Discussion:Jean-Louis Vaudoyer

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Il faudrait virer cette section dithyrambique, louange excessive, adoratio, un coup à droite, un coup à gauche. On dirait des citations du dos de couverture, à l'époque, d'un de ses bouquins les mieux reçus. Wikipédia n'a pas à jouer ce rôle. Cordialement Mike Coppolano (d) 20 février 2013 à 14:41 (CET)[répondre]

Seule une lecture au premier degré peut faire juger ces commentaires des contemporains de Jean-Louis Vaudoyer comme laudateurs. Au contraire, ils peuvent être lus tantôt comme de la complaisance de l'époque pour la nouvelle esthétique de la « jeune droite » littéraire, tantôt comme de la consternation pour une littérature vue par d'aucuns comme le comble du « cucu ». En supprimant la rubrique, vous ne permettez pas au lecteur de se faire une opinion, ou du moins de l'inviter à se faire opinion.
En supprimant la rubrique, vous empéchez surtout le lecteur de comprendre deux choses essentielles:
1 - Vaudoyer avait avant guerre une grande notoriété. Les citations ont l'avantage de l'établir par les faits.
2 - Son oeuvre s'inscrivait dans un débat esthétique, que l'on juge a posteriori dominé par la NRF.
Les étudiants, les chercheurs seront peut être contents de retrouver facilement dans Wikipedia des citations avec leurs sources. C'est ce qui fait un support de référence. De même avoir copier les citations de la rubrique Aperçu dans Wikisource, c'est bien, mais ce n'était pas une raison pour les supprimer de la page. Après cette autre suppression, le lecteur est tout bonnement moins bien informé. Il s'agit d'une dégradation.
Il me semble que vous ne devriez pas simplifier le discours proposé au lecteur, qui est tout de même aussi apte que vous à juger avec son sens critique de ce qu'était la perception de l'oeuvre de Vaudoyer par ses contemporains, de votre seule initiative et que cette supression, dommageable à mon sens, devrait être annulée en attendant un éventuel débat sur son opportunité. La page étant désormais bloquée, je compte sur votre civisme et votre sérénité pour procéder ainsi.
85.171.84.83 (d) 23 février 2013 à 13:06 (CET)[répondre]

Notice remplie d'approximations, de raccourcis hasardeux, de lieux communs, écrite sur un ton de cuistre qui frise le ridicule et qui dissimule mal des rancœurs de petit-bourgeois envieux. Pauvre J.-L.V. !

Suite à la controverse IRL collabo/pas collabo[modifier le code]

La section ci-dessous donne l"impression de vouloir "charger la barque", avec un sourçage curieux, 'un mot par ci pris dans une source, un mot âr là pris dans une autre, et assemblage du tout. Autre problème : l'accusation de collaboration par proximité. Voici signalé par des balises les points litigieux (ne pas tenir compte des messages en rouge de source inexistence, cela correspond à des refname présentes dans d'autres parties du texte) :

Une polémique jugée secondaire (mi 1944-1946)[modifier le code]

À la Libération, Pierre Dux, qui a travaillé, comme un très grand nombre d'artistes de premier plan, pour la Continental[1], est préféré le 1er septembre 1944 au communiste, proposé par Maurice Thorez, Julien Bertheau pour administrer le Français. Il s'oppose à toute épuration prévue par l'ordonnance du 27 juin 1944 relative au personnel administratif et confiée à l'autorité de la Direction des Beaux Arts au sein du ministère de l'Éducation par l'arrêté du 13 octobre 1944 relatif au monde du spectacle, de sorte que[réf. nécessaire] son prédécesseur n'est pas convoqué devant une chambre civique. La maîtresse du nouvel administrateur[2] occupe 9 rue de Beaujolais un superbe appartement donnant sur les jardins du Palais-Royal qui est un « bien juif » spolié[3] situé dans le même immeuble que celui du mari de Colette[4], laquelle avait obtenue la libération de ce dernier par Otto Abetz.[pertinence contestée]

