Discussion:Trouble des conduites alimentaires

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L’anorexie

L’anorexie est un dégoût ou refus de nourriture. Il est dû, certaine fois, à une maladie organiques et psychiatriques. L’anorexie est un des symptômes principaux du syndrome dépressif. Il conduit donc, à une malnutrition. Il a des effets sur notre santé.

Différentes sortes d’anorexie :

a) L’anorexie chez le nourrisson : L’anorexie chez le nourrisson est très rare, elle est due a, une hémorragie cérébrale, à une anoxie chez le nourrisson, … (plusieurs autres solutions). Elle peut être due aussi à une pression alimentaire exercée pas les parents sur l’enfant. Le bébé refuse donc de boire au sein ou à la tétine. La cause de l’anorexie chez le nourrisson est du a une carence affective de l’enfant qui a de mauvais relation avec a mère. C’est pour cette raison qu’il refuse de boire à son sein. Il est possible que l’anorexie est due juste a de gros problèmes de digestions, d’une intolérance au gluten, … L’anorexie du nourrisson s’installe en général entre le quatrième est le sixième mois. On l’appelle anorexie de sevrage ou l’anorexie d’opposition. Quelques symptômes : • Le nourrisson ne finit pas ses biberons entièrement. • Il repousse la tétine du biberon avec sa langue ou bien tourne la tête quand on la lui présente. • Il recrache ce qu'on lui met dans la bouche. • Il est pris de nausées ou de vomissements. Quelques solutions : • Consulter le médecin si l’enfant a perdu l'appétit depuis plus d'une semaine, afin d'en déterminer la cause. • Bien surveiller la courbe de poids de l’enfant concerné. • Veiller à maintenir l’enfant sur les 24 heures une certaine quantité d'eau sucrée, à défaut de pouvoir lui faire prendre son lait. • Ne pas s'angoisser dès qu'arrive l'heure des repas. • Donner à l'enfant les aliments qu'il préfère, mais ne pas le forcer à manger. • Ne pas imposer à l’enfant d'horaires stricts. • Lui servir de petites quantités d'aliments pour ne pas le décourager, quitte à le resservir ensuite.

b) L’anorexie mentale : L’anorexie mentale atteint principalement des jeunes adolescents ; le plus souvent, des jeunes filles entre 15 et 20 ans. Ce type d’anorexie est dû surtout à des problèmes relationnels et des dépressions. Quelques symptômes :

• Les règles mensuelles vont disparaîtrent (souvent masqué par l prise de la pilule). • Le manque de vitamine qui va occasionner la perte de cheveux, le déchaussement des dents, une mauvaise circulation sanguine. • Amaigrissement important.

On distingue deux types d’anorexie mentale :

• L’anorexie restrictive : la personne concernée mange très, très peu. • L’anorexie – boulimie : La personne concernée mange très peu et a parfois des crises de boulimie avec quelques vomissements.

Dans la plus part des cas, l’anorexie est accompagnée de la maladie appelée : la boulimie (comportement de prise de nourriture) Ceci est dû a la privation de nourriture pendant une longue période. Ceci provoque donc des envies incontrôlables de quantité trop importante de nourriture. La personne concernée, pour ne pas grossir, va se faire vomir et vas prendre des médicaments ; afin d’évacuer la nourriture.

Les jeunes filles souffrant d’anorexie mentale, on souvent un problème de confiance en soi. C'est-à-dire que :

• L'image médiatique de la femme mince parfaite, résistante aux tentations d'un monde d'abondance, y est sans doute pour beaucoup. La jeune fille veut donc maigrir beaucoup pour pouvoir devenir mince et parfaite comme un mannequin. Prendre un repas, chez une anorexique déclanche l’angoisse de grossir, et surtout de ne pas pouvoir s’arrêter de manger.

Dans 1 cas sur 4 il existe aussi une potomanie (besoin de boire permanent) qui conduit souvent à une intoxication par l'eau (entraîne des troubles de la conscience pouvant aller jusqu'au coma).

Quels sont les traitements de l’anorexie ?

Une aide extérieure est souvent nécessaire. La principale difficulté est alors le refus du traitement. Certaines adolescentes anorexiques ne se considèrent pas comme malades et rejettent les consultations spécialisées d’un médecin ou le suivi en institution. Ce refus d’être soignée pose un gros problème ; l’anorexie doit être traitée le plus tôt possible. Plus le trouble alimentaire s’installe, plus les comportements alimentaires mauvais se renforcent et plus l’adolescente aura du mal à s’en sortir. Le traitement consiste à une psychothérapie qui va permettre d’engager une conversation avec l’adolescente. Un médecin généraliste assura alors, en parallèle, le suivi du poids et de l’état de santé de sa patiente. Dans les cas graves, une hospitalisation est généralement nécessaire. Cette coupure avec le milieu familial est parfois bénéfique : elle permet à la jeune fille de nouer des relations autre que familial et d’avoir la sensation d’exister par elle-même. Les parents peuvent également être pris en charge dans une psychothérapie, afin de comprendre les problèmes de leur fille et éventuellement de reconstituer ou de rétablir le couple. Malheureusement, les différents traitements contre l’anorexie ont une efficacité limitée : dans un tiers des cas, les adolescentes retrouvent une vie normale. Pour un autre tiers, la guérison reste « incomplète », avec la persistance d’un poids faible, des troubles psychologiques et des risques de rechute. Pour le dernier tiers, le problème d’anorexie persiste et nécessite des soins continuels.


Le pronostic :

30-50% de guérison sans séquelles 10-20% restent maigres et socialement fragiles 10-15% ne guérissent pas 5% ont une anorexie - boulimie 10% décèdent


L'anorexie en chiffres - Les femmes représentent plus de 90% des personnes anorexiques. - 2% des femmes sont anorexiques. - Les cas d'anorexie se sont multipliés par 4, en commencent à 1 pour 1000 jusqu'à 4 pour 1000 depuis 20 ans. - Après 10 ans d'évolution, 5% à 15% des malades mourrait, 20% après 20 ans. - Si il y a quelqu'un dans la famille qui souffre d'anorexie, le risque d'avoir une anorexie mentale ou classique est 5 fois plus élevé.