Discussion:Les Nuits d'été/Article de qualité

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Gemini1980 oui ? non ? 16 avril 2021 à 00:10 (CEST)[répondre]

Proposé par : FLours toujours 15 mars 2021 à 07:32 (CET)[répondre]

Pourquoi Les Nuits d'été ? Ou plutôt, pourquoi aborder l'œuvre de Berlioz par cette partition, qui n'est pas très connue ? On pense plutôt à la Symphonie fantastique — dont le titre au moins est resté célèbre — à Louis de Funès dirigeant la Marche hongroise dans La Grande Vadrouille. On pense à de « grrrandes partitions » pour de « grrrands orchestres »…

Les Nuits d'été sont des mélodies sur des poèmes de Théophile Gautier, avec orchestre mais tout petit orchestre, et que l'on pourrait compter sur les doigts d'une seule main… comme aurait pu le faire Anne Boleyn (puisqu'il n'y en a que six Émoticône)

Très peu de choses, donc. Enfin… a priori. Et c'est toujours intéressant d'en remontrer aux a priori.

Parler de Berlioz, surtout d'une œuvre de Berlioz, c'est toujours — tôt ou tard, mais il faut en passer par là — réparer une injustice. S'il est vrai qu'« un petit dessin vaut mieux qu'un grand discours », voyons quels discours tenait la critique musicale lorsqu'il présentait son opéra des Troyens (en fait, seulement les actes III à V, renommés Les Troyens à Carthage et encore coupés, raccourcis, réduits… un véritable massacre…) en 1863.

Caricature de Berlioz et d'un critique musical
Caricature publiée dans le Journal amusant après la première représentation des Troyens.
— Mais, sapristi, monsieur Berlioz, pourquoi ne laissez-vous jamais flâner la moindre mélodie dans ce que vous appelez votre musique ?…
— Azevedo, mon ami, vous n'êtes qu'un gamin ; sachez que je n'ai pas de motif à vous donner…
(Alexis Azevedo était un critique musical parisien.)

Ces accusations, ces reproches, ces moqueries ont duré longtemps après la mort de Berlioz, avec une persistance dans l'aveuglement (et dans la surdité) qui devrait inviter la persistance rétinienne à plus de modestie. On pourrait compter sur les doigts d'une main de Django Reinhardt les compositeurs qui ont été aussi maltraités que Berlioz — ce qui explique pourquoi un article comme celui-ci n'aurait jamais pu prétendre à un label dans les années 1990, à peine dans les années 2000 (bicentenaire de la naissance de Berlioz en 2003), mais bien depuis 2019 (cent-cinquantenaire de la mort de Berlioz en 2019) où la bibliographie berliozienne a enfin réussi à s'élever très au-dessus de l'anecdotique, du préjugé romantique / anti-romantique, de la répétition ad nauseam de contre-vérités infondées… Bref : on n'a retenu que l'essentiel de l'indispensable dans l'article, pour référencer absolument tout ce qui s'y trouve, jusqu'au moindre quart-de-soupir.

Dirai-je que le meilleur travail — le plus utile et de la plus grande qualité, le plus modeste aussi et le plus bienveillant — a été accompli ici, grâce à l'aide et au soutien actifs, inestimables, de Patachonf, de BerwaldBis, de mandariine, de Tambuccoriel, d'Apollinaire93 et de Dilwenor46 ? Ça n'a l'air de rien, mais l'enquête n'a pas été simple pour retrouver « Qui a chanté Absence en première audition ? » et « Quel est le prénom du ténor Caspari ? » — ou « Quel est le vrai prénom de Mlle Bochkoltz-Falconi ? »