Un peu plus d'un an après l'exécution de Robert Brasillach[pertinence contestée], Paul Claudel, pantin[5] n'a pas[citation nécessaire] osé[non neutre],[citation nécessaire][6] publier durant la guerre, quand il était appointé par la machine de guerre allemande, son poème de résistance[7] ou héros[8] dénonciateur du nazisme[9] selon les points de vue, se montre reconnaissant à Jean-Louis Vaudoyer d'avoir programmé sa pièce[10] et le défend[11] du sein du Comité National des Ėcrivains quand celui ci s'oppose à son élection à l'Académie française au motif qu'en tant qu'« ancien Administrateur de la Saison allemande au Théâtre-Français », il « mit la première scène française à la disposition de l'ennemi (…) »[12]. Philippe Pétain, Charles Maurras, Abel Bonnard, Abel Hermant radiés de l'Académie, François Mauriac rappelle en séance restreinte l'interdiction faite aux Quarante d'élire un collaborateurErreur de référence : Balise fermante </ref> manquante pour la balise <ref>. Le Figaro, où François Mauriac est éditorialiste, reprend « Pour la première fois, un collaborateur notoire ose y poser sa candidature »[13].

Que ce soit par tactique contre offensive ou par entêtement dans ses convictions, Jean-Louis Vaudoyer est loin de renoncer à devenir, pour sa troisième tentative[réf. nécessaire], académicien. Pour répondre aux accusations de Louis Aragon et François Mauriac, il demande l'arbitrage d'un jury d'honneur[14]. Sous la présidence de Paul Grunebaum-Ballin, conseiller d'état[14], deux membres du C.N.E., Jean-Jacques Bernard[14], survivant et auteur du Camp de la mort lente, et Alexandre Arnoux[14], collègue du Divan en 1921, ainsi que deux collègues conservateurs de musée engagés contre le fascisme, Jean Cassou[14] et André Chamson[14], se réunissent en juin 1946 et le 17[15] déclarent à l'unanimité au nom de « l'avènement de la concorde entre les citoyens » et de « la régénération morale de la patrie » que, s'il n'est « coupable que de faiblesses, alors que tant de crimes restent impunis », il « ne peut être qualifié de collaborateur, n'ayant commis aucune faute contre l'honneur »[15]. Le jugement retourne, sans le nommer, l'accusation contre un François Mauriac, qui aurait tardé à dénoncer un collaborateur[15] et qu'a politiquement isolé[16] un débat mené avec la Guerre froide entre partisans de et opposants à la littérature engagée au sujet de la responsabilité de l'intellectuel[style à revoir].

  1. R. Cardinne-Petit, Les secrets de la Comédie française 1936-1945, II, VI, p. 220, Nouvelles Éditions Latines, Paris, 1958
  2. G. Latour, Une jeunesse bien occupée (1940 - 1945), 27, ART, Paris, 2012 (inédit en version papier).
  3. G. Latour, Une jeunesse bien occupée (1940 - 1945), 20, ART, Paris, 2012 (inédit en version papier).
  4. G. Latour, Une jeunesse bien occupée (1940 - 1945), 33, ART, Paris, 2012 (inédit en version papier).
  5. H. Le Boterf, La Vie parisienne sous l’Occupation, p. 160, France-Empire, 1997.
  6. E. Boothroyd, The parisian stage during the Ocupation - 1940-1944: a theatre of resistance?, p. 239, College of Arts and Law in Department of French Studies of The University of Birmingham, Birmingham, août 2009 en ligne[PDF]
  7. P. Claudel, La France parle, 14 September 1943, reproduit in P. Claudel, Œuvres complètes de Paul Claudel II: Poésie, pp. 270-74, Gallimard, Paris, 1952.
  8. J.-L. Barrault, Souvenirs pour demain, p. 165, Le Cercle du Livre de France, 1972.
  9. P. Claudel, Adresse au peuple allemand, RN, Paris, 29 octobre 1939, in P. Claudel, Œuvres complètes de Paul Claudel, vol. 29: Prose et poésies diverses, , pp. 292-298, Gallimard, Paris, 1950.
  10. P. Claudel, Lettre à Jean-Louis Vaudoyer, 1946, citée in A. Ubersfeld, Paul Claudel, poète du XXe siècle, p. 153, Actes Sud, 2005.
  11. E. Boothroyd, The parisian stage during the Ocupation - 1940-1944: a theatre of resistance?, p. 227, College of Arts and Law in Department of French Studies of The University of Birmingham, Birmingham, août 2009 (thèse de doctorat de philosophie).
  12. Louis Aragon
  13. M.-A. Joubert, La Comédie-Française sous l'Occupation, p. 365, Tallandier, Paris, 1998.
  14. a b c d e et f Dossier Vaudoyer, Archives de la Comédie-Française, Paris, in C. Darre-Bière, dir. M. Raimond, Jean-Louis Vaudoyer et son œuvre, p. 370 Faculté de Lettres de la Sorbonne, Paris, 1990, ISSN 0294-1767, cité in J.L. Barré, François Mauriac - Biographie intime 1940-1970, II, p. 155, Fayard, Paris, 2010, (ISBN 978-2-213-65577-2).
  15. a b et c Dossier Vaudoyer, Archives de la Comédie-Française, Paris, inédit, cité in J.-L. Barré, François Mauriac - Biographie intime 1940-1970, II, p. 156, Fayard, Paris, 2010, (ISBN 978-2-213-65577-2).
  16. J.L. Barré, François Mauriac - Biographie intime 1940-1970, II, p. 157, Fayard, Paris, 2010, (ISBN 978-2-213-65577-2).

