Discussion:Principe d'identité

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principe d'identité[modifier le code]

Depuis les Stoïciens (vers 250 A.C) la communauté des philosophes et des logiciens savent que l'expression A=A est stérile et finalement sans signification. Certes quelques marxistes ont tentés de ce réapproprier cette "insignifiance" pour justifier une certaine approche de la dialectique, mais, au regard de l'histoire de la logique et de la philosophie (environs 2500 ans) cette approche à peine séculaire importe peu. Alors - pour reprendre Chrisyppe et les penseurs médiévaux - la seule formulation de l'identité et des questions qui lui sont inhérente est celle de l'expression A=B. Expression de toute façon plus proche et plus adéquate à celle de la tautologie où, e.g. (-pvq) eq. (p -> q).

La question est d'autant plus importante, que vous ne trouverez ni chez Aristote, ni dans les logiques médiévales ou "classique, " l'étrange" concept d'identité tel que les mathématiques nous l'ont transmis. L'Identité étant - des siècles durant - subordonnée à la notion de Genre, d'Espèce, de Différence, de Propre et enfin d'Accident (voyez Isagogé de Porphyre etc.)

Cordialement. 2A01:CB08:2B:B100:E9E0:945A:7AC3:3973 (discuter) 25 décembre 2022 à 22:30 (CET)[répondre]