suivre l’exemple de la page de commentaire dont il est implicitement fait mention dans mon message précédent, quitte à en créer une nouvelle mouture, expressément à cette intention. Ainsi, le conglomérat participatif — issu de visions plurielles émanant de plusieurs contributeurs invités à donner leur avis respectifs ainsi que leurs suggestions intermédiaires — permettra peut-être, je l’espère, d’aboutir à une éclaircie salutaire allant au bénéfice de tous les participants impliqués dans cette rédaction commune.
Mes bons vœux vous accompagnent en ce sens !
Bien cordialement à vous !
euphonie
18 mars 2012 à 03:40 (CET)

Miscellaneous[modifier le code]

Négociation[modifier le code]

Bonjour à vous !

Cette situation est typique de contributeurs passionnés, tous de bonne foi, tous également intimement persuadés d’être dans le vrai, voire que seule leur version et perception intime des choses correspondraient à la réalité la plus souverainement objective et factuelle. Ce type d’affrontement récurrent est relativement fréquent dans les articles dont l’un des segments traite électivement d’une délimitation géographique susceptible d’être potentiellement controversée. Je n’ai pas de solution miracle à proposer dans ce cas de figure, si ce n’est d’inviter l’ensemble des rédacteurs à se mettre autour d’une table, à converser en PdD, dans l’optique d’une recherche fondamentale de consensus, tout en sachant que ledit consensus ne peut s’obtenir que si chacun s’attache à être fondamentalement ouvert à la perception intime de l’autre ; en d’autres termes, que s’établisse une réelle « négociation diplomatique » — viable — plutôt qu’un duel interminable, ponctué d’incessants « reverts » en cascade. En effet, le secret d’une négociation réussie, à mon sens, passe par le fait de consentir à procéder à sa propre introspection intérieure, à scruter notre conscience, afin d’y déceler nos inévitables manquements, considérant ainsi la perspective que l’autre partie est implicitement à même d’en combler certains tiroirs, d’en lisser quelques aspérités, d’en sustenter notre vision uniciste des choses — et vice versa — via une forme d’échange interactif ; il convient ainsi, en quelque sorte, de procéder à une forme de « troc amical », par fusion interposée des connaissances propres à chacun. Pour y accéder, il est préalablement primordial d’accepter l’évidence du fait que chacun recèle forcément quelque chose de concrètement favorable et positif à nous apporter. Ainsi, en cherchant à se mettre sciemment à l’écoute d’autrui, on reste étonné de constater l’immensité des trésors qu’il possède ; de plus, celui qu’à priori l’on tendait inconsciemment à considérer à tort comme un « adversaire » peut, en réalité, devenir un « allié » magistral, pour autant que nous lui offrions le privilège d’unir ses trésors intrinsèques aux nôtres, dans un fructueux partage des connaissances compilées et ressentis multiples. Pourquoi se priver d’une telle aubaine ? Bien sûr, cela présuppose que l’on puisse admettre, par la grâce tutélaire d’une forme de « dépassement de soi », que ce que l’on croit de prime abord être infiniment vrai ne l’est pas forcément autant qu’on pourrait le pressentir au demeurant. C’est l’immense avantage d’une œuvre élaborée en commun, où chacun contribue à enrichir l’autre, dans la magie et le souffle vivifiant d’un esprit fraternel, constructeur et pacifique !

C’est ce que je vous souhaite de trouver ensemble.

إن شاء الله

euphonie
12 mars 2012 à 20:10 (CET)[répondre]
mise à jour : 14 mars 2012 à 17:30 (CET)

Identité[modifier le code]

De l’identité structurelle propre à chacune et chacun :

