Discussion:Gestion des risques

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La definition d'acceptation de risque est fausse à mon avis. Elle correspond à accepter la perte, Alors que contrater une assurance entre dans le transfert du risque.

--Itomi Bhaa 18 septembre 2006 à 11:35 (CEST)[répondre]

Question : Probablement que cet article devrait prendre de la hauteur ; trop rapidement centré sur l'économique.... Une "encyclopédie dite en ligne" s'adressant, avant tout, à tous et pour tous... Donc au niveau CEP, voire CAP aussi (1)

(1) Pour mémoire : CEP comme Certificat d'Etude Primaire (savoir lire, écrire et compter), CAP, comme Certificat d'Aptitude Professionnelle (avoir un premier métier).


QUestion 2 :

< Cette démarche d'analyse et d'identification systématique est assez traditionnelle dans le monde industriel : maritime, aviation, nucléaire, pétrolier, industrie chimique… mais cela n'élimine pas totalement le risque (voir l'explosion de l'usine AZF à Toulouse). Elle se développe également dans le domaine de la santé, et plus précisément dans les établissements de santé, publics ou privés, où la gestion des risques et des vigilances sanitaires est devenue indissociable de la démarche qualité. > Ce propos suggère que la santé arrive tardivement ; qu'a-donc fait Pasteur dans sa démarche scientifique, bien en vue de l'élimination du danger, du risque de rage !!!

< En revanche, l'analyse de risque est beaucoup plus récente dans le domaine de la gestion et de l'économie > Probablement que non, ce serait oublier que la première Chaire d'économie en France a 200 ans presque, celle qui lui est associée, l'organisation (donc de gestion) n'est pas beaucoup plus jeune d'ailleurs !! Ceci faisant suite au constat de la nécessité d'aborder ces deux questions face aux dangers provoqués par le déploiement des nouvelles machines (déjà) et au fait que les universités d'alors s'y refusaient sur ces techniques. cf. Jean-Jacques Salomon ; plusieurs ouvrages sur et associés à la question du risque, et du danger.



--lumibd 17 decembre 2010 - la phrase suivante me parait être de la pub : < Ces risques sont notamment analysés par l’assureur-crédit public ONDD qui met à disposition des outils et un classement du risque pays sur son site web (www.ondd.be)>

En effet Deuxtroy (d) 10 septembre 2012 à 00:35 (CEST)[répondre]

A recycler[modifier le code]

  • Sujet mal délimité, comme signalé plus haut : gestion des risques, ou gestion des risques en entreprise?
  • Plan et contenu à revoir en conséquence
  • La section « Le processus de la gestion de risque » semble un copier-coller à but publicitaire d'une méthodologie propre à un organisme lambda
  • Sources à lier : après ménage, reste 6 sources, dont 4 obsolètes, contre 15 livres en biblio

Deuxtroy (d) 10 septembre 2012 à 00:35 (CEST)[répondre]

Gestion du risque[modifier le code]

On dit aussi (plus souvent?) "gestion du risque". — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 87.91.51.235 (discuter), le 30 novembre 2020 à 12:34 (CET)[répondre]

Je signale[modifier le code]

un document intéressant, qui peut aider à compléter cet article, publié par la Cour des Comptes (juin 2023) : Rapport : La gestion publique des risques. Mieux coordonner les actions, faire émerger une vision d'ensemble ; Chambres régionales et territoriales des Comptes juin 2023 ; 185 pages https://medias.vie-publique.fr/data_storage_s3/rapport/pdf/289768.pdf ;
--Lamiot (discuter) 23 juin 2023 à 12:18 (CEST)[répondre]
ce document rappelle que "la puissance publique doit gérer de nombreux risques "externes", c’est-à-dire limiter en amont leur survenance et garantir la population contre leurs effets, mais elle doit aussi se prémunir contre des risques "internes", en organisant notamment la continuité de son action au bénéfice de la population. Le rapport s’attache à analyser concrètement la gouvernance de la gestion publique des risques, les processus qu’elle met en œuvre et les conditions de son adaptation à l’évolution des risques. Selon la Cour des comptes : (…) des tendances de fond modifient en profondeur la nature de certains risques et leurs modalités d’occurrence, comme l’illustre le cas des risques naturels dans le sillage du dérèglement climatique. Un effort accru de prospective et de recherche s’impose ainsi, afin de mieux anticiper ces tendances et d’en appréhender toutes les dimensions, dans une logique raisonnée de prévention étendue des risques. (…) Les services publics doivent également tenir compte de ces risques dans leur propre fonctionnement. Or, leurs dispositifs de continuité d’activité sont mis en oeuvre de façon très inégale. La récente pandémie de covid 19 a en outre montré leur insuffisance face à l’accumulation et la diversification des crises. Ils doivent être améliorés, en tenant compte de la dépendance de l’État vis-à-vis de ses opérateurs, dans une approche intégrée avec eux. À ce titre, l’émergence du concept de résilience nationale, qui gagnerait à être précisé, doit être l’occasion d’une réflexion de fond sur les moyens de rendre les administrations plus robustes et plus agiles. La Cour note, au vu des premiers éléments de la stratégie nationale de résilience envisagés par le Gouvernement, que cette stratégie doit être doublée d’une organisation adéquate, aux plans national et territorial, et qu’elle doit en tout état de cause être complémentaire des actions plus ciblées de prévention des risques".

