Discussion Wikipédia:Cotation des objets de collection

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Exemples de test d'utilisation des indices[modifier le code]

Pour permettre des avis sur des pages réelles, voici quelques exemples d'emploi :

  • Avec des listes plus limitées comme dans (Histoire philatélique et postale de l'Alsace ou Histoire philatélique et postale de la Lorraine), il m'a semblé pertinent d'utiliser un indice logarithmique. Par exemple, en Alsace, paragraphe « département du Haut-Rhin, gros chiffres du Territoire de Belfort », la mention de la cotation logarithmique donne une réelle information « Le traitement des petits chiffres des gros chiffres a été très variable suivant les bureaux ».
  • Enfin, on trouvera un exemple des intervalles de valeur dans le page Timbres de France 1876 sur le 1c vert émis en Novembre.

Vos avis sont particulièrement bienvenus!!! Ducloy (d) 22 avril 2008 à 19:39 (CEST)[répondre]

Un avis qui n'engage que moi :
mettre un prix, c'est très évolutif : il y a des modes en philatélie comme ailleur !
par contre, une chose ne change pas : c'est la rareté relative d'un timbre ou d'un objet philatélique (ou numismatique), donc la difficulté à trouver l'objet.
exemple : un 20c bleu Napoleon est un timbre fréquent, même en catégorie luxe (grandes marges) par contre un 1F carmin Napoléon est un timbre difficile à trouver, hors des ventes des professionnels.
l'un est rare, l'autre est très fréquent.
Donc voir si on ne peux pas plutot faire une échelle de rareté : du genre (pas d'idée figée sur le nombre et la typologie des catégories, ni la codification) :
  • Abondant/usuel : A
  • Fréquent : AA
  • peu fréquent : B
  • rare : R
  • très rare : RR
  • exceptionnel (quelques exemplaires connus) : RRR
  • pièce unique : U
En plus ce type d'échelle est tranposable quelque soit la monnaie utilisée.
Pour moi le « peu fréquent » ou « rare » débute lorsque la demande est supérieure au nombre de pièces connues (donc pas un objet par collectionneur demandeur !), que l'on doit chercher plusieurs années avant de trouver (à un prix acceptable !) le timbre ou la pièce recherchée, et que le prix commence à se discuter réellement. Avant c'est un rapport entre le prix d'achat et les frais de stockage des marchands de timbres (amortissement, salaire, frais de boutique, etc ...) ...
Bon cela n'engage que moi ! cfe n'est qu'une opinion, rien qu'une opinion ! :VT78 (d) 27 mai 2008 à 22:13 (CEST)[répondre]
Sur le fond, je suis assez d'accord et j'avais cherché à mettre des indices de rareté.
Mais dans la pratique, seuls les spécialistes pointus me semblent capables de donner une estimation de rareté. Autrement dit pour donner un indice, le "philatéliste moyen" (que je suis...) va dans un catalogue chercher la cote pour avoir une idée de l'indice de rareté... Il m'a semblé préférable d'être transparent...
Autre difficulté. Pour les timbres neufs et les pièces modernes, il est assez facile de définir un indice de rareté. Pour les lettres, c'est une autre paire de manches. Par exemple une lettre de 1865 expédiée d'un village donné vers un village d'Australie est souvent une pièce unique mais dont la valeur n'est pas comparable avec de vraies pièces rares...
Je suis d'accord sur la remarque concernant les effets de modes, mais ils méritent probablement une explication encyclopédique... Ducloy (d) 29 mai 2008 à 23:11 (CEST)[répondre]