Discussion:Georges Brassens/Archives 1

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Age de Jeanne[modifier le code]

Citation de l'article :

Georges Brassens, né le 22 octobre 1921, à Sète (France) [...] En 1942, il publie son premier recueil de poésie et se lie d'amitié avec Jeanne Le Bonniec, "la Jeanne" (de 30 ans plus jeune que lui) et son mari Marcel Planche("Chanson pour l'auvergnat").

Mathématiquement c'est pas possible. En 42 il a 21 ans, donc si La Jeanne a 30 de moins que lui, elle a -9 ans :S Je pense que c'est l'inverse (brassens qui a 30 ans de moins) mais comme je n'ai pas d'info peut être quelqu'un pourra-t-il confirmer et faire la modif.

Gnu thomas 8 jun 2003 ・15:39 (CEST)

Jeanne Le Bonniec est née a lanvollon en 1891 pres de painpol.(je te laisse les maths), c'est une amie de la tante de Brassens. -- Looxix 8 jun 2003 ・17:14 (CEST)

Jeanne a 30 ans DE PLUS que Brassens

2eme Guitare[modifier le code]

Texte modifié : À la fin des années 1960, au duo de scène (Pierre Nicolas à la contrebasse et Georges Brassens à la guitare) s'ajoute pour l'enregistrement des disques un jeune guitariste, Joël Favreau.

Bien qu'accusant un certain âge, je n'ai jamais eu la chance de voir Georges Brassens sur scène. Je me souviens avoir vu le trio à la télé. Quelqu'un pourrait confirmer : Joël Favreau n'a jamais fait de scène avec Georges Brassens ? Didier 21 jun 2003 ・16:58 (CEST)

Je confirme que Joël Favreau était bien, avec Pierre Nicolas, sur scène avec Georges Brassens lors de son passage dans un théatre de Montparnasse vers le milieu des années 70. Toutefois, notons que Joël Favreau accompagnait aussi à l'occasion Maxime le Forestier, et avait même avec l'aide de celui-ci tenté une carrière solo (avec d'ailleurs d'excellentes chansons, mais une pochette d'album complètement ratée). Il se pourrait donc qu'il n'ait pas été présent à toutes les tournées de Brassens. François-Dominique 21 jul 2004 à 21:55 (CEST)
Avant Joël Favreau qui n'a rejoint Brassens que dans les années 1970, une 2ème guitare a été apportée dans les enregistrements par Victor Apicella, dans les rééditions des premières chansons en 33t 30cm, et plus tard par Barthélémy Rosso. blablad'M-le-mot-dit 3 novembre 2006 à 11:20 (CET)

J'espère ne pas dire de bêtise mais il me semble bien que Joël Favreau ait dit qu'il n'avait pas fait de scène avec Brassens lorsque je l'ai rencontré à Charavines. Peut-être en a t'il fait une ou deux mais il semble qu'il ait surtout arrangé ces albums et participé à quelques show télés. Mr Favreau est encore en activité, propose un spectacle formidable et est très accessible. Je suis sûr qu'il ne manquera pas de confirmer ou contredire tout cela si vous avez l'occasion de le rencontrer. A noter que le site "http://www.aupresdesonarbre.com" est tenu par un grand passionné de Brassens (Pierre Schuller) qui a rencontré Joël Favreau, Gibraltar, Josée Stroobants et bien d'autres proches du tonton Georges. Je vous conseille donc d'aller y chercher des infos si besoin. Willy


source pour deuxième guitare : une lettre de Georges à une admiratrice : http://www.dialogus2.org/BRA/deuxiemeguitare.html phl2wiki

"domaine public" ???[modifier le code]

Quelqu'un peut-il en dire plus sur cette histoire ? Je croyais, moi, qu'une oeuvre tombait dans le domaine public 70 ans après la mort de son auteur, en ajoutant les éventuelles années de guerre ??? François-Dominique 21 jul 2004 à 21:56 (CEST)

C'est valable pour les images, textes et autres, mais pas pour les œuvres phonographiques, qui tombent dans le domaine public 50 ans après leur divulgation. Dès aujourd'hui, les publicitaires peuvent utiliser librement (par exemple) le Gorille ou les Sabots d'Hélène. Nous pouvons aussi mettre à disposition ces titres (dans leur version 1952) sur le wiki sans tomber sous le coup de la loi française (mais sous celle de la loi américaine par contre). Pour les textes et tablatures, j'hésite archeos
Comment les choses se passent-elles dans ce cas-là ? Si un citoyen étatsunien résidant aux USA écoute ces chansons de Brassens en se branchant sur le fonds documentaire de la Wikipédia, c'est donc lui qui est passible de poursuites là-bas ?
En tout cas, en effet, des oeuvres phonographiques des années 20, 30 et 40 sont bien présentes en téléchargement libre sur le Net. C'est Byzance : http://www.petefaint.co.uk/jackhylton/music.htm François-Dominique 13 aoû 2004 à 14:38 (CEST)
Rétablissons une vérité indiscutable : le Code de la propriété intellectuelle (français) protège les œuvres de Brassens durant 70 ans, donc jusqu'en 2051. Ma'ame Michu | Discuter 13 aoû 2004 à 14:44 (CEST)
Et bien nous allons avoir le plaisir de discuter une vérité indiscutable : l'œuvre écrite de Brassens est protégée jusqu'en 2051 (partitions et textes), son œuvre phonographique 50 ans après leur divulgation. Et ce, en France (c'est-à-dire qu'on ne peut être poursuivi par un tribunal français, mais américain, oui) archeos

En guise de vérité indiscutable, cela sonne comme une lecture abrégée du CPI. En effet, le CPI protège les oeuvres des auteurs-compositeurs pour une durée de 70 ans après leur mort, et enregistrements des artistes-interprêtes pour une durée de 50 ans à partir de leur communication au public.

Dans le cas de Brassens, la protection de ses chansons est donc de 70 ans, quel qu'en soit le support (texte, partition, enregistrement vidéo ou audio), en vertu du droit de reproduction du titulaire des droit. En revanche, une reprise par Brassens d'une chanson populaire appartenant au domaine public lors de son nouvel enregistrement ne serait protégée, dans sa seule version Brassens, que pour 50 ans à la date de la fixation de sa communication au public. De fait, la mise à disposition des audiogrammes de Brassens sur la Wikipedia est en violation des prérogatives des ayant-droits de Brassens.

Sources : Art. L123-1 CPI ("L'auteur jouit, sa vie durant, du droit exclusif d'exploiter son oeuvre sous quelque forme que ce soit et d'en tirer un profit pécuniaire. Au décès de l'auteur, ce droit persiste au bénéfice de ses ayants droit pendant l'année civile en cours et les soixante-dix années qui suivent.") et art. L11-4 CPI ("La durée des droits patrimoniaux objet du présent titre est de cinquante années à compter du 1er janvier de l'année civile suivant celle :

  • de l'interprétation pour les artistes interprètes ;
  • de la première fixation d'une séquence de son pour les producteurs de phonogrammes et d'une séquence d'images sonorisée ou non pour les producteurs de vidéogrammes ;
  • de la première communication au public des programmes visés à l'article L. 216-1 pour les entreprises de communication audiovisuelle.

Toutefois, si une fixation de l'interprétation, un phonogramme ou un vidéogramme font l'objet d'une communication au public pendant la période définie aux trois premiers alinéas, les droits patrimoniaux de l'artiste-interprète ou du producteur du phonogramme ou du vidéogramme n'expirent que cinquante ans après le 1er janvier de l'année civile suivant cette communication au public.") Claudé 9 février 2006

Durs, ces juges américains! Mais au moment suprême?--Hrafn 5 février 2006 à 02:13 (CET)
Quid de la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littaraire et artistique qui stipule (ou stipulait ? - de mémoire) : "Une fois que l'oeuvre a été rendue publique [NB : ce qui ne signifie pas : "mise dans le domaine public], l'auteur ne peut interdire les copies destinées à l'usage privé du copiste dans le cercle familial" ? Cela signifierait-il que celui qui laisse télécharger est en faute, mais que contre celui qui télécharge aucune action n'est intentable dès lors qu'il ne fait pas commerce de ce qu'il a téléchargé ? 81.64.199.228 9 février 2006 à 03:46 (CET)

les oeuvre tombe dans le domaine publique 50 ans après divulagation de l'oeuvre cela signifie qu'au bout de 50 ans on à le droit de se procurer librement et gratuitement les enregistrement des chanson et de ne pas en faire commenrce.

les oeuvre sont protégées par le droit d'auteur 70 ans après la mort de l'auteur donc pour reprendre une chanson avant 70 ans après la mort de l'auteur il faut l'accord des ayant droits après 70 ans, on fait ce qu'on veut. Sebk 10 avril 2007 à 23:00 (CEST)


Brassens a-t il des ayants droits? puisque non marie, pas d'enfants?

réponse : Serge CAZANI, son neveu demeurant à Séte est l'ayant droit.