Contrairement aux préhensions lexicales que d’aucuns pourraient insuffler aux extraits auxquels il est fait référence, je ne suis animé d’aucune velléités dilatoires visant à « chercher à impressionner » (?) ou « étaler » (?) quoi que ce soit.
Maintenant, pour ce qui relèverait des « attaques » évoquées, elles me sembleraient d’autant moins admissibles qu’elles enfreindraient une « identité structurelle ». En somme, c’est un peu comme si, à supposer qu’une personne respectable fût d’une couleur de peau spécifique, quoique différente de celle ambiante, l’on s’aventurait à l’enjoindre à enduire son épiderme d’un cataplasme de « fond de teint » sous forme d’opacifiant assorti à la globalité alentours, visant ainsi, par ce subterfuge, à amener ladite personne à se faire « la plus discrète possible », afin de « ne pas risquer de déranger » celles et ceux qui préféreraient l’uniformité. Sorry! I cannot agree with this! Cela me paraîtrait aussi peu concevable que d’imposer à un hippopotame d’endosser un tutu de danseuse classique pour y faire des pointes sur le lac des cygnes comme dans la scène hilarante du dessin animé Fantasia de Walt Disney Émoticône. Certes, que l’on demande à chacun de bien vouloir se laver aux endroits stratégiques de temps à autre pour éviter de répandre d’éventuelles émanations subaxillaires de « beurre rance » ou de smegma post turgescent, ça je veux bien, ce serait légitime, ne serait-ce que par déférence et courtoisie envers celles et ceux qui nous entourent, sachant que faire preuve d’hygiène est une mesure « normative » et « universelle » qui devrait, autant que possible, s’appliquer à tout le monde (dans la mesure où l’accès à l’eau potable serait assuré, bien sûr). Cette tautologie s’appliquerait également pour les cas où, dans certaines circonstances, il serait préférable de pratiquer une adduction ciblée des sphincters, quitte à ne pas « lâcher un prout » putrescent aux effluves de cimetière en plein Ave Maria alors que la cathédrale est bondée… ne serait-ce que pour ménager les délicates narines de nos voisins/nes. Mais pourquoi diantre quelqu’un qui serait doté d’une couleur de peau ou d’une culture différente devrait-il renier ses racines et ce qui le fait, lui, en tant qu’être humain à part entière ? Pourquoi un marseillais qui roucoulerait de son savoureux accent méridional devrait-il se contraindre à « castrer » son expression naturelle pour adopter une phonation du nord en raison de son déménagement chez les Ch’tis, sachant que les deux déclinaisons — chtimis & provençales — sont phonétiquement et euphoniquement tout aussi appréciables et charmantes l’une et l’autre. Par extension, pourquoi quelqu’un qui parlerait & écrirait spontanément et sans faux-semblant dans un français un chouïa « vieille France » devrait-il se contraindre à trahir ce qui fait sa particularité endogène ? Autrement dit : pourquoi devrait-il « étouffer » sa plume et son parler sous une armada de « make up » pour les rendre plus « standard » ? Idem pour un praticien émérite du « slang » à qui il ne viendrait pas à l’idée de demander de converser à la manière de Hyacinth Bucket dans « Keep up appearances ». D’ailleurs, m’a-t-on déjà vu dénigrer qui que ce soit pour son style rédactionnel ? M’a-t-on déjà surpris en train de tenter de déprécier une tierce personne sous le seul couvert du fait que le texte qu’elle écrirait comporterait des approximations orthographiques ou autres borborygmes expressifs ? Jamais ! Et il ne me viendrait jamais à l’esprit de le faire car, ce qui m’importe, c’est essentiellement le contenu, pas le contenant.
Cela étant, je m’empresse de préciser que, jamais je ne prétendrai valoir mieux que quiconque, trop conscient de la véracité de cet axiome de Montaigne : « Sur le plus haut des trônes, on n’est jamais assis que sur son … ». Je m’efforce d’en prendre toujours de la graine. De ce fait, je m’entends particulièrement bien avec celles et ceux qui souscrivent au même type de modus vivendi. Je n’ai jamais considéré les gens pour ce qu’ils affichent, mais pour ce qu’ils sont au plus profond d’eux-mêmes, indépendamment de leurs rangs, cultures, vécus, propensions, patrimoines ou autres fioritures, sachant que seules la beauté et la bonté d’un cœur sont à même de me faire tressaillir. Partant de ce qui précède, il y a longtemps que j’ai fait mienne cette phrase de Ralph Emerson qui en dit long (en substance) : « Tout être, quel qu’il soit, que la vie nous amène à côtoyer, possède obligatoirement un nombre incalculable de qualités qui nous sont infiniment supérieures : on ne peut donc que s’enrichir à leur contact ! ».
Ainsi, comme on peut le constater, je suis rather « anti formatage » et non forcément partisan du « préfabriqué » (sauf circonstances exceptionnelles précises qui le nécessiteraient impérativement).
D’ailleurs, quand j’invite des gens à manger chez moi, je pratique justement le culte du mélange dans lequel je bénis les différences, aussi plurielles et riches de contrastes soient-elles. Ainsi, s’y côtoient indifféremment et à l’envi des personnes issues de toutes les langues, de toutes les couches sociales possibles et imaginables, de tous les milieux, tant de droite que de gauche ou du centre, voire de toutes les ethnies et religions contrastées (athées compris) ; s’y mélangent, en une savoureuse « basconnaise[1] » (liste non exhaustive) : carnivores, végétariens, vegan, linguistes, rappeurs, esthètes, baba cools, intellos, ouvriers, artisans, ascètes, gourmands, gourmets, hédonistes, etc. ; même les « petits hommes verts » y seraient les bienvenus (s’ils existent), pour autant que j’aie de quoi sustenter leurs appétences Émoticône sourire ... à moins qu’ils ne soient « cannibales »... auquel cas nous serions alors confrontés à un sérieux problème Oh !… quoique, au niveau purement sémantique, ce ne serait pas vraiment du cannibalisme, si l’on part du principe que l’espèce serait différente Émoticône. Bref, ces agapes dinatoires se passent toujours magnifiquement bien, à la bonne franquette, s’avérant de surcroît éminemment enrichissantes. Certes, le challenge consiste à concilier les préférences ou exigences roboratives de chacun. Par exemple, je ne vais évidemment pas servir un faux-filet aux morilles à quelqu’un qui, par idéal philosophique, aurait sciemment décidé de renoncer à tout produit carné. Je lui préparerais alors un « steak de tofu » (ou autre succédané) à part, afin qu’il ne soit pas contraint de se contenter du seul gratin dauphinois qui l’accompagne, lui épargnant ainsi l’épreuve de devoir s’astreindre à contempler ses compagnons/gnes de tables qui, eux/elles, se pourlécheraient les babines en humant la sauce d’accompagnement. Partant de ce qui précède, il y a toujours matière à (ré)concilier les impondérables. Il suffit d’y mettre du sien. C’est exactement comme cela que je conçois wp ou, du moins, que je concevrais que cette encyclopédie fût ou devînt. Que chacun y restât exactement ce qu’il est, qu’il ne changeât surtout rien à sa nature profonde … qu’il ne modifiât justement par le fondement radiculaire de ces fameuses... « idiosyncrasies » (sic) Émoticône dont il est l’apanage unique et attitré. Seule requête : accepter fondamentalement l’autre dans son essence propre, dans sa « différence conglomérale » et, oserais-je dire, dans sa « divinité intrinsèque ». Bien entendu, l’élan doit impérativement être réciproque, kif-kif bourricot de chaque côté, en sus de se conformer à certaines règles de savoir-vivre qui font office de dénominateur commun. Par exemple, dans le cadre de cette encyclopédie, wp offre l’opportunité unique de composer une symphonie synergique, dont la thématique musicale se déclinerait en quatre mouvements :

