Discussion:Espace de couleur

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Lors d'une impression, pour des raisons liées à la qualité des pigments, l'espace utilisé comporte alors généralement au moins quatre dimensions.

QUELLE EST LA 4ème DIMENSION?et les autres?

~bercier 24 mars 2013 à 10:34 (CET)

À propos des équivalences[modifier le code]

Dans sa rédaction présente, l'article présente toutes sortes d'« espaces de couleur », donné pour synonyme d'« espace colorimétrique », mais peut-être pas de espace chromatique (expression qu'on trouve dans Robert Sève, Science de la couleur : Aspects physiques et perceptifs, Marseille, Chalagam, ). Il semble s'intéresser surtout les couleurs en infographie.

La section #Espaces élémentaires affirme « toute couleur discernable par l'homme est caractérisée par un point dans un espace à trois dimensions ». Ce n'est pas faux, à condition de rester à ce niveau de généralité, mais la phrase suivante l'est : « les valeurs « mesurées » par les trois types de cônes représentent essentiellement les intensités du rouge, du vert et du bleu, l'espace RVB étant défini à partir de ces trois couleurs primaires ».

  1. L'opération qui permet de passer de la lumière à des coordonnées trichromatiques est la multiplication du spectre lumineux par trois fonctions colorimétriques, qui seules permettent de réduire les variables à trois.
  2. Ces fonctions colorimétriques sont conventionnelles (mais pas arbitraires). Elles résultent de la collation d'études réalisées avec un protocole similaire, qu'on peut pour cette raison comparer. Des fonctions colorimétriques réalisées avec un protocole différent aboutissent à des valeurs trichromatiques irrémédiablement différentes, et on ne peut passer des unes aux autres d'aucune manière. Dans le processus de réduction des quelques dizaines de valeurs du spectre à seulement trois, l'information a été définitivement perdue.
  3. Ce fait n'est pas anecdotique. Il existe deux jeux de fonctions colorimétriques courantes. L'une est basée sur l'égalisation par suppression du papillotement d'une tache de 2° (1 cm de diamètre vu à 40 cm), l'autre sur le même procédé appliqué à une tache de 10°. La différence entre les deux peut s'attribuer à une plus grande participation des bâtonnets pour la tache de 10°.
  4. On ne peut passer par des transformations linéaires ou non, selon les cas, d'un espace à l'autre, qu’à condition qu'ils soient fondés sur le même jeu de fonctions colorimétriques.

PolBr (discuter) 7 septembre 2021 à 12:07 (CEST)[répondre]