DB

L'ayant droit n'est pas nécessairement déterminé par un lien familial si j'en croit l'article ayant droit de wikipédia p-e 22 mai 2007 à 07:26 (CEST)

lieu d'inhumation[modifier le code]

J'ai corrigé le lieu d'inhumation de Brassens qui n'est pas le cimetière marin célèbré par Paul Valéry et où celui ci est enterré. Brassens est enterré au cimetière du PY aussi appelé "le ramassis", car c'est là que sont enterrés les "pauvres" . Il est dans le caveau de la famille BRASSENS-DRAGOSA . (mes sources : Brassens Le livre du souvenir de Martin Monestier et Pierre Barlatier)

--accrochoc 19 aoû 2004 à 19:16 (CEST)

Le Ramassis ne mérite plus sn surnom, loin de là. C'est même un cimetière très coquet à présent. Quand j'y suis passé, je me suis interrogé sur l'histoire de ce caveau. Qui s'y trouve et depuis quand? Qui l'avait commandé? Qui sont les Dragosa? --Hrafn 9 février 2006 à 10:29 (CET)

Ce caveau est celui des parents de Georges Brassens. Dragosa est le nom de jeune fille de sa mere (elvira dragosa).

Ce n'est pas le caveau des parents. D'ailleurs, les noms sont écrit dessus. Il y a Georges, sa compagne Joha, "Simone Casani née Comte " qui est vraisemblablement sa demi-soeur(Comte étant, vraisemblablement, le nom du premier mari d'Elvira Dragosa) et Yves Casani qui est, selon toute vraisemblance, le mari de Simone. --Madlozoz 8 septembre 2007 à 19:02 (CEST)

Liens bizarres[modifier le code]

Est-il bien raisonnable d'avoir transformé le nom des chansons de Brassens en liens ? Il va se passer en principe 48 ans (plus les éventuelles années de guerre futures) avant qu'elles ne soient dans le domaine public et d'ici là ça m'étonnerait que les conventions de représentation des liens n'aient pas été sacrément modifiées. 195.132.60.26 17 sep 2004 à 13:01 (CEST)

Georges Brassens et le droit d'auteur (du Bistro)[modifier le code]

J'aimerai qu'un juriste, un vrai, nous dise quel est le statut exact des interprétations à la flûte d'œuvres de Georges Brassens téléchargées sur Wikipédia par Utilisateur:Jmfayard. Selon lui, les mélodies ne feraient pas l'objet d'un copyright, ce que je conteste. Une œuvre est une œuvre : rien dans le Code de la propriété intellectuelle ne dit qu'il faille séparer juridiquement la musique des textes. Jusqu'à preuve du contraire, les mélodies sont elles aussi protégées jusqu'au 1er janvier 2052 (le 1er janvier de l'année civile qui suit le 70e anniversaire de la mort du dernier des auteurs).

Question annexe : dans quelle mesure peut-on considérer qu'une mélodie entre dans le cadre de la courte citation prévue par le CPI ? Ma'ame Michu | Discuter 16 oct 2004 à 14:17 (CEST)


Bonjour,

Aux états-unis : oui sous le "fair use" ou "usage loyal". En France: faut attendre 70 ans après la mort de l'auteur pour que ca tombe dans le domaine public ou attendre une évolution de la loi en matière de citation.

La SACEM, qui gère les droits de nombreux artistes en musique, poursuit l'usage des citations sans l'accord des auteurs/interpretes/compositeurs.

Lire aussi Internet: Faut-il admettre l'existence d'un droit de citation en matière musicale ? Ashar Voultoiz|@ 16 oct 2004 à 17:43 (CEST)

Non ! La doctrine du fair use propose un test en 4 étapes qui ne couvre absolument pas la reprise intégrale de mélodies de chansons protégées. Il s'agit dans ce cas-là d'une licence légale qui permet de reprendre toute chanson copyrightée sous le droit US pour une somme fixe. En revanche, dans le cadre français, le CPI prévoit un "droit de citation" à l'art. L122-5, 3°,"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire [...] 3° sous réserve que soient indiquées clairement le nom de l'auteur et la source : a) les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées."
Il existe bel et bien un droit de citation en matière musicale (enfin, existait en 2002, sous réserve de cassation). Dans un arrêt de la Cour d'Appel de Paris, 4è chambre, la Justice française a en effet reconnu que la citation du thème principal d'une oeuvre musicale (tel le Boléro de Ravel) 'excède ce qui est permis alors même qu'il ne dépasse pas quelques mesures, parce qu'il est repris et développé tout au long de loeuvre'" (in Droit de la Propriété Intellectuelle, Patrck Tafforeau, Gualino Editeur). Partant, et a contrario, est possible toute autre citation musicale. Il n'est donc pas nécessaire d'attendre l'expiration de la protection. --Claudé 9 février 2006 à 13:24 (CET)
Autant dire : prudence, si l'on songe que le contenu de Wikipédia est susceptible :
  • d'être distribué à proche échéance sous forme de DVD sur le territoire frnaçais,
  • d'être hébergé sur des serveurs localisés en France, là aussi très vite.
J'avais déjà envie de dire, tout à l'heure, que la SACEM pourrait nous « tomber très vite sur le paletot ». Merci pour la confirmation. Ma'ame Michu | Discuter 16 oct 2004 à 17:49 (CEST)
Exactement. C'est pour çà que je suis contre l'utilisation d'image sous fair use :) Ashar Voultoiz|@ 16 oct 2004 à 17:54 (CEST)
Ce serait sans doute « gérable » (façon de parler...) avec un système de « marqueur » pour pouvoir exclure certaines images en fonction de la destination. L'horreur, quoi. Ma'ame Michu | Discuter 16 oct 2004 à 18:39 (CEST)

L'occasion de relever une incohérence du droit français : là où les copies sonores sont dans le domaine public 50 ans après leur diffusion (donc actuellement les 2 premiers albums de Brassens sont mp3-isables et diffusables) l'utilisation des textes et des partitions de ces mêmes albums ne le sera que dans 50 ans. archeos

Il n'y a pas que la SACEM mais aussi l'ADAGP!83.157.147.117 16 oct 2004 à 22:43 (CEST)

Jeanne[modifier le code]

Quelqu'un vient de changer aujourd'hui Jeanne Le Bonnier, une auvergnate en Jeanne Le Bonniec, une bretonne. Sur internet, on trouve les deux. Si quelqu'un a une source fiable ... Tipiac 27 déc 2004 à 18:25 (CET)

C'est moi qui ait fait la modification. Cette info est lisible dans le bouquin Georges Brassens, la Marguerite et le Chrysanthème de Pierre Berruer (ISBN : 2-258-05799-X). Le même livre indique d'ailleurs que Marcel n'était pas non plus Auvergnat, mais natif de Seine et Marne. --Tamere 28 déc 2004 à 09:03 (CET)

Je confirme pour le nom. Je l'ai trouvé dans Brassens, le petitpère et dans Brassens libertaire. Pour son origine, je ne sais pas, mais avec le ec final, ça fait pas très auvergnat. Faudrait en revanche faudrait creuser l'origine de Marcel. saXon 28 déc 2004 à 09:44 (CET)

Le bouquin cité ci-dessus indique ... elle a épousé, en juin 1942, le neveu d'une voisine, Marcel Planche. Un homme tranquille, de sept ans son cadet, natif de Seine-et-Marne et peintre en carrosserie de son état... --Tamere 28 déc 2004 à 10:11 (CET)

Mélodies simples ?[modifier le code]

Dès le début de l'article, il est écrit "Fils de gens simples, comme ses mélodies..." Je ne pense pas que l'on puisse prétendre que les mélodies de Brassens sont simples. Trompettes de la renommée est un bon exemple. Si personne n'y voit d'inconvénient, je changerai le texte dans quelques jours. Alexandre 12 septembre 2005 à 09:43 (CEST)

J'approuve et ta réaction et ton intervention. Vincent alias Fourvin (Discuter) 12 septembre 2005 à 10:01 (CEST)

Considérations bassement typographiques & droits d'auteur (suite)[modifier le code]

Bonjour, 1.Comment harmoniser les guillemets - éventuellement typographiques - et les mises en italiques ?

(ou tout autre effet typo.).

Pour exemple, jetez un œil au Chapitre #Anecdotes.

Je suppose qu'il existe une règle quelque part dans l'encyclo... (désolé, à cette heure, j'ai plus la motiv. pour chercher).


A sujet de ces règles, savez-vous si nous avons repris une norme internationnale ?

(L'AFNOR en a sûrement pondu une, mais c'est pas gratuit). www.afnor.fr

Sinon, les dictionnaires, les ouvrages de réf., les biliothèques, au pire les journaux et magazines…

Pourquoi s'em……beter (ouf!) à inventer un truc que d'autres ont déjà sûrement testé ?


2.Au sujet des divers droits, s'il est évident nous tombera dessus s'il à lieu pour des raisons que je ne discuterai pas ici (je serai partial) ; L'on peut se renseigner - indirectement, dans un premier temps, se serai plus prudent - auprès des ayants droits.

Quand je dis indirectement, il faudrait connaître quelqu'un qui les connaisse afin d'estimer la réussite en vue d'une demande de diffusion officielle.


Avec l'accord des ayants droit, je pense que les autres plaignants potentiels seraient plus conciliants.

