Discussion:Russe

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J'ai quelques doutes sur le point de l'orthographe. La première phrase ne tient pas vraiement compte de la réduction vocalique (говорить par exemple) et de certaines réductions (p.ex. считать). Je ne remets pas en cause le principe, mais il faudrait reformuler. A défaut d'une d'avoir la bonne formulation sous la main, je laisse tel quel pour le moment. Gian Giorgis 5 mai 2005 à 19:53 (CEST)[répondre]

Une grosse partie du paragraphe 'orthographe' concerne en fait les règles de prononciation. Quand au paragraphe 'Vocabulaire' je ne vois pas trop ce qu'il vient faire là. Est-ce qu'il s'agit de créer un dictionnaire français-russe? NoPanic 29 juillet 2006 à 10:48 (CEST)[répondre]
Ben, il me semble qu'ils mettent une partie vocabulaire sur beaucoup de pages de langues. Parcontre, je reviens embeter avec quelques details. Deja, concernant la partie de l'article defini et indefini, je conprends l'idee de l'exemple ("Девушка пришла" (littéralement : "Jeune fille est arrivée") se traduira par : "La jeune fille est arrivée". "Пришла девушка" (littéralement : "Est arrivée jeune fille") se traduira par : "Une jeune fille est arrivée".), mais je ne suis pas tout a fait sur si la difference entre ces deux phrases se fait uniquement par l'article. Il faudrait demander a un specialiste.

Est-ce qu'un russophone peut renseigner les mots russes correspondants à

barakti (se débattre), serpo (serpe), vosto (queue d'animal) ne (négation) -ar- (marque du groupe)

Merci ! Jmfayard 14 novembre 2005 à 12:26 (CET)[répondre]

  • barakti donne bara'htat'sia : se débattre, baraguiner dans l'eau ou (plus rare) dans l'air (quand la personne est suspendue dans l'air) - se dit souvent des enfants qui jouent dans la piscine;
  • serpo donne serp : fausille
  • vosto donne vosto'k : Est, Orient ou encore hvost: queue d'animal
  • ne donne  : ne, négation
  • -ar- : aucune idée d'un équivalent.

--Atilin 29 juillet 2006 à 21:04 (CEST)[répondre]

Section déplacée de l'article[modifier le code]

Visiblement à retravailler, ne peut pas être incluse en l'état. a3_nm 13 septembre 2006 à 19:23 (CEST)[répondre]

==Lettres n'appartenant pas à l'alphabet russe
(ceci est ma première intervention : il s'agit de caractères cyrilliques existant dans des langues slaves modernes autres que le russe, mais aucune n'a existé en russe, d'où ma correction de "plus" en "pas".
Il y a d'autres lettres qui ont été supprimées de l'alphabet russe par la réforme de 1917-1918, et auxquelles s'appliquerait la formule avec "plus", mais elles ne figurent pas dans cette liste. Je pourrais les indiquer, mais comment introduire ces caractères ?
Je pourrais si nécessaire les désigner en code Unicode.
D'autres lettres ont été abolies au fil du temps (entre parenthèses, rang de la lettre dans l'alphabet cyrillique complet) : Ґ ґ (5) – Ђ ђ (7) – Ѓ ѓ (8) – Є є (11) – Ѕ ѕ (13) – І і (16) – Ї ї (17) – 'J ј (19) – Љ љ (22) – 'Њ њ (25) – Ћ ћ (31) – Ќ ќ (32) – Ў ў (34) – Џ џ (39) sur 47 lettres de l'alphabet cyrillique.


Translitération /transcription[modifier le code]

il me semble que la colonne "translittération" du tableau de l'alphabet devrait être modifiée. Il y a un mélange translitération/transcription peu commode. La transcription est biaisée par le pays de destination : en France on va écrire "ch" pour "ш" alors qu'en Angleterre, j'imagine, "ch" correspondrait à "ч". La translittération (bijection entre deux alphabets - norme ISO je sais plus combien) n'a pas de vocation phonétique, mais est très pratique pour communiquer en russe (caractères latin) entre locuteurs de langues différentes, ou aussi pour les logiciels automatiques de conversion latin/cyrillique genre translit.Levochik 5 avril 2007 à 12:27 (CEST)[répondre]

J'ai modifié le tableau (quitte à revenir en arrière si ça ne plait pas). Quelqu'un sait-il d'où vient cette étrange tradition française d'apprendre que le щ se prononce "chtch" ? Je n'ai jamais entendu ça en Russie...Levochik 5 avril 2007 à 13:05 (CEST)[répondre]