Les quatre préceptes précités me paraissent constituer une « guidance » suffisante pour que l’on n’ait pas à s’encombrer l’esprit d’autres broutilles orbitales. Il suffit simplement de s’efforcer constamment d’en appliquer — autant que possible — les principes fondamentaux à la lettre. Le reste venant en complément (TI, sources, critères d’admissibilité, etc.) et participant, conjointement, à la « direction orchestrale » de l’œuvre interprétée, de telle façon à ce que le rendu de la partition qui en découle en soit un minimum structuré, sans forcément sombrer dans un dodécaphonisme exacerbé.
Même « les compagnons de la chanson[2] » évoquent ce rêve avant-gardiste dans leur refrain :

Si tous les gars du monde
Décidaient d’être copains
Et partageaient un beau matin
Leurs espoirs et leurs chagrins,
Le bonheur serait pour demain.
— Les compagnons de la chanson : Si tous les gars du monde[2]

Partant de ce qui précède, je présume être suffisamment respectueux des différences notables pour solliciter le même traitement en retour. Et, si c’est vraiment trop demander, j’applique alors à la lettre un proverbe hongrois qui invite à « ne pas courir après la diligence qui ne veut pas de nous comme passager, sachant qu’il vaut mieux alors attendre le prochain embarquement ! ».
Que l’on attaque uniquement ce qui peut ou doit être attaqué : l’intolérance, les préjugés arbitraires, le manque d’empathie et d’amour… Punktschluss!
Et, s’il fallait résumer le tout, de façon prosaïque et lapidaire, ce le serait en ces termes :

L’amour avant tout !
Le reste, on s’en fout !

