Discussion:Fonte brute

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Chaudrons et plaques de cheminée[modifier le code]

Début XVIIIe siècle, elle a pu toutefois être coulée telle quelle en plaques de cheminée ou en chaudrons. Dans René-Antoine Ferchault de Réaumur. L'art de convertir le fer forgé en acier,: et L'art d'adoucir le fer fondu, ou de faire des ouvrages de fer fondu aussi finis que de fer forgé. Michel Brunet, 1722. Consulter en ligne --Oimabe (discuter) 1 novembre 2016 à 11:52 (CET)[répondre]

Il faudrait être vraiment clair sur le fait qu'il s'agit de la fonte brute, et non pas de fonte de moulage. La fonte issue de haut fourneau n'est pas toujours obligatoirement assimilable à de la fonte brute (exemple de l'Usine sidérurgique d'Uckange). Par ailleurs, et surtout, le distinguo entre ces deux fontes apparait assez tardivement, lorsque la métallurgie et la chimie commencent à bien saisir les subtilités entre toutes les fontes. Les recherches d'Adolf Ledebur sont un jalon important, mais il faudrait plus creuser et trouver des sources.
En tout cas, merci Oimabe d'avoir eu la sagesse de mettre cela dans la page de discussion sans cherche à l'intégrer quoiqu'il en coûte. Je pense en effet que cette précision n'a pas sa place dans l'article. Et pour le justifier, il faudrait que je rédige un paragraphe « Historique » qui montre que distinguer la fonte brute de la fonte de moulage ne se faisait pas avant le XXe siècle, parce que la chimie n'avait pas compris leur différence, et que l'industrie n'en n'éprouvait pas le besoin. Borvan53 (discuter) 1 novembre 2016 à 23:09 (CET)[répondre]