  • chapitre 1 : organisation publique mise en œuvre face aux divers risques, et analyse des grands déterminants des principaux dispositifs sectoriels de gestion des risques.
  • chapitre 2 : coordination de la gestion des risques à l’échelle interministérielle.
  • chapitre 3 : réponse des pouvoirs publics au développement de risques généraux et interdépendants comme le risque cyber et les risques résultant de l’existence d’opérateurs d’importance vitale ; ou à ceux résultant d’évolutions de long terme aux conséquences profondes et complexes comme le changement climatique.
  • chapitre 4 : analyse, successivement, l’implication de la population dans les dispositifs publics de gestion des risques, puis les effets de transferts financiers entre acteurs, qui résulte de certaines mesures de prévention et de protection visant à responsabiliser financièrement les acteurs, comme de l’action assurantielle et indemnitaire de l’État.

La Cour fait 11 recommandations aux départements ministériels et au xorganismes chargés de la mise en oeuvre d’actions relevant de la gestion des risques (à titre principal : ministère de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, ministère de l’intérieur et des outre-mer, ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, ministère de la santé et de la prévention ; autorité de sûreté nucléaire, agence nationale de santé publique) que, plus généralement, aux services du Premier ministre sous l’égide duquel ces actions sectorielles doivent être coordonnées.

Rationaliser les dispositifs sectoriels de gestion des risques
1. Réviser les dispositifs sectoriels de gestion des risques et leur documentation, afin de les rendre plus efficients et de mieux les articuler.
2. Exploiter les données quantitatives collectées afin d’adapter les dispositifs de gestion de risques aux particularités, notamment géographiques, de ces derniers et de mieux évaluer leur efficacité. À cet effet, rationaliser et ouvrir les systèmes d’information sectoriels mis en oeuvre pour la collecte et le traitement des données, afin de rendre possible leur exploitation dans un cadre interministériel ou par d’autres filières sectorielles.

Améliorer la vision d’ensemble de la puissance publique sur les risques qu’elle supporte et sur les moyens qu’elle met en oeuvre pour les gérer
3. Définir, mettre à jour et publier tous les cinq ans une carte globale des risques auxquels la Nation est exposée, le coût de leur gestion pour l’ensemble des acteurs impliqués et le niveau des risques résiduels.
4. Créer un « responsable national de la gestion des risques » rattaché à la Première ministre, chargé de coordonner et d’harmoniser les dispositifs sectoriels de gestion des risques.

Voir plus loin et plus large afin d’organiser globalement la résilience de la Nation
5. Compléter les travaux de cartographie des risques par un exercice de prospective visant à actualiser la connaissance des risques systémiques émergents ou de longue échéance.
6. Recenser et caractériser les services d’importance vitale et les approvisionnements de biens stratégiques qui conditionnent l’action des pouvoirs publics, et renforcer les mesures visant à garantir l’accès à ces biens et services.
7. Définir et mettre en place une organisation nationale et territoriale à même de mettre en oeuvre la stratégie nationale de résilience. 8. Généraliser la sensibilisation et la formation des agents publics aux risques et à leur gestion.

Expliciter et approfondir l’interaction entre l’État et la société, indispensable à une meilleure gestion publique des risques
9. Améliorer l’efficacité des exercices de préparation à la gestion des crises, en y associant davantage les acteurs publics et la population.
10. Rendre systématique l’analyse des impacts socio-économiques des mesures réglementaires de gestion des risques, pour l’ensemble des parties prenantes.
11. Développer l’incitation à la prévention des risques, en lien avec les mécanismes d’indemnisation des risques majeurs.

Erreur de lien[modifier le code]

Tout est dit dans la capture et sa légende, je pense. Eric Larcher (discuter) 13 décembre 2023 à 17:26 (CET)[répondre]