Bien amicalement à toi !
euphonie
Dernière mise à jour : 28 mars 2012 à 22:19 (CEST)[répondre]

  1. Basconnaise : recette végétalienne, inventée au début du XXe siècle par Louis Rimbault, dont le but poursuivi vise à proposer un repas équilibré et aussi complet que possible.
  2. a et b [vidéo] Les compagnons de la chanson, paroles : G. Van Parys — musique : M. Achard, « Si tous les gars du monde », 1957.

Addendum :

Les quatre mouvements de la « symphonie » relèvent d’une allégorie — employant intentionnellement un verbe conjugué au conditionnel (= « qui se déclinerait ») — faisant allusion à plusieurs principes « fondamentaux » d’ordre éthique qui, certes, peuvent également s’appliquer à quelques-uns des « principes fondateurs » ; néanmoins, ils visent plus électivement l’interaction comportementale et conviviale, soit : le ferment émulateur. Par extension, les « broutilles orbitales » accessoirement éludées ne constituent qu’une « parenthèse » adjacente, car indépendante du contenu relevant d’une autre phrase, séparée — puisque ponctuée par un point « . » —, dont les précisions qui en résultent sont implicitement consignées après-coup ; c’est elles seules qui ont trait aux principes « rédactionnels » ; il va ainsi de soi que ceux-ci nécessitent un fourrage d’appoint substantiel. Pour mémoire, voici à nouveau le passage concerné (je cite) : « [...] venant en compléments : TI, sources, critères d’admissibilité, etc., tous participant, conjointement, à la « direction orchestrale » de l’œuvre interprétée, de telle façon à ce que le rendu de la partition qui en découle en soit un minimum structuré, sans forcément sombrer dans un dodécaphonisme exacerbé ». S’il est bien une chose que j’ai lue, relue et scrutée de fond en comble, c’est le règlement, sous toutes ses coutures, ses déclinaisons plurielles et ses horizons panoramiques. Mieux encore : j’y adhère in extenso. Seul regret : quelques-unes des louables facettes qu’il comporte n’en sont hélas pas toujours appliquées avec autant de majesté apostolique que l’on pourrait légitimement l’espérer, à supputer que l’on en « translittérât » aussi fidèlement que possible le substrat diacritique.
Par ailleurs, à titre personnel, je ne puis que mettre l’accent sur la qualité des relations humaines. En effet, par expérience (ayant connu les côtés piles et/ou faces), je sais combien on accomplit du bien meilleur travail d’équipe lorsque l’ambiance y est conviviale, valorisante et valorisée. Même un récent plaidoyer des hautes sphères de wp nous y invite cordialement ici : → [12]. En outre, la préhension du « bien-être » (sic) — par rapport à la qualité de productivité et de fructification encyclopédique — ne relève pas forcément d’un concept aussi « dissociatif » que cela ; à vrai dire, tout dépend de ce que l’on entend justement par « bien-être », sachant que ce terme comporte maintes facettes et acceptions, allant de la plus noble à la plus discutable, de la plus altruiste à la plus vénale, de la plus désintéressée à la plus égotiste, de la plus « pragmatique » (tiens, on y revient) à la plus illusoire, de la plus constructive à la plus inutile, de la plus adéquate à la plus irrelevant, etc. En ce sens, une Rolls-Royce, fût-elle savamment polie et rutilante de tous ses feux, n’ira pas bien loin si l’on n’y ajoute pas une essence de qualité ainsi que de l’huile ad hoc dans les rouages, quand bien même l’on y placerait Alain Prost au volant. En outre, à quoi cela servirait-il de planter les graines du savoir (= les contributions sous wp) dans un terreau prometteur aussi fertile que plantureux (wp) si les fruits prospères qui en résultent (apport encyclopédique) doivent ponctuellement être « arrosés » de « pluies acides » (= attaques personnelles, dénigrement, etc.), voire déchus de leur sève limbique (nihilisme) ?
