Discussion:Transformations de Paris sous le Second Empire

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Autres discussions [liste]

Mise en page problématique[modifier le code]

La mise en page de Thbz ne me convient pas vraiment. Elle a pour conséquence de créer des espaces vides importants (notamment celle placée à droite du paragraphe Le déroulement des opérations) et de ne plus aligner certains titres (ex. Voir aussi).--Reelax 3 mars 2006 à 18:56 (CET)[répondre]

Oui, j'ai voulu expérimenter pour rompre la monotonie des images toutes alignées à droite. Le résultat n'est pas fameux, en particulier parce que le texte est divisé en sections courtes. Je remets certaines images à droite et j'enlève certains "clear:both". Libre à ceux qui veulent d'essayer autre chose... — Thbz (@) 4 mars 2006 à 00:54 (CET)[répondre]

Liens vers livres[modifier le code]

Il n'y a pas de livres de Hausseman tombés dans le domaine publique sur wikilivre ?

Les écrits de Haussmann sont dans le domaine public depuis longtemps. On ne risque toutefois pas de les trouver dans Wikibooks car le bon préfet est mort bien avant la création du site Web (Wikibooks n'accueille que du contenu original). On pourrait mettre ses mémoires sur Wikisource mais il semble que personne ne l'ait fait. On peut toujours trouver le texte de ses mémoires sur Gallica (lien en bas de l'article), mais il n'y a malheureusement que le premier volume qui est le moins intéressant... — Thbz (@) 13 mai 2006 à 10:13 (CEST)[répondre]


Hagiographie à modérer[modifier le code]

Un article dithyrambique qui peut être modéré par les avis suivants:


Le plan de la commission Siméon est accablant pour Haussmann : on voit que celui-ci y a puisé toutes les bonnes idées qu'on lui a jusqu'ici attribuées, tandis que celles qu'il y a ajoutées sont les plus néfastes. Le plan Siméon ne prévoit pas la destruction de l'ile de la Cité, ne lotit pas le parc Monceau, n'ampute pas le Luxembourg

On en ressort peu édifié sur l'homme qui rasa Paris avec contentement, sur le nervi du régime impérial, sur le politicien ahuri des derniers jours. Nicolas Chaudun dresse un portrait sans complaisance, donnant quelques pages acides sur les conceptions artistiques du préfet, qui rappelle la médiocrite intellectuelle du personnage et son absence totale de sensibilité. Enfin, avec bon sens,l'auteur vient rappeler combien 1'urbanisme haussmannien, loin d'une quelconque originalité, puise aux sources des Lumières en stéréotypant jusqu'à l'absurde des formules depuis longtemps mises au point. Francois Loyer rappelait récemment à propos d'Haussmann : " Son histoire n'aura pas été celle d'un urbaniste, encore moins d'un artiste, mais d'un technocrate au service du Pouvoir. "

sources :

Nicolas Chaudun : Haussmann au crible (éd. des Syrtes)
Alexandre Gady : Haussmann tel qu'en lui-même : Le Figaro Littéraire 23 nov 2000


Il ne faudrait pas oublier l'oeuvre de Jacques-Séraphin LANQUETIN :

Un urbaniste, LAVEDAN, a écrit "qu'une bonne part, peut-être la meilleure, de l'oeuvre d'Haussmann, était la réalisation des idées formulées par tout un ensemble de recherches urbaines et sociale sous la Monarchie de Juillet". LANQUETIN, a-t-il précisé, "en fut l'inspirateur, l'homme qui donna la chiquenaude par quoi tout fut mis en branle". Et, toujours d'après LAVEDAN, "on ne peut comprendre l'oeuvre d'Haussmann si on ignore celle de LANQUETIN et les idées qu'il a suscitées".

Source : Denise DELSAUX, in "L'abeille comtoise", bulletin bonapartiste de Franche Comté (sept1999)

Haussmann n'a bien sûr pas tout inventé. Seules certaines voies lui sont dues en propre. L'article prend soin de noter le rôle d'autres acteurs, à commencer par Napoléon. Pour ce qui est des plans antérieurs, c'est une chose de tracer des lignes sur un bout de papier, c'en est une autre de mener à bien pendant près de vingt années des réformes qui provoquent un tel bouleversement dans la vie de la capitale et dans son administration. D'autant que les transformations sont aussi fondamentales dans les réseaux souterrains que dans le tracé des voies elles-mêmes. On peut rajouter quelques informations sur les sources et sur les critiques si on donne les sources, mais attention à ne pas transformer un article dont la vocation est descriptive en une simple polémique pour ou contre Haussmann, qui serait bien stérile aujourd'hui. (Citer François Loyer est un peu paradoxal, car c'est l'un de ceux qui, avec l'APUR, a contribué à réhabiliter l'oeuvre haussmannienne par rapport à ce qui s'est fait dans les années 50-60...) — Thbz (@) 6 juillet 2006 à 15:41 (CEST)[répondre]

Je me permets d'appuyer : L'article n'accorde presque aucune place à la critique, à part le changement supposé de population. Sur le fond, le poème de Baudelaire intitulé Le Cygne suffirait à montrer que ça n'allait pas de soi :

"Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville Change plus vite, hélas ! que le coeur d'un mortel) ;"

Je trouve gravissime l'omission de ces lignes, qui rappelle Orwell, et la fin en forme de plébiscite n'en est que plus insupportable, à supposer que les gens sont à même de comparer le Paris actuel à celui qui a été détruit, qu'ils n'ont donc pas connu.

