Discussion:Principe de Dilbert

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Sociologie[modifier le code]

La sociologie n'est pas un fourre-tout ! L'auteur de ce principe n'est pas reconnu par la communauté des sociologues. Ce "principe" n'est pas un concept sociologique. Laissons les littéraires romancer et les sociologues produire un savoir scientifique. --Idéalités 1 octobre 2006 à 02:51 (CEST)[répondre]

Ce phénomène existe, je l’ai rencontré ;)
Plus sérieusement, je vous trouve bien affirmatif et je ne serais pas surpris que le principe ait été étudié sérieusement. Cela mérite d’être approfondit et je vous trouve un peu péremptoire. :) Avez-vous fait des recherches pour vérifier que le phénomène n’était pas évoqué par des sociologues (et pas uniquement francophones) ? A plus Stéphane P, Discutez avec lui 7 mai 2007 à 12:07 (CEST)[répondre]
je soutiens Stéphane P., nul besoin d'être "reconnu" par la structure dominante pour avoir de la valeur (c'est le principe de Wikipédia, pas besoin d'un joli diplôme pour exister. voir histoire de wikipédia), je pense que ce principe est une très belle critique, fine et intelligente, de l'évolution des rapports hiérarchiques et des carrières dans l'entreprise. Cet article a tout à fait sa place dans Wikipédia.

Enonciation du principe : BD vs réalité[modifier le code]

Je cite l’article : « Les gens les moins compétents sont systématiquement affectés aux postes où ils risquent de causer le moins de dégâts : l'encadrement. »

Dans la réalité ce que l’on observe est plus simple (et plus crédible) : Un chef de service sait que les plus compétents de ses subordonnés sont indispensables à la bonne marche de son service. S’il les laisse partir (mutation ou promotion), il en paiera les conséquences et risque d’être sanctionné (par une baisse en productivité au minimum). Ainsi, on se retrouve grosso modo avec l’énoncé suivant (dont j’ai été le témoin plusieurs fois) : « Les gens les plus compétents sont systématiquement maintenus aux postes qu’ils occupent par l'encadrement, qui ainsi pourra dissimuler son incompétence. »

NB je sais que mon témoignage n’a pas de valeur scientifique. J’en parle simplement parce que cela mérite réflexion et que les rédacteurs précédant (a priori plus qualifié que moi sur ce thème) sauront peut être trouver des sources auprès de sociologues reconnus. Mon souhait est simplement d'attirer leur attention sur cet aspect. :) Stéphane P, Discutez avec lui 7 mai 2007 à 12:37 (CEST)[répondre]


Ajout possible sur les conséquences dans le monde réel ?[modifier le code]

J’aimerais faire un ajout mais j’ignore s’il a sa place, et si oui, comment lui donner un caractère encyclopédique : Ce principe n’est pas sans conséquences. A chaque nouvelle « règle », l’humain s’adapte. Ici, l’adaptation consistera pour le subordonné à dissimuler des compétences (ou à refuser d’en acquérir par de la résistance passive) afin de ne pas voir ses chances de promotion (ou de mutation) diminuer. Autre conséquence (et c'est plus grave) : cela favorise le machiavélisme, en ce sens que la promotion reposera alors davantage sur le registre du discours que sur la maîtrise d’une technique.

Je viens de découvrir cet article (qui m’a fait explosé de rire) mais j’avais observé ce phénomène sans savoir qu’il portait un nom. Je suis donc très sérieux dans ce qui précède. Je le précise car c’est tellement aberrant dans ses conséquences qu’il faut l’avoir vécu et vu pour le croire.

Ne sachant pas trop comment placer ces éléments dans l’article, je préfère me tourner vers les précédant contributeurs. Vala vala. :) Stéphane P, Discutez avec lui 7 mai 2007 à 13:25 (CEST)[répondre]