Quant aux diverses « écoles anamnestiques », la plupart d’entre elles ne cessent de se contredire mutuellement pour affirmer alternativement à la fois tout et le contraire de leurs voisines ! Il en va de même pour moult approches « naturopathiques » agonistes et antagonistes. Pareil pour d’innombrables régimes nutritionnels divergents prétendument « idéalement adaptés à l’humain » (sic) qui, si l’on tentait allégrement de les unifier en un point vernal, nous condamneraient presque inéluctablement à nous repaître uniquement de salsifis et de scorsonères... et encore... Telles sont les raisons qui m’incitent à « relativiser » la plupart des « courants de pensée » existants, aussi prestigieux et passionnants fussent-ils, eu égard à ma propension indivisiblement « pragmatique » (tiens, on y revient encore) et encline au « décryptage zététique » dont Henri Broch se fait le porte-parole en écrivant : « Tout droit au rêve a pour pendant le devoir de vigilance ». Last but not least: certains événements majeurs de l’existence tendent parfois à modifier suffisamment le cours et la perception des choses pour que feu ce que l’on pouvait être ou avait pu être jadis soit progressivement supplanté par une vision expurgée devant laquelle l’ancienne « nature profonde » tend à s’estomper progressivement au profit d’une sorte de renouveau bien concret, tangible et palpable... dont l’aboutissement implicite ne résulterait donc pas forcément toujours du seul fruit afférent à une hypothétique adaptation sociale.
Pour ce qui est de « mettre de l’eau dans son vin » (sic), je ne pourrais jamais agréer ce qui se départirait — intentionnellement et/ou consciemment — de la déférence envers autrui, de la même façon que je ne pourrais non plus cautionner que l’on portât sciemment atteinte à l’identité structurelle d’un tiers ; de ce côté-là, je suis d’autant plus inflexible que certaines valeurs plénières me tiennent à cœur (pour maintes raisons éthiques, philosophiques et déontologiques qu’il serait fastidieux d’exposer ici), quand bien même je n’ai ni le pouvoir ni même l’intention d’empêcher qui que ce soit d’agir comme bon lui semble, fût-ce de façon bienveillante, médiane, délétère ou autre, chacun étant libre de conduire sa vie comme il l’entend, en stricte conformité avec les impératifs édictés par sa propre conscience, laquelle conscience, soit dit en passant, s’avère de loin notre plus sévère juge, du moins, pour autant que l’on ne reste pas ostensiblement sourd à ses adjurations.
En revanche, si le hic est d’ordre purement « linguistique », je ne vois pas d’inconvénient à proposer une version « bilingue » de certaines interventions en PdD (et uniquement en PdD, of course, pas dans les articles) ; le premier jet serait détaillé, traditionnellement fidèle à l’expressivité originelle, tandis que la mouture suivante, passablement élaguée, s’en trouverait drastiquement simplifiée, quitte à en être ramenée au strict minimum. Ainsi, celles et ceux qui préféreraient éviter d’avoir à se farcir une « épître » qu’ils pourraient considérer à priori comme « indigeste » Euh ?, seraient expressément invités à « abréger leurs souffrances » Émoticône en passant tout simplement outre sur l’exposé initial rédigé, lui, en polices de taille standard, quitte dès lors à se rabattre sur le seul synopsis condensé (= deuxième version, abrégée) figurant après-coup et consigné en petits caractères. Bien entendu, d’autres options restent ouvertes, attendu que, nonobstant mes nombreux défauts (eh oui, s’il est bien une chose dont je suis conscient, c’est de mon imperfection), il est en revanche une caractéristique prépondérante que mes proches me reconnaissent, c’est d’être conciliant et de justement savoir « couper la poire en deux », pour autant que l’occurrence permette de le suggérer. Seule restriction : que la concession sollicitée ne s’attaque pas à un « mur porteur » (cf. préceptes éthiques précités) ! Hormis cette réserve prédique, diverses options alternatives demeurent envisageables.
Amicalement !
euphonie
Dernière mise à jour : 28 mars 2012 à 22:19 (CEST)[répondre]