Ce qui ne veux pas dire qu'il faudra être discret tout de même et au besoin plaider l'exception culturelle car si la SACEM laisse couler, des entreprises plus commerciales (à tout hasard, les majors) seraient sûrement moins conciliantes.

Je connais même l'exemple désolant d'une représentation du "Petit Prince" de Saint-Ex. ayant été ajournée sur injonction de la famille de l'auteur car l'acteur (un enfant) était … noir.


Dans notre cas, je tenterais bien une prise de conseil auprès de Maxime le Forestier.

En attendant, je me rencarde auprès d'un pote ACIA (Auteur, Compo… Arrangeur) qui connaît bien la question et je vous rencarde. Peut-être la discussion devrait être puirsuivie sur une autre page ? (J'ai pas encore testé le Bistro).

Allez, bonne journée à toutes zé tous, MusAmicalement, MarcFerrand 28 octobre 2005 à 05:42 (CEST)


Le capitaine crie : "Je suis le maître à bord, sauve qui peut le vin et le pastis d'abord ! Chacun sa bonbonne, et courage…" (Supplique…)

La mère de Georges Brassens[modifier le code]

Il me semble que la mère de Brassens se nommait Elvira Dagrosa. Les auteurs eux-mêmes qui parfois se recopient donnent différentes orthographes au sein d'un même livre !

Heu dans les deux livres dont je me suis servis, il y avait Dragosa. Maintenant si tu as des sources totalement sûre, je te laisse changer. Balouk

Je sais pas comment s'écrit Elvira, mais sur la tomùbe, c'est écrit "famille BRASSENS-DRAGOSA". --Madlozoz 8 septembre 2007 à 18:53 (CEST)

Non, c'est Dagrosa (voir http://www.sports-sante.com/index.php/tag/photo-de-la-tombe-funeraire-du-chanteur-poete-georges-brassens)

suite de la supplique[modifier le code]

Dans "anecdote", il est dit que Maxime Le Forestier a écrit une suite à la supplique. J'ai essayé de trouver cette chanson dont je n'avais jamais entendu parlé mais mes recherches ont été vaines. Si quelqu'un en sait plus il serait très sympa de me contacter ! Balouk


la suite à la supplique s'appelle "la visite", elle est sur un disque Cd facilement disponible de MLF

"La Visite" est une chanson écrite par Brassens, elle est d'abord sorti chantée par Bertola puis dans une intégrale, en guise de bonus, chanté par Brassens, mais ce n'est en aucun cas une chanson de Maxime le Forestier et je ne comprend pas bien en quoi elle est une suite à la supplique. Balouk 27 mai 2007 à 12:55 (CEST)

Il existe bien une chanson de Maxime le Forestier nommée "la visite" qui décrit une visite au cimetière de Sète. Il ne cite pas le nom de Brassens, mais les références sont claires ("l'ombre de ta croix n'a pas bougé d'un poil"). Elle est crédité, sur son site officiel, à lui mème et Joël Favreau --Madlozoz 25 août 2007 à 03:39 (CEST)

Brassens et l'église[modifier le code]

"Le clergé français était partagé sur les oeuvres de Brassens : en matière de valeurs et de sensibilité (Chanson pour l'Auvergnat, La prière), le chanteur avait une excellente image, mais son côté profane, et parfois même, bien que sans méchanceté, blasphémateur gênait. Deux émules d'inspiration catholique se présentèrent sur les scènes, le Père Duval et le Père Cocagnac. Bon prince, Brassens mentionnera le premier sur sa chanson Trompettes de la renommée :

Le ciel en soit loué, je vis en bonne entente
Avec le Pèr' Duval, la calotte chantante
Lui, le cathéchumène, et moi l'émergumène
Il me laisse dire « merde ! », je lui laisse dire « amen ! » "

Je voudrais discuter sur la pertinence de ces quelques lignes.
Premièrement, je trouve qu'elles font mentir la citation. En effet, elles disent "bon prince, Brassens mentionnera le premier dans une de ses chansons", mais le "bon prince" me paraît un peu exageré, car la suite de la chanson n'est pas aussi sympa que le laisse entendre ces 4 lignes :
"En accord avec lui, dois-je écrir' dans la presse
Qu'un soir je l'ai surpris aux genoux d' ma maîtresse,
Chantant la mélopé' d'une voix qui susurre,
Tandis qu'ell' lui cherchait des poux dans la tonsure ?"
Je trouve donc que la citation est mal utilisée.
Deuxièment, ce paragraphe n'a absolument rien à faire dans la discographie, je comprends que l'auteur ait voulu mettre une information qui ne se trouvait pas encore sur la page, mais mettre ainsi des petits paragraphes esseulés dans des parties du textes qui n'on aucun rapport donne juste, à mon avis, un aspect brouillon et confus à la page et n'en aide pas la compréhension.
Je voudrais donc supprimer ces quelques lignes, merci de me dire si vous êtes d'accord ou pas. Balouk

Je supprimes les dites lignes, si quelqu'un a une objection qu'il se fasse entendre, on peut toujours retrouver la citation grâce à l'historique. 09/03/06 Balouk

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Ne nous emballons pas avec les blagues de potaches, des "filles de Camaret" au "Père Dupanloup". Les jeunes d'aujourd'hui ont-ils perdu un peu d'humour? De la part d'un vieux con des neiges d'antan (cf. "Le temps ne fait rien à l'affaire").

Takima (d) 24 août 2008 à 02:36 (CEST)

« Pour remédier à cela, un seul moyen. Se grouper dans la rue et démontrer à ces immondices de la Chambre des députés que le peuple ne consent plus à se laisser subjuguer sans résistance. Manifester. C'est tellement facile. Le peuple est le plus fort. Les forces armées et la police ne pourraient rien contre lui [?]. Être dominés par des hommes serait une chose insupportable. Pouvons-nous persister à nous laisser dominer par des impuretés, des matières excrémentielles ! »
Georges Brassens, Le libertaire.
Je supprime cette citation car le "cela" de "Pour remédier à cela" ne se rapporte à rien, la citation est donc incompréhensible.
Si quelqu'un a une objection qu'il se fasse entendre, on peut toujours retrouver la citation grâce à l'historique.
Je redirige l'autre citation vers la page Brassens de wikiquote. 08/03/06 Balouk


Hagiographie[modifier le code]

Cet article ressemble plus à une hafiographie qu'à un article encyclopédique. Je pense qu'il faut le reprendre. CdC 4 mai 2006 à 12:10 (CEST)

Pourrais-tu développer un peu ? Balouk 5 mai 2006 à 07:48 (CEST)


Ce n'est pas le bon endroit mais il me semble qu'il manque le 1er festival brassens (rubrique festival de l'article)

Description : Le festival Brassens à Charavines renaît joyeusement tous les ans, le premier week-end du mois d’août. Il aura 14 ans en 2009.

C’est une des animations qui tient particulièrement au cœur des bénévoles de l’association organisatrice Vivre à Chirens et de leurs amis qui viennent nombreux d’un peu partout en France pour aider l’équipe à réaliser ce bel évènement.

Ce festival Brassens est le plus ancien de France. Pas de raison particulière pour que cet évènement se déroulât tout d’abord à Chirens puis à Charavines. Simplement un grand respect et une grande admiration envers Georges Brassens, envers son œuvre, et un besoin de participer au cheminement, à la mise en lumière du discours de cet homme de cœur et d’esprit. Cette liberté du poète est à l’image de celle que propose (modestement) l’association aux citoyens de Chirens et d’ailleurs.

Renée Claude[modifier le code]

Elle conçut également, non moins touchant, un album double consacré cette fois à Léo Ferré : On a marché sur l'amour : Renée Claude chante Léo Ferré (1994).
Désolé, ceci n'a rien à faire avec l'article sur GB, même si c'est touchant. Je zappe et pourtant j'adore Léo, c'est extra ! ℍenry, encyclophile (Jaser !) 21 juin 2006 à 23:22 (CEST)

Jean Bertola[modifier le code]

Pourquoi n'est-il fait nulle part mention de Jean Bertola dans la vie de Brassens ? Pourtant l'article sur Bertola précise qu'il était "interprète de Georges Brassens dont il était un proche" en plus d'avoir enregistré ses dernières chansons... --Fabricebaro 17 juillet 2006 à 21:10 (CEST)

Coliques néphrétiques[modifier le code]

L'article ne mentionne pas ses ennuis de santé, c.a.d. ses coliques néphrétiques. Elles sont pourtant à la sources de 2 chansons : Le bulletin de santé, suite aux supputations des journalistes, et L'épave, à la suite d'un évanouissement dans la rue. blabla d'M-le-mot-dit 3 novembre 2006 à 11:29 (CET)

ben au boulot les mecs... saXon 3 novembre 2006 à 15:24 (CET)


Brassens, la mort, les femmes[modifier le code]

La mort (les 4 z'arts, supplique pour être enterré...), autant que les femmes (la femme adultère, la fessée...), sont deux thèmes, voire deux franches obsessions, très importants chez Brassens. Ne pourrait-on faire un chapitre spécial la dessus ? --ZN 2 juin 2007 à 14:19 (CEST)

c'est-à-dire que normalement, quand on devient chanteur, c'est pour assouvir plus facilement son obsession des femmes. Alors à part pour dire qu'il n'était pas homosexuel (ce que la chanson "se faire enculer" contredit d'ailleurs un peu), c'est pas une grande information. --Madlozoz 25 août 2007 à 03:45 (CEST)