Autant dire qu'on peut renoncer à compter les articles qui ont été créés pour mettre « un peu plus » de bleu dans celui-ci. Et puis, c'est le premier cycle de mélodies avec orchestre de toute l'histoire de la musique alors on crée un article dédié, par exemple, et la catégorie qui l'accompagne, etc. Et ainsi, de questions en réponses, d'une enquête à l'autre, on s'aperçoit enfin de la valeur de cette œuvre : loin de connaître d'avance mon sujet « sur le bout des doigts », j'ai découvert énormément de choses — et mon opinion serait, aujourd'hui, que Les Nuits d'été sont une « clef » pour l'œuvre de Berlioz : ça tient dans la main mais ça vous ouvre de très grandes portes, peut-être un peu intimidantes, et sur des horizons immenses qui sont « la réconciliation de la mer et du soleil » Amour

Grâce à ce travail en commun, la lecture de l'article peut être accompagnée de l'écoute, non pas d'une mais de deux versions enregistrées Émoticône libres de droits ! On aurait souhaité disposer de la version mythique — « Diapason d'or des Diapasons d'or » d'après la revue… Diapason (no 504 de juin 2003, p. 40) — par Régine Crespin sous la direction d'Ernest Ansermet. Malheureusement, ça date de 1963. Enfin, pour les illustrations avec des tableaux, je m'en suis tenu au principe strict de contemporanéité, de moindre dissonance esthétique, etc. en retenant une toile de Caspar David Friedrich et une toile d'Ivan Aïvazovski : Berlioz, qui s'est rendu aussi bien à Dresde qu'à Saint-Pétersbourg, aurait pu voir ces œuvres (je doute qu'il l'ait fait : il n'en avait guère le loisir…) — enfin, pour cette raison la plus simple, qui est que je n'en connais pas de plus belles sur les thèmes qui devaient être illustrés (Smiley oups)

Tous mes remerciements encore à Madelgarius, qui a perfectionné le modèle de mise en forme des {{mesure}}, du {{tempo}}etc. à Crijam, Arcyon37 et 6PO qui ont bien voulu relire l'article et y apporter les retouches, les wikifications et le recul nécessaire, qui m'est toujours aussi difficile Émoticône J'espère que le résultat sera plaisant et intéressant à lire.

Cordialement, FLours toujours 15 mars 2021 à 07:32 (CET)[répondre]

Votes[modifier le code]

Format : Motivation, signature.

Article de qualité[modifier le code]