Interlude[modifier le code]

T'en vas pas ou on te casse les genoux ! Émoticône sourire Non, très franchement, je serais navré (dans le seul et vrai sens du terme) de te voir partir pour quelques remises en cause tout à fait discutables. Personnellement ça ne me gênerait nullement que tu ne changes pas d'un iota. Les autres, bah, il y en aura toujours quelques-uns pour avoir l'esprit chagrin et voir de mauvaises intentions partout ; on ne pourra pas les changer, et ce n'est pas en partant qu'on va les aider à comprendre. Alors hop, on se ressaisit et on nous refait de belles tartines littéraires au doux parfum d'antan sinon ça va gâcher mon petit déjeuner. Et les jours où je prends mon petit déjeuner à midi, je suis particulièrement susceptible... Avec toute mon amitié, Alchemica (d) 16 mars 2012 à 12:44 (CET)[répondre]

Complètement d'accord avec Alchemica. Et puis, si tu pars, je vais croire que c'est à cause de ma fidélité Émoticône... Écris donc comme tu le sens, quitte à formuler ensuite différemment si vraiment tu constates que ton interlocuteur n'a pas compris. Mais d'emblée, ce ne peut que lui être profitable de faire l'effort d'essayer (s'il le souhaite) : c'est un avantage de ne pas se limiter à ce qu'on appréhende facilement, c'est ainsi qu'on s'améliore. La démarche suivie pour parvenir à un but particulier est plus importante que le fait d'atteindre ce but, car elle est reproductible pour n'importe quel objectif. Bises et bon break...fast. Émoticône sourire Musicaline [Wi ?] 17 mars 2012 à 10:21 (CET)[répondre]
Bonjour, Euphonie (d · c · b) ! Il ne me viendrait pas à l'idée qu'il soit écrit pour « faire rire » ou « étaler sa science », ce phrasé caractéristique si agréable — que d'efforts seraient ainsi fournis, chaque fois, s'il ne s'agissait pas d'un style naturel. Reste… à nul autre pareil. Bien cordialement, Asram (d) 17 mars 2012 à 14:55 (CET)[répondre]
Bien cher Alchemica,
Qu’il est plaisant que de pouvoir converser avec un être à ton image !
Notre sensibilité anglo-saxonne doit vraisemblablement y être pour quelque chose, given that, as far as I know, you’re utterly bilingual, nay trilingual, if I am not mistaken, should we include the Italian language within your idiomatic biotope. Ce que tu écris, dans ton si sympathique message, touchant et imprégné d’un subtil humour, me paraît refléter l’expression tangible des vœux formulés dans le message ci-dessus. Assurément, nous venons de la même planète intersidérale : nous vibrons au même diapason.
Ton exquise affabilité et ta gentillesse compteraient parmi les raisons primordiales qui auraient pu m’inciter à rester, à l’instar de nombreux contributeurs/trices et administateurs/trices que j’admire, auxquels/les je me suis attaché, envers lesquels/les je me suis même parfois pris d'affection. Ce faisant, je reste toujours fondamentalement imprégné de l’idéal wikipédien, tel qu’il est consigné par écrit dans les principes fondateurs. Je constate juste que la mise en application pratique desdits principes semble un peu plus délicate et complexe à mettre en œuvre qu’initialement escomptée.
Un contributeur conclut amicalement son message en me décrivant comme étant, sur le fond, quelqu’un de « bienveillant et pacifique ». Sa perception intuitive m’a ciblé en plein dans le mille, car elle y exprime ce à quoi je suis le plus attaché et que je souhaite continuer à pouvoir cultiver dans l’écrin d’un jardin fleuri… sans que les diverses éclosions qui en parent la texture ne puissent pour autant se faner prématurément, faute d’être suffisamment hydratée par la rosée des matins déposant ses baisers humides sur le réceptacle grand ouvert de leur calice reconnaissant.
À mon avis, dans un travail collaboratif, le plus important me semblerait devoir consister à tout faire pour entretenir la motivation indéfectible de celles et ceux qui nous entourent, partant du principe qu’un travail s’avère nettement plus fructueux et serein lorsqu’il est valorisé. Pour ce qui me concerne, je n’ai aucune peine à valoriser autrui, car je suis quelqu’un qui tend toujours à admirer les autres et à m’émerveiller de ce qu’ils sont, parce que je trouve que chacun possède inéluctablement quelque chose d’admirable. Je n’y peux rien, c'est comme ça, c’est dans ma nature, c’est dans mes « gènes ». Partant de ce qui précède, wp aura constitué une excellente école de la vie complémentaire qui m’aura confronté aux méandres de mon ingénuité primesautière, tout en me permettant de me familiariser avec les diverses composantes de la nature humaine, des plus harmonieuses et vivifiantes aux plus corsées. J’en suis reconnaissant à ce titre, pour y avoir consacré à ce jour une partie de mon temps libre depuis près d’une dizaine d’années. Néanmoins, toutes les bonnes choses ont forcément une fin… et il vaut mieux se retirer à temps, quand tous les souvenirs heureux sont encore inaltérés, quand la motivation est encore suffisamment intacte… « pour ne pas brûler ses ailes », comme le dit avec tendresse un administrateur qui se reconnaîtra et dont j’apprécie à la fois la poésie et ce qu’il est, tout comme je t’apprécie toi.
Nous avons eu le privilège de nous croiser. J’ai eu plaisir à lire plusieurs de tes contributions et commentaires dont la teneur s’inscrira au firmament d’un parcours enrichissant que je conserve en moi comme un cadeau de la vie.
Avec mon affectueux souvenir !
Auguri!
euphonie
18 mars 2012 à 04:35 (CET) — mise à jour : 20 mars 2012 à 15:15 (CET)
Délicieuse Musicaline,
Qu’il est doux d’abreuver son âme à ton nectar suave !