Il n'y a pas de progrès, mais évolution. La démographie change ce qui a rendu Paris inadapté, c'est tout. Et aujourd'hui, Paris est inadapté à l'écologie et si on l'avait laissé tel quel par exemple, on n'aurait pas besoin d'en chasser les voitures !

Tout changement s'accompagne d'une perte, celle de l'état antécédent qui n'était pas inférieur et avait sa pertinence, en son temps. Ces notions minimales de prudence méthodologique et historique, sont absentes de cet article.

100 000 habitants ?[modifier le code]

100 000 habitants au kilomètre carré ? j'ai un doute !

C'est probablement moi qui ai mis cette information. J'avoue que j'ai oublié dans quel livre je l'ai trouvée. 100 000 hab/km2, ça fait 10 m2 par personne. Il faut soustraire les espaces publics, mais aussi multiplier par le nombre d'étages des immeubles. Bref, cela me semble possible dans des vieux quartiers ayant conservé un tissu urbain médiéval (rues très étroites, absence d'espaces verts, cours réduites au minimum par le remplissage progressif des parcelles). Contrairement à une idée reçue, les grands ensembles modernes avec barres et tours sont souvent moins denses que les quartiers anciens.
Et même de nos jours : « Certains quartiers des arrondissements populaires du XIe (à l’est) et du XVIIIe (au nord) avoisinent les 100 000 habitants au kilomètre carré. » [1]. — Thbz (@) 13 août 2006 à 17:56 (CEST)[répondre]

Aspect financiers / Expropriations[modifier le code]

Les expropriés ont-ils été indemnisés pour la valeur reelle des biens saisis, selon le prix du marché ? Si oui on comprend que ca ait couté cher, si non au contraire la renovation de paris aurait du s'auto-financer ? Et puis comment peut-on detruire 20 000 maison et en reconstruire 40 000, le tout sur moins d'espace ? Plus de hauteur ?

Proche banlieue[modifier le code]

Pourquoi avoir cantonné l'article à Paris intramuros ? Il m'aurait pourtant semblé pertinent de l'élargir à la proche banlieue (ouest notamment) avec les travaux réalisés par Haussmann dans les villes de Neuilly (quartier Saint-James) et de Boulogne (quartier des Princes) par exemple. Ceci met d'ailleurs en jeu un intéressant processus d'expropriation puis d'aliénation de terrains, qui à mon avis mériterait au moins d'être évoqué... — Bledard92 21 mars 2008 à 19h47 (CET)

Texte dans image[modifier le code]

J'observe un petit défaut de présentation : dans la section 3.2 La grande trouée nord-sud et est-ouest, le texte empiète sur le haut du tableau de Pissaro L'Avenue de l'Opéra. Est-ce soluble ? Fabrice Dury (d) 31 décembre 2008 à 20:21 (CET)[répondre]

Et la vision marxiste?[modifier le code]

Il me semble qu'il manque une perspective très importante (surtout parmi les théoriciens de l'urbain de langue anglaise (David Harvey, par example, dans son livre "Paris - Capital of Modernity", mais aussi d'après Henri Lefebvre et Walter Benjamin) et plus profondement develloppée sur les travaux d'Haussmann comme une façon de tuer la ville comme unité (ou echelle) politique/démocratique privilegié, et la relation de cette dynamique avec la Commune de Paris plus tard. Je vais essayer d'introduire cette contribution dans l'article en anglais, qui en fait c'est une tradution de celui-ci (beaucoup plus complet), mais à cause de la langue ça serait impossible de le faire ici...

Un vrai AdQ?[modifier le code]

Phrase peu claire[modifier le code]

déplacée depuis l'article :

« environ 60 000 voitures sur la longueur totale des rues parisiennes representent 500 km en 1851 /ref Les voitures et les rues de Paris Le magasin pittoresque, 1851 ref/ »

Octave.H hello 5 décembre 2010 à 01:54 (CET)[répondre]

C'est que à Paris en 1851 il y avait 60260 voitures et la longueur de toute les rues ensemble était égale à 500 km, lisez dans la source. --Evgenior (d) 5 décembre 2010 à 14:38 (CET)[répondre]

Traduction de Transformations de Paris sous le Second Empire[modifier le code]

Je me mettrai sous peu à la traduction en néerlandais de cet article.InLouKat (discuter) 25 mai 2018 à 16:56 (CEST)[répondre]

Eugène Andriveau-Goujon, "Plan d'ensemble des travaux de Paris (...) indiquant les voies exécutées et projetées de 1851 à 1868", 1868----Bancki (discuter) 13 juillet 2018 à 16:17 (CEST)[répondre]

Programme scolaire en France[modifier le code]

Pour info, le sujet de l'article est à partir de la rentrée de septembre 2019 un point de passage ( obligé ) du programme (lien vers le Bulletin officiel en PDF) d'histoire-géographie de classe de première générale et technologique en France. La consultation de l'article est appelée à augmenter. Sijysuis (discuter) 17 juin 2019 à 21:47 (CEST)[répondre]

Contestation AdQ[modifier le code]

Matteo251 (discuter) 11 septembre 2021 à 17:41 (CEST)[répondre]