Discussion:Laibach (groupe)

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Le lien sur NK serait à supprimer, il renvoit pour l'instant sur une page dédiée aux grand magasins suédois.

L'album éponyme du groupe : Opus Dei sorti en 1986. Si l'album est éponyme, il devrait logiquement s'appeler Laibach.

« Réussir à démontrer quelles sont les techniques de contrôle de notre monde en parodiant des hymnes populaires des groupes Yes ou Queen révélant le contenu idéologique et totalisant implicite de ces chansons et en s'en moquant en les comparant à des marches militaires. » Je trouve cette affirmation péremptoire : comment cette démonstration a-t-elle été faite ?

Désolé pour éponyme, il m'arrive d'employer de manière défaillante certains mots.

"Je trouve cette affirmation péremptoire : comment cette démonstration a-t-elle été faite ?"

La réponse est simple. Il suffit d'écouter l'album Opus Dei :-), et de comprendre les paroles de cette chanson fameuse parodiée par laibach, ici "geburt einer nation" : 'Allez donne-moi une image à suivre !' (n'importe quoi : un dieu, un peuple, une volonté, tant que j'ai quelque chose qui me soumet...)

Autre critique. Dire ceci : "Pour autant, il est aujourd'hui difficile de prendre Laibach pour un groupe "nazi" ; lors de leur tournée pour l'album Volk, un drapeau israélien était notamment visible sur scène." est vraiment (j'assume le jugement) stupide.

L'album volk a pour thème les hymnes nationaux de 14 pays dont Israel fait partie. Là aussi il faut bien écouter les paroles et comprendre le sens de l'album qui est une critique de la culture nationaliste à travers ses hymnes nationaux de chaque pays. 14 hymnes qui parlent de guerre, de luttes pour défendre un territoire... angoissant, non ?!

Laibach et le nsk sont bien plus pertinents que la réception timorée qu'il y a eu France pour la seule raison qu'une critique non française d'un système est difficilement acceptable. Il va falloir faire ce deuil-là. Le rayonnement culturel a changé de pays et de médium mais je ne suis pas certain que les français veuillent bien le voir ou le comprendre. Alors, on tente de trouver ce qui ne va pas tout en se gardant la nostalgie d'un rayonnement culturel français aujourd'hui dépassé.

Laibach et le nsk ont fourni une richesse bien meilleure que le simple fait de savoir si Laibach est oui ou non "nazi". Lire les analyses de slavoj zyzek (Pourquoi se pose-t-on cette question : http://www.nskstate.com/appendix/articles/why_are_laibach.php) sur le sujet et puis le nsk, laibach, toute référence est largement diffusée sur le web (nskstate.com).

Pour finir, en France on aime bien cette idée de tromperie par la séduction. Toute critique ne peut-être, a priori, que tromperie par séduction. Ah! Que ne dirait-on si effectivement Laibach avait trompé par séduction...

jean-marc

"Il est de fait vrai que le groupe a eu notamment en France le soutien du fanzine L'Appel du Cerf, d'orientation Nationale-Révolutionnaire, auquel a notamment collaboré le musicien et patron de label Bertrand Burgalat. "
Plaît-il ? Bertrand Burgalat aurait collaboré à un fanzine d'orientation "national-révolutionnaire" (diable !) appelé "L'appel du cerf" ? Vous êtes sûrs que vous confondez pas un peu tout, là ? Sur google il n'y a que deux pages à mettre en relation ces deux entités : un site qui a copié-collé cet article (à moins que ce ne soit le contraire) et un commentaire dans une vidéo de Laibach sur dailymotion, également un copié-collé de cet article - est-il utile de le préciser ?
En revanche, Bertrand Burgalat a collaboré plus d'une fois (en fait, il les aurait même produit, voire poussé, non ?) avec Laibach. Là, les sources ne manquent pas. Alors merci de rectifier ou d'effacer cette phrase.