La fidélité sacerdotale dont tu invoques la vertu plénière est une valeur souveraine que je vénère d’autant plus qu’elle constitue le ferment quintessencié de la motivation originelle ayant présidé à l’ébauche de ma première traduction et adaptation française de l’article wp anglais consacré à Ida Straus. De plus, le parcours conclusif — authentique — de cette gente dame s’insère au moment qui m’a le plus remué dans le film Titanic. J’y ai même laissé plusieurs boîtes de Sopalin pour tenter d’éponger tant bien que mal de tels épanchements ophtalmo-aquatiques que leur déshydratation et mise subséquente en capsules eussent ma foi permis de constituer des provisions de sel minéraux pour l’hiver en cas de pénurie Émoticône.
J’inscris également ton éloquente citation dans mon recueil, soit (je te cite) : « La démarche suivie pour parvenir à un but particulier est plus importante que le fait d’atteindre ce but, car elle est reproductible pour n’importe quel objectif. » On ne saurait mieux dire. Chapeau ! Une fois de plus, tu m’impressionnes. Cette allégorie m’évoque irrésistiblement deux constats d’Oscar Wilde : 1. « Quand Dieu veut nous punir, il exhausse nos prières. » 2. « Il y a deux tragédies dans la vie : l’une est de ne pas satisfaire son désir et l’autre de le satisfaire. » Inversement, l’existentialiste Jean-Paul Sartre, plus pragmatique, y rétorque : « Quand Dieu se tait, on peut lui fait dire ce qu’on veut » … sacré Jean-Paul, on ne le refait pas ! Émoticône. Il est vrai que « rêver » et « croire en un rêve » constitue la principale nourriture de l’âme, ainsi que l’écrit Jacques Brel dans « La quête » : « Rêver un impossible rêve, porter le chagrin des départs, brûler d’une possible fièvre, partir où personne ne part … ». Je te propose d’en écouter ici deux versions interprétées par la voix phénoménale de la chanteuse canadienne Ginette Reno (je la surnomme « mon Édith Piaf québécoise »). 1. La première version, que j’affectionne particulièrement, en raison du texte parlé du début, récité avec son merveilleux accent qui en rend le contenu encore plus poignant : [13] (il faudra néanmoins te « farcir » le spot publicitaire préalable). 2. Autre version, en images, mais sans le texte parlé initial : [14]. 3. Version originale interprétée par Jacques Brel et accompagnée des « lyrics », eux-mêmes inscrits dans la légende détaillée figurant sous la vidéo : [15].
Much love to you! (en espérant que ta douce moitié n’aura pas envie de me fracasser pour autant Émoticône, sachant que je rédige ces paroles essentiellement au sens noblement spirituel et éthéré du terme… enfin… (presque) essentiellement ! Émoticône
Tendrement ! Émoticône
euphonie
18 mars 2012 à 04:35 (CET)
Hi, dearest Asram!
Quel émouvant hommage que le tien ! Tu as tout compris. Mieux encore : en quelques mots, tu as réussi à résumer la quintessence d’un autre message rédigé à l’aimable attention d’un contributeur. Tout comme Musicaline, dotée d’une prescience inouïe, tu es également naturellement détenteur de cette faculté intuitive innée permettant de percevoir la réalité ésotérique au-delà du rideau des apparences liminaires. Cela correspond en tout point au message de Saint-Exupéry : « On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux ! ». Grâce te soit rendue à cet égard !
Amitiés transocéaniques !
euphonie
Dernière mise à jour : 18 mars 2012 à 04:35 (CET)
Ah, ce Dieu, quel Homme ! N'aie crainte, tu ne risques rien de la part de l'élu de mon cœur, il est aussi spirituel que toi Émoticône sourire. Merci pour La quête, c'est la première version que je préfère moi aussi (pas de publicité chez moi, tralalère), l'intro parlée y est en effet pour beaucoup, sachant par contre que la version de Brel ne m'est pas accessible pour cause de droits d'auteur...
Émoticône ! Musicaline [Wi ?] 19 mars 2012 à 21:25 (CET) -- PS : J'aime beaucoup ta citation de Ralph Emerson.[répondre]
Bonjour, Euphonie (d · c · b). Je ne pense pas à être le seul à avoir tout compris Émoticône. Que le comité d'arbitrage t'ait sollicité pour le rôle ingrat de parrain, avec le commentaire « présente toutes les qualités requises », témoigne d'ailleurs que ton style ne saurait en quoi que ce soit être un obstacle à la qualité de tes contributions. Sans tomber dans un contresens possible sur la phrase « le style, c'est l'homme », ce style est une part de la personnalité, et qu'on remette en cause l'un, quand il n'exprime de surcroît que des intonations positives et harmonieuses, me fait craindre qu'on attaque l'autre. En ce sens, l'expression de mon amicale solidarité me paraissait dans l'absolu souhaitable, sans chercher à entrer dans le débat qui a amené cette discussion. Cordialement, Asram (d) 20 mars 2012 à 13:54 (CET)[répondre]
Bonjour à toi Musicaline, ô muse inspirée !
Merci pour ton touchant message allié à la communication de tes impressions dont je partage in extenso la teneur perceptive ! D’autant que, subjugué par ton talent médiumnique translittérant la réalité intangible subordonnée à la quintessence initiatique du verbe, je tendrais à subodorer que nos pensées et déductions se circonscrivent en un horizon convergent.
Veuille croire, chère Musicaline, en l’expression de mes sentiments affectueux !
Amitiés à ta douce moitié !
Amour Love! Émoticône
euphonie
22 mars 2012 à 21:20 (CET)
28 mars 2012 à 22:19 (CEST)
Bonjour, Asram !
Le contenu de ton message me parle d’autant plus qu’il me rappelle une longue tirade issue d’un ouvrage de Scott Peck dont la teneur m’a profondément et à jamais marqué. C’est bien volontiers que je t’en enverrai un jour l’extrait concerné, si cette perspective t’agrée. La valeur philosophique et spirituelle de ce que tu écris m’amène à te confirmer, une fois encore, l’appréciation élogieuse que j’avais formulée à ton adresse lors de nos premiers échanges online.
Avec mes meilleurs messages !
Bien cordialement !
euphonie
22 mars 2012 à 21:20 (CET)