Même problème dans le RI : le point saillant n'est pas sourcé. " Dénoncé à la Libération pour avoir mis « la première scène française à la disposition de l'ennemi »5, il échappe comme la plupart des hauts fonctionnaires au tribunal d'épuration " Or qui a accusé Vaudoyer d'être un collaborateur à part Mauriac ? Formulé ainsi, on pourrait croire qu'il a été dénoncé en justice. Et qu'il a bénéficié de protections occultes. Tibauty (d) 23 février 2013 à 19:15 (CET)[répondre]

Trop d'affirmations sans source de la part d'un seul contributeur et anonyme 85.171.84.83[modifier le code]

Il faudrait qu'une certaine logique soit respectée dans ce Wiki,

Un seul intervenant anonyme 85.171.84.83 ajoute une série d'affirmations sans preuves, il faut évidemment donner les informations, mais ne pas lister toutes les accusations sans preuves. J'ai noté en particulier l'hotel particulier de l'hotel de Sagonne du Comte Govone "qualifié de nationaliste". or les presses de l'hotel de Sagonne étaient hébergées dans les dépendances, situées à l'arrière de l'hotel prestigieux bd Beaumarchais, rue des tournelles. Le comte était parti se réfugier dans ses proprétés Italiennes, et vivait à Turin, ses ressources venant des revenus agricoles, il ne pouvait plus financer les éditions en France. Son épouse Mariette Lydis, d'origine juive de Vienne s'était réfugiée en Angleterre. Donc d'où vient l'affirmation des réunions dans cet hotel? correspondances govone

Ces affirmations sans sources données, devraient être supprimées, appel aux admlinistrateurs, et disqualifier définitivement leur auteur. Malydis (d) 24 février 2013 à 10:10 (CET)[répondre]

L'IP a rédigé la totalité ou presque de l'article. Il est logiquement l'auteur des points contestés. On ne "disqualifie pas un auteur" parce que des passages sont contestés, ni parce qu'il intervient sous IP (pas plus anonymement, avec une IP fixe, que nous sous pseudonymes). Il est préférable de traiter le texte, et pas le statut de l'auteur. Cordialement, Tibauty (d) 24 février 2013 à 10:15 (CET)[répondre]
Ce ne sont pas des passages, mais l'esprit complet de l'article. Digne d'un professeur spécialiste de la période collaboration. Ces petites phrases pleines de sous entendus, ces qualificatifs, soupsonneux. Même si les choses sont extraites, souvent hors contexte de livres, eux-mêmes sans forcément être sourcés. Que penser de l'allusion à la maitresse mère de l'écrivain Patrick Modiano, avec comme source un écrit non publié, il ne faut que laisser l'auteur le raconter de façon romancée, le répéter de cette façon est malveillant. Qu'aurait fait un professeur sous le régime de Vichy? certains ont démissionné et leur famille chassée, que pouvaient faire les artistes ou les ecrivains pour vivre? refuser les postes ca signifiait quoi? Facile d'accuser pour Aragon, mais il était où , refugié chez qui? à Antibes et qu'est-ce qu'il avait à faire de sa famille? Donc article très préparé par un auteur certes bien documenté, comme seul un universitaire qui n'ose pas signer, même sous un pseudo, en 40 ce serait un dénonciateur. Je trouve qu'il faut être modeste dans l'accusation des autres. --Malydis (d) 24 février 2013 à 20:13 (CET)[répondre]