Pour revenir sur le sujet des femmes, qui date je le vois bien de quelques années, pourquoi ne pas faire un rubrique sur les femmes et la prostitution, il y a plusieurs chansons dans lesquelles Brassens y fait allusion. Et au moins deux chansons qui en sont l'objet: La complainte des filles de joie, ou Le Mauvais sujet repenti. Je trouve ,la façon don til présente les choses très libérale et empathique, et génialement drôle comme d'habitude. --Goutte de T (d) 21 septembre 2010 à 02:11 (CEST)Goutte de T

référence à donner[modifier le code]

Je mets le § ci-dessous ici dans l'attente de référence. (Je n'ai rien touvé dans wiki en: dans les discographies des interprètes concernés)

Cordialement En passant 13 juillet 2007 à 22:33 (CEST)

Séjour chez Jeanne[modifier le code]

Citations de l'article:

En mars 1943, Brassens est réquisitionné pour le STO [...] Un an exactement après son arrivée à Basdorf, il obtient une permission de dix jours. Il est clair pour lui comme pour ses nouveaux amis qu'il ne reviendra pas en Allemagne. À Paris, il doit trouver une planque, mais Brassens qui y a mené une vie extrêmement solitaire ne connaît presque personne (il ne fréquentait qu'un ami qui l'avait suivi de Sète et quelques filles avec qui il a vécu ses premières amours). Finalement Jeanne Planche vient à son aide et lui propose de l'héberger aussi longtemps qu'il le faudra.
[...]
Brassens se sent de plus en plus à l'étroit chez Marcel et Jeanne, à qui il avait offert leur logement de l'impasse Florimond en 1955, et ne veut plus les déranger (Jeanne a 67 ans) après 25 années de cohabitation. En 1958, il achète une propriété à Crespières dans les Yvelines, le moulin de la Bonde.

Je ne vois pas comment il peut avoir cohabité 25 ans avec Jeanne et son mari entre 1943 et 1955 (ou 58). Je n'ai malheureusement pas d'informations supplémentaires sur les dates donc je ne peux pas corriger moi-même, mais je pense qu'il y a une incohérence. --Gargamel 30 juillet 2007 à 14:40 (CEST) _____________________________________________________

N'oubliez pas la cane de Jeanne à l'impasse florimont, dans cette ménagerie. Il existe une photographie de Jeanne avec sa cane. J'ai connu cet endroit en 54-55 lorsque tonton Georges entonnait "le gorille" au grand scandale des bourgeois.

Takima (d) 24 août 2008 à 02:23 (CEST)

Refonte de la discographie[modifier le code]

L'« intégrale » de ses œuvres
Albums parus de son vivant
(i.e. à partir de 1964 pour les 30 cm originaux, et à partir de 1965 pour les rééditions en 30 cm des premiers enregistrements)

L'intitulé et la suite de cette rubrique ont été supprimés.
Pourquoi mélanger les rééditions de 1965 avec les 30 cm originaux parus de 1964 à 1976 ? Cette solution bâtarde occulte l’historique de la discographie de Brassens et fait l’impasse sur ses 9 premiers disques 25 cm.
La correction apportée ouvre maintenant la discographie sur la chronologie et la composition des 14 enregistrements originaux.
Quant à ces rééditions de 1965, elles font partie d'une série de 12 disques qui est en fait, la première intégrale — sans guillemets — des enregistrements studio.
Les intitulés exacts de ces 12 albums ont d'ailleurs été utilisés pour des liens inter wiki. Ces 12 liens sont, bien entendu, conservés dans la rubrique concernée nommée : intégrale, et placée juste après la liste des enregistrements studio, avec une brève intro. Lézard (d) 2 janvier 2008 à 17:07 (CET)

Suppression de la section Aujourd'hui[modifier le code]

Lui qui avait comme modèle de réussite Paul Misraki, parce qu'il était chanté partout sans être connu du grand public, ne se doutait pas qu'un jour il accéderait à la renommée internationale. On lui a consacré aujourd'hui plus de cinquante thèses, on le chante partout : au Japon, en Russie, en Amérique (où il possède même un fan club !), en Italie, en Espagne, etc. Au total, il est traduit dans une vingtaine de langues.
De nombreux chanteurs ont interprété des traductions de ses textes, notamment Graeme Allwright en anglais, Sam Alpha en créole, Paco Ibáñez en espagnol, Fabrizio De André en italien, Nanni Svampa en milanais, Yossi Banai en hébreu ou encore Jacques Yvart en espéranto.
Plusieurs tentatives ont été faites en allemand On doit citer en premier lieu Franz Josef Degenhardt qui fut qualifié (exagérément) de « Brassens allemand » et qui enregistra un album dont les traductions contiennent principalement le message social sans la composante lyrique. Plus fidèle à l'ambition littéraire de Brassens sont les traductions de Ralf Tauchmann (voir lien ext.) (ce lien n'existe plus), celles de Didier Caesar du Duo belgo-franco-allemand Stéphane & Didier [www.deutsche-chanson-texte.de] et de Peter Blaikner (Autriche).
Il existe actuellement une association internationale des amateurs de Georges Brassens. En Allemagne, une association appelée "Brassens in Basdorf" a été créée en 2004. Elle organise des festivals en septembre à Berlin et à Basdorf (20km au nord), où Brassens fut déporté au STO (Service du Travail Obligatoire) et où il composa ses premières chansons. Brassens a composé au total environ 250 chansons, dont il n'a enregistré que 200. Les cinquante restantes sont restées inachevées. Le bel album « hommage » de Renée Claude, grande dame de la chanson québécoise : J'ai rendez-vous avec vous (1993).

Cette section était redondante en regard de la liste des albums cités dans les sous-sections précédentes. À cette occasion, certains jugements disparaissent et les anecdotes sont reportées dans la section qui leur est destinées ou dans les Notes. Lézard (d) 23 janvier 2008 à 17:22 (CET)

Bonjour,
Je n'ai pas compris pourquoi tu as enlevé cette section (En recherchant "Paco Ibanez", "Graeme Allwright" ou "Paul Misraki" par exemple, je ne retrouve pas ces références dans la page. Est-ce vraiment de la redondance ? Ou peut-être qu'entre temps d'autres parties ont disparues à force de modifications ?
J'étais venu au départ pour ajouter une anecdote pour dire que certaines chansons ont vu certains de leurs couplets supprimés pour cause de longueur (exemple du petit joueur de fluteau ou des passantes), ou pour passer à la radio comme Le Gorille, ou le dernier couplet était à l'origine celui-ci :
Nous terminerons cette histoire
Par un conseil aux chats fourrés
Redoutant l'attaque notoire
Qu'un d'eux subit dans les fourrés.
Quand le singe fouteur d'opprobre
Hante les rues de leur quartier,
Ils n'ont qu'à retirer
la robe Ou mieux changer de métier !
Gare au Gorille !"
Concernant l'actualité (ou les anecdotes), on aurait pu aussi parler de [Joey Starr] qui a fait la chanson "Gare au Jaguar" très vite interdite pour cause de droit d'auteur si je me souviens bien.

--Nimportnawak (d) 19 août 2008 à 11:07 (CEST)

Réponse faite dans la page utilisateur de Nimportnawak. Lézard (d) 12 septembre 2008 à 22:57 (CEST)

Enregistrements studio[modifier le code]

Intervention du 17 août 2008
Jusqu’à présent les enregistrements studio n’étaient pas franchement mis en avant. C’est pourtant une part importante de l’œuvre et du parcours de Georges Brassens.
Leur chronologie, leur historique et leur contenu étaient délaissés pour favoriser une intégrale de ses chansons sortie dans le commerce, qui ne respecte pas le contenu des disques originaux. En particulier des 9 premiers microsillons 33 tours/25 cm dont les chansons sont compilées dans n'importe quel ordre pour les faire rentrer dans 6 microsillons 33 tours/30 cm. Il n’y a que les 5 derniers albums qui échappent parfois au désordre… quand ils ne sont pas « augmentés » de bonus, en particulier sur les éditions CD des fameuses intégrales.
Exit donc « l’intégrale ». Elle est, en quelque sorte, remplacée par la section Coffrets anniversaire, qui liste les coffrets parus pour les anniversaires de la mort du chanteur et contenant chacun son intégrale bien spécifique.
La liste des enregistrements studios est maintenant visible et le contenu de chacun des 14 albums originaux peut être consulté en suivant le lien attribué.
Lézard (d) 17 août 2008 à 13:01 (CEST)

Hommages en chansons[modifier le code]

Dans la section « Hommages en chanson », n'y aurait-il pas lieu d'ajouter Un jour tu es parti, de Georges Moustaki ? Je n'ai rien vu de définitif à ce sujet, mais il semble bien que les paroles collent bien à Brassens… Chamblyen (d) 28 février 2009 à 18:09 (CET)

J'ai trouvé une référence acceptable (http://www.huffingtonpost.fr/louisjean-calvet/livre-georges-moustaki_b_5377349.html) et j'ai ajouté une entrée dans la liste des hommages posthumes. Chamblyen (discuter) 25 mai 2016 à 19:55 (CEST)