Merci …[modifier le code]

d’être comme tu es !
Les critiques que tu subis actuellement, je les vis dans ma chair, et le « foutage de gueule » ne me paraît témoigner que de cette pseudo-grandeur là, celle de la gueule, qui, une fois la bouche béante, exhale le grand vide des arguments. Je suis donc naïf, mais je te félicite de ne pas avoir protesté pour ce qui constitue, selon moi, une attaque personnelle. Nul besoin de préciser que cela n'est pas une incitation à formaliser une récrimination officielle, mais la marque d'un respect, ta modération restant exemplaire — il est juste regrettable que d'autres l'ayant compris se sentent la courroie libre espérant te trouver bridé et abattu. Je redis, puisqu’il faut savoir lire pour contribuer, que ton style n’a pas déplu en requête d'arbitrage pour que tu sois sollicité, et que je reste attaché à ce qui constitue verticalement ta colonne vertébrale.

Récompense Merci pour ton travail dans son ensemble ! Wikipédia progresse grâce à des gens comme toi !

Cordialement,

Bien amicalement, Asram (d) 25 mars 2012 à 04:32 (CEST)[répondre]

PS : Il va sans dire (mais je dormirai mieux en l'écrivant) qu’évidemment chacun fait des efforts pour écrire sur Wikipédia, puisqu'il existe une tonalité d’ensemble. L'effort consiste à se conformer à ce ton commun, quand on participe, et nullement à s’exprimer dans la vie courante, ou donc sur les pages hors encyclopédie de WP, selon une paresse intellectuelle dominante. Nulle contradiction. Avec à nouveau mes meilleurs sentiments, Asram (d) 25 mars 2012 à 04:52 (CEST)[répondre]