Petit complément sur la notion d'anonyme avec l'utilisation de l'adresse IP seule: tout un cyber café, tout comme moi pour une adresse d'un hotplug, l'adresse d'une université peut se résumer un en seul IP, par lequel tous les utilisateurs sont déservis. Effectivement bloquer une IP peut entraîner beaucoup de répercutions.--Malydis (d) 28 février 2013 à 15:41 (CET)[répondre]

Article écrit par un pense-menu, petit esprit jaloux, ignare et vaniteux, qui n'a pu résister au plaisir de "casser du bourgeois" - comme un sot. N'est pas critique qui veut ! Ni même pseudo-critique ! On se veut historien, critique d'art, sociologue, archiviste, savant - pauvre scribouillard prétentieux !

Article à revoir[modifier le code]

Article écrit par un stalinien de la grande époque ! Il en reste donc ? Prétentieux, rempli de mensonges, simpliste, malhonnête - et d'une bêtise ! A la niche, le scribouillard ! Wikiblabla...

Liste (non exhaustive) des problèmes flagrants de l'article :

  • Sur sourcé, certaines lignes comportent une source tous les trois mots.
  • Trop de sources primaires et pas assez de secondaires
  • Utilisation des légendes d'images de façon abusive, elles sont censés servir à commenter le fichier pas à partir sur autre chose
  • Rédaction non encyclopédique de l'article
  • Sections qui n'ont rien à y faire comme "Citations"
  • Article absolument non neutre et bourré de POV et d'analyses subjectives.
  • Titres des sections non conformes
  • Bibliographie mal présentée et incomplète
  • Interprétations personnelles inappropriées
  • Article malveillant rempli d'erreurs
  • Absence d'analyses documentées
  • Aucune intelligence historique ni littéraire
  • Rédaction lourde qui rend la lecture pénible
D'accord avec ce constat. Je me demande si le plus simple ne serait pas de jeter cet article à la poubelle, pour le remplacer par un article de dimension raisonnable qui respecte les principes de Wikipédia et l'intelligence du lecteur.--Deusdet (discuter) 16 décembre 2020 à 21:09 (CET)[répondre]


Twirys (d) 27 février 2013 à 11:29 (CET)[répondre]

Pardon, mais je n'ai jamais rencontré sur WP, en 6 ans, un article aussi « hyperparatextualisé » ! Je le garde en mémoire comme contre exemple typique : à ne pas imiter, antipédagogique, etc. Bon courage aux utilisateurs qui vont se lancer sur le chantier. Et aux lectrices/lecteurs. Le diable est décidément dans les détails. Cordialement, --Spiessens (discuter) 5 novembre 2013 à 13:03 (CET)[répondre]

Reprise et mise aux normes Wikipédia de l’article[modifier le code]

Bonjour à tous les contributeurs participants passés ou présents de l’article : dix ans après ceci : [1], celà : [2], et tous les commentaires ci-dessus, il semblerait que le temps soit venu, de reprendre l’article.
Il convient sans doute de travailler sur :

  • l’aspect « hyperparatextualisé »
  • la neutralisation
  • le retrait du travail inédit
  • la vérification des sources, comme demandé, avec apports de sources secondaires en ligne, et non plus interprétations personnelles de sources primaires, glanées ici ou là, utiliséees au service d' un discours de type tribune.

Un bandeau en travaux sera prochainement placé en tête d’article. Merci à tous --JoSloane (discuter) 17 août 2022 à 22:17 (CEST)[répondre]