à IP 86.192.56.20 : je suis d'accord que "zh", "ch" ou "shch" sont plutôt rare en transcription française, cependant le problème est que ces "écritures" apparaissent très souvent, en général comme remplacement à la norme ISO qui utilise des accents exotiques. Je pense qu'il faut les mettre, je les mets entre parenthèse dans la colonne translittération alors. êtes vous d'accord ?Levochik 20 avril 2007 à 13:24 (CEST)[répondre]

Par ailleurs, quelqu'un peut-il m'expliquer pourquoi le tableau de l'alphabet a des lignes bleues ou rouges voire surlignées ? La logique m'échappe et n'est précisée nulle part (il me semble). Je propose d'uniformiser (à la limite on peut colorier différement consonnes et voyelles...mais ce n'est pas le cas actuellement) Levochik 20 avril 2007 à 13:31 (CEST)[répondre]

Phonologie du russe et prononciation des voyelles[modifier le code]

Dans le même tableau de phonologie, je suis pour ma part également ennuyée par les indications de prononciation des voyelles et la dualité "dur/mouillé" reportée sur les voyelles. Pour moi, seules les consonnes (du moins une majorité d'entre elles) connaissent cette dualité vélarisée/palatalisée ; la graphie de la voyelle qui suit (ou le signe mou en fin de mot) indique de quel phonème consonantique il s'agit. Cette dualité des consonnes apparaît d'ailleurs bien dans le tableau. Mais selon ce même modèle phonologique, "ia", "ja" ou "ya" ne représentent que le nom de la lettre "я", cette graphie correspondant, de même que "a", à un seul phonème [a]. Le modèle vocalique présenté ici est certes couramment enseigné en France notamment dans le secondaire, mais je le déplore car il introduit une confusion qui rend ultérieurement beacoup plus ardue la compréhension des désinences dues aux déclinaisons.

Actualité : la langue russe aujourd'hui, en danger ?[modifier le code]

La section "la langue russe aujourd'hui" se montre assez optimiste quant à l'avenir du russe. Toutefois, à la lecture d'un article paru dans la presse belge aujourd'hui, je me demande ce qu'il en est vraiment. Si les informations parues sont confirmées par des wikinautes qui connaissent assez bien le russe (de Russie), l'article devrait parler de l'importance (prépondérante) des anglicismes. Druss 26 août 2007 à 10:59 (CEST)[répondre]

Extrait d'un article publié dans "7 Dimanche", un journal hebdomadaire belge (26/08/07).

Anglicismes : le russe en danger.
Petit à petit, l'anglais prend pied au cœur même de la langue russe.

« Hi, Katioucha. Et si on go to drink café? Call asap. Cheers, Macha. » : un "newspeak" mélangeant russe et anglais a submergé le russe, en commençant par celui de la rue, (...), jusque chez les professionnels.
(...)
« Toutes les couches sociales, des policiers aux ouvriers tadjiks, abusent d'anglicismes », constate un internaute. Métamorphosés par des suffixes, préfixes ou terminaisons russes, ces mots sont parfois méconnaissables. « Le jeu a été driv'oya », dira un Russe d'un match endiablé.
(...)
Les écrivains russes utilisent largement ce "newspeak" jusque dans les titres de leurs romans, comme "Doukhless" de Sergueï Minaev. (...) le russe est aujourd'hui en danger, s'alarment hommes politiques, linguistes et hommes d'art. (...) Une commission parlementaire a lancé en octobre un débat sur "plusieurs milliers d'anglicismes" (...)
(...)
Inexistant en URSS, le marché financier est l'un des plus touchés par l'invasion : certains textes ne contiennent que des anglicismes, reliés par des prépositions et conjonctions russes, dénonce le vice-président de la Comission du marché financier Anatoli Aksakov.(...)

