Discussion:Société des idéologues

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Phrase incomplète[modifier le code]

On lit dans cette page : « en 1801, il proclame, en accord avec le pape, la religion catholique de la majorité des Français », phrase qui me paraît, telle quelle, incomplète. La suite serait-elle « religion d'état » ou autre chose du genre ? Incompétent sur ce sujet, important, sur le plan des idées que défendent ces idéologues qui n'en sont pas vraiement au sens où on l'entend auujourd'hui, je passe. Hpa (discuter) 27 avril 2020 à 09:31 (CEST)[répondre]

Incohérence[modifier le code]

On lit dans le chapeau de cette page qu'une société des idéologues aurait été fondée en 1795, et le terme d'idéologie la même année, puis, plus bas que le terme d'idéologue aurait été inventé par Napoléon en 1801 pour dénigrer ses membres. Qu'en est-il vraiment ? Hpa (discuter) 27 avril 2020 à 09:42 (CEST)[répondre]

Toute cette introduction est fausse. Le terme idéologues a bien été inventé par Napoléon pour désigner un groupe d'intellectuels hétérogène. Le mouvement des idéologues apparaît comme le principal inspirateur du républicanisme contemporain qui combine à la fois le rôle de l’État et le libéralisme politique et économique. Pour le mouvement des idéologues le développement de la République impose la rencontre entre la théorie, la pratique et l’établissement d’institutions d’État, la mise en place d’habitudes et de mœurs conformes au nouveau régime. Et enfin cela implique une éducation civique basée sur un système d’éducation et de fêtes nationales. Le mouvement des idéologues aura finalement tracé toute l’esquisse des structures de la France du XIXe siècle, tant du point de vue scientifique, politique, que culturel.
Si sur la question des idéologues la bibliographie est devenue abondante, alors qu’ils étaient presque ignorés en France il y a 20 ans, toutefois les ouvrages de référence restent ceux qui ont été publiés il y a plus de 20 ans ; et en l’absence d’un travail de fond centré sur les seuls idéologues ils n’ont pas été déclassés. Sergio Moravia, Il pensiero degli idéologues ; Id., Il tramonto dell’Illuminismo. Filosofia e politica nella società francese, 1770-1810 (Bari : Laterza, 1968) ; « “Moral-Physique” : Genesis and Evolution of a “Rapport” », in Alfred J. Bingham et Virgil Topazio, éds., Enlightenment Studies in Honour of Lester G. Crocker (Oxford : Voltaire Foundation, 1979) ; « De l’“Homme-machine” à l’“Homme sensible”. Meccanismo, animismo e vitalismo nel secolo XVIII », Belfagor 29, n° 6 (1978) : 633-647 ; Régaldo, Un milieu intellectuel ; Georges Gusdorf, La conscience révolutionnaire : les idéologues (Paris : Payot, 1978) ; Joanna Kitchin, Un journal philosophique ; Cheryl B. Welch, Liberty and Utility. The French idéologues and the Transformation of Liberalism (New York : Columbia U.P., 1984) ; « La mauvaise étoile historique des idéologues », in Winfried Busse et Jiirgen Trabant, éds., Les idéologues. Sémiotique, théories et politiques linguistiques pendant la Révolution française (Amsterdam-Philadelphie : John Benjamins, 1986) ; Simone Balayé et Daniel Candaux, Le Groupe de Coppet (Genève : Slatkine, 1977) ; Lucien Jaume, L’individu effacé ou le paradoxe du libéralisme français (Paris : Fayard, 1997) ; Whatmore, Republicanism and the French Révolution ; Philippe Steiner et Gilles Jacoud, « Introduction. De l’importance de l’enseignement selon Jean-Baptiste Say », in Say, Œuvres complètes, 4 : 9-47. Maunoury69 (discuter) 23 avril 2024 à 16:36 (CEST)[répondre]

Modification du titre et RI[modifier le code]

Notification Maunoury69

Le nouveau titre ne convient pas. Si les éléments pour appeler ce groupe par le nom « Société des idéologues » sont insuffisants, alors le mot société ne doit pas apparaître du tout dans le titre. Si cette appellation était effectivement utilisée, alors les guillemets ne servent à rien.

Le nouveau résumé introductif (RI) ne va pas non plus. Un résumé introductif doit seulement reprendre les informations contenues dans le corps de l'article, qui doivent être sourcées. Les informations qui ont été ajoutées doivent donc être déplacées plus loin dans le contenu de l'article, des sources doivent être ajoutées, et ces informations doivent être synthétisées dans le RI.

Ydecreux (discuter) 26 mars 2024 à 12:12 (CET)[répondre]

Plusieurs sources font état d'une société des idéologues fondée en 1795, par exemple celle-ci et celle-là. Ydecreux (discuter) 26 mars 2024 à 12:57 (CET)[répondre]
Bonjour,
Il n'y a pas de société des idéologues. Aucun des ouvrages de référence de Sergio Moravia, Marc Regaldo, Boulad-Ayoub. André Tiran et d'autres. le titre de cet article est non pertinent il vaudrait mieux effectivement parler du groupe des idéologues. Maunoury69 (discuter) 23 avril 2024 à 16:33 (CEST)[répondre]
Consultez les ouvrages ci après et vous verrez que l'article est non pertinent et comporte de grosses erreurs: Si sur la question des idéologues la bibliographie est devenue abondante, alors qu’ils étaient presque ignorés en France il y a 20 ans, toutefois les ouvrages de référence restent ceux qui ont été publiés il y a plus de 20 ans ; et en l’absence d’un travail de fond centré sur les seuls idéologues ils n’ont pas été déclassés. Sergio Moravia, Il pensiero degli idéologues ; Id., Il tramonto dell’Illuminismo. Filosofia e politica nella società francese, 1770-1810 (Bari : Laterza, 1968) ; « “Moral-Physique” : Genesis and Evolution of a “Rapport” », in Alfred J. Bingham et Virgil Topazio, éds., Enlightenment Studies in Honour of Lester G. Crocker (Oxford : Voltaire Foundation, 1979) ; « De l’“Homme-machine” à l’“Homme sensible”. Meccanismo, animismo e vitalismo nel secolo XVIII », Belfagor 29, n° 6 (1978) : 633-647 ; Régaldo, Un milieu intellectuel ; Georges Gusdorf, La conscience révolutionnaire : les idéologues (Paris : Payot, 1978) ; Joanna Kitchin, Un journal philosophique ; Cheryl B. Welch, Liberty and Utility. The French idéologues and the Transformation of Liberalism (New York : Columbia U.P., 1984) ; « La mauvaise étoile historique des idéologues », in Winfried Busse et Jiirgen Trabant, éds., Les idéologues. Sémiotique, théories et politiques linguistiques pendant la Révolution française (Amsterdam-Philadelphie : John Benjamins, 1986) ; Simone Balayé et Daniel Candaux, Le Groupe de Coppet (Genève : Slatkine, 1977) ; Lucien Jaume, L’individu effacé ou le paradoxe du libéralisme français (Paris : Fayard, 1997) ; Whatmore, Republicanism and the French Révolution ; Philippe Steiner et Gilles Jacoud, « Introduction. De l’importance de l’enseignement selon Jean-Baptiste Say », in Say, Œuvres complètes, 4 : 9-47. Maunoury69 (discuter) 23 avril 2024 à 16:37 (CEST)[répondre]