Brassens chanté par d'autres artistes et hommages[modifier le code]

(Dessolé, mon français est terrible) Le chanteur espagnol Paco Ibáñez a chanté quelque chansons de Brassens (la plus connue la traduction de La mauvaise réputation - La mala reputación), et a publié un album à 1979 Paco Ibáñez canta a Brassens - Paco Ibáñez chante á Brassens. La version espagnole de La mauvaise réputation a été interpretée aussi par Loquillo (chanteur de rock espagnol), Arbolito (bande de rock argentine), ou Luis Rueda (chanteur equatorien). Autres artistes qui ont chanté chansons de Brassens au espagnol sont Javier Krahe et Eduardo Peralta (Il a fait un album dediqué à Brassens). Agustín García Calvo a traduit quelque chansons de Brassens (19 Canciones. Con versión para cantar de A. Garcia Calvo 1983 ed. Lucina, Zamora). En catalan Josep Maria Espinàs, Quico Pi de la Serra, Joan Manuel Serrat, Rafael Subirachs, ou espécialment Miquel Pujadó qui a fait 3 disques dediqués à Brassens et a traduit au catalan le roman La Tour des miracles - La torre dels miracles (Pòrtic, 1989). J'espère que cette information soit util.--88.24.214.140 (d) 7 avril 2009 à 13:35 (CEST)

Je cite de mémoire, donc il faudrait vérifier la référence. Voici un complément que je propose sur la mort de Brassens : Le lendemain de la mort de Georges Brassens, avant d'entrer en scène, Yves Montand a eu ce bel hommage : "Brassens nous a fait une blague ; il est parti en vacances. Certains disent qu'il est mort... comme si Brassens, Prévert ou Brel pouvaient mourir !"--CinePhil (d) 6 novembre 2010 à 23:53 (CET)

Pupchen et ...[modifier le code]

Lecture attentive, et je viens de faire quelques modifications (hésitantes... je ne sais pas encore bien faire.) Pupchen s'écrit bien Pupchen. Brassens s'était mis dans la tête de "franciser" Püppchen. Je le tiens de Colette Chevrot et de Victor Laville (qui s'occupa de la pierre tombale en accord avec la famille). La "Petite Jo" : méfiance sur son rôle de muse inspiratrice. Comme tous les créateurs littéraires, Brassens, fabriquait ses personnages par pure imagination ou en s'inspirant d'un ou plusieurs personnages réels. Ainsi, par exemple, la femme d'Hector est un peu la femme de Victor (Laville), un peu Jeanne et un peu d'imaginaire. J'ai aussi souhaité souligner que si Brassens faisait des "chansons", elles ressemblaient bien peu à la production courante. Br'assens n'a pas acheté Crespières parce qu'on le "reconnaissait dans la rue" en 57 (il y avait déjà au moins 3 ans qu'on le reconnaisait), mais parce que l'Impasse Florimont était trop petite pour inviter ses amis. Quant à la discographie et la bibliographie, mon inexpérience des modalités de modifs m'empêche pour l'instant de m'en mêler... j'ai juste signalé la belle "Illusions perdues" retrouvée (pour la musique) et chantée par Renaud et rectifié le pays du chanteur basque Anje Duhalde : il est français (et le basque est une langue régionale - au passage, évitons "dialecte" -) aussi bien française qu'espagnole. Didier Agid (d) 29 juillet 2009 à 17:00 (CEST)

Mais sur la tombe c'est "Püpchen" avec ü --88.73.131.80 (discuter) 15 décembre 2013 à 10:06 (CET)

Lieux de mémoire[modifier le code]

Bonjour, Je ne comprend pas trop l'intérêt de la section "Lieux de mémoire". Elle alourdit la fin de l'article qui est déjà assez "fouillis". Des objections à ce que je la supprime ? MickaëlG (d) 6 octobre 2009 à 12:21 (CEST)

Alourdir ? La véritable question se pose en terme de pertinence, non-pas d'alourdissement. Si tu penses que l'article est un fouillis tu peux l'améliorer. Et la suppression de ce passage ne peut pas être justifiée par le fait que l'ensemble serait un fouillis. Donc, je suis contre ta proposition. --Michel Barbetorte (d) 6 octobre 2009 à 14:28 (CEST)
L'amélioration de l'article, c'est justement ce que je suis en train d'essayer de faire. Ma première phrase était : "Je ne comprend pas trop l'intérêt de la section Lieux de mémoire". Ça veut dire qu'à mon avis, c'est section n'est pas pertinente. En plus de cela, elle alourdit la fin de l'article. Donc je pose la question en terme de pertinence : Quel est l'intérêt de la section "lieux de mémoire" ? MickaëlG (d) 6 octobre 2009 à 21:52 (CEST)

Quant à moi je suis pour la suppression de toute la fin de l’article, qui est un ramassis de listes sans intérêt (c’est-à-dire non pertinentes). rv1729 6 octobre 2009 à 15:42 (CEST)

Je ne serais pas aussi radical, mais je suis d'accord qu'il y a pas mal de nettoyage à faire.MickaëlG (d) 6 octobre 2009 à 21:52 (CEST)

✔️ Supprimée -- MickaëlG (d) 19 octobre 2009 à 12:01 (CEST)

Ordre historique des albums et des chansons[modifier le code]

Bonjour. Si l’on fait la liste des albums de Brassens on doit garder la liste des disques et des chansons parus de son vivant, c’est la façon de suivre son évolution. Par exemple, La marine est sur son premier disque et non sur le deuxième et le titre du deuxième album est Les amoureux des bancs publics et non Le vent et sur celui-ci on trouve Je suis un voyou, La mauvaise herbe et Le mauvais sujet repenti. [1] Si l’on suit l’ordre des chansons des différentes rééditions, on s’en sortira jamais! Il est donc faux de dire sur WP « Deuxième album édité en France du chanteur Georges Brassens. Sorti sans titre à l'origine, il est identifié par celui de la première chanson : Le Vent ». C’est le titre d’un CD ultérieur. Le titre du troisième album est Chanson pour l'Auvergnat et non Les Sabots d’Hélène. Êtes-vous d’accord pour rétablir l’ordre original ? Note : Brassens ne mettez pas de majuscules à tous les mots de ses titres.--Gilbertus [Placote] 8 décembre 2009 à 07:53 (CET)

Bonjour Gilbertus.
Tel qu'il est, l'ordre original est appliqué à la lettre. Les albums dont tu te réfères sont des rééditions qui ont compilé les 9 premiers 33 tours/25 cm sur 33 tours/30 cm. Pour comprendre, lire l'explication détaillée dans ta page de discussion. Cordialement, Lézard (d) 8 décembre 2009 à 21:46 (CET)
    • (Voici le texte de Lézard)
  • Tu m'a écris : Si l’on fait la liste des albums de Brassens on doit garder la liste des disques et des chansons parus de son vivant, c’est la façon de suivre son évolution.
    • Tout à fait d’accord avec toi, et c’est ce que je me suis appliqué à faire en me basant sur les toutes premières éditions de ses albums (que par ailleurs je possède).
  • Par exemple, La marine est sur son premier disque et non sur le deuxième...
    • Je peux donc t’assurer que La Marine est bien sur son second 33 tours/25 cm (paru en 1953).
  • ...et le titre du deuxième album est Les amoureux des bancs publics et non Le vent..
    • Lorsqu’un album n’a pas de titre, il est de règle de l’identifier par le premier titre du disque (ici : Le Vent). Par ailleurs, la chanson Les Amoureux des bancs publics était intitulée Bancs Publics à l’origine. Ce n’est qu’au fil des rééditions qu’elle sera intitulée Les Amoureux des bancs publics.
  • ...et sur celui-ci on trouve Je suis un voyou, La mauvaise herbe et Le mauvais sujet repenti.
    • C'est là que je comprend d'où vient ces divergences ; tu te bases sur une collection parue ultérieurement.
    • Explication : Lorsque le 33 tours/30cm suplanta le 25cm aux alentours de 1963, la maison de disque Philips décida de compiler les chansons des 9 premiers 33 tours/25 cm sur 33 tours/30 cm. Ainsi, les 14 albums originaux (voir la liste chronologique dans l’article) furent réduits à 12 albums. Il y a eu 3 collections pour en arriver là : la 1re (couverture « portrait de Brassens ») s’est arrêtée avec 8 albums en 1965, la seconde (couverture « imitation bois ») s’est arrêtée avec 11 albums en 1972, enfin la 3e (couverture « fabrication de guitare »), devint l'intégrale des albums en 1976. Cette dernière, réditée en 12 CDs, est toujours en vente.
    • J'en déduit que tu te bases sur cette dernière collection puisque, en effet, chaque album est intitulé par le titre d’une chanson : ainsi le 2e album est bien intitulé Les Amoureux des bancs publics et contient bien les chansons que tu cites.
  • [1] Si l’on suit l’ordre des chansons des différentes rééditions, on s’en sortira jamais! Il est donc faux de dire sur WP « Deuxième album édité en France du chanteur Georges Brassens. Sorti sans titre à l'origine, il est identifié par celui de la première chanson : Le Vent ». C’est le titre d’un CD ultérieur. Le titre du troisième album est Chanson pour l'Auvergnat et non Les Sabots d’Hélène.
    • Je suis bien d’accord et j’espère que mon exposé t’a éclairé sur l’historique des rééditions qui ont suivi les éditions originales. Il s’agit donc bien des 14 originaux qui font l’objet d’articles Wiki et respectent ainsi l'évolution de Brassens sans la dénaturer.
  • Note : Brassens ne mettait pas de majuscules à tous les mots de ses titres.
    • Il y a des règles pour les titres. C’est assez complexe et je ne suis pas à l’abri d’erreurs, la charte Wiki en détaille toutes les subtilités : Wikipédia:Conventions typographiques section 28 : « Titres d'œuvres (livres, films, etc.)».
    • Et pour ce qui concerne les disques originaux de Brassens, voici la page d'un site qui les répertorie.