La peur existait aussi en français dans les années 90. Les anglicismes étaient vus comme une menace. En fait c'était une mode passagère, ou un moyen pratique de nommer les nouvelles choses en attendant d'avoir un équivalent français. Par exemple, la planche à voile fut d'abord nommée windsurf en français, et elle a pris un nom similaire en russe ; l'ordinateur fut d'abord nommé computer en français, et a aussi pris un nom similaire en russe. Dans les années 60, les chanteurs français ont eu de gros succès en traduisant des chansons américaines. Puis, ils ont écrit leur propres chansons en français, et même en anglais dans les années 80-90, mais maintenant, ils rechantent en français. Pour les russes, il s'est passé un peu la même chose. Il y eu une mode de chansons en anglais, mais cette mode est presque totalement terminée. En regardant la télé russe, on peut s'amuser à compter les anglicismes, et on en trouvera très peu, encore moins qu'à la télévision française. Donc cette histoire de déclin d'une langue me parait être un "marronnier", c'est-à-dire une manière pour les journalistes d'écrire sur un sujet intéressant, avec quelques exemples pertinents, quelques exemples amusants, et beaucoup d'exagération pour vendre du papier.--Rene1596 (d) 26 septembre 2011 à 08:29 (CEST)[répondre]

Sujet de discussion : l'utilité de mettre la translittération en ISO 9 après des noms russes déjà transcrits phonétiquement en français[modifier le code]

Merci de participer ici : Wikipédia:Appel à commentaires/Article/Translittération ISO 9

Rédaction de la partie sur la situation actuelle du russe[modifier le code]

Recopié depuis Discussion Utilisateur:Aucassin#La langue russe

Bonjour,

Vous parlez au rédacteur de l'article que vous avez badigeonné de rouge. J'ai quelques remarques à faire de façon à ce que nous puissions nous mettre d'accord.

- D'abord, concernant les références nécessaires. C'est un linguiste professionnel, ayant un peu voyagé, qui vous parle. Je n'utilise donc pas de références écrites au sujet de l'emploi de la langue russe en Europe de l'Est, mais mon expérience directe. Qui vaut mieux, je pense, que n'importe quelle référence écrite. Etes-vous donc d'accord pour supprimer tous les appels à référence.

- "L'article a un style trop académique et ressemble trop à un cours". Je prends ça comme un compliment. Mais ce n'est pas parce que j'écris bien que c'est du plagiat (il y a bien toujours quelqu'un qui écrit bien à l'origine.. en l'occurrence c'est de moi, tant au niveau du contenu que du phrasé).

- Pour les phrases que vous considérez non-neutres, je vous en prie discutons-en : je suis tout prêt à abonder dans votre sens (et à me corriger) si vous m'expliquez vos points de vue.

Bien Cordialement fb

franzbrentanno@hotmail.com

Réponse

Je crains que vous ne preniez l'affaire un peu trop à cœur : je ne mets pas en cause votre personne, j'ai simplement indiqué que certains passages posent problème par rapport à certains principes et de règles de rédaction adoptés sur Wikipédia et ont besoin d'être repris pour s'y conformer. Je vous invite à lire Wikipédia:Principes fondateurs pour un aperçu très général sur la question et de nombreux liens vers des pages traitant de points plus spécifiques.

1- Non, la présence de sources est impérative : il ne s'agit pas de mettre en cause votre expérience personnelle, simplement le fonctionnement même de Wikipédia ne permet pas de se fier à ce genre d'argument : la contribution est libre et anonyme, on ne peut se fier à la simple autorité d'un rédacteur non certainement identifié, d'où l'obligation de référence à des sources externes publiées - laquelle peut parfaitement être un compte-rendu d'expérience personnelle, mais publiée indépendamment et sous nom d'auteur. Voyez Wikipédia:Vérifiabilité, Wikipédia:Travaux inédits et Wikipédia:Citez vos sources !.

En pratique, les passages à sourcer avec le plus de soin sont ceux qui exposent des chiffres précis (facilement manipulables par des contributeurs malveillants), des points surprenants, prêtant à controverse, des questions politiquement sensibles. L'influence d'une communauté linguistique est précisément une question politiquement sensible.

2- Le bandeau "à désacadémiser" est standardisé et n'est qu'un modèle de maintenance. Ce n'est pas un jugement de valeur en soi de l'écriture, cela ne signifie pas "mal écrit" au contraire : on attend plutôt d'un texte "académique" qu'il soit bien écrit, voire recherché. Ça n'a rien à voir non plus avec un problème de plagiat, et de toute façon la question se poserait plus exactement en termes de droit d'auteur. Le texte actuel porte des marques oratoires d'argumentation propres à un cours : s"il est vrai", "on peut en effet estimer", "on pense à", 'il reste à noter", "laisse penser" tel que vous avez rédigé signifie pas "mal écrit" ; un style plus plat, plus factuel et plus impersonnel serait plus adapté. Voyez Wikipédia:Style encyclopédique.

