Discussion:Ouvre-boîte

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Ferme-boîte

Bonjour ! Je lis dans l'article : « les premières boîtes de conserve étaient formées d'un métal relativement épais et demandaient beaucoup d'efforts pour les ouvrir ». Est-il possible de retrouver, au-delà de l'effort, la méthode employée pour ouvrir les boîtes de conserve antérieurement à l'invention de l'ouvre-boîte ? Un marteau et un burin comme dans le canular de Francis Blanche Émoticône sourire ? Ou autre chose ? Merci de vos lumières ! Amicalement ! Mandarine (d) 23 mars 2010 à 02:28 (CET)[répondre]

La lecture de en:Can opener devrait t'ouvrir des horizons. Chaque culture nationale a son ouvre-boîte, généralement atroce à l'usage pour qui na l'a pas eu au berceau. La méthode virile est d'ouvrir les boîtes avec son couteau[1]. Émoticône sourire Ptyx (d) 23 mars 2010 à 10:13 (CET):[répondre]
merci ptyx ! nom d'une pipe ! ouverture au P38 ! carrément Émoticône ! peut-on (doit-on) en conclure que ces dames étaient dispensées (empêchées) d'ouvrir des boîtes de conserve ? à moins que la nécessité d'adapter l'ouvre-boîte à notre féminité ne soit apparue que le jour où la boîte de conserve est entrée dans les cuisines autres que militaires (souvenir souvenir, hein égo Émoticône ?) pour contenir autre chose que ce singe délicieux ? Des sources, des sources, me direz-vous ! Ben j'en ai pas davantage[2]|[3]|[4] Émoticône... Mandarine (d) 23 mars 2010 à 12:58 (CET)[répondre]
Une conserverie, 1876
Tiens, voici encore une référence bretonne à se lécher les dix doigts. Ce sont les femmes qui fermaient les boîtes à Douarnenez (c'est dit), dès 1853, et les hommes qui les ouvraient, à ce qu'on comprend. On y apprend que du temps d'Appert, on les ouvrait plutôt au levier ou au tire-bouchon, car c'étaient des genres de "bouteilles à large goulot" (des bocaux ?) qui contenaient les conserves. Bon, on avance au pas à pas, mais le terrain est peu sûr, et ce n'est pas transposable tel quel sur la page "article". Ptyx (d) 24 mars 2010 à 00:41 (CET)[répondre]
  1. « Il donnait des conseils pratiques sur la manière d'ouvrir les boîtes de singe avec un fort couteau. » René Benjamin, Gaspard, 1915, p. 39 (pas trop facile de donner des références littéraires pour des machins pareils : rien trouvé dans la comtesse de Ségur ; pour les jeunots, du "singe", c'est du bœuf cuit, qu'on servait aux "poilus", genre corned-beef, en plus filandreux, délicieux)
  2. à moins qu'ici...
  3. meuh non, pas là...
  4. ah ben tiens, là on parle de burin et de marteau : francis balnche n'avait pas tout à fait tort...
On les ouvrait au burin et au marteau ! C'est ce que je savais... mais pour sourcer, est-ce suffisant ? Early cans were opened near the top by using a hammer and chisel, as one extant tin from the 1820s advises on a paper label. et Instructions read: "Cut round the top near the outer edge with a chisel and hammer." --Égoïté (d) 24 mars 2010 à 06:37 (CET)[répondre]