Laibach VS appel du Cerf (Pas de mention de Burgalat à ce sujet). A lire sur ce sujet... Je n'ai pas le temps d'étudier le problème, voici un auteur à dépouiller: http://books.google.fr/books?id=bgpZL7vatbgC&pg=PA54&dq=laibach+musique&hl=fr&ei=5VnQS_T0F8vX-QanrLkC&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=2&ved=0CDoQ6AEwAQ#v=onepage&q=laibach%20musique&f=false

BB évoque ses 20 ans : http://www.lesinrocks.com/musique/musique-article/article/bertrand-burgalat-goute-mes-disques/

Bonjour, avez-vous pensé à ajouter la bande son du film Iron Sky à la discographie ? Ce n'est pas seulement le titre B Machina, mais tout l'album qui est de leur composition (avec de nombreuses reprises à Wagner). --Realpolitik (d) 13 avril 2012 à 23:06 (CEST)[répondre]

Section de l'article Concept transférée sur page de discussion[modifier le code]

Bonjour, je trouve utile que l'article sur cette formation artistique notoire et aussi controversée soit amélioré, notamment avec des sources plus précises. La section Concept ne comprend aucune source, référence ou note pour appuyer l'exposé et peut relever d'un Travail Inédit ; plusieurs affirmations sont peut-être justes, mais doivent être sourcées, référencées, avec des notes qui mènent à des articles de journaux, de critique musicale, artistique, ou autres. Une relecture est nécessaire pour un ton plus neutre et plus factuel. Aussi je la déplace sur cette page pour discussion et clarification.
Ci-dessous le transfert de cette section à sourcer :

Il est impossible de comprendre ce groupe sans tenir compte de l'histoire de la Yougoslavie et de l'Europe en général. Ce groupe est la version intellectualisée et conceptualisée de Test Dept. Son image de marque est la création d'albums hautement conceptuels mêlant subtilement subversion, idéologie et poésie. Avec l'album Opus Dei sorti en 1986, on est peut-être dans la quintessence de l'expression industrielle : réussir à démontrer quelles sont les techniques de contrôle de notre monde en parodiant des hymnes populaires des groupes Yes ou Queen révélant le contenu idéologique et totalitariste implicite de ces chansons et en s'en moquant en les comparant à des marches militaires. C'est la naissance du mythe Laibach à l'ouest (à noter le morceau How the west was won - La conquête de l'ouest- dans le même album) et aussi de la guerre menée contre ce groupe et ses protagonistes depuis.

À retenir le coffret, plus confidentiel, Krst Pod Triglavom sorti à la même époque qu'Opus Dei. Cet album renoue avec les fortes racines littéraires, historiques et poétiques du groupe mais aussi avec ses expérimentations sonores basées sur des formes musicales moins classiques que le rock donc moins à l'ouest et plus proche de l'esprit de l'est. Ce coffret est considéré comme le chef d'œuvre du groupe.

Aujourd'hui le groupe se fait plus rare et est devenu une sorte de référence incontournable. Laibach est l'entité la plus connue d'un collectif d'artistes slovènes rassemblé sous le nom de Neue Slowenische Kunst (NSK).

Les lectures approfondies du philosophe et psychanalyste Slovène Slavoj Zizek et celles du philosophe américain Alexei Monroe vous aideront à vous retrouver dans ce labyrinthe hautement provocateur. « Fondamentalement, le travail des groupes liés au NSK représente une réponse artistique et culturelle face à la violence idéologique imposée par notre culture et sa théorie. » (Alexei Monroe)

L'on peut également noter que la croix noire sur fond blanc, "sigle" de Laibach, et porté comme brassard par dessus leurs uniformes, n'est pas sans rappeler les œuvres suprématistes et anti-socialistes du peintre Kazimir Malevitch, qui dans les années 1930 s'est battu, à travers ses peintures, contre la dictature stalinienne.

Il s'y trouve un certain nombre d'observations intéressantes à préciser. Merci aux bonnes volontés et spécialistes du sujet --Franz53sda le 22 à Asnières 5 octobre 2012 à 21:20 (CEST)[répondre]

J'ai conservé dans le Résumé Introductif le propos : Laibach est l'entité la plus connue d'un collectif d'artistes slovènes rassemblé sous le nom de Neue Slowenische Kunst (NSK) qui est cohérent avec le lien Neue Slowenische Kunst --Franz53sda le 22 à Asnières 5 octobre 2012 à 21:25 (CEST)[répondre]