Discussion:Mélodie de spectre constant

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je ne comprend pas bien le "cet article ne site pas suffisamment ses sources":

  • c'est un resultat direct de traitement du signal
  • un exemple sonore est donné
  • le programme qui l'engendre est fourni !

Ce genre de sujet est traité en cours de psychoacoustique. J'imagine qu'il doit etre mentionné dans des manuels papier, mais je n'en ai pas trouvé en ligne. C'est bien pour compléter ce manque que j'en ai fait une page wikipedia ! (avec l'aide de collègues, concernant l'exemple). [Non signé, 16 février 2014 à 17:24‎ 82.228.184.231]


  • Les critères d'admissibilité de Wikipedia excluent les travaux personnels, pour élémentaires, simples et de bon aloi qu'ils paraissent à leurs auteurs. Pour éviter le bandeau {{à sourcer}} que d'aucuns prennent un malin plaisir à poser, il faut que vous indiquiez le « cours de psychoacoustique » qui mentionne l'effet. L'ouvrage peut être en ligne, en librairie ou en bibliothèque (SUDOC, BnF, BPI pour la France disent où).
  • Citer des ouvrages n'est pas qu'une précaution contre les travaux individuels parfois loufoques. Pour les lecteurs, les ouvrages cités sont des moyens de poursuivre leur étude. La lecture d'un article d'encyclopédie permet de décider si on va s'intéresser plus avant au sujet ; autant fournir les moyens d'aller plus loin.
  • Pour les contributeurs, la recherche de références peut avoir son bénéfice en soi. Il est rare qu'une recherche effectuée pour se garantir d'un déplaisant bandeau {{à sourcer}} ne donne pas par sérendipité quelque idée nouvelle.
  • Relier, par des liens hypertextuels, des mots ou expressions à d'autres article à ceux qui peuvent être mis en rapport constitue un forme particulière d'intelligence. De la même façon que pour les références extérieures, cette tâche qui peut sembler à première vue fastidieuse peut faire progresser tant le contributeur, qui se confrontera aux productions des autres, que le lecteur.
  • En dehors de cette réponse que j'espère être un encouragement, il y a un autre motif fréquent à la pose d'un bandeau {{à sourcer}}, qui est que les assertions paraissent non pas franchement absurdes, mais mal ficelées. Il me semble que l'article manque en effet d'élaboration. Après tout, le spectrogramme (qu'on peut faire facilement avec Audacity) n'est pas uniforme. Il faudrait préciser et expliquer mieux ce qu'on veut dire.

PolBr (discuter) 25 février 2014 à 11:08 (CET)[répondre]

Nom de l'objet[modifier le code]

Il faut une source pour le titre de l'article.

Antonio de Souza Dias, Deux contributions à la pédagogie de la musique électroacoustique et de l’informatique musicale, (lire en ligne), p. 4-5 décrit la chose sous le nom de cascade harmonique. Il donne comme exemple un travail de Jean-Claude Risset, Inharmonique, 1977. Il faudrait donc chercher dans les ouvrages de cet auteur, datant des mêmes années, les meilleures sources.

Le terme cascade a un sens en mécanique des fluides « on parle de cascade d'énergie, dans le contexte de la turbulence, pour décrire le transfert de l'énergie contenue dans les perturbations aux grandes échelles vers celles aux petites échelles » (Dic. Phys.). On trouve l'expression cascade harmonique en acoustique dans la Thèse de Guillaume Penelet p. 28. Une recherche internet de cascade harmonique débouche sur des articles de mécaniciens, thermoacousticiens, acousticiens préoccupés par des phénomènes vibratoires du même genre que celui décrit ici, dans des domaines éloignés de la musique expérimentale. L'article ne peut donc pas s'appeler cascade harmonique, à moins de recouvrir ces phénomènes, correspondant à l'usage principal.

Le renommage de l'article me semble cependant d'autant plus nécessaire que je cherche en vain un sens profond au titre actuel, qui ressemble plus à un paradoxe. Toutes les musiques ont un spectre constant si l'on calcule le spectre sonore sur leur durée entière. Le spectre des sons présentés ici est variable si l'on choisit une fenêtre de la largeur habituelle (de l'ordre de 0,1 s).

PolBr (discuter) 27 février 2014 à 15:17 (CET)[répondre]

Pages liées[modifier le code]

Quels articles devraient mentionner celui-ci ?

Articles liés / Sources liées : possibilités[modifier le code]

Bonjour,

Le sujet de l'article est très intéressant, mais je m'aperçois qu'il souffre du même mal que celui (non moins essentiel) sur l'intonation musicale. Il y aurait beaucoup à dire, également, sur la musique spectrale et certains sujets liés, qui ont fait l'objet de débats parfois passionnés… sans aboutir à un résultat positif.