Cordialement, Lézard (d) 8 décembre 2009 à 22:55 (CET)

Utilisation du gras pour indiquer les titres[modifier le code]

Cet article a la particularité d'utiliser le gras pour marquer les titres de livre, au lieu de l'italique comme partout ailleurs et notamment dans Wikipedia... C'est étrange. Il faudrait peut-être normaliser cela ? -- Xian (d) 29 janvier 2010 à 17:05 (CET)

✔️ Fait. Cyril-83    Fichier:Armoiries Cyril-83.gif 29 janvier 2010 à 18:10 (CET)

A propos de "La non-demande en mariage"[modifier le code]

Bonjour, En consultant les archives de l'ina récemment, je suis tombé sur une interview de Georges Brassens où ce dernier disait ne pas avoir écrit la chanson "La non-demande en mariage" pour une personne en particulier. Or dans l'article Wiki celle-ci apparait dans la liste des chansons adressées à Pupchen. J'avais une première fois modifié l'information sans savoir comment au préalable en débattre avec l'(es) auteur(s) de cette section concernant nos sources mutuelles. Maintenant que j'ai pris connaissance de cette section "Discussion", je vous transmets avant de retoucher bêtement à l'article le lien de la déclaration en question : http://www.ina.fr/video/I04076284/georges-brassens-explique-comment-il-ecrit-ses-chansons.fr.html (c'est à 1'10" environ), et vous demande si vous avez des sources opposables pour discuter du retrait de cette information !

Wikipédialement.

✔️ Fait, merci. -- Perky ♡ 29 juin 2011 à 09:00 (CEST)

Coffret CD de 1991[modifier le code]

Bonjour,

En fait, ce coffret en reprend un autre publié en 1988 ou 1989 (je l'ai eu en 1989 mais il porte un © 1988). Si les onze premiers CD sont identiques, celui des chansons de sa jeunesse ne fait partie que du coffret de 1991.

Mais le coffret de 1988 incluait une curiosité pour l'époque, un CD audio/vidéo, comprenant pour la partie audio les quatre chansons suivantes dans leur version habituelle :

  1. La Mauvaise Réputation
  2. Chanson pour l'Auvergnat
  3. Les Copains d'abord
  4. La Non-demande en mariage

Et pour la partie vidéo une piste numérotée 5, intitulée Medley Georges Brassens de 1952 à nos jours, portant la mention Réalisation Jacques Brialy © 1974 Phonogram S.A. Paris © 1974 INA et contenant :

  • Au Bois de mon coeur
  • Interview sur sa mère
  • La Chasse aux papillons
  • Interview sur les femmes
  • La Femme d'Hector
  • Interview sur la mort
  • Les Funérailles d'antan
  • Interview sur Sète
  • Supplique pour être enterré à la plage de Sète
  • Interview sur ses chansons
  • L'Orage
  • Interview sur le temps qui passe
  • Bonhomme
  • Interview sur l'amour
  • Jeanne
  • Interview sur ses chansons

Je n'ai jamais pu voir la piste vidéo, n'étant pas équipé pour lire ce genre de... machin ;-)

Je ne me sens pas de taille à faire les modifs moi-même sur la page Brassens, mais je reste à la disposition de qui voudra s'y coller, si quelqu'un veut s'y coller. Cordialement, Xavier

Bon, finalement j'ai fait ça moi-même. Cordialement, Xavier

quatre vingt quinze pour cent[modifier le code]

Sans doute un score électoral dans une république plus ou moins bananière, une étude statistique, mais surement pas un titre de Brassens: "quatre vingt quinze fois sur cent" est beaucoup mieux, évocation et poésie, à la bonne vôtre!!!

Dans cet article encyclopédique, le titre est correctement écrit, après qq retouches de typo que j'ai faites. Le reste te regarde ;-) --Bibliorock (d) 19 octobre 2011 à 08:39 (CEST)

1975 - Noel à Barbentane[modifier le code]

Dans la plupart des bios de GB, deux évènements ne sont quasiment jamais mentionnés : 1/ son dernier récital public, aux arènes de Fontvieille, en juillet 1977, à la demande de son ami Yvan Audouard. Des précisions sont données dans le livre de Georges Boulard, créateur du Festival GB de Vaison la Romaine, et dans le livre de contes "l'heure d'été" d'Yvan Audouard. 2/ l'émission "la ballade des gens qui sont nés quelque part", diffusée en direct du Château de Barbentane le 24 décembre 1975, de 22 h à 1 h du matin. Réalisateur : François Chatel, Maître d’œuvre : Yvan Audouard. Cf le blog : http://barbentane1975.unblog.fr/

Sur une longue liste de chansons en introduction[modifier le code]

Je ne vois pas du tout l'utilité de mettre une longue liste des chansons de Brassens en introduction. Ou bien cette liste a un critère objectif, et dans ce cas j'aimerais bien savoir lequel, ou bien elle n'en a pas, et sa présence n'est pas souhaitable. Si on allègue qu'il s'agit de dresser une liste des chansons les plus notables, encore une fois, je demande quel est le criterium. Notables en vertu de leur qualité ? En vertu de leur popularité ? D'où l'on tire cette prétendue supériorité de popularité d'une chanson sur une autre ? De statistique ? J'en doute. Bref, l'arbitraire n'a rien a faire dans un article encyclopédique, et surtout pas en introduction. Brassens n'est pas plus connu pour L'eau de la claire fontaine que pour Brave Margot, par exemple. Que le faquin qui s'obstine vienne ici se justifier !— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 212.198.134.111 (discuter)

Je ne sais pas pour la liste des chansons, mais l'intro qui devrait être un résumé de l'article, est beaucoup trop court par rapport à la taille de ce dernier. De plus Je pense que citer Paul Fort et le grand prix de l'académie française dès l'intro est un peu abusif. Ce n'est pas ce qui est le plus notable sur ce personnage. Nguyenld (d) 13 décembre 2011 à 08:53 (CET)
13 décembre 2011 à 09:10 (CET)
(Message pour 212.198.134.111)
Bonjour,
Quel ton !
Je vous propose de lire les règles de savoir-vivre de cette encyclopédie. Vous commencez à contribuer à Wikipédia avec un mauvais code d’usage… Bonne lecture.
N’oubliez pas le respect et la politesse ; n’oubliez pas non plus la modestie de l’arrivant. Longue vie de contributeur sur Wikipédia.
Très cordialement,
Βερναρδ []-
Bonjour,
Pour ma part, je pense qu'une liste des chansons les plus connues est indispensable dans l'intro, puisque c'est par ça que l'on connait Georges Brassens. Nous sommes d'accord que cela pose la question du critère, mais il vaut mieux une liste avec un critère flou (la popularité) que pas de liste du tout.
Vous parlez d'arbitraire, mais le principe d'une introduction n'impose-t-il pas de sélectionner les éléments les plus importants d'un article ?
En outre, je ne vois pas ce qui vous permet d'insulter les gens qui ont un avis différent du votre ("Re-suppression d'une liste tout à fait inutile et arbitraire qu'un abruti persiste à remettre").
MickaëlG (d) 16 décembre 2011 à 13:50 (CET)
La liste était la suivante : Les Copains d'abord, Chanson pour l'Auvergnat, Le Gorille, Les Amoureux des bancs publics, La Mauvaise Réputation, Je me suis fait tout petit, L’Orage, Dans l’eau de la claire fontaine, Les Trompettes de la renommée, Supplique pour être enterré à la plage de Sète, La Non-demande en mariage, Fernande, Quatre-vingt-quinze pour cent et Mourir pour des idées. Il est noté, d'une part, que l'ordre est totalement aléatoire. Ni chronologique, ni par popularité, ni alphabétique, ni même thématique. On a juste une liste qui a pour critère (mais ça, on l'ignorait avant que l'auteur présumé nous en fasse part) une donnée que nous ne possédons pas, à savoir la popularité. D'autre part, une telle liste, longue et plus ou moins arbitraire, est-elle préférable à l'absence de liste ? J'ai pourtant consulté les articles sur Ferrat, Aznavour, Brel & co, et aucune liste n'y est présente en introduction, sans que les articles n'en pâtissent. Et si une telle liste est absente, ce n'est pas qu'elle soit en elle-même inutile, mais tout simplement qu'elle est impossible. Si encore l'auteur était connu du très grand public pour une œuvre bien précise, ça se justifierait ; mais pour quatorze, et sans aucune prétention à l'exhaustivité, je trouve ça insoutenable. Le principe d'une introduction d'un article biographique me semble au contraire très éloigné de l'arbitraire : on y fourni des informations susceptibles d'être données pour tout un chacun : années, lieux, et dates de naissance et de mort - fonction, statut, qualité, action, profession, etc. pour lesquelles la personnalité est présente dans cet article - liens familiaux notables - distinctions - et bref résumé de son activité en tant que personnalité publique. Il s'agit tout simplement de fournir la réponse universelle à la place de la personnalité à cette très simple question : Qui êtes vous ? "Je suis X, né à X en l'an X, j'habite à Paris, je suis français, j'ai dix enfants, et je suis plombier et artiste peintre à mes heures de loisir. Je suis par ailleurs Chevalier de la Légion d'Honneur parce que j'ai sauvé une famille de la noyade." Alors certes, si on pose la question à Kant, il pourrait fort bien nous répondre "Celui qui a écrit la Critique de la Raison Pure, l'oeuvre maîtresse de ma philosophie" ; mais je doute que Brassens pourrait se payer le luxe de répondre "Celui qui a écrit Fernande" tout en satisfaisant son interlocuteur.:— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 86.215.183.205 (discuter)
Je ne suis pas l'auteur de cette liste. L'historique peut vous renseigner si vous cherchez un "coupable". La liste est certainement à raccourcir, à ordonner, et mérite surement un critère plus précis, mais je persiste à penser qu'une telle liste est intéressante dans l'intro, puisque ces chansons font partie des choses les plus connues qu'il ai fait. MickaëlG (d) 17 décembre 2011 à 20:33 (CET)