3 - Pour les passages non-neutres :

  • la minorité russe se voit aujourd'hui obligée de se battre pour maintenir le rôle de leur langue dans ces pays. Passage nécessaire dans le contexte des tensions entre russophones et non-russophones dans les pays baltes, mais la formulation est délicate en ce qu'il faut éviter de prendre parti. Je ressens la formulation "se voit obligée de se battre" comme pro-russophone, en l'occurrence.
  • la domination soviétique était et pour cause, bien mieux tolérée : le « et pour cause » suggère que l'acceptation d'une domination étrangère dépend naturellement du degré de proximité culturelle entre occupé et occupant. On peut comprendre le chemin du raisonnement, mais ça ne va nullement de soi ; c'est une opinion dont qu'il importe de préciser l'auteur.
  • malgré certaines idées reçues exportées tout droit d'Occident : contenu évasif. De quoi parle-t-on au juste, et est-il utile d'en faire état ?
  • le dernier paragraphe en son entier pose problème. Comme il s'agit de prospective, il est par essence entièrement spéculatif, ce qui pose déjà un problème en soi : il ne peut y avoir que des opinions dans ce domaine, et il importe donc de préciser qui les a soutenues et où. Par ailleurs, il a la forme d'un plaidoyer en faveur du russe, sans distinction entre faits et opinions, ce qui pose un problème évident de neutralité de point de vue. Il est par ailleurs évasif en des passages comme le dédain des services de renseignement militaires (français du moins) pour le russe au profit de l'arabe et des langues iraniennes, serait à comprendre comme un vestige tardif de la période transition des années 1990, et son lot d'avatars inéluctables, un phénomène de mode dont on peut, de manière assez évidente, et sans faire preuve par là de beaucoup d'acuité - percevoir l'aspect éphémère. : ce "dédain" est-il établi, et par qui ? De quels avatars parle-t-on ? Je vois vaguement où l'on veut en venir, mais sans en être guère éclairé, et le style est celui d'une chronique plus que d'une encyclopédie.

Cordialement, Aucassin (d) 11 juin 2008 à 12:32 (CEST)[répondre]

Accentuation du russe[modifier le code]

La langue russe n'est pas du tout accentuée à la façon de l'anglais, de l'allemand ou encore de l'italien. En effet, dans ces trois langues, la voyelle accentuée est simplement prononcée plus fort, voire allongée; la voyelle dite accentuée en russe est seulement allongée et pas prononcée plus fort. Ce phénomène influence même la prononciation des voyelles selon qu'elles sont pré- ou post-toniques. En conséquence, on peut remarquer que la lettre O sera prononcée [o:] ou [a], mais jamais [o] normalement. Cependant, lorsque l'allongement est situé sur la dernière voyelle, on peut ne pas l'effectuer, autrement dit prononcer à la française : sans accent tonique ni allongement de voyelle. Yakuzanodon (d) 6 janvier 2010 à 15:34 (CET)[répondre]

N'y a-t-il pas une différence de longueur entre у́же et уже́ ? Je ne suis pas sûr, je pose la question Orel'jan (d) 6 janvier 2010 à 15:46 (CET)[répondre]

Tout à fait; j'ai oublié de préciser que lorsque l'accent "tonique" - même si le terme n'est pas vraiment adéquat; je dirais plutôt accent de longueur - porte sur la dernière syllabe, l'allongement de la voyelle devient facultatif. Ex : го́род [gɔːrat] (la ville) / горо́д [garɔ(ː)t] (le potager); ce dernier peut donc se prononcer à la française, c'est-à-dire sans accent tonique ni allongement de voyelle. Yakuzanodon (d) 15 janvier 2010 à 14:19 (CET)[répondre]

Il serait indiqué de faire un lien vers apophonie accentuelle en russe... et d'utiliser l'alphabet phonétique international pour des transcription phonétiques dans la partie orthographe (dont la valeur approximative des signes est présentée plus haut), plutôt que des codifications ad hoc. Aucassin (d) 15 janvier 2010 à 14:27 (CET)[répondre]

Tableau de l'alphabet[modifier le code]

Ce tableau fait pratiquement double emploi avec celui qui se trouve dans le § « Alphabet russe » de l'article « Alphabet cyrillique ». Je propose de le supprimer, quitte à faire dans le § « Alphabet russe » les quelques ajouts qui seraient nécessaires pour éviter des pertes d'info, donc de travail des wikipédistes antérieurs.

On pourrait alors remplacer le tableau, dans l'article "Russe" par des indications centrées sur les problèmes de lecture qui peuvent se poser aux débutants (confusions avec P, B, m, r, g, etc.) et sur les problèmes de prononciation (L dur, mouillure en général, ach-laut, etc...)