  1.  Article de qualité : proposant, matinal et printanier, mais résolument « nocturne », résolument « estival »… et berliozien jusqu'au bout des griffes ÉmoticôneFLours toujours 15 mars 2021 à 07:32 (CET)[répondre]
  2.  Article de qualité Comme toujours, c'est ici une page exhaustive sur cette œuvre de Berlioz pleine de poésie, grâce au travail exigeant de Flopinot2012. Rien à redire. --Sidonie61 (discuter) 15 mars 2021 à 07:45 (CET)[répondre]
  3.  Article de qualité La page est un plaisir à lire, et ça m'a replongé dans les Nuits d'été et le plaisir a été double, de les redécouvrir. Dommage pour Boulanger, mais ça viendra peut-être. En attendant, l'article est déjà, et de loin, largement assez étoffé sans cela. --Tambuccoriel (discuter) 15 mars 2021 à 08:17 (CET)[répondre]
  4.  Article de qualité : Après relecture. Sans hésiter. Bravo pour la grande qualité de cet article. Tout y est : exhaustivité des informations, qualité des sources, wikification et qualités d'écriture. Bravo, Flopinot2012 pour ton écoute et ta réactivité lors de la phase de relecture. Cordialement, --CrijamAbsit reverentia vero 15 mars 2021 à 09:59 (CET)[répondre]
  5.  Article de qualité : Je vote six fois, puisqu'il y a six mélodies… Pour ceux qui ont encore un peu de curiosité, vous procurer Crespin/Ansermet est un devoir culturel et humain, dont vous ne regretterez pas la minime dépense. Quand vous avez un petit coup de mou, hop ! Crespin dans Berlioz et ça repart comme au printemps (en été comme en hiver). La chaîne à fond, le cœur gros de poèmes se regonfle de vie. C'est rare la puissance de ce remède et je connais un témoignage de son efficacité sur les plus désespérés… Longue vie à cette œuvre inusable d'une richesse aussi inépuisable qu'un tendre câlin dont on a bénéficié il y a longtemps, mais toujours actif. En temps présent de folie et de maboules aux manettes — ça devrait être remboursé par la sécu toute l'année, ces Nuits d'été. Merci à toi, Floppy d'enrichir le béotien de passage à l'attention d'une des œuvres les plus importantes du répertoire sur wp.fr. Le travail est sérieux. Je revote une septième fois, ayant tourné ma langue mille fois, ça reste peu. Si tu ne l'avais fait, un jour ce serait moi de toute façon ! Amitiés estivales pour tout le siècle. Patachonf (discuter) 15 mars 2021 à 14:48 (CET)[répondre]
  6.  Article de qualité. Mon inculture musicale ne me permet pas d'apprécier la totalité de cette page, mais je suis admiratif au plus haut point devant le travail accompli. Encore une fois, bravo. — Arcyon [Causons z'en] 15 mars 2021 à 17:06 (CET)[répondre]
  7.  Article de qualité En cette période particulière, si les journées d'hiver sont un peu mornes (et les augures printaniers ne s'annoncent guère plus heureux…), sachons au moins célébrer à leur valeur ces Nuits d'été, qui musicalement sont superbes à écouter, et désormais belles à lire sur WP grâce à Flopinot ! Bravo ! --BerwaldBis (discuter) 15 mars 2021 à 20:49 (CET)[répondre]
  8.  Article de qualité pensais-je en écoutant les bandes sons (merci FL !), incapable de lire la moindre partition et certainement moins de critiquer une œuvre musicale voire tout simplement de l'exposer… Aimer ou non ? Ici oui… La musique et le texte écrits avec soin (regardez comment sont disposés les liens internes au milieu des 224 appels à Berlioz). Alors mille bravos. Amicalement et Cordialement. 6PO (discuter) 15 mars 2021 à 21:22 (CET)[répondre]
  9.  Article de qualité +1 — Beau, clair, limpide... Un Article de Qualité de plus que les Anglais n'auront pas ! Cela m'a même donné envie d'apporter ma modeste contribution à la page Hector Berlioz. En espérant vous lire à nouveau,Cordialement. Norman76000 (discuter)
  10.  Article de qualité Excellent comme d'habitude, merci ! --Foscolo (discuter) 17 mars 2021 à 08:08 (CET)[répondre]
  11.  Article de qualité Très très bel article, exhaustif et regorgeant de détails significatifs, de belles illustrations, d'analyses techniques musicales et de sources importantes et fiables auxquelles on sent que les auteurs ont apporté une attention toute particulière. Un très bon exemple de matériau encyclopédique, félicitations et un grand merci. J'envie les étudiants, chanteurs et musicologues qui l'ont à disposition pour leur travail.--Dil (discuter) 19 mars 2021 à 12:31 (CET)[répondre]
  12.  Article de qualité, certainement. Au plan de l'analyse musicale, il n'y manque rien. J'en ai profité pour mieux écouter la version que j'ai : Soprano (pour 3), alto, ténor et baryton et orchestre de l'opéra de Lyon (2003). Un petit regret de littéraire cependant : pas grand chose sur les poèmes eux-mêmes (leurs points communs, quelques mots d'analyse littéraire… Eymery (discuter) 23 mars 2021 à 23:20 (CET)[répondre]
  13.  Article de qualité : excellent. Eric-92 (discuter) 26 mars 2021 à 04:22 (CET)[répondre]
  14.  Article de qualité : Ho que oui, les nombreux extraits de partition sont excellents et le travail remarquable.--Maleine258 (discuter) 1 avril 2021 à 21:19 (CEST)[répondre]
  15.  Article de qualité bon pour le label sollicité et même pour un label supérieur qui n'existe pas. --Ange Gabriel (discuter) 14 avril 2021 à 11:21 (CEST)[répondre]

Bon article[modifier le code]

Attendre[modifier le code]

Neutre / autres[modifier le code]

Discussions[modifier le code]

Toutes les discussions vont ci-dessous.