MIMI Rosso aété la prmière seconde guitare de Brassens[modifier le code]

Bonjour, j'attire votre attention sur le fait que Barthélémy Rosso a été seconde guitare en studio pour Brassens source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Barthélémy_Rosso

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 24 juin 2016 à 19:17)

Distinctions souhaitables (ou pas) dans les différents types d'hommages[modifier le code]

Salut à tous
Il me semble qu'il serait souhaitable de distinguer plusieurs choses qui sont pour l'instant un peu mélangées dans les hommages et les influences.
Ceci n'est qu'un avis que je soumet ici à la discussion.
1°) Tant dans la discographie que dans la bibliographie ne faudrait-il pas distinguer ce qui a été publié du vivant de Brassens (dont il a forcément eu connaissance et sur quoi il aurait donc pu donner son avis) de tout ce qui est posthume (et que, par la force des choses, il n'a pu ni contester ni approuver).
2°) Dans la discographie, il faudrait de plus distinguer (là aussi en séparant les anthumes et les posthumes) :

  • A) — les chansons et poèmes SUR Brassens, qui ont donc été écrits à son intention ou en s'adressant à lui.
  • B) — les reprises, arrangements et adaptations des chansons DE Brassens, en séparant ce coup-là :
    • B1 — les chansons en français ;
    • B2 — les chansons en langues étrangères ;
    • B3 — les versions instrumentales ;
    • B4 — les extraits et citations dans les bandes-son de films ou de spectacles.
  • C) — les allusions aux textes de Brassens, ou leurs détournements, parodies etc. dans d'autres chansons.

Pour les livres sur Brassens, là il s'agit le plus souvent de sa vie, voire de son intimité même ou d'appréciations sur sur son œuvre. Il me paraît donc fondamental de distinguer :
— ceux qu'il a pu lire lui-même ;
— ceux qui, après sa mort, ont pu être lus par ses intimes (Cazzani, Puppchen, Gibraltar, Stroobants, Poletti, etc.) ;
— ceux qui sont publiés hors de tout contrôle (le Mécréant de dieu et autres foutaises).
On peut s'inspirer de la distinction entre les livres biographiques et les exégèses de son œuvre (Hantrais, Willemetz, etc.), qui est faite sur la page spécifique Bibliographie de Georges Brassens.
Voilà, il y a sans doute encore des catégories qui m'échappent. J'attends vos avis éclairés.
-- Laugiland (discuter) 30 mars 2017 à 12:44 (CEST)

Résumé introductif[modifier le code]

Un intervenant non-inscrit (id 90.39.121.113) s'obstine à tronquer la carrière et le nombre d'enregistrements de G. Brassens dans le résumé introductif. J'insiste et je suis formel : Brassens a bien enregistré aussi un double 33 tours « les Chansons de sa jeunesse » dans lequel il interprète des titres dont il n'est pas l'auteur, et un autre double 33 tours « Moustache et Brassens jouent Brassens en jazz » dans lequel il tient la partie de guitare rythmique sur ces versions orchestrales de ses propres compositions, et dont il chante parfois le refrain. De plus dans ce dernier double album il chante une chanson inédite. Il s'agit donc bien de quatre disques qu'il a enregistrés, c'était pas un sosie ! Pourquoi faudrait-il absolument ne pas en tenir compte ? Y aurait-il quelque chose de honteux ou de dégradant pour « la carrière du grand poète » dans ces enregistrements ?
-- Laugiland (discuter) 19 décembre 2017 à 16:10 (CET)

Bonjour. Ok, c'est bon, on va dire que c'était du chipotage. Cordialement, Xavier 90.39.121.113 (discuter) 19 décembre 2017 à 16:34 (CET)
Entendu Xavier 90.39.121.113 (mais vous manipulez assez correctement le code Wiki pour pouvoir être aussi un utilisateur inscrit). La page ayant été débloquée, je vais donc de nouveau compléter cette partie du paragraphe introductif.
Cordialement
-- Laugiland (discuter) 19 décembre 2017 à 17:04 (CET)

Nouvel intervenant (PHIL34) sur le même sujet : si l'on traite des « albums enregistrés par » Brassens, il y a effectivement les 14 de la série principale, + 2 « Chansons de sa jeunesse », + 2 « Brassens en Jazz » (les deux premiers seulement puisqu'il était mort avant l'enregistrement du troisième avec Salvador et Hampton). Ce sont des albums pour lesquels il s'est effectivement rendu physiquement dans un studio d'enregistrement afin de les graver. En revanche, les deux albums « Vingt ans d'émissions sur Europe 1 » et « Brassens chante Bruant, Colpi… » ne sont pas des albums «enregistrés par » Brassens, mais des complilations d'émissions de radio faites a posteriori  (évidemment). De même pour les enregistrements publics en Angleterre, au TNP, à Bobino ou à Rosny-sous-Bois.
-- Laugiland (discuter) 19 décembre 2017 à 21:08 (CET)