Cette modif donnerait accessoirement satisfaction à celui ou celle qui a trouvé l'article trop académique. Mais ce n'est pas cela qui me motive le plus. Je m'intéresse plutôt à la maniabilité de l'article et, comme nous tous je suppose, à ce qu'y figure ce que je crois utile, sinon important.

Acsacal (d) 3 novembre 2010 à 08:30 (CET)[répondre]

Passeports bulgares (article "Russe")[modifier le code]

Illustrer le recul du français et de l'allemand en Europe centrale par l'exemple des passeports bulgares implique donc que ce recul existe, ce qui est le contraire de ce qui était dit précédemment. Si quelqu'un estimait que je généralise à tort, je crois qu'il vaudrait mieux supprimer le passage plutôt que de revenir à la version antérieure, qui n'est pas très étayée non plus…

Acsacal (d) 3 novembre 2010 à 18:47 (CET)[répondre]

Oui, dans le doute il faut retirer cette déclaration. JackPotte ($) 4 novembre 2010 à 07:29 (CET)[répondre]

Article traduit ?[modifier le code]

Que signifie le bandeau « Tout ou une partie de cet article est issu de la traduction de l'article sous licence CC-BY-SA "(en) Russian grammar" » ?

Et même si c'était vrai, en quoi cela serait-il justifiable d'une remarque dont le ton semble subliminalement désobligeant ?

Acsacal (d) 4 novembre 2010 à 07:23 (CET)[répondre]

Ce type de bandeau sert juste à faire respecter la licence libre, il faut les laisser. JackPotte ($) 4 novembre 2010 à 07:32 (CET)[répondre]

C'est yes ou c'est нет (niet) ?[modifier le code]

Partie supprimée : « En français, ou en allemand, pour répondre en un mot à une assertion quelconque, on dispose de trois adverbes : oui ou ja, non ou nein, et si ou doch. Les anglophones et les russophones s'en sortent avec deux mots seulement, l'un des deux servant aussi pour le si ou le doch. Mais les deux langues ont choisi des solutions différentes. L'expérience montre que la réponse à une affirmation (ou à une question affirmative) va de soit mais que la réponse à une assertion négative (ou à une question négative) peut poser problème, surtout à ceux qui croient, sur la foi d'un guide de conversation retrouvé dans un grenier, que да (da) veut toujours dire oui et que нет veut toujours dire non.

Réponse à une phrase affirmative
Français Russe Anglais
Locuteur A Il pleut. Идёт дождь. It's raining.
Locuteur B D'accord Oui !il pleut Да!идёт дождь Yes!it’s raining
Pas d'accord Non !il ne pleut pas Нет!дождь не идёт No!it’s not raining
Réponse à une phrase négative
Français Russe Anglais
Locuteur A Il ne pleut pas. Дождь не идёт. It’s not raining.
Locuteur B D'accord Non !il ne pleut pas Да!дождь не идёт No!it’s not raining
Pas d'accord Si !il pleut Нет!идёт дождь Yes!it’s raining

» Outre le style, je ne suis pas d'accord avec ce qui est dit. Dans le russe que je connais, нет répond à une interronégative aussi bien par l'affirmative que par la négative. Orel'jan (d) 5 novembre 2010 à 18:23 (CET)[répondre]

