Discussion:La Grève (roman d'Ayn Rand)

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Ajouts[modifier le code]

J'ai traduit "Contexte et écriture du roman" de l'article anglais, j'ai rajouté les sous-parties "Le capitalisme de copinage" et "L'exploitation des êtres accomplis" ainsi que la partie "Le discours de John Galt". J'ai tendance à faire des phrases assez longues, excusez-moi mais n'hésitez pas à le signaler et à le corriger si c'est illisible (je me suis cependant relu). J'en suis à mes débuts sur Wikipédia, n'hésitez pas à me renseigner sur mes erreurs.Gorbouille (d) 18 juillet 2013 à 20:38 (CEST)[répondre]

Edition française[modifier le code]

Je vois dans l'article que la version française comprenait deux volumes, reprenant Non-Contradiction puis Either-Or. N'y aurait il pas un troisième volume pour A Is A? --Bombastus 22 décembre 2006 à 16:05 (CET)[répondre]

je ne sais pas sil y a un 3ème volume. Par contre je crois qu'Ayn Rand n'était pas satisfaite de cette traduction, c pourkoi le livre n'était pas diffusé en France. Je sais qu'une traduction se fait (une 2ème!), et qu'un film va se tourner en 2007 à Hollywood. Les producteurs sont des fans et ont l'air motivés, ils ne veulent pas rater le tournage! :-) --Cloclob 31 décembre 2006 à 15:22 (CET)[répondre]

Une nouvelle édition en langue française, complète celle-ci, a finalement été éditée en septembre 2009. Le traducteur est Monique di Pieirro, et l'éditeur est Les Editions du Travailleur. Sous son format de page actuel, cette récente traduction ne compte pas moins de 1803 pages, ou 1834 pages au total y compris les pages de titre, d'introduction, de sommaire, etc. Je ne l'ai pas trouvée en librairie, mais elle est gratuitement disponible en ligne (sur le site larevoltedatlas.com) sous la forme de fichiers .pdf Acrobat et .prc pour Kindle, pour l'instant. La mise en page est soignée et identique à celle de la version "hard-cover" américaine que je connais bien. La traductrice y a ajouté de nombreuses notes de bas de pages qui sont souvent bienvenues et qui mettent en évidence certains étails intéressants. Je ne l'ai pas encore lue dans son intégralité et n'ai fait que la parcourir pour vérifier la qualité de la traduction en m'arrêtant sur quelques passages pris au hasard. Il apparait, ainsi que Monique di Pieirro, la traductrice, le laisse entendre dans sa note du traducteur, que cette dernière s'est efforcée de respecter aussi scrupuleusement que possible la prose d'Ayn Rand, sans jamais chercher à en changer le style que d'aucuns jugent lourd (et elle a l'air d'être plutôt scrupuleuse en effet, lorsque lisant sa note du traducteur). Pour autant, je suis tombé sur quelques belles envolées lyriques/romantiques et, de mon point de vue, la lecture de ce livre doit-être plûtôt agréable et aisée dans l'ensemble. Il y a peu, quelqu'un a entrepris la réalisation d'une version livre audio de La Révolte d'Atlas (en français, donc) librement diffusée sur Youtube (chercher "La Révolte d'Atlas" sur Youtube)sous la forme d'environ 300 épisodes de 10 minutes chacun. Il ne s'agit pas d'un livre audio classique car une bande son d'effets spéciaux sonores assez bien faite accompagne le récit du narrateur. - Robert Mouchy - 26 octobre 2009 à 10:25 (CET)

Qu'en est-il des droits d'auteur ? Sauf erreur de ma part, l'œuvre n'est pas encore dans le domaine public, de plus l'héritier d'Ayn Rand (Leonard Peikoff) n'a pas donné son accord. D'autre part, je trouve dommage qu'une version publiée sur papier, à destination du "grand public", n'existe pas. Dilbert (d) 7 novembre 2009 à 14:46 (CET)[répondre]
Alain Laurent m'a dit qu'il étudiait la possibilité d'une version papier et qu'une traductrice avait été approchée. Une version papier pourrait donc voir le jour.
Cependant, alors qu'il est l'un des spécialistes de Rand en France, il n'avait pas écho de la traduction proposée par les mystérieuses éditions du travailleur, traduction qui me semble tout sauf officielle. --Bombastus [Discuter] 7 novembre 2009 à 15:31 (CET)[répondre]
Avis partagé ; il me semble tout a fait scandaleux que ce livre ait été traduit en français par on ne sait pas qui, et diffusé de la sorte sans l’autorisation de quiconque. Il devrait y avoir une loi contre ça, sinon, alors où allons-nous, si n’importe qui peut traduire ou publier ce que bon lui semble sans demander l’autorisation à personne ! Pour qui se prennent cette traductrice et cette maison d’édition inconnue !
En effet, il me semble qu’il serait bien qu’une traduction officielle sur papier, et réalisée celle-là par quelqu’un qui soit connu et de confiance, soit entreprise afin qu’elle puisse voir le jour, un jour. Maintenant, si une autre traductrice a été approchée, c’est déjà un bon début, et une bonne nouvelle qui permettra de faire patienter les lecteurs soucieux d’une bonne qualité approuvée par des gens compétents. Pour autant, il est surprenant qu'Alain Laurent n’ait pas eu connaissance de cette nouvelle traduction, car cela fait déjà plusieurs années que quelqu’un avait publié sur Wikipedia qu’une traduction était en cours. Et, pour autant que je m’en souvienne, il avait d’ailleurs été précisé, début 2009, que cette traduction paraîtrait durant cette même année. Cela nous nous fait au moins une personne bien informée qui le savait : l’auteur de cette ligne sur Wikipédia, en l’occurrence. Monsieur Alain Laurent n’avait-il pas consulté Wikipedia à ce propos, à tout le moins ? - Robert Mouchy - 9 novembre 2009 à 10:55 (CET)
Article corrigé en intégrant les derniers éléments disponibles sur la traduction pirate. --Bombastus [Discuter] 13 novembre 2009 à 18:59 (CET)[répondre]
La traduction de Monique di Pieirro précisait en introdution :
« La décision de la traduction et de la publication d’Atlas Shrugged en langue française, sous le titre La Révolte d’Atlas, est une initiative unilatérale des Editions du Travailleur, sans que la maison d’édition américaine Penguin Group, ni Monsieur Leonard Peikoff, détenteur du copyright pour ce roman, en aient donné leur accord, ou même en aient été informés. Il s’agit donc d’une initiative désintéressée qui fut uniquement motivée par la lassitude et l’exaspération du public francophone de s’être vu régulièrement promettre chaque année, depuis 1957, la publication complète en langue française d’un ouvrage pourtant connu partout ailleurs dans le monde, ce non seulement comme un best-seller, mais plus encore comme un classique de la littérature américaine ; promesse qui n’à toujours pas été tenue à la date de publication du présent ouvrage. »
Je pense qu'il serait intéressant de mentionner toute cette "querelle" dans le corps de l'article.--93.16.125.81 (d) 18 novembre 2009 à 22:15 (CET)[répondre]