Remarques d'Eymery[modifier le code]

La remarque accompagnant mon vote n'est pas vraiment une critique. Il est important de souligner la variété et la subtilité de l'orchestration de ces mélodies (Berlioz reste encore trop associé au gigantisme de l'orchestre, aux percussions, aux cuivres et au fortissimo) mais n'est-ce pas pour donner de l'importance au texte ? Je suppose que les sources pour l'article sont toutes des musiciens ou des musicologues, la critique littéraire n'est pas leur souci ! Je regrette juste de n'avoir absolument pas eu le temps de jeter un coup d'œil avant la mise au vote. On peut certes aller lire les poèmes dans wikisource et remarquer que la musique apporte beaucoup à des textes parfois bien conventionnels comme Villanelle rhythmique (!) ou à la versification facile comme amours/toujours ; angsoka / Java dans Barcarole dont le changement de titre par Berlioz en L'Île inconnue change l'esprit. Mais pour sourcer tout ça, je n'aurais personnellement pas grand chose, juste le volumineux livret accompagnant mon Cd+CD-Rom (Autour des Nuits d'été de Hector Berlioz) concocté pour un public scolaire isérois à l'occasion du bicentenaire de la naissance du-dit Berlioz, signé, il est vrai, par un inspecteur d'académie et IPR d'éducation musicale. Eymery (discuter) 24 mars 2021 à 00:36 (CET)[répondre]

Bonjour Eymery Émoticône
J'ai pas mal réfléchi à ce commentaire, cette nuit…
  1. les auteurs cités dans l'article ne sont pas tous des musiciens ou des musiciennes (ou des musicologues) il s'en faut de beaucoup : Michel Guiomar s'appuie sur les modèles proposés par Gaston Bachelard pour analyser l'œuvre de Berlioz, par exemple. Après la sous-section « Choix des poèmes », qui montre aussi que la reconnaissance de Théophile Gautier se borne à un silence complet sur ces Nuits d'été Émoticône il y a des petits commentaires disséminés ici et là dans l'article pour rappeler comment Berlioz joue avec le texte, magnifie ses qualités, modifie certains mots pour favoriser la voix mais parfois aussi le sens (« toutes les nuits » au lieu de « toute la nuit », dans Le Spectre de la roseetc.) sans consacrer une étude à la loupe des différences entre le poème d'origine et la mélodie qui en résulte ;
  2. les auteurs qui, en traitant des Nuits d'été, se sont plutôt intéressés aux poèmes qu'à la musique (faute de l'avoir entendue, parfois !) laissent une lecture très décevante du cycle de mélodies : j'ai envie d'accorder la palme à Roland de Candé, qui aligne les formules vides et les auto-rétractations dans un paragraphe « mi-fugue mi-raisin » où il doit résumer son opinion, et c'est après avoir entendu l'enregistrement Crespin-Ansermet — il attribue carrément à la chanteuse le mérite d'avoir apporté un sentiment d'unité à une œuvre qui n'a (je cite de mémoire) « aucun fil conducteur, excepté le génie… » ;
  3. ce qui apparaît, en faisant la synthèse des analyses sérieuses et moins sérieuses, c'est que la qualité des poèmes ne suffit pas pour justifier l'unité ou la continuité du cycle. Julian Rushton va un peu plus loin, mais ça en devient très pesant, comme un exercice d'oral du bac français, où il passerait bien dix minutes à décortiquer l'expression « des pleurs d'argent de l'arrosoir ». J'ai trouvé plus stimulant et plus aéré de traiter encore un peu des rapports poésie / musique dans la section « Poétique musicale ».
L'article ne s'inscrit pas dans le cadre du Portail littérature française : même ce qui a trait à la poésie n'est pertinent que par sa mise en musique. Ce serait à renverser complètement si on proposait l'article La Comédie de la mort à un label Émoticône sourire (recueil peu connu, d'ailleurs : on s'intéresse généralement aux Émaux et camées).
Amicalement, FLours toujours 24 mars 2021 à 07:38 (CET)[répondre]
petit PS : « pour l'amour du H » Émoticône
Écrire « rhythmique » (Villanelle rhythmique) n'était pas considéré comme une faute d'orthographe au XIXe siècle. C'est une époque où on raffole du H, aspiré ou non. Victor Hugo fait rimer « j'aimerais ce pays » avec « le sabre des spahis » dans La Captive (mis en musique par Berlioz, du reste). Baudelaire écrit « Saharah » dans Les Fleurs du Mal. Il faut attendre Alexandre Vialatte pour avoir un heureux rappel : « Pas de H pour Natalie »… on a toujours raison de relire du Vialatte. Il faut vraiment que j'ébauche un petit article sur Le Fidèle Berger qui est un petit chef-d'œuvre, bouleversant à lire et même à relire.
Théodore de Banville ferait plutôt observer (cf. son Petit traité de poésie française) que la « Villanelle » de Gautier n'est pas une véritable villanelle ! mais ça, ce n'est pas le problème de Berlioz…
Très amicalement, FLours toujours 24 mars 2021 à 08:44 (CET)[répondre]