Désolé, mis cela figure dans dans de nombreux bouquins sérieux, grammaires et dictionnaires. Si j'ai introduit ce paragraphe, c'est parce que justement cela gêne parfois l'interompréhension quand on parle en anglais avec des russes, chose qui peut arriver fréquemment dans notre monde globalisé. Je ne suis pas chez moi en ce moment, donc je n'ai pas sous la main les ouvrages qui me permettraient de justifier mes dires. Je le ferai dès que je serai rentré. Mais en attendant, je crois que vous pouvez vérifier facilement par vous-même.
Quant au style, l'article a fait l'objet d'une critique pour son ton « cours de fac ». J'ai peut-être poussé le bouchon un peu trop loin dans l'autre sens. L'excès en tout étant un défaut, je ne formaliserais donc pas qu'il soit réécrit, mais je pense qu'il serait difficile de prouver qu'il doive être supprimé.
Cordialement, Acsacal (d) 6 novembre 2010 à 22:03 (CET)[répondre]
J'ai vérifié par acquis de conscience auprès d'un locuteur de langue maternelle russe. Un échange de type "Il ne pleut pas. - Si." se rend habituellement en russe par : "Dojd' ne idiot. - Idiot." (ou : "Niet, idiot") (de même d'ailleurs qu'en anglais : "It isn't raining. - It is." (mais aussi : Yes, it is.") Vouloir à tout prix limiter la réponse à "niet" ou "da" me semble donc assez théorique. Par ailleurs l'article porte sur le russe et non sur l'anglais ou l'allemand, donc je pense qu'il faudrait limiter ici les exemples dans ces autres langues à l'indispensable. J'ai essayé de clarifier malgré tout le paragraphe, mais j'ai eu énormément de mal. 89.83.23.161 (d) 2 décembre 2010 à 15:44 (CET)[répondre]
Si vous pensez, comme 195.5.239.194, que les réponses sèches «Да!» ou «Нет!» sont beaucoup moins usuelles qu'en français, pourquoi pas. Mes souvenirs de séjour en milieu russophone ne contredisent pas votre affirmation, mais ils ne la prouvent pas non plus car lorsqu'aucun des locuteurs ne connaît bien la langue de l'autre, il se produit une sorte d'auto-adaptation mutuelle (en partie consciente et en partie inconsciente) qui fait qu'on n'est pas dans le conditions du linguiste qui étudie un parler inconnu (surtout quand ce n'est pas le but de la mission…)

Cordialement,

Acsacal (d) 2 décembre 2010 à 19:19 (CET)[répondre]

Pour finir, j'ai vu que ma source confirmait votre point de vue.
À plus,
Acsacal (d) 3 décembre 2010 à 18:46 (CET)[répondre]

Les portails n'étant pas des catégories et suite au sujet ici je me suis permise de tailler dans le lard. Le bas de la page était réellement décoré comme le buste d'un général russe Émoticône Euterpia (d) 12 mars 2012 à 09:17 (CET)[répondre]

L'article est truffé de l'abréviation N/G, que je n'arrive pas à définir avec Google. JackPotte ($) 28 mai 2012 à 16:39 (CEST)[répondre]

cf. les notes auxquelles renvoient à chaque fois les chiffres entre parenthèses qui y sont apposés  : N = nominatif, G = génitif, je pense. Fsojic (d) 28 mai 2012 à 18:09 (CEST)[répondre]

Carte des pays ou le russe est parlé[modifier le code]

La carte semble suggerer que la Crimée fait partie de la Russie, et non de l'Ukraine: elle est de la même couleur que la Russie.

La Crimée est effectivement sous administration russe. Qu'on soit d'accord ou non... --Charlik (discuter) 25 mars 2018 à 15:46 (CEST)[répondre]
La "couleur" à laquelle vous faites référence indique simplement que le pays ou la région est de langue officielle russe. La Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghistan... sont aussi de cette couleur, sans pour autant faire partie de la Russie. Avant 2014, la Crimée avait déjà le russe pour langue officielle. --Utilisateur:Ambroise Lescop 04 avril 2018 à 14:07 (CEST)[répondre]

Plutôt que de s'annuler à répétition précisons ici que есть est ambigu dans l'orthographe moderne. Avant 1918 il y avait есть (être) et ѣсть (manger). Съесть est une forme perfective avec préfixe qui modifie le sens, on aurait pu aussi bien choisir поесть. Donc la forme à indiquer est bien есть, anciennement ѣсть. --Charlik (discuter) 10 mai 2020 à 15:24 (CEST)[répondre]

Erreur de carte ?[modifier le code]

Wikipédia:Oracle/semaine 1 2021#Signalement d'erreur. Apokrif (discuter) 10 janvier 2021 à 02:33 (CET)[répondre]

Pays où le russe est parlé[modifier le code]

Y a-t-il des sources pour justifier la présence de l'Alaska et de la Pologne ? Il existe certes une immigration russe certaine aux États-Unis, mais je ne sache pas que l'Alaska soit leur destination privilégiée ; quant à la colonisation russe de l'Alaska, il me semble que la plupart des colons sont rentrés après 1867, quant aux autres, peu nombreux, ils n'ont pas imposé leur langue.

Quant à la Pologne, on y parle un russe scolaire, mais pas plus que dans les autres pays du pacte de Varsovie, et certainement moins qu'en Bulgarie, par exemple. Si ça ne tenait qu'à moi et faute de sources, je retirerais ces deux pays.

Ambroise-L (discuter) 9 mars 2022 à 15:44 (CET)[répondre]