Bonsoir. Je ne comprend pas votre comptabilité...
Sur l'article "Discographie de Georges Brassens de 1952 à 1976, on a 14 albums studios, vous êtes d'accord.
Puis en 1979 "Brassens-Moustache jouent Brassens en jazz" si je lie bien l'article à l'origine c'est un double album, donc cela fait 15 (qui fut ensuite séparé en deux volumes différents), mais il me semble que c'est l'édition originale qui doit être retenue, donc on en est à 15 albums studios (on à le même cas pour un album de Ferré en 70 parut en double puis en deux volumes au grand dam de l'artiste et même plus tard (début années 80, pour un triple fractionné à des fins commerciales par la maison de disques..., mais malgré ces tripatouillages, cela fait deux fois un album de Ferré). Bref, cet album de Brassens est bien un double album, donc pour moi on en est à 15.
Puis en 1980, idem, sort le double album "Georges Brassens chante les chansons de sa jeunesse", l'article explique bien que Brassens a enregistré cet album dans les studios de la radio (et pourquoi)... C'est donc bien le 16ème album de l'artiste.
Puis en 1983 (donc posthume) sort l'album "Brassens chante Bruant, Colpi, Musset, Nadaud, Norge", qu'il regroupe des extraits d'émissions radios c'est un fait, mais comme le précédent il a bien fallu que Brassens enregistre ces titres inédits et à la voix on comprend/entend que ces enregistrements sont de "sa dernière période" (entres 1976 - 1980), sauf les titres "Maman, papa", "Heureux qui comme Ulysse" et "Élégie à un rat de cave" précédemment parus)... donc 17 albums.
Si vous ne retenez pas ce décompte qui inclus le dernier, alors cela fait 16 albums, mais en aucun cas 18 albums (personne ici n'a évoqué les lives hors sujet). Cordialement. --PHIL34 (discuter) 19 décembre 2017 à 22:06 (CET)
Bonjour. Il y a ici plusieurs malentendus qui proviennent principalement de la notion mal définie d'« album » et propagés par des raccourcis approximatifs qui inversent parfois la réalité comme sur la page « Discographie de Georges Brassens » et de ses liens pour chaque « album ». Je dis cela sans aucune véhémence, n'y voyez aucune acrimonie, c'est un simple constat. Donc non, je ne suis pas d'accord avec cette comptabilité, c'est juste une commodité.
1°) Tous les premiers titres de Brassens sont D'ABORD parus en 78 tours (deux titres chacun) — les disques microsillons n'existaient pas encore —, PUIS ont été regroupés dans des 33 tours 25 cm (HUIT TITRES chacun), PUIS sur des 33 tours 30 cm (onze ou douze titres chacun), PUIS sur des CD (jusqu'à vingt-quatre titres chacun) — rappel : le support CD n'existait pas encore quand Brassens est mort. On voit bien tout de suite qu'il devient complètement artificiel de dire que Brassens a enregistré UN album à cette époque en brandissant le CD final.
2°) Pour « les Chansons de sa jeunesse » comme pour « En jazz avec Moustache », c'est avec la volonté de graver des disques que Brassens enregistrait. Peu importe dès lors que les studios fussent ceux d'une radio, il s'agissait bien d'un travail d'enregistrement, le choix de musiciens, les répétitions, les sélections de titres, etc., étaient faits dans l'optique de produire des disques.
Ce n'est pas du tout le cas de « Brassens chante Bruant, Colpi » (et pourquoi omettre systématiquement « Vingt ans d'émissions sur Europe1 » qui est dans le même cas) : à part un ou deux titres rajoutés, il s'agit là de collectages de participations diverses de Brassens à des émissions de radio pour lesquelles il n'envisageait pas de faire un disque.
3°) L'énumération de la page Discographie de Georges Brassens décrète « Quatorze albums » — en s'arrêtant arbitrairement à 1976 (pourquoi ?) et sans préciser ce qu'elle entend par « album » (et en l'occurrence il s'agit bien de « disques ») —, et rejette dans « Autres publications » quatre disques qui font pourtant bien partie de ceux que Brassens a enregistrés intégralement.
Tout ça pour vous dire que, dès votre point de départ (« on a 14 albums studios, vous êtes d'accord »), eh bien non, pas vraiment.
J'attire votre attention sur le fait qu'il s'agit ici juste d'un paragraphe introductif et que commencer à vouloir faire un résumé à peu près correct de sa discographie (studio ou pas) tant que la page spécifique de sa discographie est elle-même fausse ou approximative, c'est mettre le doigt dans un engrenage compliqué, comme je l'ai suggéré ci-dessus au 1°) (et pour les connaisseurs, c'est du même tonneau que la chronologie et la numérotation des albums [BD] de Gaston). Et d'autant plus si la terminologie est floue, ce qui est le cas : le terme d'album [phonographique] n'est pas clair (un seul disque ? plusieurs ? combien ?), le terme de disque ne l'étant pas d'avantage (un 33 tours huit titres et CD vingt titres étant l'un comme l'autre des disques, peut-on additionner des choux et des carottes ?).
Peut-être faut-il reformuler la phrase dans l'introduction. On pourrait suggérer une formule du type : « Après avoir fait l'objet de plusieurs séries de 33 tours, l'ensemble de ses enregistrements en studio est édité sur x CD. » Qu'en pensez-vous ?
Cordialement,
-- Laugiland (discuter) 20 décembre 2017 à 11:39 (CET)
Bonjour, donc après lecture de votre dernière intervention, je crois comprendre 1/ que nous sommes d'accord pour dire que la formulation "il a enregistré 18 albums entre 1950 et 1980" (sic), ne convient pas/n'est pas exact. 2/ En effet on peut aussi contester/discuter le fait d'écrire "qu'il a enregistré 14 albums de 1950 à 1976" (sic), dans les faits, comme vous le développer ce n'est pas rigoureusement juste et c'est un raccourci que de le dire ainsi.
C'est toute la difficulté avec les discographies des artistes des années 50 (et même 60 - en partie pour cette décennie), qui multipliait les supports, 78 tours, 45 tours 4 titres (super 45 tours/EP) et encore les 33 tours 25cm et les 33 tours 30cm (qui eux seuls sont réellement des albums). J'ai eu par le passé, sur d'autres pages dans d'autres discussions à défendre ce fait et à "dénoncer" qu'il n'y avait que sur Wikipédia que l'on appelait albums des 25cm (ce qu'ils ne sont pas et n'ont jamais été) ! Pour autant, il y a des exceptions, je pense notamment au disque "Ferré chante Aragon" parut au format 25cm et qui pourtant ressemble bien à un album et je dirai même un "album concept". Bref, rien n'est jamais simple, rien n'est jamais où tout blanc ou tout noir !
Pour en revenir à Brassens, 14 de ses publications en 33 tours sont dans sa discographie (article) inclus dans la section "quatorze albums studio", on peut mettre en avant la fausseté de l'affirmation et détailler cela avec plus de précision/d'exactitude, en séparant les 25cm des 30 (je l'ai fait pour Hallyday depuis longtemps, mais en cela je suis aidé/conforté par la presse qui en 2015 mettait en avant la parution de son 50ème album studio (si on avait tout mélangé sur Wiki on en serait à 61 albums studios (50 + 11 33 tours 25cm), qu'elle grossière erreur). Et je ne parle pas des infobox qui même pour les 25cm inscrivent systématiquement album...
Je pense que pour régler cela et ne pas introduire dans/dès le RI une erreur (car oui que l'on retienne 14, 16, 17 ou 18 c'est de toute façon pas conforme à la réalité), on peut tout aussi bien ce passer de mentionner cela dans l'introduction et que l'on pourrait se contenter de la phrase de conclusion : Auteur de chansons POÉTIQUES (ça manque) et populaires etc... Quand à la discographie en elle même, moi je serai partisan de détailler les 25cm et les 33 tours en respectant bien sur la chronologie. Les 9 premières parutions sont des 25 et Les copains d'abord qualifié de 10ème album est en fait son premier. Mais si on faisait/fait cela d'aucun vont très vite nous dire que l'on chipote et que l'on complique tout... Alors de ma proposition, je ne retiens/suggère que la première partie, à savoir supprimer dans le RI l'évocation comptable de ses parutions discographiques. Cordialement.--PHIL34 (discuter) 20 décembre 2017 à 15:10 (CET)
Donc — j'en profite puisque j'ai affaire à quelqu'un qui semble s'y connaître —, après vous avoir lu (« les 33 tours 30cm (qui eux seuls sont réellement des albums) ») si j'ai bien compris : album = 33 tours 30 cm. Je vous demande de le confirmer car sur la page WP Album ce n'est pas précisé dans le texte, et en revanche, dans le tableau qui suit, les vinyles 30 cm, 25 cm, 45 tours EP, et 45 tours single sont considérés comme étant des albums. On y trouve aussi au paragraphe « Articles connexes » un lien vers la page Double album, laquelle nous dit qu'« Un double album est un album de musique divisé en deux volumes » (donc un album ne serait pas équivalent à un 33 tours). Si votre définition est la bonne, il faudrait modifier toutes ces pages pour garder la cohérence interne dans WP, car j'ai vu sur votre page que vous êtes habitué de longue date de WP ayant créé « 263 articles » et effectué « plus de 23 600 contributions », et c'est à ce titre que je vous demande ce que vous en pensez.
Sinon, on peut sûrement rendre le paragraphe d'intro plus synthétique. Je propose de le récrire ainsi :
« Georges Brassens, né à Sète le 1 et mort à Saint-Gély-du-Fesc le , est un poète auteur-compositeur-interprète français. Auteur de plus de deux cents chansons populaires françaises — parmi lesquelles : Chanson pour l'Auvergnat, La Mauvaise Réputation, Le Gorille, Les Amoureux des bancs publics, Les Copains d'abord, Supplique pour être enterré à la plage de Sète, Les Trompettes de la renommée… —, il met en musique et interprète ses poèmes en s’accompagnant à la guitare. Outre ses propres textes, il met également en musique des poèmes de François Villon, Victor Hugo, Paul Verlaine, Paul Fort, Antoine Pol, ou encore Louis Aragon.
Il reçoit le Grand prix de poésie de l'Académie française en 1967. »
Cordialement,-- Laugiland (discuter) 20 décembre 2017 à 20:29 (CET)
Oui, ce résumé en introduction me semble approprié.

Pour le reste j'ai consulté l'article que vous m'indiquez. Alors pour ce qui est des Extended Play (EP et plus généralement en France appelé "super 45 tours") ainsi que pour les single (CD 2 titres généralement et précédemment les 45 tours 2 titres - ou SP), je suis formel, il y est écrit "album...", la confusion est manifeste, il faudrait écrite disque et non pas album. Pour les 33 tours 25cm aussi (mais là, comme je l'ai indiqué plus haut, cela va créé des discussions, car sur Wiki c'est considéré comme des albums, d'où les erreurs/confusions que vous dénoncez/déplorez ici (et je vous accompagne). Il y a sur nombres de discographie beaucoup d'erreurs dans l'utilisation de ce vocable et d'amalgame. Es-ce vraiment grave, peut-on revenir en arrière ? Comme compromis pour approcher au plus près la vérité, dans la disco de Brassens on pourrait remplacer le titre de section "Quatorze albums" par "33 tours 25cm" (la liste des 9 25cm), puis en 2ème sous section "33 tours 30cm" (puis la liste), sans rien changer dans chaque article à la numérotation donnée (ainsi le 30cm "Les copains d'abord" resterait le 10e album), ainsi on ne dérangerait pas trop les habitudes tout en rétablissement quelque peu ce qui fut. --PHIL34 (discuter) 20 décembre 2017 à 22:31 (CET)