Je suis responsable (et donc, n'étant pas homme politique, coupable Émoticône) de l'article sur le traité de Berlioz — et j'ai créé pour le « soutenir » les articles sur Les Espaces acoustiques de Gérard Grisey (voir la biblio : il y a deux sources pour l'analyse en fréquences et énièmes-de-tons des six pièces. C'est terriblement savant, mais on peut se risquer à en extraire deux ou trois exemples simples. Je pense à Partiels…) et sur Genesis of a Music : l'ouvrage de Harry Partch est fondamental pour ces questions : 518 pages dont 350 au moins consacrées aux calculs sur les cordes vibrantes, les fréquences, les ratios, les cents, etc.

Honnêtement, on aurait envie de citer Baudelaire :

Pour soulever un poids si lourd,
Sisyphe, il faudrait ton courage !

On y viendra peut-être. Pour le sujet de CET article, je recommanderais de chercher du côté de Hermann Helmholtz et des études qui ont suivi. De toute évidence, il peut être lié à l'article sur Les Espaces acoustiques, où Grisey recompose un bruit blanc à partir de sa décomposition en ondes de période constante (ou spectre constant, CQFD) confiée à dix-huit instruments traditionnels. C'est terrifiant, et c'est extraordinaire Émoticône

Si vous avez besoin d'aide pour sourcer l'article, je vais chercher ce qui existe dans la littérature (celle dont je dispose) — n'hésitez pas à me demander. Mais tout soupçon de TI doit être corrigé. Par exemple, je suis convaincu que Berlioz avait compris l'effet Doppler et qu'il l'illustre dans un passage de Béatrice et Bénédict. Bon. Si je le disais « tout net », ce serait du TI — vérité ou affabulation : également inadmissible ici. Donc, je continue à chercher (les musicologues ne font pas toujours leur travail comme ils le devraient Sourire diabolique)

Bon courage ! Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 18 mars 2014 à 13:54 (CET)[répondre]

Historique (Autre observation rapide)[modifier le code]

Plutôt que Berlioz, dont les recherches acoustiques ne sont pas négligeables, ne faudrait-il pas carrément remonter à « notre » grand Rameau (je sais : Cocorico ! Émoticône) et à sa théorie sur l'harmonie réduite à ses principes naturels ?

C'est Rameau, en effet, qui déclara que « la mélodie est contenue dans l'harmonie » — c'est-à-dire : une note fondamentale engendrant ses harmoniques (ou partiels, comme on dit aujourd'hui) génère également une forme d'accord parfait (acoustique) et une forme de mélodie, qui est la cascade observée / entendue ici.

À tout seigneur… Et pour Rameau, on dispose des textes eux-mêmes pour citation (créer une partie « Historique » pour cet article serait bien vu : être historique, bibliographique, ça vous pose un article comme Alphonse Allais disait qu'être de Garenne, ça vous pose un lapin Émoticône) Il y a l'étude de Jean Malignon en 1950 avec un commentaire sur ce qu'il y a de révolutionnaire, de « choquant » dans cette théorie. Harry Partch présente Rameau comme Rameau the inconstant dans son bouquin (à cause des subtilités de sa théorie), comme Berlioz est Berlioz the Unbeliever à cause de son Non credo et du gigantesque « coup de poing » qu'il a donné sur la table de la musique : c'était un tremblement de terre…

En gros, il faudrait chercher du côté de : Rameau - Berlioz - Scriabine - Bartok - Busoni - Varèse - Wyschnegradsky et quelques ingénieurs-compositeurs dans l'entourage de Grisey et Tristan Murail. Beau travail en perspective.

Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 18 mars 2014 à 14:11 (CET)[répondre]

Mathématiques[modifier le code]

Bonjour,

Il y aurait une petite mise en forme de la formule à réaliser en utilisant les modèles appropriés. Une petite mise au point est également nécessaire, à savoir :

  1. f est la fréquence du signal donné (de la note, en musique classique…),
  2. 1/ε est la « période lente » — soit, mais ε est donc une fréquence de passage du signal ? Je ne comprends pas bien,
  3. t est le temps (on s'en doute, mais il faut connaître les paramètres d'une équation pour la formuler…)

Un détail, en passant : les liens vers les articles Gamme de Shepard etc. sont à classer comme articles liés : ce ne sont pas des notes, ni des références (il n'y a pas de bibliographie…)

Je ne fais ces observations que pour faire avancer l'article. Il ne s'agit pas d'une critique, simplement de conseils.

Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 21 mars 2014 à 12:21 (CET)[répondre]