Pour Eymery[modifier le code]

Bonjour Eymery Émoticône

Quand je disais que Roland de Candé aligne « les formules vides et les auto-rétractations », je ne souhaiterais pas que l'on m'accuse de méchanceté ou d'exagération. Je cite donc in extenso son commentaire p. 179 :

« Le titre que Berlioz a donné à son recueil est difficile à comprendre, car on ne voit pas trace de nuit ni d'été dans ces six mélodies. La seule saison évoquée est le printemps dans Villanelle. D'ailleurs le choix des poèmes est disparate ; la rédaction musicale aussi. Et ces six mélodies étaient destinées à l'origine à des voix différentes. L'ancienne et magnifique interprétation de Régine Crespin et Ansermet est parvenue à donner une unité spirituelle et esthétique à ces splendides mélodies sans autre fil conducteur que le génie. »

Ce serait une perte de temps considérable que de pointer du doigt toutes les erreurs, même factuelles, contenues dans ces quelques lignes — p. 178, il juge le poème de Gautier « assez faible » Émoticône Dans l'ensemble, j'ai pris soin de retirer ce genre de jugements que l'on pourrait comprendre comme inoffensifs mais tout de même négatifs : il doit y avoir des analyses littéraires (« centrées sur ce sujet », comme les aiment nos champions du sourçage Émoticône) qui défendront la qualité des poèmes. Ce n'est pas à moi de trancher.

Partons du principe que, pour rédiger cet article, j'ai lu (presque) toutes les biographies et monographies consacrées à Berlioz : 80% de cette « littérature », quelle que soit sa valeur anecdotique, au mieux comme témoignages-relais dans l'histoire de la musique (et de la musicologie, et de la critique musicale), n'est d'aucune utilité (Smiley: triste) J'en avais fait le commentaire avant de lancer la procédure : il y a eu des progrès immenses réalisés depuis les années 2000, par de jeunes musiciens et musiciennes qui ne manquent jamais de rappeler ce bon mot de Berlioz : « Quel malheur de ne pouvoir vivre cent-quarante ans ! comme on finirait par avoir raison… »

Amicalement, FLours toujours 26 mars 2021 à 14:23 (CET)[répondre]